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Sainville

Sainville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Sainville
Sainville
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur de Beauce
Maire
Mandat
Jean-Marc Dupré
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28363
DĂ©mographie
Population
municipale
1 021 hab. (2020 en augmentation de 0,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 47 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 24â€Č 58″ nord, 1° 52â€Č 50″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 161 m
Superficie 21,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Auneau
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Sainville
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Sainville
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Sainville
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Sainville
Liens
Site web http://www.mairie-sainville.com

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Sainville dans son arrondissement.
      Sainville dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Sainville.
      Carte de la commune de Sainville.

    Communes et départements limitrophes

    Hameaux et Ă©carts

    Sortie de Boulonville par la RD 11613.
    Sortie de Boulonville par la RD 11613.

    Boulonville, Manterville, Le ChĂȘne, Le ChĂȘne Viel.

    Voies de communication et transports

    Entrée de Sainville par la route départementale 24.
    Entrée de Sainville par la route départementale 24.
    Entrée de Sainville par la route départementale 17.
    Entrée de Sainville par la route départementale 17.

    Voies de communication

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 648 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1953 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records SAINVILLE (28) - alt : 152 m 48° 24â€Č 12″ N, 1° 54â€Č 06″ E
    Records établis sur la période du 01-11-1953 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,5 2,5 4,1 7,7 10,3 12,3 12,3 9,5 7 3,4 1,3 6
    Température moyenne (°C) 3,5 4,1 7,2 9,7 13,5 16,5 19 18,9 15,5 11,7 6,8 4 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,7 12 15,4 19,2 22,7 25,6 25,5 21,5 16,3 10,3 6,7 15,8
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19,4
    17.01.1985
    −15,3
    07.02.12
    −11,2
    07.03.1971
    −10,1
    08.04.1958
    −1,2
    03.05.1967
    0,6
    05.06.1991
    4,6
    04.07.1984
    3,7
    31.08.1986
    1
    19.09.1977
    −4,6
    30.10.1985
    −12
    30.11.10
    −13,6
    29.12.1964
    −19,4
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,8
    27.01.03
    21
    27.02.19
    26
    31.03.21
    29,5
    20.04.18
    32,3
    07.05.1976
    37
    29.06.19
    42,9
    25.07.19
    40,3
    12.08.03
    35
    15.09.20
    30,1
    01.10.1985
    21
    07.11.15
    17,5
    09.12.1961
    42,9
    2019
    Précipitations (mm) 53,2 45,9 49,8 49,5 63,4 50 58,8 49,8 50 65 57,7 62,5 655,6
    Source : « Fiche 28363001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Sainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (96,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisĂ©es (3 %), forĂȘts (1,3 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainville est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[14]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Cloche et le ruisseau de l'Ancien Ă©tang de Pot de Vin. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999[16] - [14].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainville.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 9,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 401 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 19 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 5 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[18].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Segetis [Segenis] villa en 1084[19] ; Sainvilla, vers 1130[20] ; Sainville en Beauce en 1380[21] ; Sainville en 1391[22] ; Sainville en 1394[23] ; Sainville en 1401[24] ; Sainville en 1545[25] ; Sainville en 1740[26] ; Sainville au XVIIIe siĂšcle (Carte de Cassini).

    Étymologie

    Formation mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est prĂ©cĂ©dĂ© du nom de personne d’origine germanique. La forme Segetis [Segenis] villa en 1084, c’est-Ă -dire « “domaine”, villa, de la “rĂ©colte” », est une latinisation mĂ©diĂ©vale de la forme romane incomprise ou une erreur de graphie.

    Histoire

    Époque contemporaine

    Vue de l'ancienne plateforme du chemin de fer peu avant la gare de Sainville, envahie par la végétation.
    Vue de l'ancienne plateforme du chemin de fer peu avant la gare de Sainville, envahie par la végétation.

    XXe siĂšcle

    Entre le et le , plus de 2 000 rĂ©fugiĂ©s espagnols fuyant l'effondrement de la rĂ©publique espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de LucĂ© et la prison de ChĂąteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis Ă  contribution[27], dont Sainville[28]. Les rĂ©fugiĂ©s, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont dĂ©sarmĂ©s et retenus dans le sud de la France), sont soumis Ă  une quarantaine stricte, vaccinĂ©s, le courrier est limitĂ©, le ravitaillement, s'il est peu variĂ© et cuisinĂ© Ă  la française, est cependant assurĂ©[29]. Une partie des rĂ©fugiĂ©s rentrent en Espagne, incitĂ©s par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en dĂ©cembre, 922 ont prĂ©fĂ©rĂ© rester et sont rassemblĂ©s Ă  Dreux et LucĂ©[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Denise Billarant-Dauphin
    mars 2008 juillet 2020 Martine Baldy SE Assistante sociale
    juillet 2020 En cours Jean-Marc Dupré

    Population et société

    DĂ©mographie

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    539532602647528574565579583
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    638617589581586574584626674
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    655654647633648665663703571
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    561584592627895942942942992
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0121 021-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Agriculture : productions cĂ©rĂ©aliĂšres et stockage en silos;
    • Industrie : usine Bostik, The Adhesive Company.
    • Économie
    • EntrĂ©e de Sainville.
      Entrée de Sainville.
    • Silos agricoles.
      Silos agricoles.
    • Champ et usine Bostik.
      Champ et usine Bostik.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre

    L'Ă©glise Saint-Pierre date des XIIe et XVIe siĂšcles.

    Son beffroi abrite une cloche de 1549, classée au titre d'objet monument historique[33] - [34].

    • Église Saint-Pierre
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Musée Farcot

    Philanthrope, EugĂšne Farcot lĂšgue Ă  la commune de Sainville la somme de 80 000 francs[35] afin de mener Ă  bien le projet d'une vie : Ă©difier un monument Ă  la mĂ©moire du couple qu'il formait avec Pauline Leblond[36]. Un cartouche d'alliance des deux familles orne Ă  juste titre la tour carrĂ©e.

    La commune de Sainville est tenue de respecter quatre conditions dans l'acceptation du legs en rĂ©servant l'accueil d'un mĂ©decin, la mise en place du musĂ©e et des logements, ainsi qu'un poste-vigie nĂ©cessaire Ă  l'exercice des sapeurs-pompiers Ă©voquĂ©s au travers du symbole de la salamandre[37]. Le programme architectural est confiĂ© Ă  M. Émile Vaillant, architecte en chef du dĂ©partement d'Eure-et-Loir, qui s'inspire de deux dessins de la main d'EugĂšne Farcot. Sinon, la dĂ©coration se voit remise entre les mains de Paul Vaillant qui signe de son nom la mosaĂŻque Ă  la salamandre.

    Mort en 1896[38], EugĂšne ne verra pas la concrĂ©tisation de son Ɠuvre dont l'achĂšvement, inscrit sur la façade, est datĂ© « Anno 1901 ». Son gendre et exĂ©cuteur testamentaire, Henri Wandenberg, s'emploie Ă  la rĂ©alisation de l'horloge monumentale et de la boussole qu'il signe de son nom. C'est Ă  lui que revient le privilĂšge d'inaugurer le musĂ©e Farcot en 1903. PrivĂ© d'hĂ©ritiers directs par la mort de ses deux enfants, Charles et Marguerite, EugĂšne Farcot fait vƓu de postĂ©ritĂ© en laissant derriĂšre lui ce musĂ©e accessible Ă  tous.

    Le musĂ©e obtient la distinction « MusĂ©e de France » par arrĂȘtĂ© du [39] - [40].

    Le musĂ©e Farcot est crĂ©Ă© le [40] et ouvre les portes de son cabinet de curiositĂ©s en octobre 2016[41]. Horloger et globe-trotter, EugĂšne Farcot lĂšgue Ă  la commune de Sainville une collection oĂč sciences, techniques, Beaux-Arts et archĂ©ologie se cĂŽtoient.

    • MusĂ©e Farcot
    • Façade du musĂ©e.
      Façade du musée.
    • Horloge de la tour.
      Horloge de la tour.
    • EntrĂ©e de la tour.
      Entrée de la tour.
    • Girouette du fronton.
      Girouette du fronton.
    • Mascaron d'Éole.
      Mascaron d'Éole.
    • MosaĂŻques du 1er Ă©tage
    • AllĂ©gorie du printemps.
      Allégorie du printemps.
    • AllĂ©gorie de l'Ă©tĂ©.
      Allégorie de l'été.
    • AllĂ©gorie de l’automne.
      AllĂ©gorie de l’automne.
    • AllĂ©gorie de l'hiver.
      Allégorie de l'hiver.
    • MosaĂŻque de la salamandre.
      MosaĂŻque de la salamandre.

    Autres lieux et monuments

    Le chĂąteau d'eau.
    Le chĂąteau d'eau.
    • Monument aux morts ;
    • ChĂąteau d'eau.

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Poussepin

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 28363001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    14. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainville », sur Géorisques (consulté le )
    15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    19. Archives départementales d'Eure-et-Loir-G, chapitre Notre-Dame de Chartres.
    20. BibliothÚque nationale de France- Ms Latin 11.063, Cartulaire Saint-Jean-en-Vallée de Chartres.
    21. Archives nationales-JJ 116, no 140, fol. 82).
    22. Archives nationales-JJ 140, no 117, fol. 152.
    23. Archives nationales-JJ 146, no 258, fol. 137.
    24. Archives nationales-JJ 156, no 189, fol. 115.
    25. Cartulaire de Saint-Denis en France, LL 1158, t. II, fol.32.
    26. BibliothĂšque municipale d’OrlĂ©ans, Manuscrit 995, fol. 229.
    27. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    28. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    29. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
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