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Sanguinet

Sanguinet est une commune du Sud-Ouest de la France, membre de la Communauté de communes des Grands Lacs, située dans le canton de Parentis-en-Born du département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine). Elle appartient au Pays de Born.

Sanguinet
Sanguinet
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes des Grands Lacs
Maire
Mandat
Christophe LabruyĂšre
2020-2026
Code postal 40460
Code commune 40287
DĂ©mographie
Gentilé Sanguinetois(es)
Population
municipale
4 487 hab. (2020 en augmentation de 22,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 55 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 29â€Č 06″ nord, 1° 04â€Č 23″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 45 m
Superficie 81,43 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Sanguinet
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton des Grands Lacs
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Sanguinet
Liens
Site web http://www.ville-sanguinet.fr/

    Ses habitants sont appelés les Sanguinetois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans le pays de Born au nord des Landes et au nord-ouest de Mont-de-Marsan. Elle est limitrophe du département de la Gironde.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Gujan-Mestras, Lugos, Salles, Le Teich, La Teste-de-Buch et Biscarrosse.

    Hydrographie

    Elle est traversée par la Gourgue dont le lit est à l'origine du lac de Cazaux-Sanguinet. Ce fleuve cÎtier de jadis, se jetant directement dans l'océan Atlantique, a vu son embouchure se fermer au fur et à mesure des siÚcles par la formation de dunes, créant ainsi le plus grand des étangs landais, situé entre 20 et 21 mÚtres au-dessus du niveau de la mer. Cette montée des eaux a piégé des villages, de nombreux objets et des pirogues monoxyles qui font l'objet des études du CRESS (centre de recherches et d'études sublacustres de Sanguinet) et des expositions du musée archéologique municipal.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 034 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pissos », sur la commune de Pissos, mise en service en 1951[8] et qui se trouve Ă  31 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 023,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  80 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Sanguinet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Sanguinet, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 4 487 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    La commune, bordĂ©e par un plan d’eau intĂ©rieur d’une superficie supĂ©rieure Ă  1 000 hectares, le lac de Cazaux et de Sanguinet, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (73,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (37,9 %), forĂȘts (34,9 %), eaux continentales[Note 6] (18,9 %), zones urbanisĂ©es (4,9 %), terres arables (1,7 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,3 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sanguinet est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].

    Risques naturels

    Sanguinet est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[29] - [30].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sanguinet.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 232 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2003, 2009, 2013 et 2014 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013 et par des mouvements de terrain en 1999.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[33].

    Toponymie

    AttestĂ©e initialement, avant d'ĂȘtre submergĂ© par les eaux, sous la forme Losa ou Louse, reconstruit, un peu plus au sud, sous un nouveau nom, Sanguineto en 1296 puis en occitan SanguinĂšde en 1305.

    Malgré des mentions fantaisistes Senct-Guinet en 1478 et Senguillet en 1577 par Agrippa d'Aubigné[34], ce nom vient du mot gascon sanguin signifiant "cornouiller", suffixé en -et(a) pour indiquer un collectif végétal.
    C'est un "lieu oĂč il y a des cornouillers".

    Histoire et Économie

    Sanguinet est le quatriĂšme village implantĂ©, au fil du temps, Ă  peu prĂšs au mĂȘme endroit. PeuplĂ© longtemps d'une centaine de villageois. Le premier village Ă©tait implantĂ© prĂšs du lac, au franchissement de la Gourgue, une petite riviĂšre qui alimente le lac: il fut submergĂ© par la montĂ©e des eaux ; Ă  l'Ă©poque romaine, on le trouve appelĂ© Losa. Il fait partie alors du Bogensis Pagus avec Cazaux et La Teste-de-Buch.

    Depuis le XIe siĂšcle, Sanguinet est une Ă©tape du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, sur la voie littorale.

    Sanguinet figure sur la carte de Cassini concernant le diocĂšse de Bazas et, si le bourg actuel n’apparaĂźt pas sur la carte[Note 7] certains 'quartiers"' Ă©taient dĂ©jĂ  mentionnĂ©s Ă  cette Ă©poque : MĂ©oule, Louze, ...

    En 1731 Mgr de Maniban, archevĂȘque de Bordeaux, entreprend une tournĂ©e pastorale dans l'archiprĂ©trĂ© de Buch et Born. cette tournĂ©e l'amĂšne Ă  Sanguinet le 30 avril 1731 et un procĂšs-verbal de cette visite[35] est rĂ©digĂ© par un des membres de sa suite. Ce procĂšs-verbal est mis en forme par la sociĂ©tĂ© de Borda en 1975 sous forme d'une petite monographie de 8 pages[36]. on y apprend que le village ne comportait que 68 maisons, dont 3 seulement (dont le presbytĂšre) pour le bourg (ainsi nommĂ© parce que c'est lĂ  que se situait l'Ă©glise) et que certains quartiers actuels existaient dĂ©jĂ  : Once, Le BougĂšs, Beyriques, Louze et MĂ©oule. Également lagnereau avec une orthographe diffĂ©rente ainsi que probablement (illisibles) les quartiers actuels des Quatre-vents et de Souays.

    Jadis rurale et pastorale, l’économie locale a profitĂ© de l'essor de la sylviculture puis de la crĂ©ation Ă  Biscarrosse du Centre d'essai des Landes qui, outre l'apport pour les commerces de l'implantation rĂ©sidentielle dans le canton de nombreux spĂ©cialistes civils et militaires, a recrutĂ© localement pour des emplois Ă  faible niveau de qualification (chauffeurs, magasiniers, entretien bĂątiments, etc.).

    La découverte de pétrole à Parentis a également généré un certain nombre d'emplois qui, pour certains, se sont pérennisés ensuite sur des champs pétrolifÚres à l'étranger.

    Au niveau de la commune, l'entreprise Lanusse d'exploitation forestiĂšre et de sciage, fondĂ©e en 1941 par Émile Lanusse, a Ă©tĂ© jusqu’à sa cessation d'activitĂ© en avril 1997, le plus gros employeur de la commune et, pour certains habitants sans qualifications, une providentielle possibilitĂ© d'emploi.

    Et dans les bùtiments de l'ancienne usine à gemme Dupont (actuellement 'Espace Gemme') le groupe Marcel Dassault a implanté pendant des années des ateliers qui fabriquaient des maquettes d'avion (à échelle :1) pour des tests en soufflerie.

    L’économie locale est aujourd’hui fortement marquĂ©e par le secteur tertiaire, tourisme et services devenant les principaux employeurs.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    ÉvĂ©nement : par dĂ©cret rendu en conseil des ministres en 1890, le conseil municipal de Sanguinet est dissous, le dĂ©cret constate que le conseil municipal Ă©tant divisĂ© en deux fractions opposĂ©es et numĂ©riquement Ă©gales, aucune des affaires soumises Ă  cette assemblĂ©e ne peut aboutir.(rĂ©f. "Le Temps" 2 avril 1890)

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    10 février 1793 24 brumaire an IV (15 novembre 1795) Pierre Dalbos
    24 brumaire an IV (15 novembre 1795) germinal an VI (avril 1798) Etienne Dupuy
    germinal an VI (avril 1798) prairial an XIII (juin 1805) François Dejean
    prairial an XIII (juin 1805) décembre 1811 Pierre Dupuch forgeron
    décembre 1811 23 novembre 1824 [38] Jean Labarthe négociant
    janvier 1825 entre février et mai 1833 Pierre Labarthe percepteur, fils du précédent
    entre février et mai 1833 novembre 1848 Jean Gamet meunier
    novembre 1848 janvier 1865 Nicolas Gamet meunier, fils du précédent
    janvier 1865 septembre 1865 Jean Dubos
    septembre 1865 30 avril 1871 Nicolas Gamet meunier
    30 avril 1871 janvier 1872 Étienne Dupont
    janvier 1872 janvier 1876 Jean Dubos propriétaire
    janvier 1876 février 1881 Barthélémy Triscos marchand
    février 1881 mai 1888 Pierre Jeanti Dupuy
    mai 1888 mai 1890 Pierre Berran
    mai 1890 mai 1892 Barthélémy Triscos
    mai 1892 mai 1896 Jean Octave Dubos
    mai 1896 mai 1900 Barthélémy Triscos
    mai 1900 mai 1904 Pierre Dupuy
    mai 1904 mai 1912 Urbain Triscos
    mai 1912 1915 Gaston Dupont
    1915 mai 1919 Pierre Dupont
    mai 1919 1935 René Dubos
    1935 1941 Charles Castets
    1941 1965 Émile Lanusse dirigeant de sociĂ©tĂ© (exploitation sylvicole)
    1965 1971 Jean-Pierre Dubos Médecin généraliste
    1971 1977 GeneviÚve Dubos sans profession, épouse du précédent
    mars 1977 mars 1983 Marc Lanusse dirigeant de société (exploitation sylvicole)
    mars 1983 mars 2008 Michel Etchar RPR puis UMP Ingénieur retraité
    mars 2008 [39] Gilles Laborde PS Directeur d'école retraité
    Henry Giloteaux SE Président d'une délégation spéciale[40]
    mars 2014 Bernard Laine PS
    mars 2014 juillet 2017 Fabien Lainé UDI puis MoDem Gérant de société
    Démissionne aprÚs avoir été élu député en 2017
    juillet 2017 mai 2020 Raphaëlle Miremont[41] Cadre dans le secteur du tourisme ;
    1Úre adjointe du maire démissionnaire[42]
    mai 2020 En cours Christophe LabruyÚre MoDem[43] Remplace Fabien Lainé, député[44].
    Conseiller départemental depuis 2021

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[46]. En 2020, la commune comptait 4 487 habitants[Note 8], en augmentation de 22,76 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6926257158799129059609861 080
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0401 0791 1921 2041 1671 1111 1651 2361 253
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2941 1781 1841 0641 0671 0361 0261 0521 047
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1301 3341 3641 3681 6951 9822 8953 0263 504
    2017 2020 - - - - - - -
    4 1854 487-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau d'eau du centre-ville mis en service en 1953 et dĂ©moli en octobre 2015. Ce chĂąteau d'eau et son puits d'alimentation avaient Ă©tĂ© construits avec un lavoir. À son sommet, un poste de guet fut rajoutĂ© lors de sa construction pour assurer en Ă©tĂ© la surveillance au risque feu du massif forestier. Un rĂ©seau d'adduction d'eau potable avait Ă©tĂ© ensuite construit pour desservir depuis le chĂąteau d'eau les habitations du centre-ville. Cet Ă©quipement d'environ 40 m d'Ă©lĂ©vation, dĂ©sactivĂ© pour la fourniture de l'eau potable aprĂšs la rĂ©alisation du chĂąteau d'eau de l'Aiguille continua Ă  servir comme poste de surveillance (jusqu'au dĂ©but des annĂ©es 2000) et pour l'arrosage des espaces verts de la commune. Il fut aussi un temps support des antennes de tĂ©lĂ©phonie mobile de deux opĂ©rateurs avant leurs dĂ©poses par principe de prĂ©caution (l'implantation du chĂąteau d'eau Ă©tant Ă  proximitĂ© immĂ©diate de l'Ă©cole communale). Sur la tour de guet, une sirĂšne permettait avant l'avĂšnement des moyens de communication mobiles d'alerter les pompiers volontaires lors des sinistres. Cette sirĂšne aprĂšs rĂ©habilitation devrait ĂȘtre installĂ©e sur la nouvelle Ă©cole Ă©lĂ©mentaire comme moyen d'alerte de la population.
    • Église Saint-Sauveur de Sanguinet : Ă©glise construite dans un style nĂ©oroman entre 1853 et 1856 par les architectes Jules Sibien et Layrolle et l'entrepreneur Ferran. Pour la construction de cette nouvelle Ă©glise, l'ancienne tombant en ruine, la commune bĂ©nĂ©ficia d'un concours du Conseil GĂ©nĂ©ral des Landes de 5 000 fr. Pour information, les travaux de l'Ă©glise de Peyrehorade construite Ă  la mĂȘme Ă©poque s'Ă©levaient Ă  80 000 fr. Son clocher a fortement souffert lors de la tempĂȘte de 2009, la partie supĂ©rieure de sa flĂšche en pierre a dĂ» ĂȘtre reconstruite avec la mise en place d'un nouveau coq sur sa girouette.
    • MusĂ©e archĂ©ologique municipal.
    • Les trois sources saintes (hount sant en gascon)[49] du sentier de la Gourgue[50].
    • Villa du Lac - La ou une des premiĂšres rĂ©sidences secondaires de Sanguinet, propriĂ©tĂ© en 1928 (rĂ©fĂ©rence "Annuaire des chĂąteaux et des villĂ©giatures") du comte LĂ©onard de Mezamat de Lisle (1874-1948) et de la comtesse Antonie nĂ©e Arnoulx de Pirey (1881-1950), habitant au chĂąteau de MaisiĂšres Ă  MaisiĂšres-Notre-Dame dans le Doubs. Le comte (famille de Castelsarrazin - officier de cavalerie) possĂ©dait une Ă©curie de course et faisait courir ses chevaux en avril Ă  l'hippodrome du Becquet (1904-1912 rĂ©fĂ©rences "l'Avenir d'Arcachon").
    • Hache polie en silex Ă©quarrie dĂ©couverte Ă  Sanguinet lors de la rĂ©alisation d'une tranchĂ©e et dĂ©posĂ©e au musĂ©e de Bordeaux en 1899. Outil robenhausien (c’est-Ă -dire de l’époque nĂ©olithique soit environ 2000 ans av. J.-C.).

    ÉvĂ©nements

    • En 1577, durant les guerres de Religion, un combat a lieu Ă  proximitĂ© de Sanguinet entre des troupes protestantes et des ligueurs Dacquois et Bayonnais. Cet Ă©vĂ©nement est citĂ© par Agrippa d'AubignĂ© (chef protestant) dans son "Histoire_universelle" Tome 5, annĂ©es 1576-1579 ; dans les pages 251 Ă  253[34]. Une fois vainqueurs les soldats protestants appliquĂšrent Ă  leurs prisonniers le sort que leurs villes respectives avaient appliquĂ©es Ă  leurs concitoyens protestants : les Dacquois furent exĂ©cutĂ©s en rĂ©ponse au massacre des protestants de Dax et les Bayonnais relĂąchĂ©s pour avoir permis aux protestants de leur ville de la quitter sains et saufs.
    • Le 2 avril 1790 est tenu en l'Ă©glise de Sanguinet (seul bĂątiment apte Ă  contenir la totalitĂ© de la population et "lieu ordinaire des assemblĂ©es") le 1er conseil municipal de la commune nouvellement crĂ©Ă©e par dĂ©cret de l'AssemblĂ©e Nationale portant crĂ©ation des municipalitĂ©s. Sont Ă©lus Martin Dalbos (maire), Jean Dupuch (premier officier municipal) et Jean Dupuy (second officier municipal). le procĂšs-verbal est dressĂ© par maĂźtre Étienne Turpin, notaire et maire de la Teste de Buch[Note 9].
      procÚs-verbal de la premiÚre réunion du conseil municipal de Sanguinet le 2 avril 1790 (élection du maire et des officiers municipaux)
    • Le 11 frimaire An 10 (2 dĂ©cembre 1801) un ouragan dĂ©vaste la commune de Sanguinet. 54 bergeries dissĂ©minĂ©es sur la lande sont dĂ©truites, les animaux Ă©crasĂ©s par les dĂ©bris. Aucun mort n'est Ă  dĂ©plorer mais de nombreuses habitations sont dĂ©truites et inondĂ©es.
    • Des Ă©pidĂ©mies d'angine couenneuse frappent Sanguinet de 1853 Ă  1859, Ă  cette Ă©poque la commune compte un peu plus de 1 000 habitants...
    • Mise en place du service postal quotidien au 1er octobre 1862, le bureau de poste de Sanguinet sera crĂ©Ă© en 1887.
    • Le 16 septembre 1884, atterrissage d'un dirigeable le Britannia (2 000 m3) pilotĂ© par sir C.S. Rolls. Celui-ci participait Ă  un concours de ballon organisĂ© par l'AĂ©ro-club belge. DĂ©part de Bruxelles le dimanche Ă  17 h 43 et posĂ© le lundi Ă  18 h 06 Ă  Sanguinet aprĂšs avoir franchi 840 km.
    • Plage du Pavillon que Roland LecavelĂ©, dit Roland DorgelĂšs (journaliste et Ă©crivain français, membre de l'AcadĂ©mie Goncourt de 1929 Ă  1973) apprĂ©ciait lors de ses sĂ©jours Ă  Arcachon dans les annĂ©es 1920.
    • En 1920 installation des premiers appareils tĂ©lĂ©phoniques, les 20 numĂ©ros de la 1Ăšre tranche sont tout attribuĂ©s Ă  des commerçants (bouchers, Ă©piciers, hĂŽtels-restaurants, dĂ©bit de boissons, ... ), le 01 et le 04 sont Ă  ce jour (juillet 2021) toujours attribuĂ©s aux mĂȘmes familles (descendants des premiers abonnĂ©s), et le 04 n'a mĂȘme pas changĂ© de maison).

    Personnalités liées à la commune

    • Paul CAPDEVIELLE[51], chercheur autodidacte devenu en 1979 (Ă  plus de 50 ans) docteur en phytobiologie, avec une thĂšse de doctorat sur la recherche Ă©cologique et systĂ©matique du phytoplancton du plan d’eau de Cazaux-Sanguinet soutenue Ă  l’universitĂ© de Bordeaux. A consacrĂ© sa vie Ă  la recherche scientifique, la protection de l’environnement et l’archĂ©ologie, en fondant, notamment le Cress en 1976, regroupant archĂ©ologues, historiens, hydrobiologistes, botanistes et Ă©cologistes.

    Il a également été président du Sanguinet Athlétic Club rugby, club omnisports comprenant plusieurs sections : rugby, ball-trap, volley-ball, ping-pong, pétanque, athlétisme et tennis.

    C’est Ă  lui que l’on doit aussi la fondation du judo, en 1968. Paul Capdevielle a Ă©galement Ă©tĂ© secrĂ©taire des Associations agrĂ©Ă©es de pĂȘche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) des Landes, prĂ©sident-fondateur de la Sepanso du dĂ©partement, membre fondateur du centre Jean-Rostand et membre du conseil scientifique du Parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne.

    • Roger (jean) LABAT, rĂ©sistant mort en dĂ©portation le 26 mai 1945 Ă  Dachau[52] Ă  23 ans, le stade de rugby porte son nom.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. comme le mentionne la monographie de la SociĂ©tĂ© de Borda le bourg de l'Ă©poque ne comprenait que 3 maisons, il est donc logique que les cartes de Cassini ne le mentionnent pas et rĂ©fĂ©rencent plutĂŽt des quartiers dont le nombre d'habitations devait ĂȘtre plus important (68 en tout).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. ce procÚs-verbal est conservé aux archives départementales des Landes, à Mont de Marsan
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pissos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sanguinet et Pissos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pissos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sanguinet et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Sanguinet », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
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    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    27. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sanguinet », sur Géorisques (consulté le )
    28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    29. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    30. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    31. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    34. Agrippa d'Aubigné, Histoire universelle, BNF, fond Gallica (lire en ligne), Tome 5, années 1576 à 1579, pages 251 à 253
    35. Archives de la Gironde, cote G651
    36. Jacques Ragot, La paroisse de Sanguinet en 1731, Aire sur Adour, imprimerie Castay, , 8 p.
    37. « Les anciens Maires de Sanguinet », sur annuaire-mairie.fr, Advercity (consulté le ).
    38. décÚs du maire dans le registre d'état civil
    39. DĂ©mission de l'ensemble du conseil municipal : le maire ayant Ă©tĂ© mis en minoritĂ©, les Ă©lus ont acceptĂ© le principe d’une dĂ©mission en bloc pour mettre un terme Ă  une situation de blocage.
    40. Le PrĂ©fet des Landes, constatant la dĂ©mission de l'ensemble des conseillers municipaux, a instituĂ© une dĂ©lĂ©gation spĂ©ciale chargĂ©e de gĂ©rer les affaires de la commune jusqu’à ce que le nouveau conseil municipal soit Ă©lu. Celle-ci est composĂ©e de le Colonel Henry Giloteaux, retraitĂ© de la Gendarmerie Nationale, Marie Debaig, Directrice de PrĂ©fecture en retraite, et Gilbert Tarozzi, SecrĂ©taire administratif Ă  la PrĂ©fecture des Landes.
    41. « Sanguinet (40) : Raphaëlle Miremont élue sans surprise », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    42. « Landes : qui est Fabien Lainé, le nouveau député de la premiÚre circonscription », sur francebleu.fr, (consulté le ).
    43. « Élections municipales et communautaire 2020 : Landes (40) - Sanguinet », sur elections.interieur.gouv.fr (consultĂ© le ).
    44. Francis Nin, « Sanguinet (40) : Christophe LabruyÚre élu maire sans surprise », sur Sud Ouest, (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    49. « Chiffons au bord de sources ou sur les buissons et sou dans la main des morts », sur france-pittoresque.com, La France pittoresque, (consulté le ).
    50. « Sanguinet destination nature : Le sentier de la Gourgue » [PDF], sur sanguinet.com, Office du tourisme de Sanguinet (consulté le ).
    51. Francis NIN, « La Nuit des musĂ©es rend hommage Ă  un chercheur », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne)
    52. « liste alphabétique des morts dans les camps », sur www.lesmortsdanslescamps.com (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

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