Ribécourt-Dreslincourt
RibĂ©court-Dreslincourt [ÊibekuÊ dÊÉlÉÌkuÊ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise, en rĂ©gion Hauts-de-France.
Ribécourt-Dreslincourt | |||||
Vue aérienne. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | CompiĂšgne | ||||
Intercommunalité | CC des Deux Vallées | ||||
Maire Mandat |
Jean-Guy Létoffé 2020-2026 |
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Code postal | 60170 | ||||
Code commune | 60537 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ribécourtois et Dreslincourtois, Ribécourtoises et Dreslincourtoises | ||||
Population municipale |
3 683 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 284 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 30âČ 39âł nord, 2° 55âČ 24âł est | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 187 m |
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Superficie | 12,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Ribécourt-Dreslincourt (ville-centre) |
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Aire d'attraction | CompiĂšgne (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Thourotte | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ribecourt-dreslincourt.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Entre Noyon et CompiÚgne, le village est desservi par la route départementale 1032.
Communes limitrophes
Cannectancourt | Ville | Chiry-Ourscamp | ||
Machemont | N | Pimprez | ||
O Ribécourt-Dreslincourt E | ||||
S | ||||
Cambronne-lÚs-Ribécourt | Montmacq |
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1976 Ă 2015 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1 | 3,2 | 5 | 8,8 | 11,5 | 13,5 | 13,1 | 10,4 | 7,8 | 4 | 1,8 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,4 | 7,5 | 10,2 | 14 | 16,8 | 19,1 | 18,9 | 15,6 | 11,9 | 7,2 | 4,3 | 11,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 7,8 | 11,8 | 15,4 | 19,2 | 22,1 | 24,7 | 24,6 | 20,8 | 16 | 10,3 | 6,8 | 15,5 |
Record de froid (°C) date du record |
â19 17.01.1985 |
â12,5 07.02.1991 |
â10 13.03.13 |
â4 12.04.1986 |
â1 07.05.1979 |
0 05.06.1976 |
5 22.07.1980 |
4 24.08.1980 |
0 19.09.1977 |
â4 28.10.03 |
â11 24.11.1998 |
â11 29.12.1996 |
â19 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,1 05.01.1999 |
20,3 24.02.1990 |
24,1 27.03.1989 |
28 25.04.07 |
32,9 27.05.05 |
36,5 27.06.11 |
38,6 01.07.15 |
39,7 12.08.03 |
33,2 05.09.13 |
29 01.10.11 |
21,1 01.11.14 |
17,7 07.12.00 |
39,7 2003 |
Précipitations (mm) | 64,1 | 52 | 60,9 | 53,8 | 67,5 | 61,1 | 57,8 | 64,2 | 52,8 | 70 | 62,2 | 72 | 738,4 |
Urbanisme
Typologie
Ribécourt-Dreslincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ribécourt-Dreslincourt, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 5 697 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de CompiÚgne, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (44,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (47,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (35,2 %), forĂȘts (35,2 %), zones urbanisĂ©es (12,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[17].
Toponymie
Le nom de Ribécourt apparaßt pour la premiÚre fois en 1155. Celui-ci proviendrait de l'association de : "ribes" pour groseilles, et "curtis" pour courtil.
Histoire
Ribécourt et Dreslincourt furent toutes deux soumises à l'occupation romaine. Ribécourt appartenait à l'abbaye Saint-Eloi de Noyon et Dreslincourt formait une paroisse importante divisée en plusieurs seigneuries. Ribécourt eut des seigneurs particuliers jusqu'au XVe siÚcle. à la Révolution, ces juridictions seigneuriales furent abolies, Ribécourt devint le chef-lieu d'un canton dans l'arrondissement de CompiÚgne.
RibĂ©court Ă©tait et reste une commune importante par ses industries. Depuis 1850, les nombreuses tentatives d'entrepreneurs locaux ont dynamisĂ© la commune. La traversĂ©e de grandes voies de communication a dĂ©veloppĂ© le commerce local, l'artisanat et les divers Ă©changes ; implantation de sucreries Ă partir de la betterave Ă sucre, des briqueteries-tuileries Ă partir de la glaise, d'usines de produits chimiques Ă partir de la craie et du calcaire extraits des carriĂšres. Le village de Dreslincourt est en perte dĂ©mographique depuis le milieu du XIXe. MalgrĂ© ses commerces, sa population vit traditionnellement du travail de la terre (cultures cĂ©rĂ©aliĂšres) et de l'Ă©levage ovin. Lâexploitation des carriĂšres de la Montagne d'Attiche, surexploitĂ©es entre 1820 et 1890, est supplantĂ©e par la culture du champignon de Paris. On y a longtemps cultivĂ© la vigne, au milieu du XIXe siĂšcle on en cultivait encore 76,38ha[18] dans le canton de RibĂ©court. Ă l'aube du XXe siĂšcle, le seul Ă©lĂ©ment novateur est la construction d'un hospice (Ćuvre du baron Mennechet).
DÚs 1914, sur la route de Paris, Ribécourt essuie durant la guerre de positions, de nombreux bombardements. Elle sera évacuée au printemps 1915. De l'autre cÎté du front, Dreslincourt, cÎté allemand est entiÚrement rasée par l'artillerie française et une partie de sa population déplacée ou déportée. Ribécourt, ruinée, se relÚvera rapidement par sa fonction politique de chef-lieu, sa situation géographique et sa tradition industrielle. La renaissance de Dreslincourt, traumatisée, sera plus longue. Village détruit, familles décimées, patrimoine dissous, Dreslincourt ne bénéficiera pas de l'essor lié à la reconstruction comme Ribécourt, mais sa proximité limitera néanmoins l'exode rural.
Les deux communes se sont associées en 1972 et un maire-adjoint a été nommé à Dreslincourt. Depuis le , les deux communes ont officiellement fusionné.
Politique et administration
Liste des maires
Distinctions et labels
Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[22].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[24].
En 2020, la commune comptait 3 683 habitants[Note 6], en diminution de 4,06 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 23,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 851 hommes pour 1 873 femmes, soit un taux de 50,3 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
En , le site chimique historique « Seco » ferme. Quatre-vingt-deux emplois directs sont supprimés, 200 à 250 emplois indirects[29].
Culture locale et patrimoine
Sites et monuments
- Ăglise Saint-RĂ©mi (RibĂ©court)
- Ăglise Saint-Eloi (Dreslincourt)
- ChĂąteau (XVIe siĂšcle)
- La grotte des Cinq Piliers
- Le mémorial d'Attiche
- Le monument aux morts (Ribécourt).
Personnalités liées à la commune
- Christine CarriÚre, scénariste et réalisatrice.
- Paul et René Minon, auteurs.
Culture Populaire
- La ville de Ribécourt est une des campagnes du jeu-vidéo Battlefield 1.
HĂ©raldique
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Les armes de RibĂ©court-Dreslincourt se blasonnent ainsi : AccolĂ©s: Au premier dâazur Ă la fasce dâargent accompagnĂ©e en chef de trois Ă©toiles dâor; au second: parti dâazur Ă trois croisettes potencĂ©es dâargent, et de gueules Ă la vache aussi dâargent; le tout sommĂ© dâun chef dâor chargĂ© d'un chĂąteau de sinople. |
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Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- Les dossiers de l'Inventaire du patrimoine culturel sur le patrimoine industriel de l'arrondissement de CompiĂšgne
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Fiche du Poste 60537001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Ribécourt-Dreslincourt », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de CompiÚgne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Louis GRAVES (1827-1855) PrĂ©cis statistique Annuaire de lâOise
- RĂ©gis LefĂšvre, « Jean-Guy LĂ©toffĂ© repart au combat », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Maire depuis 1999 - annĂ©e oĂč son prĂ©dĂ©cesseur, le socialiste Roland Florian, dĂ©jĂ trĂšs malade, avait Ă©tĂ© placĂ© sous tutelle - Jean-Guy LĂ©toffĂ© avait ensuite Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu en 2001 ».
- RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : « Une nouvelle Ă©quipe municipale se met en place ! », L'Info locale - Le journal de la Commune de RibĂ©court-Dreslincourt,â , p. 4-6 (lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
- A.C., « Jean-Guy LĂ©toffĂ© enfile l'Ă©charpe tricolore pour son cinquiĂšme mandat », Oise Hebdo, no 1369,â , p. 22 (ISSN 1774-6418).
- « Le palmarĂšs des villes et villages fleuris », Le Courrier picard Ă©dition de l'Oise,â .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de RibĂ©court-Dreslincourt (60537) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Seco fertilisants en liquidation judiciaire », Le Courrier picard, 19 juillet 2018, p. 3.