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Templeux-le-Guérard

Templeux-le-Guérard est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Templeux-le-Guérard
Templeux-le-Guérard
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Aurore Carré
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80748
Démographie
Population
municipale
192 hab. (2020 en augmentation de 2,67 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 50″ nord, 3° 08′ 56″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 145 m
Superficie 6,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Templeux-le-Guérard
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Templeux-le-Guérard
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Templeux-le-Guérard
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Templeux-le-Guérard

    Géographie

    Templeux-le-Guérard est un village rural picard du Santerre situé à une vingtaine de kilomètres à l'est de Péronne, 16 km au nord-ouest de Saint-Quentin et à 23 km au sud de Cambrai accessible par la route départementale 6 (RD 6).

    La commune située dans le département de la Somme est limitrophe de celui de l'Aisne.

    En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 48 (Épehy - Villers-Faucon - Péronne) du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

    • Entrée du village.
      Entrée du village.
    • Vue depuis Hargicourt.
      Vue depuis Hargicourt.
    • Vue générale depuis la route de Roisel.
      Vue générale depuis la route de Roisel.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Templeux-le-Guérard
    Le Ronssoy
    Villers-Faucon Templeux-le-Guérard Hargicourt (Aisne)
    Roisel Hesbécourt

    Hydrographie

    Le village est drainé par la Cologne, qui est un affluent du fleuve côtier la Somme.

    Urbanisme

    Typologie

    Templeux-le-Guérard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,8 %), zones urbanisées (6,7 %), forêts (3,6 %), prairies (0,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 95 en 2013 et de 89 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 80,2 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 16,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Templeux-le-Guérard en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Templeux-le-Guérard en 2018.
    Typologie Templeux-le-Guérard[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 80,2 83,3 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 8,3 9,7
    Logements vacants (en %) 16,1 8,4 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Templeuzium ; Templues (1276) ; Templeu le Guerard (1567) ; Templeux le Gueraud (1648) ; Templeux-le-Guerard (1633) ; Templeux le Guirard (1753)[9].

    Guérard est un patronyme issu d'un ancien prénom, variante normanno-picarde de Gérard.

    Histoire

    Religion : le protestantisme

    En 1691, alors que la France connaît les rigueurs de la révocation de l’édit de Nantes (1685), le village, ainsi que six autres localités environnantes (Hargicourt, Jeancourt, Nauroy, Lempire, Vendelles et Montbrehain), voient une partie de leurs habitants se convertir au protestantisme à la suite des visites du prédicant itinérant Gardien Givry. Les prédications clandestines ont lieu au lieu-dit La Boîte à Cailloux, vallon isolé situé sur le terroir d'Hesbécourt[10]. Une communauté protestante restera dès lors implantée dans le village. Le temple est aujourd'hui désaffecté.

    • Le Protestantisme à Templeux-le-Guérard
    • La stèle de la Boîte à Cailloux en 2017
      La stèle de la Boîte à Cailloux en 2017
    • Plaque commémorative sur la stèle.
      Plaque commémorative sur la stèle.
    • Plaquette éditée en 1931 lors de l'érection de la stèle.
      Plaquette éditée en 1931 lors de l'érection de la stèle.
    • Plan des 7 villages.
      Plan des 7 villages.
    • Le temple de nos jours.
      Le temple de nos jours.

    Première Guerre mondiale

    Comme d'autres villages de la région, Templeux-le-Guérard est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands.

    Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Templeux-le-Guérard[11]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
    Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région: " Holnon le . Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de 15 ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heure du matin jusque huit heure du soir... Après la récolte les fainéants seront emprisonnés 6 mois... Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées 6 mois... Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de 20 coups de bâton tous les jours...Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement".(voir le document entier sur Gallica en cliquant sur le lien ci-après[12]).

    En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front, s'étendant de Lens à Soissons; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le les habitants furent évacués et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En , l’armée allemande se replie sur la ligne Hindenburg. Templeux-le-Guérard fait partie des villes et villages évacués. Plus de 100 000 évacués français sont dénombrés en Belgique (Hainaut) en mai[13].

    En , avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, l'école et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[14]. Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en . Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'en , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Templeux sera définitivement libéré par la 6e division britannique. Communiqué britannique du qui relate les combats de la veille:" Après une préparation d'artillerie et l'appui des tanks, en dépit d'une résistance désespérée et aussi une pluie torrentielle, des succès furent remportés partout et de nombreux villages fortifiés tombèrent entre les mains des Britanniques; on compte Pozières, Epehy, Ronssoy, Templeux-le-Guérard, Hargicourt, Villeret, Le Verguier, Pontru[15]". Les 884 soldats britanniques et les 65 soldats australiens morts lors des combats de Tempeux d' à octobre 1918 reposent dans les 2 cimetières militaires de la commune[16] - [17].

    Après l'Armistice, pour les habitants qui revinrent s'installer, commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 672 habitants avant la guerre en 1911, Templeux-le-Guérard n'en comptait plus que 221 en 1921, soit près des deux tiers en moins. Voici un extrait d'un article du Figaro du qui relate les difficultés de la commune à financer le monument aux Morts et lance un appel aux dons: " Il y a dans la Somme un petit village qui s'appelle Templeux-le-Guérard. Ce village, comme beaucoup d'autres dans la région hélas! n'est plus qu'un amas de ruines. Sur 650 habitants, 280 ont pu rentrer dans des abris combien précaires... (Lire la suite en cliquant sur le lien ci-après[18]).

    Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[19], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [20].

    Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 21 soldats de Templeux morts pour la France[21].

    • La Première Guerre mondiale et la reconstruction
    • Carte de la bataille de la ligne Hindenburg en septembre-octobre 1918.
      Carte de la bataille de la ligne Hindenburg en septembre-.
    • Carte montrant la prise définitive de Templeux en septembre 1918.
      Carte montrant la prise définitive de Templeux en .
    • Carte montrant l'étendue des destructions de Templeux.
      Carte montrant l'étendue des destructions de Templeux.
    • Vue aérienne des environs du village en octobre 1918.
      Vue aérienne des environs du village en .
    • Dessin de soldats australiens par Allan Stewart.
      Dessin de soldats australiens par Allan Stewart.
    • Inauguration du Monument aux morts.
      Inauguration du Monument aux morts.

    L'ancienne gare

    Carte de la ligne Roisel-Hargicourt.

    De 1894 à 1932, Templeux-le-Guérard a possédé une gare, terminus de la ligne de chemin de fer de Roisel à Hargicourt.

    Cette ligne a été ouverte en 1894 afin de permettre l'exploitation de mines de phosphates à Templeux-le-Guérard et Hargicourt. À partir de 1920, la ligne est exploitée par le ministère des Régions libérées (MRL), puis de 1923 à 1927 par la Société générale des chemins de fer économiques (SE) et ensuite par la compagnie des chemins de fer d'intérêt local du Nord de la France (NF).

    La ligne utilise l'écartement métrique, puis est reconstruite à voie normale durant la guerre de 14. Elle est ensuite rétablie à l'écartement métrique après 1920.

    Elle débutait en gare de Roisel, se séparait de la ligne d'intérêt local de la ligne d'intérêt local de Vélu-Bertincourt au PK 0,450, puis atteignait la gare de Templeux-le-Guérard au PK 4,275. La ligne se poursuivait jusqu'à la gare de Hargicourt (PK 6,850), jusqu'à son extrémité au PK 7,9.

    Les mines de phosphate étant épuisées, l'exploitation de la ligne cesse en 1932. De nos jours, la gare est devenue une habitation.

    • La gare de Templeux vers 1910.
      La gare de Templeux vers 1910.
    • L'ancienne gare de Templeux-le-Guérard en 2017.
      L'ancienne gare de Templeux-le-Guérard en 2017.
    • Horaire de la ligne Roisel-Hargicourt en 1927.
      Horaire de la ligne Roisel-Hargicourt en 1927.
    • Les usines à phosphate vers 1910.
      Les usines à phosphate vers 1910.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Roisel[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Péronne

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    Templeux-le-Guérard était membre de la communauté de communes du canton de Roisel, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Cette intercommunalité a fusionné le au sein de sa voisine, la communauté de communes de la Haute Somme dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mai 2020[23] Jacques Boulogne[24] Mécanicien retraité
    mai 2020[25] - [26] En cours
    (au 13 février 2021)
    Aurore Carré Agent de la communauté de communes

    Politique de développement durable

    La municipalité élue en 2020 souhaite réaliser la plantation d'un verger partagé sur un terrain communal, ainsi que la réouverture d'un chemin, le Tour de ville, qui fait le tour du village[26].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Après la fermeture de l'école communale, les enfants du village sont scolarisés au Ronssoy[23].

    L'ancienne école a été transformée en salle polyvalente sous les mandats de Jacques Boulogne[23].

    Eau et déchets

    La réalisation de l'assainissement collectif est envisagée à partir de 2022[26]..

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2020, la commune comptait 192 habitants[Note 2], en augmentation de 2,67 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    626529535667806799865860824
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    855874798742701647629608667
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    671731672221301280240235262
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    240243225207216211196194210
    2015 2020 - - - - - - -
    176192-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 91 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,1
    2,0
    75-89 ans
    5,3
    14,3
    60-74 ans
    17,0
    20,4
    45-59 ans
    11,7
    24,5
    30-44 ans
    25,5
    16,3
    15-29 ans
    13,8
    22,4
    0-14 ans
    25,5
    Pyramide des âges du département de la Somme en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,3
    75-89 ans
    9,2
    16,6
    60-74 ans
    17,4
    20,1
    45-59 ans
    19,3
    18,3
    30-44 ans
    17,7
    19,4
    15-29 ans
    18
    18,7
    0-14 ans
    16,7

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Médard.
      L'église Saint-Médard.
    • Vue de l'église Saint-Médard.
      Vue de l'église Saint-Médard.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le cimetière britannique 1914-1918.
      Le cimetière britannique 1914-1918.
    • Le carré militaire britannique du cimetière communal
      Le carré militaire britannique du cimetière communal

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Templeux-le-Guérard », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 330 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    10. Louis Rossier, Histoire des Protestants de Picardie, Grassart, Paris, 1861, p. 267.
    11. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
    12. « Nouvelles de France : chronique hebdomadaire de la presse française » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    13. http://www.caverne-du-dragon.com/UserFile/File/Espace_Presse/DOSSIER%20DE%20PRESSE_Chemins%20de%20civils%20en%20guerre.pdf.
    14. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
    15. « Le Rappel / directeur gérant Albert Barbieux » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    16. (en) « Templeux-le-Guérard British Cemetery », sur WW1 Cemeteries.com - A photographic guide to over 4000 military cemeteries and memorials (consulté le ).
    17. (en) « Templeux-Le-Guérard Communal Cemetery Extension », sur WW1 Cemeteries.com - A photographic guide to over 4000 military cemeteries and memorials (consulté le ).
    18. « Figaro : journal non politique » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    20. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
    21. File:Templeux-le-Guérard (2).JPG
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Jacques Boulogne ne se représentera pas à Templeux-le-Guérard », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    24. Bernard Devillers, « Jacques Boulogne, ancien maire de Templeux-le-Guérard, est décédé », Le Courrier Picard, (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Aurore Carré, jeune maire à la tête d’un conseil municipal remanié à 100% à Templeux-le-Guérard : Le bureau exécutif de la commune est désormais exclusivement féminin », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Elu maire pour un 4e mandat en 2014 alors qu’il se trouvait sur un lit d’hôpital, Jacques Boulogne, 85 ans, n’a pas souhaité repartir pour un 5e mandat ».
    26. « La jeune équipe municipale de Templeux-le-Guérard fourmille de projets : Un verger et un cheminement autour de la ville sont en projet, ainsi qu’un bulletin municipal », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Templeux-le-Guérard (80748) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
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