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Igoville

Igoville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Ses habitants sont appelés les Igovillais.

Igoville
Igoville
Le pont de l'Arche.
Blason de Igoville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Nathalie Breemeersch
2020-2026
Code postal 27460
Code commune 27348
DĂ©mographie
Gentilé Igovillais
Population
municipale
1 747 hab. (2020 en augmentation de 3,56 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 311 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 19â€Č 13″ nord, 1° 09â€Č 01″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 97 m
Superficie 5,61 km2
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pont-de-l'Arche
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Igoville
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Igoville
Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune se trouve entre la rive droite de la Seine et Ă  la limite du dĂ©partement de la Seine-Maritime. Elle occupe un territoire de 561 hectares, de forme rectangulaire.

    Hydrographie

    La commune est riveraine de la Seine.

    Voies de communication et transports

    La ville est traversée par la ligne 390 du réseau Nomad et par la ligne P du réseau Semo.

    Voies routiĂšres

    Igoville est reliĂ©e Ă  Pont-de-l'Arche par le pont routier de la D 6015 qui traverse la Seine et l'Eure.

    Transport ferroviaire

    La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen.

    Elle est desservie par la gare de Pont-de-l'Arche.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 751 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Igoville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (39,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (47 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), forĂȘts (18,5 %), zones urbanisĂ©es (18,3 %), eaux continentales[Note 7] (11,3 %), mines, dĂ©charges et chantiers (8,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,7 %), prairies (2,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Vigovilla vers 1240 (p. d’Eudes Rigaud), Ymgovilla en 1271, Ygouvilla en 1326, Ygoville (cartulaire de Bonport)[24] et sous sa forme actuelle dĂšs 1340[25].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville (terme issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est précédé dans la plupart des cas d'un nom de personne de type germanique continental ou anglo-scandinave en Normandie.

    On identifie dans ce cas précis le nom de personne d'origine norroise Vígautr (variante vieux danois Wigot)[26].

    François de Beaurepaire cite aussi Witgaut[27] et Jean Renaud, le nom de personne francique Widgaud[28] qui conviennent moins bien phonétiquement

    La chute du [v] initial (issu généralement de [w] au XIIe) devant i ou e est fréquente dans la toponymie de la Normandie orientale. Ainsi trouve-t-on dans l'Eure : Illeville-sur-Montfort (Willevilla 13e), Incarville (Wicardi villa 1025) ou Infreville (Wifrevilla 1213)[29].

    Par contre, dans le Mesnil-Vigot (Manche, Maisnillum Vigot 1192, Maisnillum Wigoti 1206), le [v] s'est maintenu.

    L'hypothÚse du nom de personne vieux norrois ou vieux danois est mieux étayée que celle d'un anthroponyme francique, car il n'y a aucune trace d'un [t] ou [d] dans les formes anciennes de Vigo-. De plus, c'est dans la Manche que le patronyme Vigot est le plus fréquent et dans l'ensemble de la Normandie qu'il est le plus anciennement attesté comme nom de famille. L'élément -got est récurrent dans les patronymes normands comme Turgot, Angot d'origine norroise.

    Igoville et le Mesnil-Vigot se situent en outre dans l'aire de répartition de la toponymie scandinave.

    • Hameau le PrĂ©-cantui(t) ou le PrĂ©cantuit : rĂ©interprĂ©tation populaire du XIXe siĂšcle, d'un plus ancien Brescantuit (les essars de Brescantuit 1453), composĂ© avec le vieux normand thuit « essart, espace dĂ©frichĂ© », issu du vieux norrois thveit, mĂȘme sens. L'analogie avec un prĂ© a aussi Ă©tĂ© facilitĂ©e par la similitude entre un prĂ© et un espace dĂ©frichĂ©.

    Histoire

    Les 8 et , le 4e groupe franc motorisé de cavalerie y livre le combat de Pont-de-l'Arche.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1904 Nouvel [30]
    1906 1910 Alexandre PĂ©rier
    Les données manquantes sont à compléter.
    1955 Lucette Bréham
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 2014 Gérard Saillot DVD Retraité, conseiller général du canton de Pont-de-l'Arche (1985-1998)
    mars 2014 2020 Sylvie Blandin DVD
    2020 En cours Nathalie Breemeersch

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 1 747 habitants[Note 8], en augmentation de 3,56 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    350297354331394430423445406
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    417428432413483439468465487
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    514498462568518544565583670
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7458508891 1071 3121 4741 4771 5901 774
    2020 - - - - - - - -
    1 747--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Pierre[35], qui possĂšde des vitraux rĂ©alisĂ©s par le maĂźtre-verrier François DĂ©corchemont.
    • Au n° 255, rue de la Ravine, le Mini RĂ©seau, une installation fixe de modĂ©lisme ferroviaire ouverte au public.
    • Ancien chĂąteau[36], mairie actuelle, construit tout en pierre, au milieu du XVIIIe siĂšcle, composĂ© d'un corps de logis central Ă  un seul rez-de-chaussĂ©e, avec un avant-corps central surmontĂ© d'un fronton triangulaire, cantonnĂ© Ă  chacune de ses extrĂ©mitĂ©s par un pavillon plus Ă©levĂ© comportant un Ă©tage sur rez-de-chaussĂ©e. Chacun de ces trois corps de bĂątiment est surmontĂ© d'un comble mansardĂ© indĂ©pendant. Les deux façades, aux contours identiques, diffĂšrent par le nombre de leurs ouvertures. CĂŽtĂ© parc, l'avant corps central comporte trois ouvertures, une seule cĂŽtĂ© cour. Les pavillons latĂ©raux comportent cinq travĂ©es cĂŽtĂ© cour, quatre cĂŽtĂ© parc. À l'intĂ©rieur, le principal Ă©lĂ©ment dĂ©coratif ancien subsistant est l'escalier central, pourvu d'une rampe en fer forgĂ© de style Louis XV. Le chĂąteau est mentionnĂ© pour la premiĂšre fois Ă  l'occasion de la bĂ©nĂ©diction de sa chapelle en 1747, par Adam Charles Esmangard, vicaire gĂ©nĂ©ral de l'archevĂȘque de Rouen, frĂšre de son propriĂ©taire, Claude François Esmangard, conseiller du roi, nĂ©gociant Ă  Rouen et prĂ©sident au grenier Ă  sel de Pont-de-l'Arche. Quelques annĂ©es plus tard, cette demeure appartient Ă  Louis Jacques des Marets, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au Parlement de Normandie, et son Ă©pouse, Marie-Madeleine du Val de Morgny, lorsque ceux-ci en dotent leur fille, Ă  l'occasion de son mariage en 1777 avec Alexandre du Moucel, marquis de Torcy, seigneur de La RiviĂšre-Bourdet, prĂ©sident Ă  mortier au Parlement de Normandie. Veuve en 1781, celle-ci se remarie Ă  Igoville le avec Jean Pierre Firmin de Vieux[37], officier. En 1802, elle achĂšte le chĂąteau du Champ-de-Bataille. Celui d'Igoville est alors louĂ©. Il est ensuite habitĂ© par son fils Édouard Marie Firmin de Vieux, mort Ă  Igoville le . En 1872, il est vendu Ă  Louise AdĂ©laĂŻde de Clisson, fondatrice de l'orphelinat Saint-François-Xavier. Cette congrĂ©gation ayant Ă©tĂ© dissoute, le chĂąteau d'Igoville est achetĂ© en 1904 par Michel Louis Adolphe Avon[38], gĂ©nĂ©ral, commandeur de la LĂ©gion d'honneur, mort en 1918, puis habitĂ© par sa fille, Henriette Avon, baronne RenĂ© de Maulde. OccupĂ© pendant la guerre, il est achetĂ© en 1949 par la famille Morel, fabricant de chaussures Ă  Pont-de-l'Arche, et, en 1990, par la commune d'Igoville[39]. AprĂšs travaux de rĂ©novation et mise en valeur, il abrite aujourd'hui la mairie d'Igoville et plusieurs services municipaux.
    • Le fort de Limaie[40].
    • Le monument aux morts date de 1921.

    HĂ©raldique

    Blason de Igoville Blason
    De gueules Ă  la fasce ondĂ©e d’argent chargĂ© de trois drakkars contournĂ©s d'azur, accompagnĂ©e en chef d'un lĂ©opard d'or armĂ© et lampassĂ© aussi d'azur et en pointe d'un chĂąteau de trois tours carrĂ©es d'or, maçonnĂ© de sable, ouvert et ajourĂ© aussi d'azur.
    DĂ©tails
    Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie.
    Création Denis Joulain.

    Filmographie

    • Les Grandes Vacances, de Jean Girault (1967)
      Prise oĂč l'on voit le dĂ©barquement de sacs de charbon d'un camion arrĂȘtĂ© au bord de la route (rue du ), devant un cafĂ© Au Tonneau.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Igoville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 117.
    25. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, 1981 (ISBN 2-7084-0067-3) (OCLC 9675154). p. 130.
    26. Nordic Names (anglais) : origine du nom VĂ­gautr
    27. Ibid..
    28. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP Ă©ditions, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1) p. 126.
    29. F. de Beaurepaire, op. cit., p. 130 - 131.
    30. Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure - 1904
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Notice no IA00017960, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. Notice no IA00017963, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. « Notice LH du comte de Vieux », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
    38. « Notice LH du général Avon », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
    39. « Le chùteau d'Igoville et son histoire », sur Pont-de-l'Arche ma ville, (consulté le ).
    40. Notice no IA00017966, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

    Liens externes

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