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Saint-Germain-d'Esteuil

Saint-Germain-d'Esteuil est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Germain-d'Esteuil
Saint-Germain-d'Esteuil
Vue du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes MĂ©doc CƓur de Presqu'Ăźle
Maire
Mandat
Philippe Buggin
2020-2026
Code postal 33340
Code commune 33412
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Germinois
Population
municipale
1 286 hab. (2020 en augmentation de 6,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 17â€Č 23″ nord, 0° 51â€Č 57″ ouest
Superficie 44,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lesparre-MĂ©doc
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Germain-d'Esteuil
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Liens
Site web www.saintgermaindesteuil.com

    GĂ©ographie

    La commune de Saint-Germain-d'Esteuil est située dans le Médoc.

    Elle comprend notamment les hameaux et Ă©carts de Artiguillon, Dartrat, Boyentran, Guibeau, l'HĂŽpital, Lagune, Liard, Miqueu, Pillet et Saint-Gaux[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 897 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lesparre-MĂ©doc », sur la commune de Lesparre-MĂ©doc, mise en service en 1985[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  47 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă  pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germain-d'Esteuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-MĂ©doc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (68,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (35,5 %), forĂȘts (32,7 %), cultures permanentes (9,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,5 %), prairies (6,9 %), terres arables (4,2 %), zones humides intĂ©rieures (2,1 %), zones urbanisĂ©es (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Germain-d'Esteuil est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[22] - [20].

    Saint-Germain-d'Esteuil est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[23]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-d'Esteuil.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 97,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 666 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 646 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 8] - [27] - [28].

    Toponymie

    Vraisemblablement, le nom est issu de la forme « esteir », venant du latin « Aestuarium ». Le lieu est en effet un ancien bras mort de l'estuaire de la Gironde. Le gascon nommait ainsi les bras morts de riviÚres ou les petites riviÚres qui se jetaient directement dans l'océan. La francisation du nom serait donc logiquement Saint-Germain-l'Estuaire.

    Le nom latin en Ă©tait Sancti Germani d'Aestuarium.

    Histoire

    Le territoire a été occupé dÚs le néolithique, comme en témoigne le monument mégalithique de BarbehÚre.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1790 Bonis
    1790 1790 Collombe
    1790 1792 Ostein Elie
    1792 1800 Normandin Pierre
    1800 1823 Duperier Germain
    1823 1830 Duperier de Larsan Jean-Jacques
    1830 1832 Trefseint Pierre
    1832 1842 Tripota Pierre
    1842 1844 Charron Pierre-Gabriel
    1844 1855 Tripota Pierre
    1855 1881 De Verthamon Martial
    1881 1886 Lambert Gabriel
    1886 1896 Camin Antoine
    1896 1900 Baron de Lestrange
    1900 1904 Blanc Jules
    1904 1908 Courrian Daniel
    1908 1919 Destanque Emilien
    1919 1925 Courrian Daniel
    1925 1928 Liquard Abel
    1928 1929 Videau Mathurin
    1929 1931 Degonde Jules
    1931 1935 Liquard Abel
    1935 1941 Émile Liquard
    (1905-1984)
    MRP puis UNR Conseiller général, député (1946-1958 et 1958-1962)
    1941 1943 Liquard Henri
    1943 1977 Émile Liquard
    (1905-1984)
    MRP puis UNR Conseiller général, député (1946-1958 et 1958-1962)
    mars 2001 mars 2014 Jean-Jacques Corsan PS Conseiller régional (2010-), député suppléant,
    prĂ©sident de la CC CƓur du MĂ©doc (-2014)
    2014 En cours Philippe Buggin DVG Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Les habitants en sont les Saint-Germinois[29]

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31]. En 2020, la commune comptait 1 286 habitants[Note 9], en augmentation de 6,28 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1711 3041 3771 2261 4041 3101 3401 3501 245
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2581 3351 3411 3601 3941 4321 3071 3071 314
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2471 1881 1651 0791 0489501 0099811 017
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9151 0037648551 0201 0871 1611 1871 218
    2020 - - - - - - - -
    1 286--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Patrimoine civil

    • La mairie.
      La mairie.
    • L'Ă©glise et la croix de mission.
      L'Ă©glise et la croix de mission.
    • La croix de mission.
      La croix de mission.
    • La statue de la Vierge Ă  l'Enfant.
      La statue de la Vierge Ă  l'Enfant.
    • Dolmen de BarbehĂšre.
      Dolmen de BarbehĂšre.
    • Vestiges du thĂ©Ăątre gallo-romain de Brion.
      Vestiges du théùtre gallo-romain de Brion.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Patrimoine environnemental

    En 2010, le jardin conservatoire « Flore et vie » a ouvert ses portes. Il est consacré à la découverte des plantes potagÚres extraordinaires, anciennes et mondiales et comporte également des collections de basse-cour d'antan. Le jardin se visite de juin à octobre.

    Personnalités liées à la commune

    • L'Ă©crivain Étienne de la BoĂ©tie (1530-1563) fut le propriĂ©taire du ChĂąteau Castera[39] qui Ă©tait situĂ© sur les terres de son Ă©pouse Marguerite de Carle.
    • Charles Galy-AchĂ© (1903-1982), fondateur des Cahiers MĂ©dulliens, revue de la sociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du MĂ©doc. Les recherches de Charles Galy-AchĂ© sont Ă  l'origine de la dĂ©couverte du site archĂ©ologique de Brion. C'est sous l'impulsion de ce dernier que les premiers sondages et fouilles ont Ă©tĂ© entrepris en 1966 avec le propriĂ©taire du terrain M. Chevrier.
      Les travaux et recherches de Charles Galy-Aché ont largement contribué à la connaissance de l'histoire et de l'archéologie du Médoc.
    • L'aquarelliste GĂ©rald Tron a installĂ© le siĂšge de son association MĂ©doc culturel dans les locaux de la maison La BoĂ©tie au cƓur de Saint-Germain-d'Esteuil.

    HĂ©raldique

    Blason Ă  dessiner Blason
    TaillĂ© au 1er d'azur au poirier d'argent fruitĂ© d'or, au 2e de gueules au lion lĂ©opardĂ© contournĂ© en barre d'or; Ă  la barre d'or chargĂ©e de l'inscription « SENT-GERMAN-D'ESTULH Â» en lettres capitales de sable, brochant sur la partition[40].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. www.viamichelin.fr Extrait de cartographie montrant les hameaux et Ă©carts de la commune de Saint-Germain-d'Esteuil.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Lesparre-Médoc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Germain-d'Esteuil et Lesparre-Médoc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Lesparre-Médoc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Germain-d'Esteuil et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Germain-d'Esteuil », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    29. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 21 juillet 2014.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Inscription du dolmen de BarbehÚre », notice no PA00083892, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    35. André Coffyn, avec la collaboration d'Hubert Sion, L'Allée d'Aquitaine de BarbehÚre, Centre Pierre Paris, diff. De Boccard, 1996, 100 p., ill.
    36. « Inscription de la statue de la vierge », notice no PA00083910, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. « Eglise paroissiale Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    38. « Théùtre gallo-romain de Brion », notice no PA00083745, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    39. http://www.caruso33.net/chateau-castera-medoc.php
    40. « Blason
 », sur armorialdefrance.fr.
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