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Val-Cenis

Val-Cenis est une commune nouvelle située dans la vallée de la Haute Maurienne-Vanoise, dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes, frontalière avec l'Italie.

Val-Cenis
De haut en bas, de gauche Ă  droite : Le hameau de Termignon ; le lac du Mont-Cenis ; le mont d'Ambin ; l'Ă©glise de Saint Pierre d'Extravache ; la hameau de Bramans ; le Fort de Ronce ; le hameau de Lanslevillard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité Communauté de communes Haute Maurienne Vanoise
Maire
Mandat
Jacques Arnoux (DVD)
2020-2026
Code postal 73500 et 73480
Code commune 73290
DĂ©mographie
Gentilé Cenisvalliens
Population
municipale
2 068 hab. (2020)
DensitĂ© 5,1 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 16′ 42″ nord, 6° 49′ 04″ est
Altitude Min. 1 194 m
Max. 3 855 m
Superficie 408,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Modane
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Val-Cenis
Liens
Site web commune-valcenis.fr

    Elle a été créée le et regroupe les anciennes communes de Bramans, Sollières-Sardières, Termignon, Lanslebourg-Mont-Cenis et Lanslevillard qui deviennent communes déléguées. Son chef-lieu et sa mairie se situent à Termignon. Elle est depuis ce jour — en superficie — la deuxième plus grande commune de France métropolitaine, derrière Arles dans les Bouches-du-Rhône.

    La station de sports d'hiver de Val Cenis est située sur le territoire de cette commune.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
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    Commune des Alpes, Val-Cenis est située au sud-est de la Savoie dans la vallée de la Maurienne, sur un territoire nommé la Haute-Maurienne-Vanoise. Elle est positionnée à cheval entre le massif de la Vanoise et du Mont-Cenis, tout proche de la frontière italienne avec qui elle entretient des liens historiques.

    Le territoire de la commune est limitrophe de nombreuses communes françaises et italiennes :

    Communes limitrophes de Val-Cenis
    Pralognan-la-Vanoise Champagny-en-Vanoise Tignes
    Val-d'Isère
    Aussois
    Avrieux
    Val-Cenis Bessans
    Bardonnèche (Italie) Jaillons (Italie)
    Exilles (Italie)
    VĂ©naux (Italie)
    Moncenisio (Italie)
    Novalaise (Italie)

    GĂ©ologie et relief

    Une grande partie de la commune est installée au creux d'un cône de déjection.

    RĂ©unissant les territoires des cinq communes fusionnĂ©es, son altitude varie de 1 194 Ă  3 855 mètres et sa superficie est de 408,05 km2 soit la seconde plus grande commune de France mĂ©tropolitaine en superficie.

    La commune s'étire à cheval sur deux socles cristallins, dans les alpes internes. L'imposant et profond socle de la Vanoise, dit cristallin, rencontre le socle du massif interne du Grand-Paradis, dans la partie la plus orientale de la vallée. Le socle cristallin d'Ambin forme une continuité géologique et se superpose à la Vanoise en constituant les massifs de la barrière sud. À cela viennent s'ajouter les massifs de schistes lustrés, tels ceux de la pointe de Ronce, de la pointe de Charbonnel ou de l'aiguille de Scolette. La commune s'étire sur l'unité des massifs cristallins Grand-Saint-Bernard, Vanoise et d'Ambin, allant du Valais au val de Suse. Elle est partagée entre le massif de la Vanoise sur la rive droite de l'Arc, et le massif du Mont-Cenis sur la rive gauche. On y trouve donc une grande variété de roches métamorphiques, allant du gneiss et micaschiste, en passant par le quartzite, les schistes bleus, verts et lustrés (calcschistes), mais aussi des amphibolites (plus présentes sur le versant du Mont-Cenis), ainsi que des filons de roche magmatique[1] - [2]. Une carrière exploite une roche magmatique à grain fin et bleuté (porphyres schisteux). Ces roches destinées à l'ornement sont situées sur le versant du massif du Mont-Cenis[3]. La commune et toute la région de Val Cenis est connue pour ses importants gisements de serpentinite. Une carrière a été exploitée jusque récemment entre Termignon et Sollières. Mais les risques liés à l'amiante présent en grande quantité dans cette roche ont poussé les autorités à fermer le site.

    La commune est assise à cheval sur les socles cristallin d'Ambin (au premier plan) et de la Vanoise (massif et glaciers de la Chavière visibles au fond à droite).

    Cette diversité offre à la fois une grande richesse de reliefs entourant la commune, mais aussi de végétation qui se développe grâce aux différents types de sols que ces roches offrent[4]. D'un versant à l'autre, on peut donc trouver des espèces végétales totalement différentes du fait de la nature plus ou moins acide des terrains. Les massifs environnants ont pu conserver une importante couverture sédimentaire, principalement faite de gypse, qui donne un aspect imposant aux différents massifs. Ces importants gisements de gypses ont été exploités jusqu'au début du XXe siècle pour la fabrication de plâtre et produits de construction. L'enduit alors très prisé a largement servi pour la décoration des façades d'habitation. Les maisons traditionnelles reflètent cette richesse, les murs étant constitués de quartzite et de gneiss, les toitures recouvertes de lauzes (calcschiste, gneiss et micaschiste), bardage de mélèze et enduit pour les façades. Cette profusion de roches, dans un secteur aussi limité, attire géologues et botanistes.

    Hydrographie

    Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

    Climat

    Le climat y est de type montagnard :

    • ÉtĂ© : sec et chaud, pluviomĂ©trie l'une des plus basses de RhĂ´ne-Alpes, quelques journĂ©es orageuses. Temps idĂ©al pour la randonnĂ©e.
    • Hiver : sec et froid, temps neigeux rare mais important favorisĂ© part[5] les "Retour d'est" (neige en provenance d'Italie). Temps idĂ©al pour le ski.
    Site Natura 2000 : formations forestières et herbacées des Alpes internes, le climat particulier de la commune est propice aux espèces de conifères alpins.

    Les villages, et surtout les hameaux de Sollières-Endroit, Sardières, Termignon et Bramans situés sur l'adret, profitent d'une exposition privilégiée, avec un très fort ensoleillement, ce qui a notamment donné la racine du nom de Sollières. Un effet de foehn constant grâce au vent de sud-est appelé « la lombarde », souffle depuis la frontière italienne, et s'engouffre grâce aux nombreuses vallées qui descendent depuis la frontière italienne (Mont-Cenis ou Ambin par exemple) permettant ainsi de jouir d'un microclimat sec. En hiver, les retours d'est favorisent un enneigement conséquent[5] et un climat très clément malgré son altitude.

    Ce climat permet une production agricole, et notamment de fruits, à une altitude peu commune à cette latitude. Il n'est pas rare de voir cerisiers, pommiers et même abricotiers pousser dans les jardins. Ce phénomène climatique a encouragé les habitants à développer tout un système d'irrigation, grâce à de nombreux biefs mettant à profit l'ensoleillement et palliant les sécheresses estivales. On retrouve de très fortes similarités dans la gestion de l'agriculture et de l'irrigation en Valais.

    La commune est donc partagée entre un adret particulièrement sec et chaud et une zone humide et froide sur l'ubac, favorisant un biotope varié et fragile, principalement composé de prairies sèches et landes alpines boréales, faisant l'objet de plusieurs arrêtés de protection. On appelle communément cette région l'« îlot de sécheresse » de la Haute-Maurienne[6].

    Vue panoramique du plateau du Mont Cenis sous la neige.
    Le plateau du Mont-Cenis surplombant la commune participe au microclimat favorisant les retours d'est et un important effet de foehn.

    Voies de communication et transports

    La route départementale 1006 en fond de vallée est l'unique voie permettant de relier l'ensemble des bourgs, le col du mont-Cenis surplombant la commune permet de rejoindre l'Italie.

    Urbanisme

    Typologie

    Val-Cenis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].

    Toponymie

    La commune prend le nom de Val-Cenis en lien avec le massif du Mont-Cenis, situé sur le territoire de la commune.

    Le toponyme Cenis désigne un lieu de « la couleur de la cendre, cendré, gris » (lat. Cinicius)[12] - [13].

    Histoire

    La commune est née le du regroupement des anciennes communes de Bramans, Sollières-Sardières, Termignon, Lanslebourg-Mont-Cenis et Lanslevillard [14] - [15].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Au premier tour des Ă©lections municipales de 2020, Jacques Arnoux (DVD) est Ă©lu premier maire de la commune nouvelle de Val-Cenis.

    Conseil municipal de Val-Cenis (mandature 2020-2026).
    Liste Tendance Président Effectif Statut
    « Unis pour Val Cenis » DVD-SE Jacques Arnoux 19 Majorité
    « Vivre la démocratie à Val Cenis » DVG-écologistes François Camberlin 3 Opposition
    « Acteurs pour l’avenir de Val-Cenis » SE Bernard Dinez 1 Opposition

    Le village de Termignon a été choisi comme chef-lieu, sa mairie historique sert de mairie de la commune de Val-Cenis. Les villages de Bramans, Lanslebourg-Mont-Cenis, Lanslevillard et Sollières-Sardières, ont gardé leurs mairies en tant que mairies des communes déléguées. Les maires des communes historiques, à la fusion en , ont pris le poste de maires délégués de leurs anciennes communes respectives.

    Listes des maires

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 en cours Jacques Arnoux DVD Maire de Val-Cenis
    Commune déléguée de Bramans Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 Octobre 2017 Thérèse Lehoux SE 15e adjoint de Val-Cenis (jan. 2017 - oct. 2017)
    Octobre 2017 en cours Patrick Bois SE 2e adjoint de Val-Cenis (janv. 2017 - mai 2020)
    Commune déléguée de Lanslebourg-Mont-Cenis Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 FĂ©vrier 2017 Jacques Arnoux SE Maire de Val-Cenis (depuis jan. 2017)
    Février 2017 Mai 2020 Pierre Vincendet SE 5e adjoint de Val-Cenis (fév. 2017 - mai 2020)
    Mai 2020 en cours Fabien Gravier SE
    Commune déléguée de Lanslevillard Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 Mai 2020 Paul Chevallier SE 1er adjoint de Val-Cenis (jan. 2017 - mai 2020)
    Mai 2020 en cours Jaqueline MĂ©nard SE
    Commune déléguée de Sollières-Sardières Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 en cours Jean-Louis Bougon SE 4e adjoint de Val-Cenis (depuis jan. 2017)
    Commune déléguée de Termignon Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Janvier 2017 Mai 2020 RĂ©my Zanatta SE 3e adjoint de Val-Cenis (jan. 2017 - mai 2020)
    Mai 2020 en cours GĂ©rald Bourdon SE

    Jumelages

    Le village de Bramans et son voisin géographique, le village de Jaillons (Piémont) font partie de l'Espace Hannibal, un projet de coopération transfrontalière. Il s'agit d'un réseau de sentiers de randonnées à but ludique entre les villages. Le docteur Marc Antoine de Lavis Trafford avait acquis la certitude qu'Hannibal, en 218 avant J.C, était passé par le col de Savine-Coche lors de sa traversée des Alpes. L'espace multi-loisirs Hannibal relate cet événement au moyen de panneaux, jeux, parcours sur ce même thème.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 2 068 habitants[Note 2].

    Évolution de la population [ modifier ]
    2015 2016 2017 2018 2020
    2 1412 1162 0882 0612 068
    (Sources : Insee Ă  partir de 2015[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Démarré en 2002 à Termignon, le Festival national d'accordéon a lieu en hiver chaque année pendant une semaine[18].

    Sports

    Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

    Économie

    Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

    Patrimoine naturel

    Campanule du Mont-Cenis.
    Campanule du Mont-Cenis : la flore rare et unique de la région est une des spécificités de la commune.
    L'ensemble du massif du Mont-Cenis a gardé son caractère intact et sauvage grâce aux nombreuses mesures de protection environnementale.
    Le loup est de retour de manière permanente sur la commune.
    Le loup est de retour de manière permanente sur la commune, pour le plaisir des amoureux de la nature mais également la méfiance des éleveurs.

    La commune est un lieu de rencontre pour de nombreux botanistes et passionnés de faune de montagne.

    Cette richesse est sanctuarisée au sein du premier parc national français, dont la cérémonie officielle d'inauguration s'est déroulée sur la commune[19].

    Les forêts environnantes sont, quant à elles, protégées dans le cadre du projet de préservation Natura 2000[20]. Elles comportent entre autres essences; mélèzes, pins à crochets, et pins cembros appelés localement Arve ou Arolle. Ce résineux des Alpes par excellence est très présent sur le territoire. Son essence permet de perpétuer la tradition locale de sculpture sur bois, très prisés par les touristes à la recherche d'artisanat local.

    La diversité des sols, l'amplitude climatique offerte grâce aux effets de foehn et l'altitude élevée des pelouses alpines protégées de l'adret sont autant de conditions permettant le développement d'une flore rare, comme la bruyère des Alpes, qui fleurit depuis le monolithe jusqu'à Lanslebourg, et, parfois même, unique en France telle que la violier du Valais[21]. Cette diversité conduit les botanistes à baptiser certaines espèces en référence à l'un des massifs de la Haute-Maurienne.

    Outre la Campanule du Mont-Cenis ou la pensée du Mont-Cenis, il existe une plante rarissime, la laîche des glaciers (Carex glacialis), présente exclusivement dans les régions boréales mais qui subsiste sur les hauteurs de Sollières et Lanslebourg[22]. Découverte en 2004, elle suscite l'intérêt de la communauté scientifique et de nombreuses voix s'élèvent pour protéger ce site contre tout projet susceptible de mettre en péril son fragile habitat[23].

    La commune accueille un cortège d’espèces vĂ©gĂ©tales et animales (lièvre variable par exemple) rĂ©fugiĂ©es dans les Alpes après la dernière grande glaciation, il y a 12 000 ans. Elles sont les tĂ©moins d’un vĂ©ritable milieu polaire en miniature, blotti dans les Alpes du Nord. Ces vestiges vivants sont prĂ©cieux et protĂ©gĂ©s.

    Pas moins d’une douzaine d’espèces végétales, protégées par la loi française, est déjà inventoriée. Le parc national de la Vanoise est un le pôle d'attractivité majeur de la commune. Il offre aux amoureux de la nature la possibilité de voir, dans leur habitat naturel, des espèces animales de montagne qui avaient totalement disparues et qui ont été réintroduites avec succès grâce à la protection offerte par le pionnier des parcs nationaux de France. Ainsi le gypaète barbu, le plus grand oiseau des Alpes, survole de nouveau le ciel de la commune[24].

    Lynx, aigles royaux, bouquetins et chamois sont autant d'espèces endémiques qui peuplent la commune et s'offrent à la vue des randonneurs.

    Forêt et tourbières siliceuses du Roterel sur le versant oriental du plateau de Mont-Cenis surplombant le hameau de Grand-Croix, classé en Znieff et arrêté de Biotope en 1991.

    Le loup fait son retour en 2003[25] et des meutes s'y sont installées de manière permanente, forçant les bergers à adopter de nouvelles techniques de gardiennage des troupeaux, avec l'apparition du Patou, qui contrairement aux chiens de berger, n'est pas utilisé pour la conduite du troupeau, mais exclusivement sa protection contre tout éventuel intrus.

    La commune compte également, sur son territoire, de nombreuses zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    • adrets de la Maurienne (820031698) ;
    • forĂŞts de rĂ©sineux de l’ubac de la Haute Maurienne (820031513) ;
    • massif de la Vanoise (820031327) ;
    • massif du Mont-Cenis (820031688) ;
    • pinèdes autour du monolithe de Sardières (820031317) ;
    • plateau du Mont-Cenis (820031720).

    Personnalités liées à la commune

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    Voir aussi

    Bibliographie

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    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. [PDF]Analyse géologique, Ministère italien de géologie, analyse pétrographique, feuillet Suse/Ambin.
    2. [PDF]GĂ©ologie structurale des alpes franco-italiennes, GĂ©ologie alpine 1980
    3. [PDF] « Schéma départemental des carrières de Savoie », sur portaildac.oiseau.fr, p. 10.
    4. Marcel Jail, « La Haute-Maurienne, Recherches sur l'évolution et les problèmes d'une cellule montagnarde intra-alpine », Revue de géographie alpine, vol. 57, nos 57-1,‎ , p. 8-146.
    5. [PDF] « Notice sur les avalanches constatées et leur environnement en Haute-Maurienne - MEDDE-ONF-IRSTEA 2012 », sur avalanchesftp.grenoble.cemagref.com.
    6. [PDF] « Programme Natura 2000, Formations forestières et herbacées des Alpes internes », sur inpn.mnhn.fr.
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. Formations préceltiques, celtiques, romanes, vol. 1 : Formations dialectales (suite) et françaises : étymologie de 35000 noms de lieux, Genève, Librairie Droz, , 708 p., p. 320.
    13. Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, no 6_2,‎ (lire en ligne), p. 139.
    14. « Commune de Val-Cenis (73290) », sur https://www.insee.fr/ (consulté en ) - .
    15. « recueil des actes administratifs de Savoie » (consulté le ).
    16. « Les Maires et les Adjoints de Val Cenis », sur commune-valcenis.fr (consulté en ).
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. « Termignon-la-Vanoise (Savoie) vibre chaque année au rythme de l'accordéon », sur Franceinfo, (consulté le ).
    19. Département de la Savoie, « IR10 - De Bourg-Saint-Maurice Les Arcs à Modane par le col de l'Iseran », sur savoie.fr.
    20. « FR8201779 - Formations forestières et herbacées des Alpes internes », sur inpn.mnhn.fr.
    21. [PDF]ZNIEFF, « Forets de résineux de la Haute Maurienne », sur inpn.mnhn.fr, , p. 3.
    22. [PDF] « Massif du Mont Cenis », sur donnees-rhine-alpes.developpement-durable.gouv.fr, Direction régionale de l'environnement, Inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique, 2e édition, 2007.
    23. (fr) « Savoie : la laîche des glaciers (Carex glacialis) menacée », .
    24. Observation des sites de nidification du gypaète barbu dans le massif du Mont-Cenis
    25. « Les zones de présence permanente du loup dans les alpes », sur carnivores-rapaces.org, (consulté le ).
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