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Saint-Pierre-Bois

Saint-Pierre-Bois est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Saint-Pierre-Bois
Saint-Pierre-Bois
Vue sur une partie du village de Saint-Pierre-Bois depuis le Hohwarth.
Blason de Saint-Pierre-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement SĂ©lestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Villé
Maire
Mandat
Alain Meyer
2020-2026
Code postal 67220
Code commune 67430
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Pierrois(es)
Population
municipale
752 hab. (2020 en diminution de 2,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 103 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 20′ 03″ nord, 7° 21′ 28″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 550 m
Superficie 7,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction SĂ©lestat
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mutzig
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Saint-Pierre-Bois
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Saint-Pierre-Bois
GĂ©olocalisation sur la carte : Bas-Rhin
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Saint-Pierre-Bois
GĂ©olocalisation sur la carte : Grand Est
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Saint-Pierre-Bois

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    GĂ©ographie

    Saint-Pierre-Bois est la première commune de la rive gauche du Giessen en entrant dans la vallĂ©e de VillĂ©. Son finage revĂŞt une conformation assez particulière puisqu'il enclave presque le territoire de ThanvillĂ©. La commune, vaste de 730 ha, s'organise autour de la vallĂ©e de l'Estergott qui arrose aussi bien le village que son annexe de Hohwarth. Au nord, la commune est rejoint par les conteforts de l'Ungersberg (Baerenberg 540 m). Ă€ l'est et au centre, une sĂ©rie de collines boisĂ©es (Lattenraiun 385 m, Rothe Hecken 476 m) marque le passage du Val de VillĂ© au vignoble de la rĂ©gion de Barr. Au sud, la commune s'Ă©tend sur les premières pentes du massif du Berntein, qui domine Dambach-la-Ville, jusqu'au fond de la vallĂ©e du Giessen peu avant son dĂ©bouchĂ© sur la plaine. Le village s'est Ă©tabli le long de la vallĂ©e de l'Estergott, au pied de la belle colline du Kirchberg (380 m, Ă©glise Saint-Gilles). Le hameau de Hohwarth s'Ă©tire lui aussi le long du thalweg, sur le tracĂ© de la route de VillĂ© Ă  Barr, entre le Kirchberg et le Baerenberg. Les fermes isolĂ©es de Hunswwiller et des Hutten rappellent une localitĂ© disparue.

    GĂ©ologie

    Le territoire communal repose sur le bassin houiller de la vallée de Villé[1].

    Lieux-dits et Ă©carts

    • Hohwarth ;
    • Hunschwiller ;
    • Hutten.

    Ruisseaux

    • Giessen ;
    • Estergott.

    Communes limitrophes

    Villages et hameaux disparus

    Le val de Villé compte quatre villages ou hameaux disparus dont plusieurs situés sur l'actuel finage de Saint-Pierre-Bois.

    • Uberscheer ;
    • Gundeswiller ;
    • Hunschwiller ou Hundswiller ;
    • Lattenrain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de SĂ©lestat, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), zones agricoles hétérogènes (37,5 %), zones urbanisées (6,9 %), prairies (3,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Une localité remontant au VIIe siècle

    Oratoire du Altkloster (1862).
    Oratoire du Altkloster au Hohwarth (1862).

    Ce village, remarquable par son église que l'on voit au loin perchée sur une colline assez élevée est visible depuis une grande partie du Val de Villé. Il doit son origine à un couvent construit dès la fin du VIIe siècle par Saint Hydulphe, abbé fondateur de l'abbaye de Moyenmoutier. Attic, duc d'Alsace, dont il avait guéri la fille sainte Odile, née aveugle, lui avait fait don de tout le territoire formant aujourd'hui la banlieue de cette commune et qui alors était couverte de forêts. Hydulphe, n'ayant plus de place à Moyenmoutier pour y loger ses nombreux fidèles, construisit un nouveau monastère sur l'emplacement même occupée aujourd'hui par l'église et lui donna pour patron saint Pierre. Peu à peu, il se forma au pied de la montagne deux villages, Saint-Pierre-Bois, qui doit son nom au couvent situé au milieu des bois, et, de l'autre côté, Hohwarth. L'abbé de l'abbaye de Moyenmoutier y consacra ses droits spirituels jusqu'à la guerre de Trente Ans et ses droits temporels jusqu'en 1604, époque à laquelle elle vendit les restes de ses possessions aux seigneurs de Thanvillé. Vers 1039, l'église primitive ayant été détruite, ainsi que le couvent, on en construisit une autre à la place de la première, laquelle subsista jusqu'en 1788, où fut élevée l'église actuelle, à l'exception du chœur et de la tour, qui datent de 1811. La paroisse de Saint-Pierre-Bois comprenait autrefois les villages de Saint-Pierre-Bois, Thanvillé, Hohwarth et Hundswiller. Ces villages furent plusieurs fois détruits : vers 1039, dans la guerre de succession de la Lorraine ; en 1476, par les Bourguignons, pendant le siège du château d'Ortenberg, et en 1633, par les Suédois.

    Le village passe aux mains de l'Ă©vĂŞque de Strasbourg

    Le village passe au XIIe siècle aux mains de l'évêque de Strasbourg qui le cède en 1269 à Rodolphe de Habsbourg qui venait d'acquérir l'Albrechstal. En 1303, les Habsbourg font le recensement des droits et revenus dans tous leurs villages, parmi ceux-ci « Sant Peterholtz ». La localité partage dorénavant la destinée de la seigneurie de Villé et passe entre les mains de différents propriétaires.

    Le passage des Suédois

    Lors du passage des Suédois en 1632, de nombreuses maisons furent détruites et une bonne partie de la population est décimée ou trouve refuge dans les bourgs fortifiés de la plaine. La « Maison des Suédois » construite en 1571 est épargnée et compte actuellement parmi les plus anciennes habitations de la vallée. Les deux villages Hundwiller et Gunderswiller ont probablement disparu à ce moment ou peut-être un peu auparavant comme le pensent certains historiens.

    Le repeuplement

    Le repeuplement qui accompagne le rattachement à la France remet en valeur cette région laissée à l'abandon et en friche. Le vignoble conquiert le versant ensoleillée du Kirchberg. De belles demeures de vignerons, aux linteaux ornés de serpettes, s'édifient au XVIIIe siècle. De 20 feux en 1720, la population atteint une cinquantaine au milieu du siècle et 620 habitants lors du recensement de 1801.

    La RĂ©volution

    La Révolution française et l'Empire ne marquent pas spécialement la vie du village, mais constituent une transition entre le siècle qui s'achève et le XIXe siècle moins réjouissant malgré les conquêtes politiques et sociales de la Révolution. Saint-Pierre-Bois doit faire face à une terrible épidémie de choléra qui frappe durement le village : 32 personnes meurent de cette maladie en 1849. D'autre part, le village n'arrive plus à nourrir une population qui atteint 869 habitants en 1871.

    Les migrations

    De nombreux habitants sont tentés de quitter leur commune pour connaître une meilleure vie ailleurs. Certains vont s'établir aux États-Unis. Cette migration est encouragée par l'annexion allemande en 1871 qui suit la désastreuse guerre de 1870-1871. Elle est facilitée par la construction de la voie ferrée Val de Villé-Villé en 1891.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Pierre-Bois

    Les armes de Saint-Pierre-Bois se blasonnent ainsi :
    « D'argent à un étui de bois au naturel avec sa hachette de vigneron de sable emmanchée aussi de bois au naturel. »[9]

    Note : L'armorial de Communes du Bas-Rhin donne une autre version (non officielle, le choix dépendant de la commune) : « D'argent à une gaine de serpette de sable posée en fasce »[10] dont une représentation est visible ici.

    Les hameaux

    Hohwarth

    Appelé Villa Hohenwart en 1269. Il a la même origine que Saint-Pierre-Bois, dont il dépend, au civil comme au spirituel. Le couvent, qui se trouvait autrefois sur la montagne, ayant été détruit, un second couvent fut bâti plus tard derrière ce village, au pied de l'Ungersberg, et fut habité par les templiers jusqu'en 1312, époque de la dissolution de cet ordre. On appelle encore la place qu'il occupait Herrenhofstadt. À quelques centaines de pas de là, on voit une petite chapelle monumentale, construite en 1717, en expiation d'un sacrilège commis sur cette place. Vers 1312, on construisit, en haut du Hohwarth, un troisième couvent, qui fut détruit, en 1525, pendant la guerre des paysans. On en trouve encore des vestiges dans la forêt dite Klosterwald.

    Lattenrain

    Lattenrain est localisé au lieu-dit du Klosterwald ; le nom « curia nostra Lattenrein » est cité en 1269 parmi les biens cédés par l'évêque de Strasbourg à Rodolphe de Habsbourg ; en 1303 dans le recensement des revenus de cette famille, on trouve un « Mönchhof zum Lattenrain » (ferme de moines).

    Hameaux disparus

    Hundswiller ou Hunschwiller

    Hundeswilre en 1269 dépendant de la paroisse de Saint-Pierre-Bois, fut détruit par les Suédois, qui gagnèrent, près de là, une bataille sur les troupes lorraines. On y voit encore des restes d'un large et profond fossé et de retranchements que les Lorrains avaient faits en travers de la route pour empêcher le passage des Suédois. Sur l'emplacement de Hundswiller se trouve un groupe de maisons appelé Hutten (cabanes), faisant partie de Saint-Pierre-Bois. La commune avait pour marque un étui de serpette ou de hachette. La localité n'a pas entièrement disparu : il reste quelques fermes éparses aux lieux-dits Hundswiller et Klein Hundswiller.

    Uberscheer

    Localité regroupant des maisons faisant partie du Comte-Ban et située sur la rive droite de la Scheer. Cet habitat est cité en 1321 et dans l'urbaire de 1362 de l'évêché de Strasbourg qui recense les biens acquis en 1359. Ce hameau a pu disparaître à la suite d'une inondation provoquée par les crues du Giessen.

    Gunderswiller

    Ce hameau a laissé peu de traces dans les archives ; c'était peut-être un hameau du Haut Moyen Âge, situé sur la Route du Sel et qui n'est jamais devenu un vrai village. Il a peut-être disparu au XVe siècle. Il ne figure plus sur la carte de Speckel en 1576. L'actuelle annexe des Hütten a peut-être été construite sur l'emplacement de Gunderswiller au début du XVIIIe siècle.

    Ungersberg (920 m)

    Sur l'Ungersberg (920 m) on voit une pierre appelĂ©e Fachnestein avec un trou, dans lequel les paysans rĂ©voltĂ©s, avaient fixĂ©, suivant la tradition, leur grande bannière, pendant que cette montagne leur servait de point de ralliement.

    Politique et administration

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Daniel Gross[11]
    2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Alain Meyer [12]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14].

    En 2020, la commune comptait 752 habitants[Note 3], en diminution de 2,72 % par rapport Ă  2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    612628604719825826816860819
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    730776834869787790750787801
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    781748717620557554566505461
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    453465440501522606697723764
    2018 2020 - - - - - - -
    769752-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Gilles à Hohwarth

    Église Saint-Gilles (Hohwarth).

    L'Ă©glise de Saint-Gilles se dresse sur une montagne qui est visible de très loin. Il domine le val de VillĂ©. La tradition rapporte la construction mouvementĂ©e de l'Ă©difice Ă  la place d'une ancienne chapelle dĂ©molie, oĂą furent dĂ©posĂ©es les reliques de saint Gilles. L'Ă©glise se dresse sur la colline du Kirchberg depuis 1788 comme l'atteste une pierre angulaire Ă  gauche de la nef et au chĹ“ur. L'Ă©glise se prĂ©sente comme une vaste construction rectangulaire d'environ 26 m Ă— 15 m, Ă  laquelle est accolĂ©e, vers la droite, un second rectangle de 5 Ă— 15 m formant le chĹ“ur. Sur ce dernier vint se greffer la tour, clocher carrĂ© de 6 Ă— m. Le portail Ă  deux battants s'ouvre sur la façade orientĂ©e au sud. Une porte latĂ©rale, Ă  l'est, donne Ă©galement accès Ă  l'Ă©difice qu'Ă©clairent six grandes baies vitrĂ©es. C'est Ă  cet endroit que les cisterciens de l'abbaye de Baumgarten proche de BernardvillĂ© introduisent au XIVe siècle probablement le culte de ce saint auxiliaire invoquĂ© par les paroissiens et pèlerins pour guĂ©rir les maladies de la gorge et des oreilles. Le plafond est dĂ©corĂ©e d'un tableau de RenĂ© Kuder peint en 1932 d'une surface de 6 Ă— 4 mètres de forme ovale reprĂ©sentant saint Gilles apparaissant sur un nuage clair, rayonnant de saintetĂ©, accompagnĂ© d'un ange.

    Chapelle de Saint-Pierre-Bois

    Chapelle de Saint-Pierre-Bois.

    Cette chapelle a été aménagée en 1867 afin d'éviter à la population du village de Saint-Pierre-Bois de grimper sur la colline en hiver pour assister aux offices de l'église de Saint-Gilles. Devant la cour du presbytère, on trouve un puits daté de 1759.

    Autel du Altkloster

    En quittant le hameau de Hohwarth en direction de Barr on peut apercevoir sur le bord du chemin au lieu-dit du Altkloster un autel en plein air dont la construction remonte Ă  1721. On prĂ©tend qu'Ă  cet emplacement furent retrouvĂ©es des hosties qui avaient Ă©tĂ© jetĂ©es Ă  la suite d'un vol du calice et du ciboire Ă  l'Ă©glise de Saint-Gilles le . Ce petit monument trĂ´ne en bordure de la D 253 Ă  600 mètres au sud du carrefour avec la CD 203.

    Calvaires

    Calvaire érigé par le couple Auguste Fuchs (31/08/1845-05/05/1897)- Félicité Klein (24/05/1848-04/02/1905), natifs de Saint-Pierre-Bois, se trouvant au Hohwarth à côté de l'église Saint-Gilles.

    On relève sur le banc de Saint-Pierre-Bois treize calvaires, sept oratoires et un autel de plein air, un bildstock. D'après une chronique du curé Kramer, deux croix auraient été enterrées pendant la Révolution.

    Maison des Suédois

    La maison des Suédois est une ancienne demeure qui aurait servi de quartier général aux troupes suédoises pendant la guerre de Trente Ans (1616-1648). C'est l'une des rares maisons au XXe siècle qui a résisté à ce conflit. Le linteau de la porte d'entrée porte la date de construction et un soc de charrue couché. Un linteau de fenêtre porte une date ultérieure, ce qui atteste une transformation de l'édifice. Au début du XXe siècle, la bâtisse comporte encore quelques tuiles canal médiévales.

    Puits à Margelle (Maison des Suédois)

    Les puits sont rares dans la vallée, où l'on rencontre plus souvent des fontaines. Ce puits à Margelle, comme la bâtisse qui lui est attenante, est antérieur à la guerre de Trente Ans.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-AndrĂ© Kramer (° 1806 – † 1867).

    Galerie de photos

    • Village de Saint-Pierre-Bois et au loin l'Ă©glise Saint-Gilles.
      Village de Saint-Pierre-Bois et au loin l'Ă©glise Saint-Gilles.
    • Ancienne maison de viticulteur situĂ©e sur la rue Principale rĂ©novĂ©e et dĂ©corĂ©e.
      Ancienne maison de viticulteur située sur la rue Principale rénovée et décorée.
    • L'Ă©glise Saint-Gilles vue depuis le village de Saint-Pierre-Bois.
      L'Ă©glise Saint-Gilles vue depuis le village de Saint-Pierre-Bois.
    • Ĺ’uvre du peintre RenĂ© Kuder se trouvant sur le plafond de la nef de l'Ă©glise  peint en 1932 et reprĂ©sentant saint Gilles, protecteur du village.
      Œuvre du peintre René Kuder se trouvant sur le plafond de la nef de l'église peint en 1932 et représentant saint Gilles, protecteur du village.
    • Bildstock au Hohwarth.
      Bildstock au Hohwarth.
    • Église Saint-Gilles (Hohwarth) vue par l'arrière.
      Église Saint-Gilles (Hohwarth) vue par l'arrière.
    • IntĂ©rieur de l'Ă©glise Saint-Gilles de Hohwarth.
      Intérieur de l'église Saint-Gilles de Hohwarth.

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Le Val de VillĂ©, un pays, des hommes, une histoire Ă©ditĂ© sous le patronage de la SociĂ©tĂ© d'histoire du Val de VillĂ© et de la CommunautĂ© des communes du canton de VillĂ©, 1995.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Auguste Daubrée, Description géologique et minéralogique du département du Bas-Rhin, (lire en ligne), p. 60-79.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sélestat », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Site de la commune : http://saintpierreboishohwarth.wordpress.com/
    10. Source : "L'Armorial des communes du Bas-Rhin", Edition des Archives départementales du Bas-Rhin.
    11. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    12. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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