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Sainte-Feyre

Sainte-Feyre est une commune française située dans le centre du département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est limitrophe de Guéret, chef-lieu et commune la plus peuplée du département.

Sainte-Feyre
Sainte-Feyre
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Guéret
Maire
Mandat
Franck RĂ©jaud
2020-2026
Code postal 23000
Code commune 23193
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Feyrois
Population
municipale
2 493 hab. (2020 en augmentation de 0,93 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 83 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 08â€Č 20″ nord, 1° 54â€Č 57″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 662 m
Superficie 29,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guéret-1
LĂ©gislatives Circonscription unique
Localisation
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Sainte-Feyre
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Sainte-Feyre
Liens
Site web www.saintefeyre.fr/

    GĂ©ographie

    Sainte-Feyre se situe dans le centre-ouest du département de la Creuse, située juste à l'est de Guéret dont elle est limitrophe. Le territoire communal est bordé au nord-est par la riviÚre Creuse et traversé par son affluent le Cherpont, également appelé ruisseau de la Pisciculture.

    La commune est traversée au nord par la route nationale 145 (liaison entre Guéret et Montluçon) alors en 2x2 voies et par la route départementale 942 qui traverse le centre du village et le relie à Guéret.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 037 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gueret Bongeot », sur la commune de GuĂ©ret, mise en service en 1975[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 023,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et Ă  61 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  11,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Feyre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de GuĂ©ret, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (64,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (33,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28 %), forĂȘts (27,4 %), zones urbanisĂ©es (9,2 %), terres arables (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Feyre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Creuse et le Cherpont. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Feyre.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 33,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (33,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 274 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 273 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 21 %, Ă  comparer aux 25 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Sainte-Feyre est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Toponymie

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Feyre-la-Montagne[27].

    En occitan, le nom de la commune est Sent AfÚiran (forme locale de saint Symphorien). La francisation en Sainte-Feyre, avec mécoupure, procÚde d'une mauvaise compréhension de la phonétique occitane.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Feyrois[28].

    Histoire

    Fin 1943, Albert Fossey-François, chef départemental des maquis de l'Armée secrÚte de la Creuse avec le grade de commandant. Installe son PC au Pont à la Dauge (commune de Sainte-Feyre).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1953 1971 Adrien Janot
    1971 1977 Gustave Parot
    1977 2001 Henry Goumy PS
    mars 2001 2008 Alain Gaspard PS
    mars 2008 octobre 2017 Michel Villard[29] DVD Retraité
    octobre 2017 2020 Nadine Dufaud DVD Retraitée
    2020 En cours Franck RĂ©jaud DVG

    Jumelages

    Drapeau de la France Kintzheim (France)

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[30].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 2 493 habitants[Note 7], en augmentation de 0,93 % par rapport Ă  2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3741 3941 4321 4921 5081 5671 6231 7091 741
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7341 6481 7281 7881 7611 7011 7611 7021 619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6681 7671 7431 6141 6171 6531 6861 6541 703
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 4251 4571 5471 8892 2502 2502 2542 2412 444
    2018 2020 - - - - - - -
    2 4722 493-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  27,2 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (25,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 34,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 38,4 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 191 hommes pour 1 281 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,47 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    3,2
    6,6
    75-89 ans
    10,0
    24,4
    60-74 ans
    22,9
    22,8
    45-59 ans
    21,3
    16,0
    30-44 ans
    17,2
    13,1
    15-29 ans
    10,5
    16,1
    0-14 ans
    15,0
    Pyramide des ùges du département de la Creuse en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    3,4
    10,5
    75-89 ans
    14,8
    23,9
    60-74 ans
    22,8
    22
    45-59 ans
    20,8
    15
    30-44 ans
    14
    13,5
    15-29 ans
    11,2
    13,8
    0-14 ans
    12,9

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 33 838 €, ce qui plaçait Sainte-Feyre au 8020e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole et au deuxiĂšme rang du dĂ©partement de la Creuse derriĂšre Saint-Christophe (37 647 €)[36].

    Lieux et monuments

    Patrimoine

    Autres

    • Parc Ă  loups, parc animalier des Monts de GuĂ©ret[40].
    • Ancien sanatorium, construit en 1906, devenu centre mĂ©dical national de la MGEN.
    • ChĂąteau de Sainte-Feyre
      ChĂąteau de Sainte-Feyre
    • Vue gĂ©nĂ©rale depuis le Puy de Gaudy
      Vue générale depuis le Puy de Gaudy

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Coucaud (1899-1989), Il fut un des dirigeants de la rĂ©sistance communiste dans la Creuse.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maurice Favone, Histoire de la Marche., Dorbon aĂźnĂ© Ă©diteur,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Gueret Bongeot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Feyre et Guéret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Gueret Bongeot - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Feyre et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Feyre », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Feyre », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    29. « Michel Villard, maire de Sainte-Feyre (Creuse), est décédé », sur La Montagne, (consulté le ).
    30. Site des villes et villages fleuris, consulté le .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Feyre (23193) », (consultĂ© le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Creuse (23) », (consultĂ© le ).
    36. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    37. « Église Saint-Symphorien », notice no PA00100155, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    38. « Chùteau », notice no PA00100154, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    39. « Oppidum du Puy de Gaudy », notice no PA00100156, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    40. Les Loups de ChabriĂšres
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