Tracy-le-Mont
Tracy-le-Mont est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Tracy-le-Mont | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC des Lisières de l'Oise | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Valente-Le Hir 2020-2026 |
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Code postal | 60170 | ||||
Code commune | 60641 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Traçotins, Traçotines | ||||
Population municipale |
1 720 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 93 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 17″ nord, 3° 00′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 39 m Max. 149 m |
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Superficie | 18,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Tracy-le-Mont (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-1 | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Elle est citée dans le poème de René Guy Cadou, La Saison de Sainte-Reine.
Géographie
Localisation
Le bourg est situé à 15 km au nord-est de Compiègne et à 26 km au nord-ouest de Soissons. Il est aisément accessible depuis la RN 31.
La forêt de Laigue occupe une part importante du territoire communal.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est drainée par le ru Dange et le rue du Daniel, qui se jettent dans l'Oise, affluent de la Seine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Tracy-le-Mont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tracy-le-Mont, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 2 830 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,6 %), terres arables (34,4 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
La commune s'est appelée Trapiacus en 1171.
Histoire
La terre de Tracy était une dépendance de la seigneurie de Tracy-le-Val, et qui relevait de la commanderie d'Éterpigny, près de Péronne. L'autel avait été donné aux Hospitaliers, par Simon, évêque de Noyon[24].
L'abbaye Notre-Dame d'Ourscamp possédait des biens à Tracy, l'église de Saint-Médard de Soissons en avait aussi ; en 1304 le moulin dit de Hubelet, près de Tracy, appartenait aux moines d'Ourscamp[24].
On fabriquait autrefois à Tracy des toiles de chanvre, de lin et de coton[24].
Vers 1825, Augustin-Louis-Victor des Acres de L'Aigle crée une école libre de filles à Tracy-le-Mont dans une propriété lui appartenant.
À la fin du XIXe siècle, la fabrication des brosses était la principale industrie des habitants de Tracy. Trois fabricants occupaient six cents ouvriers. À cette époque, on pouvait voir dans une ferme les restes d'une construction gothique du XVe siècle, que l'on estimait être une ancienne propriété des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem[24]. L'usine de brosserie Commelin Brénier citée en 1892 et spécialisée dans la préparation de soies de brosserie et fabrication d'articles en celluloïd est détruite par un incendie et reconstruite en 1914, avant le déclenchement de la guerre[25].
- Première Guerre mondiale
La commune est marquée par les combats de la Première Guerre mondiale.
Il existe un circuit de visite historique passant par le vieux village, la Pansée (au hameau de Bernanval), la nécropole nationale, la Butte des Zouaves et la carrière de la Maison du Garde.
- Bernanval
Au hameau de Bernanval, on trouve une maison reconvertie durant le conflit en poste de secours ; elle porte sur sa façade un quatrain intitulé « A la Pansée ».
- Quennevières du 6 au
En forêt d'Offémont, les monuments de la ferme Bimont honorent les régiments qui se sont distingués à la bataille de Quennevières (sur la commune de Moulin-sous-Touvent)[26].
La butte des Zouaves est située à 1,5 km, à vol d'oiseau, au nord de la ferme de Quennevières, en empruntant un chemin praticable au carrefour des départementales 85 et 335. Cette butte rend hommage à des soldats enterrés vivants au cours d'un bombardement. Elle se compose d'un tertre, sous lequel reposent les zouaves, ces soldats venant des colonies et qui ont participé activement aux combats de la ferme de Quennevières, surmonté d'une croix. Certes moins imposant, ce monument s'apparente à la tranchée des baïonnettes près de Verdun, qui rend hommage à tous ces hommes qui ont péri ensevelis dans leur tranchée par suite des bombardements ou des explosions de mines comme celle qui a vu disparaître deux compagnies françaises à la cote 108, près de Berry-au-Bac, le 31 mai 1917.
- Carrière de la Maison du Garde
La carrière de la Maison du Garde, aménagée par l'armée française pour le cantonnement de ses troupes, porte les emblèmes sculptés de la Musique du 2e Zouaves et du 1er régiment de Génie [27]. Ce dernier participa aux essais d'empoisonnement des lignes ennemies par gaz de combat.
À la fin de la guerre, le village a subi d'importantes dégradations[28] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [29].
- L'Après-Guerre
L'usine de brosserie est reconstruite après la Première Guerre mondiale par les établissements Reygaert de Saint-Quentin, et convertis dans la fabrication de meubles (chaises et tables). L'usine est agrandie au milieu du XXe siècle (partie centrale, sheds en brique au sud-est) soit par Reygaert, soit par Perrier, qui y installe vers 1962 une usine de construction mécanique. Le site est repris en 1972 par la société Poclain Hydraulics qui devient Case Poclain à partir de 1987. En 1989, elle emploie 233 salariés[30]. Les ateliers de fabrications en shed de la brosserie Commelin Brénier sont, eux, reconstruits en 1923, et l'entreprise poursuit son activité jusqu'en 1953, date à laquelle elle est convertie en usine de meubles Frédéric Duterne et de fabrication de postes radio et téléviseurs. En 1962, ces locaux occupaient plus de 20 salariés pour chacune des deux entreprises, puis, en 1983, 20 salariés pour Duterne et 30 salariés pour Impérator[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Attichy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Compiègne-1.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes des lisières de l'Oise, créée en 2000 sous le nom de communauté de communes du canton d'Attichy, et qui a pris son nom actuel en 2015.
Cette intercommunalité résulte de la transformation du district du canton d'Attichy créée le , qui avait succédé au SIVOM créé le et qui regroupait déjà les communes de l'ancien canton d'Attichy.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2020, la commune comptait 1 720 habitants[Note 8], en diminution de 1,26 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 882 hommes pour 848 femmes, soit un taux de 50,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Brice. Elle contient des éléments de mobilier liturgique du XIIIe au XVIIIe siècle.
- Anciennes usines de brosserie; 28 rue de Bailly[30] et 2 rue de Nervaise[25], avec un séchoir en cours de sauvetage.
- Jardins d'agrément du château d'Ollencourt (ou château Nervaise) et de la maison de santé d'Ollencourt.
Personnalités liées à la commune
- Victor de l'Aigle (1766 - 1867) : décédé à Tracy-le-Val le , à 101 ans, ce personnage éminent de l'Oise, vers 1825, crée une école libre de filles à Tracy-le-Mont dans une propriété lui appartenant. Par acte du , il fait donation de cette propriété à la commune sous condition : « d'employer l'immeuble donné à l'usage d'école communale de filles, la volonté formelle du donateur étant qu'on ne puisse lui donner une autre destination ».
En 1981, cette maison sise au 16 rue des Cornouillers a cessé d'être utilisée comme école. En 1989, à la demande de la municipalité, les descendants de la famille ont autorisé la commune à vendre cette propriété pour financer la construction de la nouvelle salle municipale et ont émis le vœu qu'y soit donné le nom de leur ancêtre. Le Centre socio-culturel Victor-de-l'Aigle a été inauguré le samedi en présence des descendants. Par ailleurs, la ville de Compiègne porte une rue au nom des Acres. - Henry Francois Raoul Frary (1842 - 1892) : journaliste et essayiste est né à Tracy-le-Mont.
- Charles Loonen, industriel.
- Édith Arnoult-Brill (1949-2020), professeure de sciences sociales, membre et vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental, y est née.
Héraldique
Blason | Écartelé : aux 1) et 4) d'or à trois pals alésés de sinople, de tailles croissantes de dextre à senestre dans le 1er et décroissantes dans le 4e, aux 2e et 3e d'or au cœur de sinople[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site des associations de la commune de Tracy le Mont
- « Dossier complet : Commune de Tracy-le-Mont (60641) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tracy-le-Mont et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tracy-le-Mont et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tracy-le-Mont », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 33-34, lire en ligne sur Gallica.
- « Brosserie Commelin Brénier ; puis usine de meubles Duterne ; puis usine de matériel radioélectrique Imperator Radiotélé, puis Constructions Electroniques de l'Oise, puis Radiotélévision de l'Oise », notice no IA60001044, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Illustrations photographiques des monuments de 14-18 », sur ce.qui.demeure.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « Historique de la compagnie 4/1 du 1er régiment du Génie », sur http://jburavand.free.fr/historiques%20RG/RG001_Histo.pdf (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 12 août 1920, p. 11718.
- « Brosserie ; puis usine de meubles Reygaert ; puis usine de construction mécanique Perrier, puis Poclain Hydraulics, puis Case Poclain », notice no IA60001043, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Tracy-le-Mont », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Henri, Louis, Espérance des Acres de l'Aigle (1803 - 1875) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Le maire va démissionner », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « S'il devrait rester conseiller municipal, Jacques-André Boquet sera très certainement remplacé par sa première ajointe à la mairie de Tracy-le-Mont, Sylvie Valente. Cette dernière reprendra aussi le poste de vice-présidente de la communauté de communes ».
- Sylvie Valente-Le Hir, « Éditorial », Chronique de Tracy-le-Mont,‎ , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « En novembre M. Boquet a cessé ses fonctions de maire, il a été remplacé par Mme Valente-Le Hir. Ce changement n’affecte, ni ne démotive le conseil municipal. C’estla même équipe qui continue la même politique, avec la même volonté de garder Tracy-le-Mont vivant, de vivre ensemble, et d’embellir et aménager notre commune. ».
- A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369,‎ , p. 18 (ISSN 1774-6418).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tracy-le-Mont (60641) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.