Saint-Julien-Chapteuil
Saint-Julien-Chapteuil (Sant Julian e Chaptuelh en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Julien-Chapteuil | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal (siège) |
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Maire Mandat |
André Ferret 2020-2026 |
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Code postal | 43260 | ||||
Code commune | 43200 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Capitolien | ||||
Population municipale |
2 010 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 09″ nord, 4° 03′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 771 m Max. 1 408 m |
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Superficie | 28,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Emblavez-et-Meygal (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Elle est le lieu de naissance de Jules Romains.
GĂ©ographie
C’est une commune de moyenne montagne (1 090 m d'altitude moyenne), sur le territoire de laquelle se dressent plusieurs sucs dépassant les 1000 mètres et faisant partie du massif du Meygal :
- au nord : le mont Chanis (alt. 1 231 m), le mont Rouge (1 159 m), le Peyre de Bard (1 200 m), le suc de la Faye (1 106 m) ;
- à l’est : le Mounier (1 407 m, point culminant de la commune), dont les flancs nord, ouest et sud appartiennent à la commune ;
- au sud : la Tortue (1 327 m) et le Montcharret (1 199 m), dont les flancs nord se situent dans la commune ;
- au centre, à 1 km environ du bourg de Saint-Julien, s’élève le suc de Chapteuil (1 031 m), remarquable par ses orgues basaltiques, et porteur d’une tour ruinée.
Le suc de Monac, même s’il semble indissociablement lié, visuellement et picturalement, au bourg de Saint-Julien, est sis en réalité dans la commune voisine de Saint-Pierre-Eynac.
Localisation
La commune de Saint-Julien-Chapteuil se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Pierre-Eynac (2,5 km), Saint-Hostien (4,3 km), Queyrières (5,1 km), Montusclat (5,5 km), Lantriac (5,9 km), Saint-Étienne-Lardeyrol (6,2 km), Le Pertuis (6,8 km), Blavozy (7,0 km).
La commune bénéficie d'un climat tempéré, chaud.
Urbanisme
Typologie
Saint-Julien-Chapteuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [4] - [I 2] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,8 %), forêts (39,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 342, alors qu'il Ă©tait de 1 277 en 2013 et de 1 226 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 65,8 % étaient des résidences principales, 20,2 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,1 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Julien-Chapteuil en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,7 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Si aucune trace d'occupation préhistorique n'a été trouvée sur le territoire de l'actuelle commune, Chapteuil semble avoir été dans l’antiquité la capitale d'une tribu Ligure ayant migré pour s'établir là . Trois éléments portent à le supposer : Chapteuil est dérivé de Capitolium, mot par lequel les Ligures désignaient leurs sièges administratifs et religieux; les seigneurs de Chapteuil portaient le titre de comtor du Velay (mais il est difficile de faire un lien entre une désignation médiévale et des faits remontant à la plus haute antiquité); des ateliers monétaires étaient autrefois établis au lieu-dit Monedeyres (dans l’actuelle commune de Queyrières), c’est-à -dire à peu de distance du Capitole ligure.
La tribu Celte Vellaune qui s'impose ensuite fixe sa capitale Ă Ruessio (Saint-Paulien)[7].
Du Moyen Âge à la Révolution française
La localité de Saint-Julien se développe autour d’un prieuré fondé à la fin du XIe siècle par des moines bénédictins, que les seigneurs de Chapteuil avaient fait venir de la Chaise-Dieu.
En 950, le Velay (Pagus vellaicus) est divisé en dix vigueries (chacune administrée par un viguier, lieutenant du comte, chargé de la levée de l'impôt), dont celle de Chapteuil (Vicaria Capitolio ou Vicaria Castro Capitoliensis[8]), à laquelle sont rattachées en 1016 Les Engouyoux (commune de Laussonne), Neyzac (commune de Saint-Julien-Chapteuil), Le Ponteil, (commune de Saint-Pierre-Eynac)[9].
L'église Saint-Julien, bâtie au XIIe siècle, appartenait à l'archiprêtre de Monistrol, lui-même soumis au diocèse du Puy. Le château des seigneurs de Chapteuil est peut-être bâti à la même époque, sur un neck. Il n'en reste aujourd'hui que quelques ruines.
Il existe une interrogation sur l'origine du nom de Pons de Chapteuil, troubadour auvergnat et seigneur de Vertaizon (Floruit 1190-1237), laissant supposer un lien avec Chapteuil, ancien nom de la municipalité actuelle.
Du point de vue judiciaire, le bailliage du Velay, institué vers l'année 1278 et dont Saint-Julien fait partie, ressortit au sénéchal de Beaucaire.
En 1733, Jean Pierre de Surrel (1686-1756) fait l'acquisition du fief, qui reste en possession de la famille de Surrel de Saint-Julien jusqu'Ă la RĂ©volution[10].
De la Révolution française à aujourd'hui
La commune est créée en 1790 par la fusion des bourgs de Saint-Julien[11] et Chapteuil[12], et porte quelque temps le nom de Mont-Mégal.
L'Assemblée nationale, lors de sa séance du , décrète la constitution du département du Velay, (auquel une autre délibération législative le donne le nom de département de la Haute-Loire), divisé en trois districts et trente-deux cantons, dont dans le district du Puy le canton de Saint-Julien-Chapteuil avec 6 municipalités : Lantriac, Montusclat, Saint-Étienne- Lardeyrol, Saint-Hostien,Saint-Julien-Chapteuil, Saint-Pierre-Eynac. Deux communes sont ajoutées ultérieurement : Queyrières et Le Pertuis.
Des prêtres réfractaires sont cachés dans la grotte de Chaumard bas (alias Coirat)[13].
Le naît sur la commune l'écrivain et philosophe Jules Romains.
Cent-deux enfants de la municipalité sont tombés aux champs-d'honneur lors de la Première Guerre mondiale, et trois lors de la seconde.
Le club de football "Olympic Saint-Julien-Chapteuil" est fondé en 1938.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Saint-Julien-Chapteuil est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Emblavez-et-Meygal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[15].
Liste des maires
La commune englobe, outre le gros bourg de Saint-Julien, les villages et hameaux suivants : Rocherols et Montchanis (tous deux situés au pied du mont Chanis), le Villaret, la Faye, Bourgeneuf, Bard, les Ardennes, Chaumard, Neyzac (Bas et Haut), les Couderts, Chapteuil (au pied du suc de Chapteuil, du latin capitolium), Bacelles, Peyrebrune, la Chapuze, Sumène, Auteyrac, Jalazou, le Betz, Chanalez, le Fraisse, les Chiers, Bellerut, les Vignettes, Saint-Marsal, les Gonnets et la Chapelette.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].
En 2020, la commune comptait 2 010 habitants[Note 5], en augmentation de 6,41 % par rapport Ă 2014 (Haute-Loire : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,0 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 957 hommes pour 1 002 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 863 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 880 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 360 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 15] | 4,4 % | 5,4 % | 5,2 % |
DĂ©partement[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 141 personnes, parmi lesquelles on compte 77,3 % d'actifs (72,2 % ayant un emploi et 5,2 % de chômeurs) et 22,7 % d'inactifs[Note 7] - [I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 18]. Elle compte 625 emplois en 2018, contre 651 en 2013 et 611 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 832, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,5 %[I 19].
Sur ces 832 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 231 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 88,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Julien
L'église Saint-Julien est située un peu en hauteur par rapport au bourg. Les débuts de la construction remontent au XIIe siècle. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1907[20].
Chapelle du hameau de la Chapelette
Le hameau de la Chapelette, dans l’extrême sud de la commune, possède une chapelle dédiée à saint Barthélémy, dont la nef et l’abside actuelles semblent d’origine romane (XIe et XIIe siècles), mais dont la façade ouest et le clocher sont des reconstructions datant du XVIIe siècle. Bien qu’elle ait été mentionnée pour la première fois en 1210, des sarcophages mérovingiens trouvés à proximité suggèrent cependant qu’il s’agit d’un lieu de culte plus ancien encore. À l’intérieur, on note une statue naïve de saint Barthélémy portant, après avoir été écorché vif, sa propre dépouille. (Inscrite MH 1982[21] ; propriété privée).
Musée Jules-Romains
L'office de tourisme abrite, au premier étage, un musée Jules-Romains où sont exposés des bureaux et des documents de l'écrivain.
ForĂŞt domaniale du Meygal
La forêt domaniale qui couvre le massif du Meygal, qui se trouve à moins de 4 km à l'est du bourg, est un lieu propice aux randonnées. Seule une petite partie du massif, au sud-ouest, se situe sur le territoire de Saint-Julien-Chapteuil. Entre le mont Chabrier et le Testavoyre, sur la commune de Queyrières, le long d'une petite route, se trouve la maison des Copains, ancienne maison forestière parfaitement conservée[22], où se situe le joyeux banquet final du roman de Jules Romains Les Copains (1913). Jules Romains aimait à s'y rendre avec ses amis. Ceux qui veulent honorer la mémoire de cet auteur s'y retrouvent volontiers, depuis 1968, un dimanche proche du 26 août, anniversaire de sa naissance[23] - [24].
Personnalités liées à la commune
- Jules Romains, de son vrai nom Louis Henri Jean Farigoule ( à Saint-Julien-Chapteuil - à Paris), écrivain français. Il naît au hameau de la Chapouze, où ses parents viennent chaque année passer leurs vacances dans la ferme familiale. Plus tard, Jules Romain revient souvent à Saint-Julien avec sa première femme, Gabrielle Gaffé ; ils logent à l'Hôtel du Midi. C'est là qu'en 1924 il écrit Knock[23].
HĂ©raldique
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Les armes de Saint-Julien-Chapteuil se blasonnent ainsi : D'azur au lion d'argent, armé et lampassé de gueules. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Danièle Reymond et Pierre Bozon, Le bassin de Saint-Julien-Chapteuil : in Cahiers de la Haute-Loire 1975, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Roger Nicolas, Les mandements de Chapteuil-Bas et de La Chapelle de Loudes à la fin du XVIIe siècle et au XVIIe siècle. Fiscalité, démographie, sociologie : in Cahiers de la Haute-Loire 2004, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
- Jean Hugot, Dessins de Saint-Julien-Chapteuil et de ses villages : in Cahiers de la Haute-Loire 2004, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
- Thibault Sauzaret, 1936 : des druides à Saint-Julien-Chapteuil (récit de la fête régionaliste, félibréenne et néo-druidique de la Sainte Estelle organisée par Albert Boudon-Lashermes) : in Cahiers de la Haute-Loire 2022, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, .
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-Chapteuil - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-Chapteuil - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Julien-Chapteuil (43200) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Julien-Chapteuil » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7 et 2700503198).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julien-Chapteuil et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Julien-Chapteuil », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Livre "La Haute-Loire insolite", pages 9 et 10, de Roger Briand, juillet 2016.
- Page Wikipedia de la municipalité de Saint-Pierre-Eynac.
- Augustin Chassaing Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire comprenant les noms de lieu anciens et modernes complété et publ. par M. Antoine Jacotin ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; sous la dir. du Comité des travaux historiques. 1907. Éd.E. Leroux (Paris) lire sur Gallica ark:/12148/bpt6k392965
- Site internet www.saintjulienchapteuil.fr __"Saint-Julien-Chapteuil - Histoire".
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chapteuil », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Livre "Le monde souterrain de Haute-Loire", de Jean-Paul Béal, année 2018, page 209.
- « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église Saint-Julien », notice no PA00092858, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00092857, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Cette maisonnette de 6 m2 est ouverte aux visiteurs. L'Éveil de la Haute-Loire, 16 janvier 2021.
- Jean-Paul Clébert, Les Hauts-lieux de la littérature en France, Paris, Bordas, 1990, p. 121.
- Gaëtan Barralon, « Les Capitoliens célèbrent le centenaire des Copains de Jules Romains. Saint-Julien-Chapteuil. Dimanche, l’œuvre de l’auteur capitolien reçoit un hommage de la commune », Le Progrès, 22 août 2013 (en ligne).