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Alvimare

Alvimare est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Alvimare
Alvimare
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Michel Lemercier
2020-2026
Code postal 76640
Code commune 76002
Démographie
Gentilé Alvimarais
Population
municipale
618 hab. (2020 en diminution de 2,52 % par rapport à 2014)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 23″ nord, 0° 37′ 57″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 153 m
Superficie 6,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Alvimare
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Alvimare
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Alvimare
Liens
Site web alvimare.fr

    Géographie

    Carte de la commune.

    Commune du pays de Caux située dans le canton de Saint-Valery-en-Caux.

    Communes limitrophes

    • Entrée d'Alvimare.
      Entrée d'Alvimare.
    • Entrée du hameau Le Goulet.
      Entrée du hameau Le Goulet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 978 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Alvimare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,5 %), prairies (14 %), zones urbanisées (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Clivilla cum capella de Alvimare que ei subjacet (Rec. Henri II, II, 276)[21] et alvimara entre 1156 et 1161[22], Halevimara vers 1240 (H. Fr. XXIII, 284), Rob. de Alevimare en 1242 (Archives de la Seine-Maritime 19 H), Alevimare en 1319, Allevimare en 1398, Allevymare en 1422 (Arch. S.-M. G 3267, 3268, 3269), Alevimare en 1337, Allevimare en 1431 (Longnon 25, 84), Ecc. Beate Marie de Alvimara en 1500 et 1501 (Arch. S.-M. G 9491), Ecc. Beate Marie de Alvimara en 1543 et 1544 (Arch. S.-M. G 9531), Allevymare en 1501 et 1502 (Arch. S.-M. G 87), Allevymare en 1505 et 1506 (Arch. S.-M. G 91), Alvymare en 1564 (Arch. S.-M. G 850), Alieumare en 1629 (Hondius), Alvimare en 1715 (Frémont), Allevimar en 1757 (Cassini), Alvimare en 1953 (Nom.)[21].

    Histoire

    Alvimare était construite sur une voie romaine et défendu par une motte féodale. Son église, d'abord chapelle dépendant de Cléville, est donnée par Guillaume Bonne-Âme, archevêque de Rouen, avec le manoir de Cléville, à l'abbaye Saint-Étienne de Caen. Paroisse au XIIIe siècle, avec une église construite à l'époque, sur un tertre. Ce sont les seigneurs des Blangues (Blanques) qui sont seigneurs d'Alvimare. En 1329, Philippe VI roi de France, confirme le droit de patronage de l'abbé de Caen. L'épidémie de peste noire de 1348 se fait sentir à Alvimare. En 1586, ce sont les Poullain, qui sont seigneurs de Caumare, des Blangues et d'Alvimare. Le dernier seigneur fut Adrien de Rouen de Bermonville[23], baron d'Alvimare, émigré lors de la Révolution.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1902 M. Stalin
    1936 Guilbert
    Les données manquantes sont à compléter.
    1957 1967 Guillebert
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Michel Lemercier DVD Agriculteur
    Vice-président de la CC Cœur de Caux (2008 → 2016)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[24]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 618 habitants[Note 7], en diminution de 2,52 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    585630600743842866758736749
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    709734734706686588587538513
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    496480451372383395406376392
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    356330294360486462497501601
    2017 2020 - - - - - - -
    615618-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 317 hommes pour 308 femmes, soit un taux de 50,72 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,10 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    0,0
    4,2
    75-89 ans
    4,4
    14,0
    60-74 ans
    15,1
    14,5
    45-59 ans
    16,6
    26,2
    30-44 ans
    24,9
    12,8
    15-29 ans
    16,8
    27,3
    0-14 ans
    22,2
    Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Commerce

    À la suite de la destruction du garage automobile deux bâtiments permettant l'accueil de 4 entreprises ont vu le jour ainsi qu'un commerce. L'épicerie nommée la cabane des champs a vu le jour. Située sur le bord de la route nationale 6015 cette petite épicerie peu banale, composée essentiellement de distributeur automatique permet la vente de produits locaux. En effet ce sont les agriculteurs qui apportent leurs produits sur le lieu de la vente. C'est ensuite la dirigeante qui remplis les casiers le matin et le soir. L'épicerie est accessible 24h/24 et 7j/7.

    Vie associative et sportive

    Espace multisports : halle et salle.

    Alvimare possède plusieurs espaces sportifs notamment un city stade couvert, un stade de football ainsi qu'un terrain de pétanque[31]. Du coté de la vie associative six associations sont présentes dans le village.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame. Construite en 1860 par l'architecte Oscar Martin, en style néo-roman, avec une tour-clocher à la croisée du transept. Des erreurs de conception et de construction ont rendu l'église, fragile dès l'origine. Elle fut ensuite frappée par la foudre. On doit rendre hommage aux maires successifs et aux habitants, qui ont consenti de gros sacrifices pour sauver leur église en la consolidant, alors qu'il avait été proposé de la démolir. Une pierre obituaire en marbre noir, de 1645, a été conservée et scellée dans le mur Sud de la nef. On la doit à Hélène Poullain, des seigneurs d'Alvimare, à la mémoire de son père, de sa mère et de son époux François de la Ville, tué au siège de Montauban, en 1621. À gauche du maître-autel, pierre obituaire plus récente, à la mémoire de Jules Dufresne et de Mme Giffard, sa sÅ“ur, généreux souscripteurs lors de la construction de l'église. Vitraux de Notre-Dame de la Paix et de Jeanne d'Arc. Fonts baptismaux néo-romans, qui ont malheureusement remplacé ceux du XIIIe siècle, non conservés. L'église remplace une ancienne église du XIIIe siècle, dont le clocher et le transept avaient été refaits au XVIe siècle et le chÅ“ur en 1654. Située sur un tertre, entourée du cimetière, vétuste, elle était devenue éloignée du centre du village et fut démolie, mais le cimetière subsiste.
    Chapelle des Blanques.
    • Chapelle des Blanques[32]. La chapelle Sainte-Anne, à pans de bois, Monument Historique, est une propriété privée remarquablement entretenue. Fondée en 1518 par Marie de Mauny et restaurée par Hélène Poullain, qui ajouta le petit clocher à « tinterelle » (petite cloche), en 1642, elle contient une pierre obituaire de même époque, des vitraux de Boulanger et des restes de litre funéraire. Chaque année, depuis 500 ans, la messe y est célébrée pour la fête de la Sainte-Anne.
    • Les croix de pierre, dites croix des Blanques[33]. Ces croix, près de la chapelle, dont la plus haute est classée Monument Historique, sont liées à la légende d'une demoiselle de Mauny, « d'une beauté ensorcelante », qui refusait de choisir entre deux seigneurs qui la courtisaient et qui se battirent dans un duel sans merci, au cours duquel ils perdirent tous les deux, la vie. La plus haute croix serait à la mémoire de celui qu'elle aimait en secret...
    • Monument aux morts.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.
    • Croix de l'ancien cimetière.
      Croix de l'ancien cimetière.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Cartes postales anciennes

    Personnalités liées à la commune

    • Alexandre Hébert (1921-2010), syndicaliste, né à Alvimare.
    • Hardouin, ermite du VIIIe siècle, spécialiste du comput et de la calligraphie onciale, était né à Alvimare.
    • Guillaume de Colles, greffier lors du procès de Jeanne d'Arc, à Rouen, avait été curé d'Alvimare (la Pucelle avait toute confiance en lui).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Alvimare et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Alvimare et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 5.
    22. Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - page 118.
    23. « Liste originale des français émigrés (p.135) », sur gallica.fr (consulté le ).
    24. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Alvimare (76002) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
    31. « Alvimare : La Commune » (consulté le )
    32. Notice no PA00100537, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. Notice no PA00100538, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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