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Saint-Seurin-de-Cadourne

Saint-Seurin-de-Cadourne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Seurin-de-Cadourne
Saint-Seurin-de-Cadourne
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes MĂ©doc CƓur de Presqu'Ăźle
Maire
Mandat
GĂ©rard Roi
2020-2026
Code postal 33180
Code commune 33476
DĂ©mographie
Population
municipale
700 hab. (2020 en diminution de 1,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 44 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 17â€Č 14″ nord, 0° 47â€Č 16″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 23 m
Superficie 15,77 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Seurin-de-Cadourne
Liens
Site web www.saint-seurin-de-cadourne.fr

    GĂ©ographie

    La commune est située sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde dans le Médoc, sur l'aire de production de l'appellation haut-médoc.

    Communes limitrophes

    La commune de Saint-Ciers-sur-Gironde est sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 865 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  48 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă  pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Seurin-de-Cadourne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Gironde, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,5 %), eaux maritimes (30,7 %), prairies (23,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,6 %), zones humides intĂ©rieures (4,7 %), zones urbanisĂ©es (1,9 %), forĂȘts (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Seurin-de-Cadourne est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[25] - [23].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[26]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Seurin-de-Cadourne.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 57,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 429 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 386 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 90 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1990 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Risques technologiques

    La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 6]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 7] - [29] - [30].

    Histoire

    Le monument aux morts du cimetiĂšre.

    Habitée dÚs l'ùge de pierre comme le prouvent de nombreuses trouvailles archéologiques, le village de Saint-Seurin-de-Cadourne était une étape des pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juin 1995 mars 2001 Raymond Pierre PCF
    mars 2001 En cours Gérard Roi UMP-LR Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'office du tourisme

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 700 habitants[Note 8], en diminution de 1,13 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2741 1951 1021 0871 0901 1011 1041 1351 141
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1451 2131 2191 2401 3311 3341 2301 2641 215
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2191 2031 137925884758665728726
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    660634710753799767718706711
    2018 2020 - - - - - - -
    708700-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    Vue sur le vignoble.

    Commune viticole, aire de production de l'appellation haut-médoc.

    Lieux et monuments

    Ancienne Ă©glise

    Avant 1793, Il y avait une Ă©glise principale dans notre paroisse, situĂ©e Ă  Cadourne, Saint-Martin-de-Cadourne et une chapelle Ă  Saint-Seurin, Ă  l’usage des pĂšlerins de Saint-Jacques.

    C’est en 1830 que Saint-Martin-de-Cadourne fut dĂ©molie.

    La cloche fut transportĂ©e au bourg, l’autel est devenu l’autel principal actuel. La statue de la Vierge Marie, ainsi que celle de saint Joseph (en bois dorĂ©) seraient originaires de Saint-Martin-de-Cadourne.

    Nouvelle Ă©glise : Église Saint-Seurin de Saint-Seurin-de-Cadourne

    Ainsi l'Ă©glise actuelle fut d’abord une simple chapelle ayant une nef de 70 Ă  75 pieds de longueur et 16 Ă  17 pieds de largeur. Sans pouvoir fixer de date, plus tard, on construisit, pour l’agrandir, une nef au bas-cĂŽtĂ© midi et enfin une autre nef au bas-cĂŽtĂ© nord vers 1770.

    • Vue de la façade.
      Vue de la façade.
    • La nef.
      La nef.
    • Peintures du plafond du chƓur.
      Peintures du plafond du chƓur.
    • un vitrail.
      un vitrail.
    • Plaque hommage aux soldats de 14-18.
      Plaque hommage aux soldats de 14-18.

    Patrimoine civil

    Cette commune est la plus élevée du Haut-Médoc, elle compte 53 domaines viticoles et chùteaux.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre ContĂ©
    • Charles Galy-AchĂ© (1903-1982) : fondateur de la revue de la SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie du MĂ©doc : Les Cahiers MĂ©duliens. Commandeur du mĂ©rite maritime, chevalier de la LĂ©gion d'honneur, chevalier de l'ordre LĂ©opold de Belgique, chevalier du MĂ©rite agricole.
    • Suzanne Courbet-Galy 1911-2014 : artiste peintre, mĂ©daillĂ©e des villes de Paris et de Bordeaux, membre des Artistes français[35]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    7. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pauillac-Sud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Seurin-de-Cadourne et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pauillac-Sud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Seurin-de-Cadourne et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Seurin-de-Cadourne », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Seurin-de-Cadourne », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. http://courbetgaly.free.fr/Bienvenue.html
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