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Targasonne

Targasonne (anciennement : Targassonne , en catalan Targasona) est une commune française situĂ©e en Cerdagne, dans le sud-ouest du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en rĂ©gion Occitanie[1]. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Cerdagne, une haute plaine Ă  une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'Ă©tend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame.

Targasonne
Targasonne
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Cerdagne
Maire
Mandat
Maurice de Gerona
2020-2026
Code postal 66120
Code commune 66202
DĂ©mographie
Gentilé Targasonnais
Population
municipale
193 hab. (2020 en augmentation de 7,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 30′ 01″ nord, 1° 59′ 52″ est
Altitude Min. 1 383 m
Max. 2 123 m
Superficie 7,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Targasonne
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Targasonne
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Targasonne
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Targasonne

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Rec de l'Estahuja, le Rec del Tudo, le Riu de Targasona. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Capcir, Carlit et Campcardos ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Targasonne est une commune rurale qui compte 193 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelĂ©s les Targasonnais ou Targasonnaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Targasonne se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[2].

    Elle se situe Ă  77 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  37 km de Prades[4], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Égat (1,6 km), Font-Romeu-Odeillo-Via (3,0 km), Estavar (3,2 km), Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes (4,4 km), Dorres (5,1 km), Saillagouse (5,6 km), Ur (6,4 km), Bolquère (6,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Targasonne fait partie de la rĂ©gion de la Cerdagne, une haute plaine Ă  une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'Ă©tend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[6].

    Pourcentage du territoire dans le département des Pyrénées-Orientales[1]
    commune surface % du DĂ©p Code INSEE
    Targasonne 211Ha 4 % 66202
    Situation de la commune.

    GĂ©ologie et relief

    Les granites dans le département sont présents dans les hauts massifs du Madres et du Puig Pedros, en Cerdagne, dans le Canigou et les Albères, mais aussi dans le Fenouillèdes.

    On y trouve des formations d'un paysage reconnaissable, avec l'Ă©rosion de roche sous la forme de chaos (rochers arrondis), dont le chaos de Targasonne fait partie[7]. Le chaos de Targasonne est un hĂ©ritage glaciaire et pĂ©riglaciaire de l’Holocène. Il comprend d'Ă©normes blocs granitiques (le granite est composĂ© de feldspath, mica noir et quartz[8]). Le chaos de Targasonne est un site connu en France pour sa pratique de l’escalade de bloc en montagne. Il se trouve entre PuigcerdĂ  et Font-Romeu Ă  1 500 m d’altitude.

    • Le chaos de Targasonne.
      Le chaos de Targasonne.

    Hydrographie

    Les ruisseaux du Rec d'Egat et du Rec de Ribals traversent Targasonne du nord-est vers le sud-ouest[9]

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10] - [11].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune avec le parc naturel rĂ©gional des PyrĂ©nĂ©es catalanes, crĂ©Ă© en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'Ă©tend sur 66 communes du dĂ©partement. Ce territoire s'Ă©tage des fonds maraĂ®chers et fruitiers des vallĂ©es de basse altitude aux plus hauts sommets des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forĂŞt mĂ©diterranĂ©enne[12] - [13].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2].

    Le site Natura 2000 Capcir-Carlit-Campcardos couvre une superficie de 39 760 ha sur le territoire de quinze communes du dĂ©partement dont celle-ci, Ă  la fois au titre de la directive habitats et de la directive oiseaux. Cette zone prĂ©sente de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux et hĂ©berge certaines espèces d'intĂ©rĂŞt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des PyrĂ©nĂ©es et Loche pour les animaux. Au titre de la directive oiseaux, elle recèle une grande diversitĂ© d'habitats naturels se traduisant par un patrimoine ornithologique remarquable puisqu'elle accueille la plupart des espèces caractĂ©ristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand TĂ©tras) ou les espèces forestières (Pic noir) et d'autres de milieux plus ouverts[15] - [16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensĂ©e sur la commune[17] : le « chaos granitique de Targasonne » (86 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [17] :

    • la « Haute Cerdagne » (5 477 ha), couvrant 12 communes du dĂ©partement[19] ;
    • le « Serrat des Loups » (9 330 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[20].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Targassonne.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Targasonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [21] - [22] - [23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (67,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), prairies (7,5 %), forêts (4,2 %), zones urbanisées (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Note 6].

    Voies de communication et transports

    La desserte ferroviaire de la commune est assurée par la ligne 560 (Porté-Puymorens - Gare de Perpignan) et la ligne 566 (Latour-de-Carol - Mont-Louis - Latour-de-Carol) du réseau régional des lignes intermodales d'Occitanie(liO).

    Énergie

    Sur le site de la commun se trouve la centrale solaire Thémis, centre de recherche et développement ainsi que la centrale solaire productrice d'électricité pour le réseau d'électricité de France (EDF) en Cerdagne.

    • La centrale solaire ThĂ©mis.
      La centrale solaire Thémis.

    Risques naturels et technologiques

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[27].

    Toponymie

    Formes anciennes

    La paroisse de Saint-Saturnin de Targasona est citée pour la première fois en 839[28].

    En catalan, le nom de la commune est Targasona[29].

    Targassonne et Targasonne

    Le nom officiel français jusqu'en 2021 est Targassonne, considéré comme erroné par les toponymistes de l’Institut d’Estudis Catalans de l'université de Perpignan, qui lui préfèrent Targasonne[29]. La mairie de la commune utilise cette dernière forme, dont la prononciation ([targazɔn̩]) est plus proche de la forme catalane originelle ([təɾɣə'zonə][29]). En 2012, les panneaux routiers n'indiquent que cette dernière orthographe.

    Au niveau national, on trouve aussi un décret de 2004 utilisant la graphie Targasonne[30].

    Un décret du , s'appuyant sur une délibération municipale de février 2021 officialise l'emploi de Targasonne[31].

    Histoire

    C'est au Ve siècle av. J.-C. que les premiers habitants du village arrivent, du nom des Kéretanis, ils occupent la Cerdagne. Ils disparaissent et laissent leurs places aux Romains en -128, à la chute de l'Empire romain. Ce n'est qu'au temps des Carolingiens en 811 que le village crée son histoire.

    Régie par le système féodal de Charlemagne, la Cerdagne devient un comté, comme son voisin le Roussillon.

    Deux chapelles dédiées à saint Vincent peuvent être observées[32].

    Politique et administration

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[33] 2014 Jean-Pierre Will
    2014[34] En cours
    (au 30 avril 2014)
    Maurice de Gerona

    Équipements et services publics

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Égat et Targasonne. Égat accueille l'école primaire de la maternelle au CE1, et Targasonne l'école élémentaire du CE2 au CM2[35]. L'école est située au bourg, en face de la mairie.

    • L'Ă©cole communale.
      L'Ă©cole communale.

    Le secteur du collège est Font-Romeu[36].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Ses habitants sont appelés les Targasonnais[37].

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1515 1553 1709 1720 1767 1774
    46 f16 f19 f9 f9 f24 f20 f93 H17 f
    1788 1789 - - - - - - -
    120 H18 f-------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))
    Notes :
    • 1358 et 1365 : pour Targassonne et Villate ;
    • 1378 : dont 4 f pour Villate ;
    • 1553 : pour Targassonne et Palmanill ;
    • 1720 : pour Targassonne et Palmanill.
    [pas clair]

    DĂ©mographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

    En 2020, la commune comptait 193 habitants[Note 7], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1178297161117141135120160
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    146152158130137115121110132
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    132154136989499968789
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    83716593133203194198201
    2014 2019 2020 - - - - - -
    179195193------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
    Rang de la commune dans le département 179 187 150 152 148 146 146 148
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte patronale : [46].

    Sports et loisirs

    Dans la commune, on trouve un site de parapente au pic des Mauroux et un site d'escalade qui est le deuxième site de bloc de France après celui de Fontainebleau[47].

    La commune dispose d'une piscine couverte près de la mairie.

    • La piscine.
      La piscine.

    Économie

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 20 850 €[48].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune abrite deux Ă©glises romanes :

    • L'Ă©glise Saint-Saturnin.
      L'Ă©glise Saint-Saturnin.
    • Église Saint-Vincent de Vilalta.
      Église Saint-Vincent de Vilalta.

    Personnalités liées à la commune

    • Patrick Berhault, grimpeur et alpiniste, a ouvert des blocs dans le chaos, encore aujourd'hui reconnaissable[50].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • GĂ©raldine Mallet, Églises romanes oubliĂ©es du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-8599-8244-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

      Références

      1. « Modernisation de l'inventaire ZNIEFF : Région Languedoc-Roussillon ; Département(s) : Pyrénées-Orientales » [PDF], sur Les services de l'État dans les Pyrénées-Orientales, 2008-2010.
      2. « Métadonnées de la commune de Targassonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      3. Stephan Georg, « Distance entre Targassonne et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      4. Stephan Georg, « Distance entre Targassonne et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      5. « Communes les plus proches de Targassonne », sur www.villorama.com (consulté le ).
      6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 186-187.
      7. « Les paysages et la géologie », sur l'atlas des paysages, (consulté le ).
      8. Michel Jaffrezo, Pyrénées Orientales, Corbières, Paris/New York/Milan, Masson, , 191 p. (ISBN 2-225-47290-4 et 9782225472909, OCLC 417264396, présentation en ligne).
      9. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
      10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
      11. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      12. « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
      13. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
      15. « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      16. « site Natura 2000 FR9112024 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Targassonne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      18. « ZNIEFF le « chaos granitique de Targasonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      19. « ZNIEFF la « Haute Cerdagne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      20. « ZNIEFF le « Serrat des Loups » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      27. « Plan séisme » (consulté le ).
      28. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
      29. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
      30. Décret du 5 mars 2004 portant classement du parc naturel régional des Pyrénées catalanes (région Languedoc-Roussillon)..
      31. Décret no 2021-1921 du 30 décembre 2021 portant changement du nom de communes.
      32. « Targasonne », sur www.les-pyrenees-orientales.com (consulté le ).
      33. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
      34. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
      35. [xls] Académie de Montpellier, « Effectifs détaillés par école en 2012 », (consulté le ).
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      41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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      49. Mallet 2003, p. 251.
      50. « Patrick Berhault : performances, photos, vidéos, informations », sur climbingaway.fr (consulté le ).
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