Saint-LĂ©ger-aux-Bois (Oise)
Saint-Léger-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Saint-LĂ©ger-aux-Bois | |||||
L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste du XIe et son ancienne Ă©cole. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | CompiĂšgne | ||||
Intercommunalité | CC des Deux Vallées | ||||
Maire Mandat |
Thierry Drouet 2020- En cours |
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Code postal | 60170 | ||||
Code commune | 60582 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Giotains / Saint-Giotaines | ||||
Population municipale |
759 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 91 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
22 878 hab. (2018) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 28âČ 47âł nord, 2° 57âČ 10âł est | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 52 m |
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Superficie | 8,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | CompiĂšgne (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Thourotte | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.stleger.info/les72StLeger/region3/60a.htm | ||||
La commune est connue pour la présence sur son territoire de la plus ancienne église du département de l'Oise : l'église Saint-Jean-Baptiste qui date de 1083.
GĂ©ographie
Description
Saint-LĂ©ger-aux-Bois est un village pĂ©riurbain picard du soissonais dont le territoire comprend une part importante de la forĂȘt de Laigue.
Il est situé à 12 km au nord-est de CompiÚgne, à 11 km au sud de Noyon, à 80 km au nord-est de Paris.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le territoire communal est limité au nord par le lit de l'Oise, qui est un affluent de la Seine. Il est également drainé par le Ru de Saint-Léger qui coupe le village en deux et qui se jette dans l'Oise.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de RibĂ©court-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 738,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, dans le dĂ©partement de l'Aisne, mise en service en 1933 et Ă 41 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Léger-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de CompiÚgne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (78,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (75,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (75,6 %), zones urbanisĂ©es (9,6 %), prairies (7,5 %), terres arables (4,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Origine du nom de Saint-LĂ©ger-aux-Bois
Histoire
Moyen Ăge
La localitĂ© dĂ©pendait du domaine royal français et Ă©tait utilisĂ© pour les chasses royales lorsque le roi des Francs Philippe Ier la donne Ă l'Abbaye de La Sauve-Majeure en 1083, une abbaye bĂ©nĂ©dictine du Bordelais. Cinq religieux y Ă©tablissent prĂšs d'une source un prieurĂ© placĂ© sous le patronage de saint LĂ©ger, et commencent Ă dĂ©fricher la forĂȘt, constituant le noyau d'une communautĂ© villageoise vivant principalement des ressources de la forĂȘt, puis de la culture et de l'artisanat du chanvre. Celle-ci prit le nom de Saint-LĂ©ger-aux-Bois, en rĂ©fĂ©rence au nom du prieurĂ© et Ă sa situation dans les bois de Laigue[21] - [22] - [23].
Ăpoque moderne
Le village appartient ensuite aux moines du Francport en 1590, et est transmis par Louis XIII Ă son aumĂŽnier Michel de l'Arche en 1624. Le prieurĂ© passe en janvier 1749 sous l'autoritĂ© de l'Ă©vĂȘque de Soissons, qui en attribue les biens et revenus au sĂ©minaire diocĂ©sain, tout en lui adjoignant une cure et un vicariat[24]
Ă la fin de l'Ancien RĂ©gime, le prieurĂ© Ă©tait constituĂ© d'une maison et son jardin, un moulin Ă eau, quelques setiers de terres, prĂ©s et arpents de bois, occupant seulement 2 % du finage paroissial. L'essentiel des bois, couvrant les trois-quarts de ce territoire, faisaient partie de la forĂȘt de Laigue, propriĂ©tĂ© princiĂšre de l'apanage d'OrlĂ©ans, attribuĂ© en 1661 par Louis XIV Ă son frĂšre Philippe d'OrlĂ©ans, puis transmis Ă ses hĂ©ritiers jusqu'Ă la RĂ©volution française[24].
Une premiÚre assemblée municipale est instituée en août 1788 dans le cadre de la convocation des états généraux de 1789, composée du curé (membre de droit), d'un syndic, d'un greffier, et de quelques notables, simple relais administratif de l'assemblée provinciale du « département » de Soissons chargée avant tout de veiller à la publication des édits, à la confection des rÎles de taille, à la nomination des collecteurs ou à la répartition des secours publics[24].
- Circonscriptions d'Ancien RĂ©gime
La paroisse de Saint-Léger-aux-Bois dépendait à la fin de l'Ancien Régime du diocÚse de Soissons, présentateur de la cure, de l'archidiaconé de la RiviÚre et du doyenné de Vic-sur-Aisne)[24].
Dans l'ordre civil, Saint-Léger dépendait de l'élection et de la généralité de Soissons, étant placé sous l'autorité de ses subdélégué et Intendant, pour tout ce qui concernait l'administration générale et la fiscalité directe[24].
Fiscalement, il était rattaché au grenier à sel de CompiÚgne, percepteur de la gabelle. En matiÚre judiciaire, le village était soumis à la coutume de Senlis appliqué par le bailliage de CompiÚgne et relevant, en appel, du Parlement de Paris[24].
Ăpoque contemporaine
En 1810 et 1811 sont percĂ©es les allĂ©es et routes de la forĂȘt autour de la place centrale du puits d'OrlĂ©ans[25].
En 1900, le village comptait 2 fabriques de balles et 2 succursales de fabrication de brosses[25].
- L'entrĂ©e de la forĂȘt.
- La Grande-Rue vers 1910.
- L'Ă©glise vers 1910.
- La place la mairie vers 1910.
PremiĂšre Guerre mondiale
Resté à une trentaine de kilomÚtres du front[26], le village ne subit pas de dégùts jusqu'en , lors de l'offensive du printemps de l'armée allemande qui bombarde toute la région jusqu'en juin pour essayer de percer le front allié. De nombreuses habitations du village sont alors détruites[26].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [28].
- Vue du village en 1918.
- La Grande-Rue en 1918.
AprÚs la guerre a lieu la reconstruction du village. Dans les années 1930, on note l'existence de petits commerces et d'artisans, ainsi que 2 fabriques de balles et jouets pour enfants[25].
Seconde Guerre mondiale
De 1942 Ă 1945, l'occupant nazi a implantĂ© un camp de munitions dans la forĂȘt de Laigue, Ă la lisiĂšre de la commune et sur une trĂšs vaste surface coupant les axes de communication vers CompiĂšgne. Un camp de prisonniers marocains installĂ© au cĆur du village et des travailleurs du STO fournissaient la main d'Ćuvre nĂ©cessaire. De nombreux talus sont encore visibles le long des routes dans la forĂȘt[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de CompiÚgne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ribécourt-Dreslincourt[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixiÚme circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Saint-Léger-aux-Bois est membre de la communauté de communes des Deux Vallées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].
En 2020, la commune comptait 759 habitants[Note 8], en diminution de 5,12 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sous l'Ancien RĂ©gime, la paroisse comptait 105 feux fiscaux, 106 en 1713, 105 en 1720 (soit environ 420 habitants), 115 en 1724 et 1725, 111 en 1726, puis 143 en 1790[24].
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 26,0 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 29,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 394 hommes pour 389 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune dispose d'une Ă©cole de deux classes qui, en 2020, accueillent 29 Ă©lĂšves[41]
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Léger et Saint-Jean-Baptiste, du XIe siÚcle, est classée à l'inventaire des monuments historiques en 1913[42], construite à la charniÚre des XI e et XIIe siÚcles, à l'origine comme église d'un prieuré bénédictin de l'abbaye de La Sauve-Majeure, dans le Bordelais.
C'est l'une des Ă©glises les plus anciennes du dĂ©partement, qui reste proche de son Ă©tat d'origine.« Son plan est formĂ© dâune nef de cinq travĂ©es avec bas-cĂŽtĂ©s (dĂ©diĂ©e Ă saint Jean-Baptiste, elle Ă©tait rĂ©servĂ©e Ă la paroisse) et dâun ensemble oriental (dĂ©diĂ© Ă saint LĂ©ger et Ă usage du prieurĂ©) composĂ© dâun transept saillant sur lequel sont greffĂ©es une abside et deux absidioles selon le schĂ©ma bĂ©nĂ©dictin traditionnel »[21]
Elle comprend un mobilier liturgique dont plusieurs éléments sont également classés à l'inventaire des monuments historiques : statue de saint Sébastien, chemin de croix, ostensoir, statue de la Vierge à l'Enfant et à la grappe[43].
La mairie de cette commune fût construite au IXX siÚcle.
LâĂ©cole municipale situĂ© Ă cĂŽtĂ© de lâĂ©glise date de NapolĂ©on III
La commune possĂšde 3 calvaires :
- La croix Mognolle qui a Ă©tĂ© rĂ©novĂ© en 2021 par les moines de lâabbaye dâOurscamp.
- La premiÚre croix (situé dans la rue des étangs)
- La seconde croix (autrefois, un vieux calvaire s'abritait sous un immense tilleul qui fĂ»t dĂ©racinĂ© au cours d'une tempĂȘte en 1976, emportant avec lui le calvaire. Aujourd'hui un habitant de St LĂ©ger a Ă©rigĂ© une croix sur un socle monumental en forme de cĆur.)
Saint LĂ©ger aux Bois possĂšde Ă©galement 3 villas :
- La villa du Guais (dont la vue Ă son sommet permet dâapercevoir la commune de Ribecourt-Dreslincour
- La Faisanderie (anciennement appelĂ© villa des Croisettes qui servait notamment de lieu de rĂ©ception par les nazis pendant lâoccupation)
- Le chalet Gabriel (ancien lieu de kommandotur de lâAllemagne nazi lors de la seconde guerre mondiale)
Personnalités liées à la commune
Robert Louis Stevenson est cĂ©lĂšbre encore aujourd'hui pour des livres tels que L'Ăle au trĂ©sor (Treasure Island, 1883) et L'Ătrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (The Strange Case of Dr. Jekyll and Mister Hyde, 1886). Son premier livre, plus mĂ©connu, est "Un voyage intĂ©rieur " et relate un voyage en canoĂ«. Câest lors de ce voyage que Stevenson passe par Saint LĂ©ger aux Bois sur la riviĂšre Oise.
Voir aussi
Bibliographie
- « Saint-LĂ©ger-aux-Bois - XVIIIe et XXe siĂšcles », Annales historiques compiĂ©gnoises - Ătudes picardes modernes et contemporaines, nos 111-112,â , p. 1-74 (ISSN 0753-0633, lire en ligne, consultĂ© le ).
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Saint-Léger-aux-Bois », Recensement général de la population de 2017, Insee, (consulté le ).
- « Saint-Léger-aux-Bois », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
- Marc-Antoine Brekiesz, « Saint Léger aux Bois à travers ses monuments et ses rues », Association des Saint-Léger de France et d'ailleurs (consulté le ).
- Saint-Léger-aux-Bois sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Léger-aux-Bois et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Léger-aux-Bois et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Dominique Vermand, « Saint-LĂ©ger-aux-Bois, Ă©glise Saint-LĂ©ger et Saint-Jean-Baptiste », DiocĂšse : Soissons, Ăglises de l'Oise - Art roman et gothique., (consultĂ© le ).
- Jacques Bernet, « Ăditorial », Annales historiques compiĂ©gnoises, nos 111-112,â , p. 3 (ISSN 0753-0633, lire en ligne, consultĂ© le ), lire en ligne sur Gallica.
- Ămile CoĂ«t, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de CompiĂšgne, CompiĂšgne, Imprimerie Mennecier et Cie, , 462 p. (lire en ligne), p. 417-420, lire en ligne sur Gallica.
- Jacques Binet, « De Saint-LĂ©ger-aux-Bois Ă La ChanvriĂšre (1789-1799) », Annales historiques compiĂ©gnoises, nos 111-112,â , p. 5-17 (ISSN 0753-0633, lire en ligne, consultĂ© le ), lire en ligne sur Gallica.
- « Saint-Léger-aux-Bois : présentation », Association des Saint-Léger de France et d'ailleurs, sur https://www.stleger.info (consulté le ).
- Carte des positions militaires autour de Saint-LĂ©ger-aux-Bois, extraite de Guy Friadt, « Saint-LĂ©ger-aux-Bois dans la PremiĂšre Guerre mondiale », Annales historiques compiĂ©gnoises, nos 111-1112,â , p. 18-32, notamment 18 et 28 (ISSN 0753-0633, lire en ligne, consultĂ© le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « Actes d'état-civil numérisés : 5MI1991 », sur fonds en ligne des Archives de l'Oise (consulté le ).
- RĂ©gis Lefevre, « DĂ©pitĂ©, le maire dĂ©missionne », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ă 50 ans, Ă©cĆurĂ© et dĂ©pitĂ©, l'ex-maire se veut pourtant philosophe : « Il faut savoir tourner la page. Seize ans de fonctions Ă©lectives, c'est beaucoup. Et puis, mes activitĂ©s professionnelles me prennent de plus en plus de temps ».
- R. L., « DeuxiĂšme tour des municipales aujourd'hui », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « La lutte s'annonce serrĂ©e entre les trois listes, prĂ©sentĂ©es par Jean-Bernard Cardon, actuel premier adjoint, celle soutenue par l'ex-maire Alain Brekiesz (qui a dĂ©missionnĂ© en fĂ©vrier dernier) et celle que mĂšne l'ancien secrĂ©taire de mairie Jean-Pierre Pellion, toutefois distancĂ©e assez nettement au premier tour ».
- RĂ©Ă©lu aprĂšs des Ă©lections municipales partielles en 2013 : « Cinq nouveaux Ă©lus au conseil », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Cinq postes Ă©taient vacants suite Ă un dĂ©cĂšs et quatre dĂ©missions : deux conseillers municipaux ont dĂ©mĂ©nagĂ© et deux autres ont dĂ©missionnĂ© pour raisons personnelles ».
- « Deux conseillers sortants conduisent une liste Ă saint-LĂ©ger-aux-Bois », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Avec le retrait du maire sortant, deux de ses conseillers se sont associĂ©s pour monter une liste renouvelĂ©e et rajeunie, intitulĂ©e « Bien vivre Ă Saint-LĂ©ger ». Thierry Drouet et Charly RĂ©gnier, respectivement conseiller sortant chargĂ© du budget et adjoint au maire chargĂ© de lâurbanisme [âŠ] ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-LĂ©ger-aux-Bois (60582) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Ă Saint-LĂ©ger-aux-Bois, le prĂ©fet demande la rĂ©ouverture de lâĂ©cole », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ăglise Saint-LĂ©ger », notice no PA00114938, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « Ăglise Ă Saint-LĂ©ger-aux-Bois », Monumentum - Carte des Monuments historiques français (consultĂ© le ).