Villefranche-d'Astarac
Villefranche-d'Astarac (Vilafranca d'Astarac en gascon et Villefranche jusqu'au [1]) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois trÚs vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Villefranche-d'Astarac | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gers |
Arrondissement | Auch |
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone |
Maire Mandat |
Bernard Monlibos 2020-2026 |
Code postal | 32420 |
Code commune | 32465 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Villefranchois |
Population municipale |
138 hab. (2020 ) |
Densité | 11 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 25âČ 28âł nord, 0° 43âČ 41âł est |
Altitude | Min. 202 m Max. 311 m |
Superficie | 12,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Auch (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Val de Save |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Gimone, la Lauze, le ruisseau du Merdet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallĂ©e et coteaux de la Lauze ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Villefranche est une commune rurale qui compte 138 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 694 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Villefranchois ou Villefranchoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la ferme du Priou, inscrite en 1995.
GĂ©ographie
Localisation
Villefranche-d'Astarac est une commune de Gascogne située en Astarac. La commune est limitrophe du département de la Haute-Garonne.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Meilhan, Simorre, Tournan, Molas, Betcave-Aguin et Gaujan.
GĂ©ologie et relief
Villefranche-d'Astarac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Gimone, la Lauze, le ruisseau du Merdet, un bras de la Gimone, la LÚre, le ruisseau de Saint-André, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[5] - [Carte 1].
La Gimone, d'une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, aprÚs avoir traversé 54 communes[6].
La Lauze, d'une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune d'Aussos et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Saramon, aprÚs avoir traversé 11 communes[7].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[8]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[13] et qui se trouve Ă 23 km Ă vol d'oiseau[14] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 861,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă 27 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[17] Ă 13,5 °C pour 1991-2020[18].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e et coteaux de la Lauze »[20], d'une superficie de 5 399 ha, des coteaux occupĂ©s par un maillage bocager plus faiblement reprĂ©sentĂ© dans le fond des vallĂ©es alluviales, avec des milieux Ă orchidĂ©es remarquables[21].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[22] :
- les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » (5 264 ha), couvrant 18 communes du département[23] ;
- le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[24].
Urbanisme
Typologie
Villefranche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [I 1] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (83,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (63 %), forĂȘts (16,5 %), prairies (15,4 %), terres arables (5,1 %)[27].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villefranche est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 108 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 108 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Risques technologiques
La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de 25 millions de mĂštres cubes. La fiche rĂ©flexe du PPI dĂ©finit le temps d'arrivĂ©e de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernĂ©s par rapport Ă la Gimone (rive droite ou gauche)[33] - [34] - . Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[35] - [34]
Histoire
Naissance d'une bastide gersoise
Au dĂ©but du XIIIe siĂšcle, le chĂąteau de Castillon, sur la rive droite de la Gimone, est l'une des quatre capitales du comtĂ© d'Astarac. En 1291, le comte dĂ©cide de fonder seul et donc sans parĂ©age, une bastide juste Ă cĂŽtĂ© de son chĂąteau. Il donne Ă cette ville nouvelle le nom de Castillon, mais elle est bientĂŽt appelĂ©e Villefranche. Ce qui la diffĂ©rencie alors des autres bastides de la mĂȘme Ă©poque, est que les maisons sont construites en pisĂ© et non en pierre[36].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[39].
En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 9], en diminution de 11,54 % par rapport Ă 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Il n'y a pas d'Ă©cole Ă Villefranche.
Manifestations culturelles et festivités
- FĂȘte communale et foire : dimanche des Rameaux[42] ;
- FĂȘte patronale : dimanche suivant le [42].
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 8,2 % | 15,4 % | 13,4 % |
DĂ©partement[I 5] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entiĂšre[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 64 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (64,2 % ayant un emploi et 13,4 % de chÎmeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 10] - [I 4]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,4 %[I 8].
Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
9 établissements[Note 11] sont implantés à Villefranche au [I 11]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,2 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 9 entreprises implantées à Villefranche), contre 8,3 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans l'Astarac, une petite rĂ©gion agricole englobant tout le Sud du dĂ©partement du Gers, un quart de sa superficie, et correspondant au pied de lÊŒĂ©ventail gascon[43]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'Ă©levage d'ovins ou de caprins[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 26 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă 17 en 2000 puis Ă 13 en 2010[45] et enfin Ă 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[46] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 746 ha en 1988 Ă 668 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 29 Ă 51 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Maisons anciennes au sein de la bastide ;
- L'église Saint-Vincent de Villefranche, construite au XIIIe siÚcle et remaniée au XVIIIe siÚcle ;
L'Ă©difice en 2021... .. et dix ans auparavant.
- La chapelle Saint-Laurent et motte castrale de Lasseube-Noble.
Le clocher-mur et le porche. La nef lors de "La Ronde des expos 2021". Le cimetiĂšre adjacent.
- Motte castrale du Campet, ou de Castillon, appartenant aux comtes d'Astarac.
- Site castral d'Engachies. Un chĂąteau figure sur le cadastre[47] et sur le carte d'Ătat-major[48] du XIXe siĂšcle ; il nâest dĂ©jĂ plus indiquĂ© sur la carte IGN de 1950[48]. Aucun vestige de l'ancien chĂąteau n'est aujourd'hui visible en Ă©lĂ©vation.
- ChĂąteau de Larrouget.
- Le mémorial du maquis de Meilhan.
- "Yané", sculpture se trouvant le long d'un chemin de randonnée. C'est une commande publique faite par Pays Portes de Gascogne et réalisée par Teruhisa Suzuki.
La place centrale et le monument aux morts. Le village vu Ă travers "lâĆil" de lâĆuvre "YanĂ©". Ancienne cabine tĂ©lĂ©phonique transformĂ©e en boĂźte Ă livres. Panneau informatif. Point de vue.
HĂ©raldique
Blasonnement :
ĂcartelĂ© de gueules et d'azur
Commentaires : armes contraires aux rĂšgles du blason ! |
Voir aussi
Bibliographie
- Georges CourtÚs (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[32].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Villefranche » sur Géoportail (consulté le 13 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villefranche » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Villefranche » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- DĂ©cret no 2022-1739 du portant changement du nom de communes
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Villefranche », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Gimone »
- Sandre, « la Lauze »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villefranche », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300897 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Villefranche », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Site de la préfecture - Fiche de Villefranche
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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