Bessans
Bessans est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Bessans | |||||
La mairie, le monument aux morts et l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Savoie | ||||
Arrondissement | Saint-Jean-de-Maurienne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haute Maurienne Vanoise | ||||
Maire Mandat |
Jérémy Tracq 2020-2026 |
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Code postal | 73480 | ||||
Code commune | 73040 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bessanais | ||||
Population municipale |
359 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 2,3 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 19′ nord, 7° 00′ est | ||||
Altitude | Min. 1 673 m Max. 3 752 m |
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Superficie | 154,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Modane | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Savoie
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-bessans.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
Situé à 35 kilomètres au nord-est de Modane sur le haut-plateau mauriennais à 1 750 mètres d'altitude, le village de Bessans est placé dans un large fond de vallée ; à la suite de l'effondrement de la montagne en aval de Bessans, un lac de barrage glaciaire s'est constitué, où les dépôts sédimentaires successifs ont créé une vaste plaine d'altitude.
Entouré de sommets à plus de 3 000 mètres et de glaciers, Bessans se situe ainsi dans un environnement de haute montagne aux caractéristiques physiques renforcées par :
- un enneigement de novembre Ă avril ;
- un ensoleillement régulier ;
- un froid prolongé jusqu'au printemps.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le village est traversé par la rivière l'Arc.
Activités sportives
Bénéficiant d'un vaste domaine dans un cadre paysager de hauts sommets englacés, sa position a permis le développement d'activités sportives de tout niveau aussi bien l'hiver que l'été : ski de fond, ski alpin, ski de randonnée, randonnées pédestres dans les vallées de l'Avérole et du Ribon, alpinisme et escalade, chien de traîneaux...
La commune s'avère notamment propice à la pratique des activités nordiques, avec un plan peu incliné, idéal pour le ski de fond,renforcé par un investissement durable de la commune dans cette activité.
Chaque année en janvier, a lieu le marathon international de Bessans. La commune de Bessans abrite un stade international de biathlon été / hiver, dont les caractéristiques permettent à l'équipe de France de ski de fond et aux équipes de Biathlon de différentes nations d'y effectuer des stages d'entraînement chaque saison.
Le ski de randonnée bénéficie également de conditions favorables, notamment dans la vallée de l'Avérole. Des courses de tous niveaux y sont organisées.
L'ascension de glaciers (l'Albaron, le Grand Fond, les Grandes Pareis, le Baounet...), des possibilités de boucles, la découverte du sommet le plus haut de la Maurienne (le Charbonnel, 3 752 m), du Glacier des Évettes ou de la vallée du Ribon font aussi partie des activités pouvant être pratiquées dans les environs du village.
Urbanisme
Typologie
Bessans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (64,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,2 %), forêts (4 %), prairies (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %), zones urbanisées (0,2 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Le toponyme Bessans, selon le chanoine Gros, aurait pu provenir, comme pour la ville de Bessan dans l'Hérault, du patronyme d'un certain Bessius, qui aurait donné Bessianum, Bessianum[7]. Henry Suter reprend également cette version du dérivé d'un nom d'un domaine gallo-romain *Bessianum, dérivé du gentilice Bessius[8]. Toutefois, le chanoine savoyard indique que le suffixe -anum est assez rare dans la région[7]. Adolphe Gros considère que, comme pour les communes voisines, le nom pourrait dériver d'un patronyme d'origine gallo-romaine, Bessianus, Bessan[7].
Le village d'altitude est mentionné dès le début du XIIIe siècle et au cours des XIVe siècle et XVIe siècle, sous la forme Bezano (1242, 1245, 1322, 1513)[7]. C'est notamment le cas avec un certain Johannis de Bezano en 1242, d'après Dominico Carutti, Regesta Comitum Sabaudiæ, (p. 336)[7]. Au début du XIVe siècle, on trouve la forme Terra Beczani en 1310 (d'après l'Académie de la Val d'Isère), les mentions Apud Beczanuml et Locus Beciani lors d'une visite pastorale de 1444[7] - [8]. La forme Bessans se trouve en 1444 dans la mention du mandement de Bessans, toujours lors de la même visite pastorale[7].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Bèssanse (graphie de Conflans) ou Bèssans (ORB)[9].
Histoire
L'Art rupestre est très répandu dans le Parc national de la Vanoise, avec en particulier l'important corpus des gravures rupestres du Grand roc noir, sur les communes de Bessans, Termignon, Lanslebourg et Lanslevillard.
Premiers hommes
L'occupation de la haute-vallée de la Maurienne remonte au Néolithique avec l'installation des premiers hommes avec le recul de glacier[10]. Des peintures rupestres — 7 à 8 cerfs peints à l’ocre rouge —, dont la datation reste « conjecturale », ainsi que de nombreux objets ont été découverts au niveau de Villaron, peu avant Bonneval, sur et à proximité d'un grand rocher, appelé « le Rocher du Château »[10] - [11].
Moyen Ă‚ge
Au VIIIe siècle, de nouveaux habitants semblent s'installer dans la vallée de Bessans et qu'on assimile aux Sarrasins[12]. Henri Onde rappelle que l'existence de toponymes comme « mines des Sarrasins » à Bonneval, « rocher (ou mur) des Sarrasins » à Lanslevillard, « grotte des Sarrasins » à Bramans ou encore la « Mine des Sarrasins » à Fréjus « rentrent dans la catégorie de ces vestiges d'occupation humaine de date inconnue auxquels l'imagination populaire a accolé un nom rendu fameux, dans le folklore du Moyen Âge, par les croisades d'Orient et d'Espagne »[13]. Il explique ainsi la méfiance entre les habitants de Bonneval et de Bessans. Les Bonnevalains « [regardent les Bessanais] comme des descendants des Sarrasins et affirment, en ce qui les concerne, que leur village a été fondé par des montagnards du Val de Rhême venus primitivement exploiter les pâturages dans le haut bassin de l'Arc. »[13]. On retrouve cette animosité entre les deux communautés plus tard au cours de l'histoire, elle est d'ailleurs relevée par l'Intendant de Maurienne qui note en 1759 cette « vieille et forte antipathie »[13].
Époque moderne
En 1532, l'évêque de Maurienne détache Bonneval de la paroisse de Bessans[14] - [15].
Époque contemporaine
Lors de l'annexion du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises en 1792, la vallée de la Maurienne appartient au département du Mont-Blanc[16]. La commune de Bessans est rattachée administrativement au canton de Lanslebourg, au sein du district de Saint-Jean-de-Maurienne[16]. Lors de la réforme administrative de 1798 et la création du nouveau département du Léman, la situation de rattachement administrative de Bessans ne change pas[17]. Henri Onde rappelle que durant cette occupation, les administrateurs du nouveau département du Mont-Blanc décrivaient les habitants comme « de taille moyenne, solidement charpentés, aux yeux vifs, ordinairement bruns, d'une intelligence plus qu'ordinaire, actifs, audacieux, semblent former un type à part en Maurienne »[13].
Politique et administration
Maires
Jumelages
Bessan est une ville de l'Hérault dont le nom est proche. Le jumelage a été signé par les deux maires le lors de la fête de Saint-Laurent à Bessan, puis ratifié une seconde fois dans la commune savoyarde cette fois, pendant la fête traditionnelle du 15 août 2017[19].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2020, la commune comptait 359 habitants[Note 2], en augmentation de 4,66 % par rapport Ă 2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Foire artisanale : 3e dimanche de septembre.
- Fête patronale : 24 juin ; communale : 15 août.
- Pèlerinages : à la chapelle de Tierce (2 973 m), le 16 juillet ; à Notre-Dame-de-Rochemelon (la plus haute chapelle d'Europe[24], 3 538 m), le 5 août.
- Le Marathon de Bessans en janvier, compétition de masse de ski de fond, inscrite à l'Euroloppet depuis 2008.
- Crèche vivante de Bessans, le 24 décembre, et arrivée des Rois Mages autour de l'épiphanie : plus de 50 Bessanais accompagnés de l'âne, du bœuf, et d'un bouc, proposent les plus vieux textes et chants des Noëls bessanais (écrits à partir de 1650). Une grotte creusée dans la neige accueille Marie, Joseph et l'enfant Jésus.
Économie
- Carrières de serpentine (en sommeil depuis 50 ans, mais elles ont fourni des « haches cérémonielles » déjà au néolithique, retrouvées à plus de 200 km de Bessans).
- Agriculture : pâturages, élevage d'ovins. Coopérative laitière. Visite de la fromagerie : fabrication de la Tomme et du Beaufort (le matin).
Tourisme
Bessans est une commune touristique d'été et d'hiver, avec notamment une station de sports d'hiver, permettant différents sports.
En 2014, la capacité d'accueil de la commune/station, estimée par l'organisme Savoie-Mont-Blanc, est de 3 953 lits touristiques répartis dans 611 structures[25]. Les hébergements se répartissent comme suit : 176 meublés classés, une résidence de tourisme, trois hôtels, deux structures d'hôtellerie de plein air, un centre ou village de vacances/Maison familiale, trois gîtes ou gîtes d'étape et une chambre d'hôtes[25].
Station de sports d'hiver
Le domaine skiable monte jusqu'Ă 1 800 m.
Présence d'une école du ski français.
Le domaine de ski nordique est réputé pour son très bon enneigement, lié à son altitude particulièrement élevée.
Autres activités
- Visites guidées des chapelles et de l'église.
- Roches d'escalade : rocher de la Barmette ; rocher Ă©cole des Drailles Blanches ; falaise de la Balme Noire.
- PĂŞche, chasse.
- Sentier balisé botanique et faune.
- Centre d'ascensions et d'excursions, chalets, refuges. Folklore, costume local. Artisanat (bois sculpté).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune possède des traces de peintures rupestres remontant au néolithique, que l'on peut observer au lieu-dit « Rocher du Château ».
L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste, de style baroque[26].
La chapelle Saint-Antoine possède une « précieuse galerie de peintures murales [...] », analysée par le peintre-verrier et archéologue Lucien Bégule et faisant l'objet d'une étude La peinture décorative en Savoie. Les peintures murales des chapelles Saint-Sébastien et Saint-Antoine à Lanslevillard et Bessans (Maurienne), présentée à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, lors de sa séance le 25 juin 1918[27].
- L'église Saint-Jean-Baptiste, vue extérieure d'ensemble.
- Prêtre chassant le diable (église de Bessans, fin XIXe siècle).
- La chapelle Saint-Antoine, vue extérieure d'ensemble.
- La chapelle Saint-Sébastien, vue extérieure d'ensemble.
Pont de Bessans
Le pont sur l'Arc est le dernier pont construit à Bessans après la destruction par des crues de plusieurs ponts précédents, le plus ancien connu étant le « pont des Sarrazins », cité en 1522 (alors situé 200 mètres en aval et supposément détruit lors de la crue de 1680)[28]. Construit à la suite de la crue du 13 juin 1957, le pont actuel est un « pont Bailey » composé de planches et d'armatures métalliques. Il possède en son centre un oratoire dédié à sainte Barbe, une tradition sur le pont de l'Arc dont la première mention date de 1806, mais qui ne fut de nouveau respectée qu'à partir de 1970 lorsque l'abbé Ponce fait réaliser un oratoire avant d'y installer la statuette conservée à la chapelle Saint-Jean-Baptiste[28].
Le Diable de Bessans
Une légende locale raconte que les habitants de Bessans, désireux de reconstruire leur pont sur l'Arc emporté au cours d'une crue, confient la tâche à un entrepreneur[29]. Celui-ci, se rendant compte qu'il lui sera difficile de tenir son engagement dans le temps imparti, conclu à contre-cœur un marché avec un étranger[29]. Ce pacte stipule que l'étranger se charge de la construction du pont en échange de l'entière propriété du premier être qui franchirait l'ouvrage[29]. Une fois achevé, un berger se réjouit de pouvoir franchir à nouveau le torrent et engage son troupeau de chèvres sur le pont[29]. L'étranger posté sur l'autre rive voit s'avancer vers lui les animaux, ce qui le contrarie fortement car il espérait qu'un humain franchirait en premier le pont mais le marché faisait mention d'un « être vivant » sans précision sur sa nature, ce qui contente fortement l'entrepreneur qui assiste à la scène[29]. Au sein du troupeau, un bouc qui détecte chez l'étranger sa nature malicieuse le charge et l'encorne si violemment que ses propres cornes ressortent sur son front et font également ressortir celles de l'étranger, désormais affublé de deux paires de cornes : le diable est démasqué et prend la fuite[29].
En 1857, les chantres de Bessans se voient refuser par le curé leurs repas annuels. Par petite vengeance, Étienne Vincendet, chantre, sculpte dans le bois une statuette de diable emportant un curé, et la dépose le soir devant la porte du presbytère. Le curé se doute de l'auteur, et rapporte l'objet devant la maison de Vincendet. Le manège aurait duré un mois, et le sculpteur se lasse le premier. Un touriste aperçoit l'œuvre et l'achète. Étienne Vincendet a sculpté également des centaines de statuettes de saints et de saintes, d'où son surnom d'« Étienne des Saints ». Son fils Pierre François va continuer la tradition.
Aujourd'hui, le « diable » de Bessans figure sur la flamme postale du village et trône sur la place de la mairie à côté de la fontaine.
Sites naturels
- Vue sur la pointe de Tierce depuis Villaron au nord de Bessans.
- Vue sur la pointe de Charbonnel depuis Villaron au nord de Bessans.
- Sentier balisé botanique et faune.
- Sentier balisé botanique et faune.
Personnalités liées à la commune
Le romancier Henry Bordeaux (1870-1963) est souvent venu à Bessans et y a placé le cadre de son roman La Maison morte[30].
Sauvegarde du patrimoine
Depuis sa création en 1978, l'association baptisée "Bessans Jadis et Aujourd'hui" (BJA) œuvre pour la conservation et la promotion du patrimoine culturel bessanais[31].
L'association propose différentes actions telles que :
- La publication tous les 6 mois d'un numéro de revue dédié à un thème particulier[31]
- L'organisation tous les deux ans d'une exposition culturelle.
- La sauvegarde du francoprovençal local, existant principalement sous forme orale[31], travaillant parfois en partenariat avec le Centre d'Etudes francoprovençales.
- Le rassemblement d'archives et de témoignages d'habitants du village.
HĂ©raldique
Blason | De sable au diable d’or accorné de quatre pièces, contourné et enfermé dans des flammes de gueules mises en croissant. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Bessans, village d'art, La Fontaine de Siloé, Montmélian, 1994 Extraits
- Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5). ([PDF] lire en ligne)
- Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129).
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Chanoine Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie : Article « Bessans », La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 516 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, présentation en ligne), p. 59-60.
- D'après Henry Suter, « Bessanaise, Bessanèse, Bessans », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 23Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Francis Tracq, La mémoire du vieux village : la vie quotidienne à Bessans au début du XXe siècle, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les savoisiennes », , 559 p. (ISBN 978-2-84206-155-5, présentation en ligne), p. 26.
- Éric Thirault, Céline Pallier, « Apport de la fouille archéologique du rocher du château à la compréhension de la dynamique sédimentaire holocène de la plaine de Bessans (Savoie-France) », dans Parc national de la Vanoise, Travaux scientifique du Parc national de la Vanoise, vol. XXIII, (lire en ligne), p. 65-84.
- Jean Gottar, Bonneval-sur-Arc : les seigneurs de l'Alpe, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 219 p. (ISBN 2-84206-283-3, lire en ligne), p. 16-17.
- Sur le sujet Henri Onde, « L'occupation humaine en Maurienne et en Tarentaise », Revue de géographie alpine, vol. 29, no 2,‎ , p. 223-264 (lire en ligne), et également la suite « La nature du peuplement en Maurienne et en Tarentaise. — Les hommes et les types humains (suite) » (1942), p. 51-123.
- Jean Gottar, Bonneval-sur-Arc : les seigneurs de l'Alpe, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 219 p. (ISBN 2-84206-283-3, lire en ligne), p. 23.
- « Bonneval-sur-Arc », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Vernier 1896, p. 96, 106-107.
- Vernier 1896, p. 109-110, 115-116.
- Les Maires de Bessans depuis 1860, site fr.geneawiki.com
- inexine, « Ville de Bessans », sur www.bessan.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Pèlerinage de Rochemelon », sur haute-maurienne-vanoise.com
- « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergement (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 190 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 277-301.
- Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, lire en ligne), p. 36.
- Communauté de communes Terra Modana, « Le pont de Bessans : quand la crue de l'Arc change la face d'un village », Terra Modana, no 149,‎ , p. 6-7.
- Jean-Marie Jeudy, Vanoise, montagne de l'Homme, Grenoble, Glénat, , 187 p. (ISBN 9782723407052)
- « Henry Bordeaux écrivain savoyard », sur www.grehcognin.fr (consulté le ).
- « Bienvenue sur le site de BJA », sur www.bessans-jadis.fr (consulté le ).