Serviers-et-Labaume
Serviers-et-Labaume est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie.
Serviers-et-Labaume | |
Église romane Saint-Martin de Serviers | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Uzès |
Maire Mandat |
Francis Mazier 2020-2026 |
Code postal | 30700 |
Code commune | 30319 |
Démographie | |
Population municipale |
627 hab. (2020 ) |
Densité | 51 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 02′ 19″ nord, 4° 21′ 21″ est |
Altitude | Min. 94 m Max. 271 m |
Superficie | 12,22 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Uzès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Uzès |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Bourdic, le Les Seynes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Serviers-et-Labaume est une commune rurale qui compte 627 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès. Ses habitants sont appelés les Serviérois ou Serviéroises.
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rouvière », sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986[6] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 22 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14].
La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15] - [16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : la « forêt de Massargues » (268 ha), couvrant 2 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [17] : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[19].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Serviers-et-Labaume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [20] - [I 1] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,6 %), terres arables (14 %), cultures permanentes (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,3 %), zones urbanisées (4,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Serviers-et-Labaume est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Bourdic et Les Seynes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1991, 1993, 1994, 1997, 1998, 2002, 2005 et 2014[25] - [23].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 295 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 294 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Serviers-et-Labaume est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].
Histoire
En 1815, les communes de Serviers et Labaume fusionnait pour former la commune actuelle[30].
Héraldique
Blason | Parti de gueules et d'azur au pont de deux arches d'argent brochant sur le tout, à la champagne du même chargée d'une fasce ondée alésée aussi d'azur. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2020, la commune comptait 627 habitants[Note 8], en augmentation de 6,81 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Avant la fusion des communes en 1815, la population de Labaume était : 50 en 1793, 56 en 1800, 50 en 1806[35].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 232 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 571 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 740 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,2 % | 8,3 % | 10,4 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 356 personnes, parmi lesquelles on compte 72,8 % d'actifs (62,4 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 27,2 % d'inactifs[Note 10] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Uzès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 86 en 2013 et 70 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 226, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7 %[I 10].
Sur ces 226 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 47 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
64 établissements[Note 11] sont implantés à Serviers-et-Labaume au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 64 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 5 | 7,8 % | (7,9 %) |
Construction | 20 | 31,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 15 | 23,4 % | (30 %) |
Information et communication | 2 | 3,1 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 3,1 % | (3 %) |
Activités immobilières | 3 | 4,7 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 15,6 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 4,7 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 4 | 6,3 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 64 entreprises implantées à Serviers-et-Labaume), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[36] :
- Les Mille Senteurs, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire non spécialisé (734 k€)
- Nogueira Poeles Et Cheminees, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (279 k€)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (18 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 340 ha[39] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Parmi les nombreuses propriétés de la commune, il en est une qui possède une place particulière dans le cœur des habitants. Il s'agit sans conteste de la belle propriété des Seeger, citoyens helvètes qui y vécurent tant d'années lors desquelles ils redorèrent le blason de cette bourgade provençale. Ils cédèrent leur biens à des inconnus en l'an de grâce 2012.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Serviers-et-Labaume » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Serviers-et-Labaume » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Serviers-et-Labaume » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Serviers-et-Labaume » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Rouvière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Serviers-et-Labaume et La Rouvière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Rouvière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Serviers-et-Labaume et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
- « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Serviers-et-Labaume », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Massargues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Serviers-et-Labaume », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Serviers-et-Labaume », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=36253
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=2986
- « Entreprises à Serviers-et-Labaume », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Serviers-et-Labaume - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :