Toner
Le toner est une encre en poudre[1] utilisée dans les imprimantes laser, les imprimantes LED et les photocopieurs pour imprimer du texte et des images sur du papier par électrophotographie. Cette poudre est constituée en majeure partie de particules ultrafines de matiÚre plastique, de résine et de métaux ou métalloïdes.
C'est une poudre dont les grains ont une Ă©chelle ultrafine Ă nanomĂ©trique[2] et qui, grĂące Ă sa texture, se comporte presque comme un liquide[3]. Les toners contiennent un nombre croissant de nanomatĂ©riaux qui ont amĂ©liorĂ© la qualitĂ© de lâimpression, mais qui sont en partie libĂ©rĂ©s dans lâair sous forme de dĂ©chets nanoparticulaires en quantitĂ© dispersĂ©e, qui interagissent synergiquement entre eux et avec dâautres co-polluants, pour produire un cocktail jugĂ©, en 2017, prĂ©occupant pour la santĂ© humaine par les scientifiques qui cherchent Ă Ă©valuer leurs effets toxicologiques[4].
Histoire
Le premier toner mis sur le marché était un mélange de poudres de noir de carbone et d'oxyde de fer.
Puis des particules de carbone ont été mélangées à divers polymÚres et des poudres standardisées de pigments colorés ont été mises au point.
Dans les premiÚres générations de photocopieurs le toner était versé par l'utilisateur dans un réservoir à partir d'une bouteille de poudre, puis des cartouches préfabriquées scellées ont été utilisées, par exemple pour les premiÚres imprimantes laser de Hewlett-Packard LaserJet en 1984[5].
Principe technique
Ă l'aide d'une charge Ă©lectrique (statique), le toner en poudre contenant des particules magnĂ©tisables peut ĂȘtre polarisĂ© pour ĂȘtre transfĂ©rĂ© d'un mĂ©dia Ă un autre.
Dans la plupart des cas, le toner est transportĂ© par un « rouleau magnĂ©tique » pour ensuite aller former une image sur le cylindre photosensible et finalement ĂȘtre dĂ©posĂ© sur la feuille de papier. Le toner est ensuite fixĂ© de façon permanente sur la feuille en Ă©tant chauffĂ©, Ă environ 180 degrĂ©s Celsius, dans l'unitĂ© de fusion. La durabilitĂ© de l'impression augmente avec la tempĂ©rature et la pression dans l'unitĂ© de fusion.
Couleurs et toners spéciaux
Les toners en poudre mis sur le marché sont majoritairement de couleur noire.
Des pigments de couleur primaire permettent à l'imprimante ou au photocopieur de générer (par mélange et contrÎle de l'intensité) différentes couleurs via un procédé de quadrichromie à partir des toners noir, cyan, magenta et jaune. Certaines machines peuvent ajouter du blanc et/ou un vernis par exemple polymérisé par des ultraviolets.
Ă titre d'exemple, il existe aussi un toner en poudre magnĂ©tique dit « MICR » ; il est notamment utilisĂ© pour imprimer les codes apparaissant au bas des chĂšques. Ces codes pourront alors ĂȘtre lus par un ordinateur Ă©quipĂ© d'une tĂȘte de lecture appropriĂ©e.
Nettoyage
Les particules de toner sont trÚs fines et dotées de propriétés électrostatiques qui rendent leur nettoyage difficile en cas de déversement accidentel.
Elles peuvent en outre développer des charges électrostatiques en cas de frottement entre elles ou contre d'autres particules, objets ou l'intérieur des systÚmes ou tuyaux d'aspiration.
Pour ces raisons les poudres de toner ne doivent jamais ĂȘtre aspirĂ©es avec un aspirateur domestique conventionnel. Une dĂ©charge Ă©lectrostatique des particules chargĂ©es peut thĂ©oriquement enflammer la poussiĂšre dans l'aspirateur ou dans le sac de l'aspirateur et/ou crĂ©er une petite explosion si une quantitĂ© suffisante de toner est mise en suspension dans l'air. Les particules seront sinon mal filtrĂ©es par les sacs filtrants de l'aspirateur domestique et dispersĂ©es dans la piĂšce oĂč elles risquent d'ĂȘtre inhalĂ©es. Elles peuvent aussi obstruer le filtre du moteur et provoquer un court-circuit car en raison de leur haute teneur en carbone et fer elles conduisent l'Ă©lectricitĂ©.
Si du toner se répand dans une photocopieuse ou imprimante laser, un aspirateur spécial existe, doté d'un tuyau électriquement conducteur et d'un filtre à haute efficacité.
Le toner non chargĂ© est facilement nettoyĂ© de la plupart des vĂȘtements lavables Ă l'eau, mais le toner Ă©tant une poudre de cire synthĂ©tique ou de plastique Ă basse tempĂ©rature de fusion tout le lavage doit se faire Ă froid (la machine Ă laver doit ĂȘtre emplie d'eau froide avant d'ajouter le vĂȘtement, et un double cycle complet de lavage Ă froid amĂ©liorera les chances de succĂšs). Le premier peut utiliser un dĂ©tergent pour vaisselle ou le lavage des mains, et le second une lessive ordinaire. Le toner rĂ©siduel en suspension dans l'eau de rinçage du premier cycle colore le vĂȘtement qui doit ĂȘtre relavĂ©. Un sĂ©choir Ă linge ou un fer Ă repasser ne doivent pas ĂȘtre utilisĂ©s tant que tout le toner n'a pas Ă©tĂ© retirĂ©, sinon le colorant serait fixĂ© dans le tissu.
Composition, teneur en métaux
L'observation du toner en poudre au microscope électronique montre des particules carbonées de 2 à 12 ”m de diamÚtre, arrondies à légÚrement allongées (forme évoquant visuellement souvent des pommes de terre dont la surface serait légÚrement rugueuse et incrustées de minuscules grains arrondis et de taille nanométrique)[6].
La composition des poudres de toner varient selon les marques et les produits. Par exemple, selon leurs producteurs en 2011, les poudres Kyocera TK-16H et Kyocera TK-17 vendues pour les imprimantes laser du commerce[6] Ă©taient constituĂ©es de copolymĂšres styrĂšne-acrylate (50-60 % en poids), de magnĂ©tite (30-40 % en poids), de dioxyde de titane (1-5 % en poids), de silice (1-5 % en poids) et d'antimoine (<1 % en poids). La premiĂšre contenait en outre une cire synthĂ©tique de polypropylĂšne (numĂ©ro CAS ) et de l'alumine (Al2O3). Toujours Ă titre d'exemple, la poudre Hewlett-Packard « LaserJet C4092A » vendue Ă la mĂȘme Ă©poque pour le mĂȘme usage Ă©tait, elle, prĂ©sentĂ©e comme Ă©tant un copolymĂšre de styrĂšne-acrylate (40-50 % en poids) et de magnĂ©tite (40-50 % en poids)[6].
Les analyses de poudres de toner pures et d'extraits solubles faites en laboratoire ont rĂ©vĂ©lĂ© un grand nombre de HAP (dont par exemple et principalement en 2013 du naphtalĂšne, de l'acĂ©naphtylĂšne et du phĂ©nanthrĂšne ou d'autres aromatiques HAP mais Ă plus faibles doses[7]. Ces analyses montraient aussi du carbone et de la silice, ainsi que des mĂ©taux prĂ©sents en forte proportion dans l'encre (fer et zinc)[6], et d'autres mĂ©taux et mĂ©talloĂŻdes Ă plus faible dose, mais beaucoup plus toxiques et Ă©cotoxiques (arsenic, plomb, antimoine, nickel, cadmium, etc.)[6]. De trĂšs faibles quantitĂ©s de rutile (polymorphe TiO2 tĂ©tragonal), de cristobalite (polymorphe SiO2 tĂ©tragonal) et parfois de pĂ©rovskite (CaTiO3) ont aussi Ă©tĂ© signalĂ©es, Ă partir par des analyses chimiques[6]. Des Ă©tudes plus rĂ©centes citent des nanoparticules de fer, titane, silice, cuivre, manganĂšse, aluminium, Ă©tain ; presque toujours sous forme dâoxydes destinĂ©s Ă amĂ©liorer la qualitĂ© de l'impression[4] - [8] - [9].
Toxicité, écotoxicité et risques sanitaires
Longtemps, trÚs peu de données ont été disponibles sur l'écotoxicité du développeur de toner d'imprimantes et de toners. Fautes de données fournies par les fabricants, les effets indésirables des poudres de toner sur les humains étaient alors considérés comme négligeables.
Il a cependant été rapidement montré que toutes les poudres de toner contiennent « des quantités considérables de pigments de noir de carbone et de magnétite (Fe3O4) ainsi que de petites quantités d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) »[6]. Quelques alertes médicales ont été faites dans les années 1990 par exemple concernant le risque de sidéro-silicose[10], ou de pneumonie granulomateuse avec adénopathie médiastinale[11]).
Aux échelles nanométriques, les composants des toner ont des propriétés physico-chimiques, bioactives et morphologiques inhabituelles, ce qui modifie leurs propriétés toxicologiques[12].
En 2002, Furukawa et al. montrent que les macrophages alvéolaires sont négativement affectés par une exposition aux particules du toner[13].
Des protocoles d'Ă©valuation environnementale (ou plus exactement toxicologique ont Ă©tĂ© mis en place (2000-2004)[14], puis en 2006 parait une premiĂšre Ă©tude dâintĂ©rĂȘt Ă©pidĂ©miologique (Ă©tude transversale basĂ©e sur une cohorte de 600 travailleurs masculins manipulant du toner, associĂ©s Ă 212 sujets tĂ©moins, et portant sur les liens possibles entre le risque de dĂ©velopper une fibrose pulmonaire et le fait dâavoir Ă©tĂ© exposĂ© professionnellement Ă la poussiĂšre de toner)[15] ; suivie d'Ă©tudes montrant que des nanoparticules de carbone pĂ©nĂ©traient lâorganisme humain, notamment retrouvĂ©es prĂšs de mĂ©sothĂ©lium[16] et qui commencent Ă suggĂ©rer et confirmer des effets nĂ©gatifs importants sur la santĂ© (en cas d'inhalation de poudre de toner, qu'il sâagisse de poudre noire ou de pigments colorĂ©s). Cette toxicitĂ© varie trĂšs probablement beaucoup selon le mode de contamination (transcutanĂ©e, ingestion, inhalation) et la taille, la forme, la charge Ă©lectrique et la composition des poudres en cause).
En 2011, une Ă©valuation du potentiel gĂ©notoxique de la poudre noire a Ă©tĂ© faite in vitro (via le test des comĂštes et le test des micronoyaux) ; elle a mis en Ă©vidence des lĂ©sions de l'ADN et a conclu non pas Ă une cytotoxicitĂ© des Ă©chantillons de toner Ă©tudiĂ©s, mais Ă leur gĂ©notoxicitĂ©[6]. Dans ce cas les dommages Ă l'ADN et l'apparition d'anomalies nuclĂ©aires (micronoyaux) Ă©taient constatĂ©s (de maniĂšre variable selon le type de poudre) dĂšs 80 Ă 400 lg cm2, bien que la viabilitĂ© cellulaire n'Ă©tait pas affectĂ©e Ă ces doses. La caractĂ©risation physique et chimique des poudres a conduit les auteurs Ă conclure que les mĂ©taux et les mĂ©talloĂŻdes et/ou les HAP prĂ©sents dans ces poudres Ă©taient responsables de ces effets gĂ©notoxiques. Ils ont suggĂ©rĂ© des Ă©tudes complĂ©mentaires (in vivo) pour confirmer ou infirmer la pertinence de ces observations in vitro, tant pour l'exposition privĂ©e que professionnelle aux poudres de toner. Dâautres Ă©tudes ont confirmĂ© la gĂ©notoxicitĂ© des particules des toners, seules et/ou en synergie avec des co-polluants[17] - [18].
Selon une information publiĂ©e par PC INpact[19], un tiers des imprimantes testĂ©es par l'universitĂ© de Technologie du Queensland dĂ©gagent dans l'air des particules minuscules de rĂ©sidus d'encre, qui s'infiltrent dans les poumons et provoquent des maladies pulmonaires, des irritations entraĂźnant des troubles chroniques. Les auteurs comparent mĂȘme ces dĂ©gĂąts Ă ceux provoquĂ©s par la fumĂ©e de cigarette.
La poudre de pigment persiste en suspension dans l'air durant un certain temps avec alors des effets sur la santé jugés comparables à ceux d'une poussiÚre fine inerte. Elle est irritante pour les personnes souffrant de problÚmes respiratoires tels qu'asthme ou bronchite. Des recherches faites à l'université de Technologie du Queensland ont montré que certaines imprimantes laser émettent des particules submicrométriques connues par d'autres études environnementales comme contribuant à des maladies respiratoires[20]. Des chercheurs de l'Université de Rostock ont aussi montré que les particules microscopiques du toner sont cancérigÚnes (comme pour l'amiante). Les personnes travaillant quotidiennement à proximité d'imprimantes et de copieurs présentent aprÚs plusieurs années des risques accrus de problÚmes pulmonaires[21], confirmant des recherches antérieures publiées en 2006[22].
AprĂšs des Ă©tudes faites dans les annĂ©es 1970 sur les bactĂ©ries du pyrrole (contaminant crĂ©Ă© lors de la fabrication du noir de carbone utilisĂ© dans le toner noir), les procĂ©dĂ©s de fabrication ont Ă©tĂ© modifiĂ©s pour Ă©liminer ce pyrrole du produit fini). Tomonaga et al. (2017) ont montrĂ© que chez le rat Wistar utilisĂ© comme modĂšle animal, une exposition importante (16 mg/m3 dâair) et longue (durant 6 mois, 12 mois et 22,5 mois) Ă un toner avec des additifs externes cause une inflammation et Ă©ventuellement une fibrose pulmonaire, un stress oxydatif et les changements histopathologiques dans le poumon[23]. Une augmentation persistante de 8-OHdG en cas dâexposition forte et chronique montre une dĂ©gradation de l'ADN et un risque de tumorigenĂšse[23]. Les auteurs de lâĂ©tude estiment que les toners avec des additifs externes peuvent avoir une faible toxicitĂ© pulmonaire[23].
Et une Ă©tude rĂ©cente (2017) faite au Japon sur une cohorte de 260 employĂ©s masculins d'une sociĂ©tĂ© japonaise de photocopieurs, d'imprimantes et de production de toner a conclu Ă un risque « extrĂȘmement faible » pour ces employĂ©s de dĂ©velopper une maladie respiratoire en raison de leur activitĂ©. Selon les auteurs, depuis 20 ans, les niveaux moyens dâempoussiĂšrement de lâenvironnement professionnel de ces employĂ©s a diminuĂ©, et il est bien en dessous des normes admissibles de l'ACGIH[24].
Par contre en 2017, Chalbot et al. estiment que des effets synergiques entre nanoparticules dâencre et dâautres composĂ©s relarguĂ©s par les imprimantes ou photocopieurs sont probables[18]. Le toner est devenu un aĂ©rosol complexe quâil faut Ă©valuer (en termes de risques) en tenant compte des « copolluants gazeux » qui sont inhalĂ©s avec lui (en particulier les oxydes mĂ©talliques contenus dans les toners peuvent jouer un rĂŽle de catalyseurs compliquant lâĂ©tude de leurs effets toxicologiques)[18]. Une partie des nanomatĂ©riaux manufacturĂ©s contenus dans les toners est « aĂ©roportĂ©e » lors de l'impression. Des preuves toxicologiques continuent de grandir Ă propos de la « bioactivitĂ© de ces particules relarguĂ©es dans lâair par les imprimantes ou photocopieuses, qui en rĂ©agissant avec des copolluants voient leur poids molĂ©culaire augmenter, ainsi que leur potentiel de toxicitĂ© (CancĂ©rogĂ©nicitĂ©, mutagĂ©nicitĂ©) « ce qui soulĂšve des prĂ©occupations pour la santĂ© humaine »[18].
En 2017, selon Pirela et al., « il existe des preuves convaincantes que les particules PM0.1 issues des machines utilisant des toners sont biologiquement actives et capables d'induire un stress oxydatif in vitro et in vivo, une inflammation des voies respiratoires in vivo (chez le rat) et chez l'homme, plusieurs paramĂštres de lĂ©sions cellulaires dans les monocultures et co-cultures, dont des modifications Ă©pigĂ©nĂ©tiques modĂ©rĂ©es in vitro ». LâĂ©pidĂ©miologie a mis en Ă©vidence une prĂ©valence accrue de toux chronique, de respiration sifflante, nez bouchĂ© ou expectorations excessives, de difficultĂ©s respiratoires et essoufflement ; deux Ă trois fois plus frĂ©quents chez les opĂ©rateurs de photocopieurs que chez les tĂ©moins et parfois aggravĂ©s par une exposition chronique pour des individus sensibles aux polluants inhalĂ©s (des troubles respiratoires, immunologiques, cardiovasculaires et autres sont alors possibles) ; pourtant le mĂ©canisme d'action de ces nanoparticules nâest pas encore bien compris notamment selon Pirela parce que les Ă©tudes ont souvent portĂ© sur quelques paramĂštres plutĂŽt que sur lâexposition « rĂ©elle »[4].
Cette mĂȘme annĂ©e 2017, une Ă©tude a rendu ses conclusions sur la part Ă©ventuelle dâeffets psychologiques ou cognitifs dans le ressenti dâeffets nĂ©gatifs dans un environnement exposant Ă des Ă©missions issues dâimprimantes ou photocopieuses. Les auteurs ont conclu que ces effets sont faibles et que les diffĂ©rences observĂ©es correspondent Ă des diffĂ©rences dâexposition[25].
Taux de production dâaĂ©rosols composĂ©s de micro ou nanopolluants
LâĂ©mission d'aĂ©rosol ultrafins ( <100 nm) par les imprimantes laser et photocopieuses varie non seulement selon la marque et le modĂšle, mais Ă©galement beaucoup selon leurs paramĂštres de fonctionnement[26] : outre la vitesse dâimpression[27], le type de processus, le nombre de pages imprimĂ©es, le taux de couverture de chaque page et le mode d'impression influent aussi considĂ©rablement sur les Ă©missions de particules ultrafines, indĂ©pendamment du modĂšle de toner ou de cartouche, ce qui laisse penser que les Ă©missions pourraient ĂȘtre diminuĂ©es par une amĂ©lioration technique des conditions de fonctionnement[26].
RĂ©glementation, certifications
Depuis 2011, au Canada, EcoLogo qui est une marque officielle du gouvernement du Canada, utilisĂ©e sous licence dâEnvironnement Canada, inclut le toner comme Ă©tant conforme Ă l'environnement. « Lâajout des cartouches dâencre en poudre dâorigine Ă©largit considĂ©rablement le potentiel pour un leadership en matiĂšre dâenvironnement en ce qui concerne ce genre de produits, Ă©tant donnĂ© quâinitialement, nos normes se concentraient uniquement sur les produits remis Ă neuf », a dĂ©clarĂ© Angela Griffiths, directrice gĂ©nĂ©rale du programme EcoLogo. « Cet Ă©largissement constitue un important pas en avant afin dâaider Ă reconnaĂźtre les progrĂšs faits par les fabricants de technologie verte, les nouvelles cartouches en poudre sâavĂšrent un meilleur choix pour lâenvironnement »[28].
Notes et références
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Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
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