Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Hilaire-le-Château

Saint-Hilaire-le-Château est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Hilaire-le-Château
Saint-Hilaire-le-Château
L'église Saint-Hilaire-et-Saint-Gervais de Saint-Hilaire-le-Château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jean-Yves Grenouillet
2020-2026
Code postal 23250
Code commune 23202
Démographie
Population
municipale
226 hab. (2020 en diminution de 4,64 % par rapport à 2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 57″ nord, 1° 53′ 51″ est
Altitude Min. 443 m
Max. 590 m
Superficie 19,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Ahun
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Hilaire-le-Château
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Hilaire-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Voir sur la carte topographique de la Creuse
Saint-Hilaire-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Hilaire-le-Château

    Géographie

    Généralités

    La Gosne en bordure du bourg de Saint-Hilaire-le-Château.

    Dans le quart sud-ouest du département de la Creuse, la commune de Saint-Hilaire-le-Château s'étend sur 19,59 km2. Elle est arrosée par le Thaurion — qui lui sert de limite sur sept kilomètres, en deux tronçons, avec les communes de Vidaillat, Soubrebost et Pontarion — et par son affluent la Gosne, les deux cours d'eau se rejoignant juste au sud-ouest du bourg.

    L'altitude minimale 443 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, en aval de la chute du Poirier, là où le Thaurion quitte la commune et entre sur celle de Pontarion. L'altitude maximale avec 590 mètres est située à l'extrême sud-est, sur les pentes sud du puy Rougier[1].

    À l'intersection des routes départementales 34, 43 et 941, le bourg de Saint- Hilaire-le-Château est situé, en distances orthodromiques, 21 kilomètres au sud de Guéret.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 10 et 13.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Hilaire-le-Château et des communes avoisinantes.

    Saint-Hilaire-le-Château est limitrophe de sept autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Hilaire-le-Château
    Sardent La Chapelle-Saint-Martial
    Pontarion Saint-Hilaire-le-Château Saint-Georges-la-Pouge
    Soubrebost Vidaillat La Pouge

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 097 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontarion_sapc », sur la commune de Pontarion, mise en service en 1910[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 169,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 52 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), forêts (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), zones urbanisées (2,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-le-Château est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Taurion et la Gosne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Hilaire-le-Château.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 230 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 122 sont en en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage sur le Taurion de classe A[Note 6] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 17,4 millions de mètres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Hilaire-le-Château est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours Jean-Yves Grenouillet DVG Fonctionnaire

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 226 habitants[Note 7], en diminution de 4,64 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    809850670765818930930954901
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    903887870935940948982994942
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    960937922816761660644586504
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    447418356352296276273273247
    2017 2020 - - - - - - -
    233226-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le pont-Périt, ou pont-Perri, ou pont Péri, ou pont des Fées franchit la Gosne, un kilomètre et demi au nord-nord-est du bourg. Pont antique d'une seule arche, faite de gros blocs de granit selon la technique de construction opus quadratum, il mesure quatre mètres de long sur une largeur de deux mètres cinquante, et supporte un chemin piétonnier. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1995[34]
    • Entre Saint-Hilaire-le-Château et Pontarion, le Thaurion fait de nombreux méandres, mais franchit aussi un dénivelé de trois mètres créant ainsi les chutes du Poirier, où il reste les ruines sans doute d'un vieux moulin et d'une ancienne fabrique d'épingles à linge.
    • L'église Saint-Hilaire-et-Saint-Gervais est une église médiévale fortifiée.
    • Le pont-Périt.
      Le pont-Périt.
    • Le chevet de l'église.
      Le chevet de l'église.
    • Son clocher fortifié.
      Son clocher fortifié.
    • Son portail sud.
      Son portail sud.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Cartes postales anciennes

    • La chute d'eau à la Minoterie.
      La chute d'eau à la Minoterie.
    • La place de l'Église.
      La place de l'Église.
    • Le château.
      Le château.
    • Les bords du Thaurion.
      Les bords du Thaurion.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Puy Rougier » sur Géoportail (consulté le 25 juillet 2018)..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pontarion_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-le-Château et Pontarion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pontarion_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-le-Château et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Hilaire-le-Château », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Hilaire-le-Château », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. Article R214-112 du code de l’environnement
    27. « barrage de Vassiviere », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Pont-Périt », notice no PA00135406, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 juillet 2018.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.