Silly-Tillard
Silly-Tillard [siji tijaÊ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise, en rĂ©gion Hauts-de-France.
Silly-Tillard | |||||
La chantrerie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Jean Vertadier 2020-2026 |
||||
Code postal | 60430 | ||||
Code commune | 60620 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
455 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 19âČ 31âł nord, 2° 09âČ 35âł est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 227 m |
||||
Superficie | 11,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
GĂ©ographie
Village picard situé à l'extrémité sud-est du pays de Bray.
Le territoire communal, de 11,4 km2, compte environ 20 % de bois[1].
Hameaux et Ă©carts
La commune compte un hameau, Ă Tillard[1].
Communes limitrophes
Silly-Tillard est voisine des communes de Hodenc-l'ĂvĂȘque et de Noailles.
Hydrographie
La commune compte quatre cours d'eau : la source du Sillet, et les ruisseaux du Rotoir, de la Fontaine-aux-Moines et Claire-Fontaine. On comptait autrefois deux moulins Ă eau[1].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944[8] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Silly-Tillard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (62,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), forĂȘts (34,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,1 %), prairies (5,1 %), zones urbanisĂ©es (2,6 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[19].
Toponymie
Le village s'est appelé Silly-les-Tillard, Sylly, Silli, Scilly et Syliacum en 1243[1].
Histoire
Ancien site gallo-romain proche de Hodenc-l'EvĂȘque et de Noailles, dont on a dĂ©couvert de nombreux sarcophages dans le cimetiĂšre de la commune[1].
Le village a dépendu du duché de Mouchy. Philippe de Noailles, premier duc de Mouchy, donna des terres en 1764 pour construire la route qui devint la RN 1 reliant Paris à Beauvais, à condition que le village traversé s'appelle Noailles, nom qui était son patronyme[1].
Le chùteau fort, alors qualifié de « forteresse considérable » fut pris et détruit par en 1589 par les ligueurs de Beauvais, sous la direction du sieur de Brouilly. Le village fut pillé et incendié. Sur les ruines du chùteau fut ultérieurement construit un manoir seigneurial[1].
La commune de Silly, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1826 celle de Tillard et devient Silly-Tillard[20].
En 1934, le village comptait quatre épiceries. Son activité économique comprenait alors un four à chaux et des ateliers de tabletterie[1].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noailles[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Chaumont-en-Vexin
Intercommunalité
La commune a adhéré en 2000 à la communauté de communes du pays de Thelle[21] (CCPT).
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[23] - [24].
La nouvelle intercommunalitĂ©, dont est membre la commune et dĂ©nommĂ©e provisoirement communautĂ© de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du qui a pris effet le [25].
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[29].
En 2020, la commune comptait 455 habitants[Note 7], en stagnation par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 28,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 30,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 224 hommes pour 221 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
En 2016, les enfants de la commune sont scolarisĂ©s dans un regroupement pĂ©dagogique intercommunal regroupant Silly-Tillard, qui dispose d'une Ă©cole de deux classes au village, et Hodenc-l'ĂvĂȘque[1]. Cette Ă©cole devrait accueillir les 13 Ă©lĂšves de Hodenc-l'ĂvĂȘque Ă la rentrĂ©e 2016-2017, malgrĂ© l'opposition des parents concernĂ©s[33].
Afin de regrouper les deux classes, la municipalité construit en 2015 les locaux de la nouvelle école maternelle, jouxtant l'école primaire[34].
Ăconomie
Le village n'a plus de commerces de proximité, mais compte en 2016 quelques artisans (un saurisseur de truites et volailles, un couvreur, un plombier, un centre équestre, un ball-trap et un chenil)[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin de Silly, datant des XIIIe et XVIe siÚcles et inscrite aux monuments historiques[35], a subi un grave incendie le et a été restaurée de la maniÚre la plus fidÚle possible[1] . Le hameau de Tillard, implanté sur l'ancienne route de Paris, compte un riche patrimoine architectural le long de sa rue principale :
- maisons du XVe siĂšcle au XVIIIe siĂšcle en pan de bois ;
- une magnifique chapelle, dite « chantrerie » du XIVe siÚcle dédiée à saint Blaise, de la fin du gothique flamboyant[36] - [37] - [38]. Des concerts y sont parfois donnés[39] ;
- ancien manoir et ferme en brique et pierre à proximité du « Tillet »[1].
HĂ©raldique
|
Les armes de la commune se blasonnent ainsi : |
---|
Voir aussi
Bibliographie
- Maryse Bideault et Claudine Lautier, Ăle-de-France Gothique 1 : Les Ă©glises de la vallĂ©e de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 379-382
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Philippe Delattre, « Un riche patrimoine architectural : Tout savoir sur la commune de Silly-Tillard », L'Observateur de Beauvais, no 985,â , p. 20.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Silly-Tillard et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 dĂ©cembre 1999, mentionnĂ© page 6 des Statuts de la CCPT.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivitĂ©s fusionnent », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, MinistÚre de l'intérieur, .
- « Le maire veut garder le cap : Le maire Jean Vertadier sera Ă nouveau candidat aux municipales au mois de mars. En attendant la campagne, lâĂ©lu a dressĂ© le bilan de lâactuelle municipalitĂ© lors de sa cĂ©rĂ©monie des vĆux organisĂ©e samedi 18 janvier. », L'Observateur de Beauvais, no 826,â , p. 23.
- « Silly-Tillard », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Silly-Tillard (60620) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Pour deux Ă©lĂšves, lâĂ©cole serait condamnĂ©e », L'Observateur de Beauvais, no 985,â , p. 20 « AprĂšs avoir mis en garde la commune depuis des annĂ©es, lâInspection acadĂ©mique se retranche derriĂšre les chiffres. Moins de 15 Ă©lĂšves, la classe ferme et, hĂ©las, celle dâHodenc nâen compte que 13⊠Le scĂ©nario prĂ©voit de regrouper tous les Ă©lĂšves dans lâĂ©cole de Silly-Tillard, (avec lequel Hodenc LĂȘveque constitue dĂ©jĂ un RPI) ce qui suppose le regroupement des Ă©lĂšves dans une classe Ă niveaux multiples (4 Ă 5 selon les projections) ».
- « Une nouvelle Ă©cole verra le jour au printemps », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne).
- « L'église de Silly », notice no PA00114913, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Blaise de Tillard », notice no PA00114912, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Les incroyables trĂ©sors de la chapelle Saint-Blaise : La restauration de l'Ă©difice gothique a permis la dĂ©couverte de joyaux qui devraient fortement marquer l'histoire de l'art », Le Parisien vidĂ©os,â (lire en ligne) « Lors de la restauration de la chapelle Saint-Blaise de Silly-Tillard (60), des dĂ©couvertes majeures ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es en termes d'histoire de l'art ».
- « La chapelle Saint-Blaise de Silly-Tillard sera bĂ©nie par l'Ă©vĂȘque le 19 septembre », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne).
- « Des musiciens virtuoses jouent Ă la Chantrerie Sainte-Blaise », L'Observateur de Beauvais, no 941,â , p. 16 « La Chantrerie Sainte-Blaise de Silly-Tillard recevait lâensemble Reza, ce dimanche 3 avril, pour un concert trĂšs attendu, organisĂ© par lâassociation âMusique en pays de Noaillesâ ».