AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Silly-Tillard

Silly-Tillard [siji tijaʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise, en rĂ©gion Hauts-de-France.

Silly-Tillard
Silly-Tillard
La chantrerie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Jean Vertadier
2020-2026
Code postal 60430
Code commune 60620
DĂ©mographie
Population
municipale
455 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 19â€Č 31″ nord, 2° 09â€Č 35″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 227 m
Superficie 11,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chaumont-en-Vexin
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Silly-Tillard
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Silly-Tillard
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Silly-Tillard
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Silly-Tillard

    GĂ©ographie

    Village picard situé à l'extrémité sud-est du pays de Bray.

    Le territoire communal, de 11,4 km2, compte environ 20 % de bois[1].

    Hameaux et Ă©carts

    La commune compte un hameau, Ă  Tillard[1].

    Communes limitrophes

    Silly-Tillard est voisine des communes de Hodenc-l'ÉvĂȘque et de Noailles.

    Hydrographie

    La commune compte quatre cours d'eau : la source du Sillet, et les ruisseaux du Rotoir, de la Fontaine-aux-Moines et Claire-Fontaine. On comptait autrefois deux moulins Ă  eau[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 734 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944[8] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Silly-Tillard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (62,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), forĂȘts (34,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,1 %), prairies (5,1 %), zones urbanisĂ©es (2,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    Le village s'est appelé Silly-les-Tillard, Sylly, Silli, Scilly et Syliacum en 1243[1].

    Histoire

    Ancien site gallo-romain proche de Hodenc-l'EvĂȘque et de Noailles, dont on a dĂ©couvert de nombreux sarcophages dans le cimetiĂšre de la commune[1].

    Le village a dépendu du duché de Mouchy. Philippe de Noailles, premier duc de Mouchy, donna des terres en 1764 pour construire la route qui devint la RN 1 reliant Paris à Beauvais, à condition que le village traversé s'appelle Noailles, nom qui était son patronyme[1].

    Le chĂąteau fort, alors qualifiĂ© de « forteresse considĂ©rable Â» fut pris et dĂ©truit par en 1589 par les ligueurs de Beauvais, sous la direction du sieur de Brouilly. Le village fut pillĂ© et incendiĂ©. Sur les ruines du chĂąteau fut ultĂ©rieurement construit un manoir seigneurial[1].

    La commune de Silly, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1826 celle de Tillard et devient Silly-Tillard[20].

    En 1934, le village comptait quatre épiceries. Son activité économique comprenait alors un four à chaux et des ateliers de tabletterie[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noailles[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Chaumont-en-Vexin

    Intercommunalité

    La commune a adhéré en 2000 à la communauté de communes du pays de Thelle[21] (CCPT).

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s, et en particulier de la communautĂ© de communes du Pays de Thelle et de la communautĂ© de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalitĂ© de 42 communes et de 59 626 habitants[23] - [24].

    La nouvelle intercommunalitĂ©, dont est membre la commune et dĂ©nommĂ©e provisoirement communautĂ© de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du qui a pris effet le [25].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 février 2017)
    Jean Vertadier SE RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[26] - [27]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 455 habitants[Note 7], en stagnation par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    354368375409476522525525544
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    552560543506530542512455490
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    408410401354357343295299306
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    302299321371386402446460484
    2015 2020 - - - - - - -
    439455-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  28,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 30,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 224 hommes pour 221 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,2
    9,6
    75-89 ans
    6,2
    22,3
    60-74 ans
    20,4
    24,0
    45-59 ans
    23,0
    18,3
    30-44 ans
    16,8
    11,4
    15-29 ans
    15,5
    14,4
    0-14 ans
    15,9
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    En 2016, les enfants de la commune sont scolarisĂ©s dans un regroupement pĂ©dagogique intercommunal regroupant Silly-Tillard, qui dispose d'une Ă©cole de deux classes au village, et Hodenc-l'ÉvĂȘque[1]. Cette Ă©cole devrait accueillir les 13 Ă©lĂšves de Hodenc-l'ÉvĂȘque Ă  la rentrĂ©e 2016-2017, malgrĂ© l'opposition des parents concernĂ©s[33].

    Afin de regrouper les deux classes, la municipalité construit en 2015 les locaux de la nouvelle école maternelle, jouxtant l'école primaire[34].

    Économie

    Le village n'a plus de commerces de proximité, mais compte en 2016 quelques artisans (un saurisseur de truites et volailles, un couvreur, un plombier, un centre équestre, un ball-trap et un chenil)[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église.

    L'église Saint-Martin de Silly, datant des XIIIe et XVIe siÚcles et inscrite aux monuments historiques[35], a subi un grave incendie le et a été restaurée de la maniÚre la plus fidÚle possible[1] . Le hameau de Tillard, implanté sur l'ancienne route de Paris, compte un riche patrimoine architectural le long de sa rue principale :

    • maisons du XVe siĂšcle au XVIIIe siĂšcle en pan de bois ;
    • une magnifique chapelle, dite « chantrerie Â» du XIVe siĂšcle dĂ©diĂ©e Ă  saint Blaise, de la fin du gothique flamboyant[36] - [37] - [38]. Des concerts y sont parfois donnĂ©s[39] ;
    • ancien manoir et ferme en brique et pierre Ă  proximitĂ© du « Tillet »[1].

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    D’or Ă  la croix ancrĂ©e d’azur accompagnĂ©e de trois maillets renversĂ©s de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les Ă©glises de la vallĂ©e de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 379-382

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Philippe Delattre, « Un riche patrimoine architectural : Tout savoir sur la commune de Silly-Tillard », L'Observateur de Beauvais, no 985,‎ , p. 20.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Silly-Tillard et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    21. ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 dĂ©cembre 1999, mentionnĂ© page 6 des Statuts de la CCPT.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    24. D. L., « Oise : six collectivitĂ©s fusionnent », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    25. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, MinistÚre de l'intérieur, .
    26. « Le maire veut garder le cap : Le maire Jean Vertadier sera Ă  nouveau candidat aux municipales au mois de mars. En attendant la campagne, l’élu a dressĂ© le bilan de l’actuelle municipalitĂ© lors de sa cĂ©rĂ©monie des vƓux organisĂ©e samedi 18 janvier. », L'Observateur de Beauvais, no 826,‎ , p. 23.
    27. « Silly-Tillard », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Silly-Tillard (60620) », (consultĂ© le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
    33. « Pour deux Ă©lĂšves, l’école serait condamnĂ©e », L'Observateur de Beauvais, no 985,‎ , p. 20 « AprĂšs avoir mis en garde la commune depuis des annĂ©es, l’Inspection acadĂ©mique se retranche derriĂšre les chiffres. Moins de 15 Ă©lĂšves, la classe ferme et, hĂ©las, celle d’Hodenc n’en compte que 13
 Le scĂ©nario prĂ©voit de regrouper tous les Ă©lĂšves dans l’école de Silly-Tillard, (avec lequel Hodenc LĂȘveque constitue dĂ©jĂ  un RPI) ce qui suppose le regroupement des Ă©lĂšves dans une classe Ă  niveaux multiples (4 Ă  5 selon les projections) ».
    34. « Une nouvelle Ă©cole verra le jour au printemps », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    35. « L'église de Silly », notice no PA00114913, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. « Chapelle Saint-Blaise de Tillard », notice no PA00114912, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. « Les incroyables trĂ©sors de la chapelle Saint-Blaise : La restauration de l'Ă©difice gothique a permis la dĂ©couverte de joyaux qui devraient fortement marquer l'histoire de l'art », Le Parisien vidĂ©os,‎ (lire en ligne) « Lors de la restauration de la chapelle Saint-Blaise de Silly-Tillard (60), des dĂ©couvertes majeures ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es en termes d'histoire de l'art ».
    38. « La chapelle Saint-Blaise de Silly-Tillard sera bĂ©nie par l'Ă©vĂȘque le 19 septembre », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    39. « Des musiciens virtuoses jouent Ă  la Chantrerie Sainte-Blaise », L'Observateur de Beauvais, no 941,‎ , p. 16 « La Chantrerie Sainte-Blaise de Silly-Tillard recevait l’ensemble Reza, ce dimanche 3 avril, pour un concert trĂšs attendu, organisĂ© par l’association “Musique en pays de Noailles” ».
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.