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Sainte-Croix-de-Quintillargues

Sainte-Croix-de-Quintillargues [sɛ̃.tə kʁwa də kɛ̃.ti.jar.ɣə] (en occitan Santa Crotz de Quintilhargues ['san.to̞ 'kruts de kin.ti.'ʎar.ÉŁes]) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.

Sainte-Croix-de-Quintillargues
Sainte-Croix-de-Quintillargues
L'Ă©glise de Sainte-Croix-de-Quintillargues.
Blason de Sainte-Croix-de-Quintillargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Antoine Martinez
2020-2026
Code postal 34270
Code commune 34248
DĂ©mographie
Gentilé non déterminé
Population
municipale
950 hab. (2020 en augmentation de 19,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 144 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 46â€Č 24″ nord, 3° 54â€Č 35″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 321 m
Superficie 6,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-GĂ©ly-du-Fesc
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Sainte-Croix-de-Quintillargues
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Sainte-Croix-de-Quintillargues
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Sainte-Croix-de-Quintillargues
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Sainte-Croix-de-Quintillargues

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la BĂ©novie, le ruisseau de CecelĂ©s. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    La commune compte 950 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Quintillarguois ou Quintillarguoises.

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune est située dans la partie est du département, à 18 km au nord de Montpellier et à 5 km du Pic-St-Loup. Les terrains bas sont formés de colluvions plantées de vignes. Les collines Rabat et Puech Pezoul sont sur des strates argilo-calcaires du Crétacé. La grande colline de la Suque est formée de calcaire datant du jurassique. Les collines sont couvertes de garrigues et de pinÚdes de pins d'Alep.

    La riviÚre Bénovie prend sa source au pied du Puech Pezoul. Elle est à sec en surface mais déborde périodiquement lors de gros orages et provoque des inondations. La source de Milhac jaillit au pied de la colline de Rabat. Elle a été exploitée jusqu'en 1968. Des réservoirs d'eau sont encore en place à cet endroit.

    Communes limitrophes de Sainte-Croix-de-Quintillargues
    FontanĂšs
    Saint-Mathieu-de-Tréviers Sainte-Croix-de-Quintillargues Saint-Bauzille-de-Montmel
    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1832).

    Climat

    Le climat de la commune est qualifié en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 16,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 882 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Valflaunes-Plaine », sur la commune de ValflaunĂšs, mise en service en 1990[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 984,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et Ă  19 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,5 °C pour 1991-2020[12].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais »[14], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[15].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[16] : la « vallĂ©e de la BĂ©novie » (223 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [16] : les « plaines et garrigues du Nord MontpelliĂ©rais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'HĂ©rault[18].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Sainte-Croix-de-Quintillargues.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Croix-de-Quintillargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [19] - [I 1] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Le cƓur ancien du village se situe autour de l'Ă©glise. Deux mas, le mas du Greffier et le ChĂąteau sont excentrĂ©s. Des lotissements modernes entourent le village ancien et un autre est localisĂ© Ă  3 km.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (63,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (23,4 %), cultures permanentes (15,4 %), terres arables (8,4 %), zones urbanisĂ©es (6,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la BĂ©novie. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2001, 2002, 2005 et 2014[24] - [22].

    Sainte-Croix-de-Quintillargues est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Croix-de-Quintillargues.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 69,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 294 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 293 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Histoire

    Préhistoire

    La commune possĂšde un dolmen du chalcolithique tardif et des restes de cabanes de la mĂȘme pĂ©riode. Le dolmen est fortement dĂ©gradĂ©. Il a Ă©tĂ© fouillĂ© par le docteur Arnal. D'autres fouilles ont mis en valeur une nĂ©cropole gallo romaine du premier siĂšcle.

    Antiquité

    Vue sur le village de Sainte-Croix-de-Quintillargues.

    Quintillargues provient du nom Quintilius associĂ© au suffixe « -anicum Â». Cette terminaison rappelle l'origine fonciĂšre en signifiant « domaine de Â». C'est le domaine de Quintilius. L'origine antique peut signifier que cet homme Ă©tait un Gallo-romain assez important pour laisser son nom en rĂ©fĂ©rence.

    Moyen-Âge

    L'église de style roman a été consacrée le . Sa charpente, qui aurait brûlé, a été remplacée par une voûte en pierre, en arc brisé. Pour compenser son poids les pilastres ont été doublés et des arcs de décharges ont été placés entre ces pilastres. L'édifice a été transformé en fortifications par l'adjonction de deux tourelles et certainement un chemin de ronde en haut des murs. Un clocher à deux cloches a été ajouté au XIXe siÚcle.

    L’histoire mĂ©diĂ©vale de celle-ci est une suite de querelles entre les comtes de Melgueil, l’évĂȘque de Maguelone et le sĂ©nĂ©chal de Beaucaire. C'est le cas de tous les villages de la rĂ©gion, convoitĂ©s pour les impĂŽts, taxes et droits divers. Il y avait des pĂ©ages et de substantiels bĂ©nĂ©fices pour ceux qui les tenaient. La commune fut le lieu de farouches rivalitĂ©s pour s’octroyer les bĂ©nĂ©fices du pĂ©age de Sainte-Croix-de-Quintillargues. Dans les annĂ©es 1210, l’évĂȘque Guillaume d’Autignac fut nommĂ© comte de Melgueil et de Montferrand par le pape pour la modique somme de vingt cinq mille sols qu’il ne possĂšde pas. Il veut remplir son escarcelle. De son cĂŽtĂ©, le roi de France envoya ses officiers pour glaner des deniers. Les MontpelliĂ©rains, quant Ă  eux, prĂ©tendent n’avoir rien Ă  payer
 Sainte-Croix-de-Quintillargues appartient alors au comtĂ© de Melgueil qui s’étale selon un axe nord-sud. Pour se rendre dans sa partie nord, ou Ă  AlĂšs ou vers le Massif Central, le plus court est de passer par l’axe Arsacio (Assas) – Quissac qui passe par le pĂ©age de Sainte-Croix. Mais comme de petits malins faisaient un dĂ©tour par RestincliĂšres et SommiĂšres ou par Prades, TrĂ©viers et Quissac oĂč il n’y avait pas de pĂ©age, on mit en place des pĂ©ages sur ces trois itinĂ©raires.

    Le royaume de France centralisateur a mis fin à ces guerres picrocholines en imposant l’administration de la capitale sur le territoire.

    Époque contemporaine

    En 1789, la RĂ©publique jacobine a poursuivi la tradition : en crĂ©ant les communes, Sainte-Croix-de-Quintillargues et sa voisine FontanĂšs ont Ă©tĂ© fusionnĂ©es. Puis, en 1795, dĂ©cision contraire : dans le tout nouveau dĂ©partement de l’HĂ©rault, la premiĂšre rejoint le canton des Matelles, la seconde celui de Claret.

    Quand, aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, les Italiens vinrent en masse, ils furent accueillis dans un esprit plutĂŽt xĂ©nophile. Avec les agriculteurs espagnols, arrivĂšrent charbonniers et maçons italiens. Dans les annĂ©es 1930, il y avait 20 % d’étrangers dans la commune.

    Au XXe siÚcle, avec la décentralisation, la commune devient membre de la communauté de communes du Pic Saint Loup et, associée à 31 autres, dans le périmÚtre du Schéma de cohérence territoriale.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1989 Hubert Forestier
    23 mars 2001 en cours Antoine Martinez SE Artisan
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 950 habitants[Note 10], en augmentation de 19,05 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    124102115118126108125147150
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    15012714414212997111119134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    13413513011511111410497102
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    100107129218382531574573576
    2014 2019 2020 - - - - - -
    798943950------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La vigne est la principale activité agricole. Tous les vignerons sont coopérateurs à la cave coopérative de Saint-Mathieu-de-Tréviers. Un élevage de vaches Aubrac a remplacé l'activité pastorale de brebis.

    Population et société

    Le foyer rural Les Quintillades est la principale association socio-culturelle du village. Elle diffuse les valeurs d'éducation populaire avec un grand nombre d'activités citoyennes.

    Le club de VTT organise chaque mois de mai une compĂ©tition, la « Ronde de Quintilius Â».

    L'association Soca Cruz organise des rencontres et des Ă©vĂšnements pour la jeunesse du village mais aussi la fĂȘte votive annuelle.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 305 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 929 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 26 060 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]5 %7,1 %5,7 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  598 personnes, parmi lesquelles on compte 81,4 % d'actifs (75,7 % ayant un emploi et 5,7 % de chĂŽmeurs) et 18,6 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 78 emplois en 2018, contre 67 en 2013 et 60 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 460, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 70,1 %[I 10].

    Sur ces 460 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    64 établissements[Note 13] sont implantés à Sainte-Croix-de-Quintillargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble64100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    11,6 %(6,7 %)
    Construction1929,7 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1015,6 %(28 %)
    Information et communication23,1 %(3,3 %)
    Activités financiÚres et d'assurance23,1 %(3,2 %)
    Activités immobiliÚres11,6 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1726,6 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    69,4 %(14,2 %)
    Autres activités de services69,4 %(8,1 %)

    Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 29,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (19 sur les 64 entreprises implantĂ©es Ă  Sainte-Croix-de-Quintillargues), contre 14,1 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :

    • Controle Du Pic, contrĂŽle technique automobile (215 k€)
    • MCLM, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (47 k€)
    • IST Services, location de terrains et d'autres biens immobiliers (12 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations12479
    SAU[Note 15] (ha)17229415629

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 629 ha[35] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    La commune possĂšde un puits communal et un four banal. L'Ă©glise romane, un calvaire et des voĂ»tes de bergerie sont inscrits Ă  la carte du patrimoine. Il y avait deux cimetiĂšres historiques, un au pied de l'Ă©glise et un autre, dit des pauvres, dans l’actuel espace vert prĂšs de la salle polyvalente.

    Dans les collines de garrigues il y a de nombreux vestiges de charbonniĂšres et de fours Ă  chaux. Une parcelle communale est dĂ©diĂ©e Ă  ces vestiges. Ces emplacements ont Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ©s et visibles le long d'un sentier de 7 km dit des charbonniĂšres, qui part du centre du village. De nombreuses animations ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©es dans ce site. Les bĂ©nĂ©voles du foyer rural Les Quintillades sont Ă  l'origine de la crĂ©ation de ce site. Pendant dix ans, de 1995 Ă  2005, ceux-ci ont organisĂ© notamment la manifestation « Lou Gabel Â», fĂȘte de la taille de la vigne, dans le village. Puis pendant 10 autres annĂ©es, de 2006 Ă  2016, le festival des charbonniĂšres, « Lo Garou Â», dans les garrigues communales.

    HĂ©raldique

    Blason de Sainte-Croix-de-Quintillargues Blason
    D'or Ă  la croix de gueules chargĂ©e en son cƓur d'une fontaine d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sainte-Croix-de-Quintillargues » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sainte-Croix-de-Quintillargues » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sainte-Croix-de-Quintillargues » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sainte-Croix-de-Quintillargues » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    7. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Quintillargues et ValflaunÚs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Valflaunes-Plaine - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Quintillargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Entreprises à Sainte-Croix-de-Quintillargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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    34. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Sainte-Croix-de-Quintillargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Eglise de l'Exaltation de la Sainte-Croix », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Martial Acquarone, CharbonniĂšres des garrigues : Sainte-Croix-de-Quintillargues, Sainte-Croix-de-Quintillargues, Les Quintillades, , 20 p.
    • Jean Arnal, « La prĂ©histoire Ă  Sainte-Croix-de-Quintillargues (HĂ©rault).. », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique de France, t. 41, nos 10-11,‎ , p. 173-176 (lire en ligne)
    • Pierre David, Connaissance de Sainte-Croix de Quintillargues, Montpellier, Union rĂ©gionale des foyers ruraux,
    • Pierre David, Livre des mĂ©moires de Sainte-Croix de Quintillargues : piĂšces d'archives, extraits de publications, plans, photos, documents concernant la commune de Sainte-Croix de Quintillargues (HĂ©rault), Sainte-Croix-de-Quintillargues, P. David, [1980]

    Fonds d'archives

    Articles connexes

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