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Allouville-Bellefosse

Allouville-Bellefosse est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Allouville-Bellefosse
Allouville-Bellefosse
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Yvetot Normandie
Maire
Mandat
Didier Terrier
2020-2026
Code postal 76190
Code commune 76001
DĂ©mographie
Gentilé Allouvillais
Population
municipale
1 155 hab. (2020 en diminution de 0,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 79 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 35â€Č 46″ nord, 0° 40â€Č 37″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 154 m
Superficie 14,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Yvetot
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Yvetot
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Allouville-Bellefosse
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    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
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    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Situation

    Cette commune du pays de Caux[1] est située dans le canton d'Yvetot.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Allouville-Bellefosse
    Écretteville-lùs-Baons Valliquerville
    Alvimare Allouville-Bellefosse
    Trouville Bois-Himont

    Voies de communication et transports

    Le village est accessible par la route. La route départementale D 34 le traverse et rejoint, un peu à l'écart, à l'ouest, la route départementale D 33, un axe nord-sud qui coupe, au nord, la route nationale N 15 et l'autoroute A29.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 965 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 933,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  44 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Allouville-Bellefosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (95,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,9 %), zones urbanisĂ©es (3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,8 %), forĂȘts (0,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Allouville est attestée sous les formes Terram Turstini de Adelolvilla vers 1050 (Fauroux p. 366) ; Adeloldvilla en 1050[22] ; Allovilla en 1071 (Lot 99, 86, 127) ; Ecc. Sancti Quintini de Allouvilla entre 1130 et 1164 ; Ecc. de Alouville entre 1185 et 1207 ; Decimam de Alodivilla au XIIe siÚcle ; Par. Sancti Quintini de Aalouvilla en 1262 (Archives S.-M. 16 H., cart. 309, v., 198, 200, 317) ; P. Cabot, unum quarterium apud Aelouvillam vers 1210 (H. Fr. XXIII, 645) ; Halovilla vers 1240, Alonvilla, Aalonvilla en 1266 (H. Fr. xxiii, 283) ; Alouvilla en 1337 ; Alouville en 1431 (Longnon 25, 84) ; Allouville en 1393 (Archives nationales P. 284, 90) ; Allouville en 1393 (Arch. nat. P. 284, 2. 142) et en 1484 (Arch. nat. P. 284.2.224) ; A Allouville en 1495 (Deville, Tancarville, 368) ; Saint Quentin d'Allouville en 1713 (Arch. S.-M. G 737) ; Alouville en 1715 (Frémont) ; Allouville en 1738 (Pouillé), en 1788 (Dict.) et en 1953 (Nom.)[23].

    Bellefosse qui est citée vers 1210 sous la forme latinisée de Bellam Fossam, est une ancienne paroisse de la commune[22].

    Bellefosse est attestée sous les formes Ecclesia cum decima de Pulchra fovea en 1192 (Arch. S.-M. 54 H, Bulle de Célestin III) ; Terciam partem feodi unius apud Bellam Fossam vers 1210 (H. Fr. XXIII, 642) ; Bella Fossa vers 1240 (H. Fr. XXIII, 284) ; Bellafossa en 1337 ; Bellefosse en 1431 (Longnon, 26, 84) ; Bellefosse en 1319 (Archives S.-M. G 3267) ; Bella Fossa en 1342 (Arch. S.-M. 18 H) ; Bellefosse et Raffetot en 1398 (Arch. Nat. P. 303, 73) ; Ecc. parr. de Bellafovea en 1519 (Arch. S.-M. 54 H) ; Bellefosse en 1715 (Frémont) ; Belle Fosse1757 (Cassini) ; Bellefosse en 1953 (Nom., I.G.N.)[24].

    Histoire

    Cette commune est née de la fusion des communes d'Allouville et de Bellefosse en 1823[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[26]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936 Demonchy
    1957 1971 Gaston Hachard
    1971 1978 Jacques Lecossais
    1978 Paul Levieux
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Didier Terrier DVD[27] Technico-commercial retraité
    Vice-prĂ©sident de la CC d'Yvetot Normandie (2014 → )
    Conseiller départemental depuis 2021
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[28] - [29]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 1 155 habitants[Note 8], en diminution de 0,86 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0471 1001 0721 0221 2391 3011 2461 2561 239
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2251 1701 1871 2271 1801 0771 0671 040929
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    943871872857867842768743726
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7056756619031 0079869869911 152
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1651 1581 155------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  33,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,5 %). De mĂȘme, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 26,0 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 590 hommes pour 568 femmes, soit un taux de 50,95 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,10 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,7
    4,9
    75-89 ans
    6,7
    20,2
    60-74 ans
    19,2
    18,5
    45-59 ans
    19,9
    19,8
    30-44 ans
    22,9
    15,8
    15-29 ans
    13,7
    20,8
    0-14 ans
    16,9
    Pyramide des ùges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Manifestations culturelles et festivités

    La fĂȘte de l'Oiseau organisĂ©e par le musĂ©e de la nature d'Allouville Bellefosse a lieu du 11 au .

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Quentin du XVIIIe siÚcle[36] a un clocher original dit « de Médicis ».

    Patrimoine naturel

    Site classé

    Le chĂȘne d'Allouville est rĂ©putĂ© ĂȘtre le plus vieux de France. Il date du IXe siĂšcle. Dans son tronc, creux, sont Ă©tablies deux petites chapelles superposĂ©es. L'arbre est Ă©tayĂ© et une partie de sa ramure est recouverte d'essentes[37] (bardeaux) pour le protĂ©ger. Il fait plus de 9 mĂštres de circonfĂ©rence[38]. Il est visitĂ© par plus de 60 000 personnes par an[38]. (Logo des sites naturels français Site classĂ© (1932)).

    • ChĂȘne millĂ©naire d’Allouville-Bellefosse.
      ChĂȘne millĂ©naire d’Allouville-Bellefosse.
    • Gravure du XVIIIe siĂšcle.
      Gravure du XVIIIe siĂšcle.

    Allouville-Bellefosse et le cinéma

    Le film Le ChĂȘne d'Allouville rĂ©alisĂ© par Serge PĂ©nard en 1980 avec Jean Lefebvre dans le rĂŽle de l'agriculteur et son fils missionnaire rentrĂ© depuis peu d'Afrique Bernard Menez et son second fils Henri Guybet qui s'oppose Ă  Pierre Tornade le nouveau maire et Ă  son farouche adjoint, François Dyrek, qui ne pensent qu'Ă  la prospĂ©ritĂ© du village et qui par lĂ -mĂȘme risquent de dĂ©truire les fameuses racines du chĂȘne plusieurs fois centenaire. Ce film a Ă©galement Ă©tĂ© distribuĂ© sous le titre Ils sont fous ces Normands.

    Associations

    Le CHENE (Centre d'hĂ©bergement et d'Ă©tude de la nature et de l'environnement) accueille les animaux sauvages blessĂ©s et malades apportĂ©s par les particuliers, rĂ©alise des Ă©tudes environnementales, s'occupe du dĂ©mazoutage des oiseaux touchĂ©s par les marĂ©es noires, soigne et relĂąche les animaux sauvages... Le centre est Ă©galement l'un des seuls en France Ă  pouvoir accueillir les phoques Ă©chouĂ©s, abandonnĂ©s par leur mĂšre souvent effrayĂ©e par des touristes ou sĂ©parĂ©s lors d'une tempĂȘte. Le centre possĂšde aussi la seule machine Ă  dĂ©mazouter les oiseaux. Il peut ĂȘtre visitĂ© par le public et comporte notamment un musĂ©e.

    Cartes postales anciennes

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Belain d'Esnambuc, nĂ© Ă  Allouville-Bellefosse le 9 mars 1585, est le fondateur de la ville de Saint-Pierre Ă  la Martinique. Pour le quatriĂšme centenaire de sa naissance, en 1985, un bas-relief approximativement carrĂ© de 90 cm de cĂŽtĂ©, sculptĂ© dans de l'ardoise, a Ă©tĂ© apposĂ© au bas de la partie sud du clocher-porche de l'Ă©glise Saint-Quentin, face au chĂȘne millĂ©naire, au centre du village.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le pays de Caux », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Allouville-Bellefosse et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yvetot », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - page 27..
    23. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 5.
    24. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 68.
    25. Recueil des actes de la préfecture du Département de la Seine-Inférieure 1823 p. 214
    26. « Allouville-Bellefosse », sur http://seine76.fr (consulté le ).
    27. « Résultats municipales 2020 à Allouville-Bellefosse », sur lemonde.fr (consulté le ).
    28. « Municipales 2020. Le maire d’Allouville-Bellefosse se reprĂ©sente : Didier Terrier sera accompagnĂ© de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Didier Terrier est maire d’Allouville-Bellefosse depuis 2001 et brigue un nouveau mandat ».
    29. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allouville-Bellefosse (76001) », (consultĂ© le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Seine-Maritime (76) », (consultĂ© le ).
    36. « Église Saint-Quentin », notice no IA00020393, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    37. Terme dialectal de l'ouest signifiant bardeau.
    38. Jeroen Pater, Les Arbres remarquables, Ă©ditions du Rouergue, octobre 2006.
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