Saint-Germain-d'Esteuil
Saint-Germain-d'Esteuil est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Germain-d'Esteuil | |||||
Vue du bourg. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Lesparre-MĂ©doc | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes MĂ©doc CĆur de Presqu'Ăźle | ||||
Maire Mandat |
Philippe Buggin 2020-2026 |
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Code postal | 33340 | ||||
Code commune | 33412 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Germinois | ||||
Population municipale |
1 286 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 17âČ 23âł nord, 0° 51âČ 57âł ouest | ||||
Superficie | 44,35 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lesparre-MĂ©doc (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Nord-MĂ©doc | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saintgermaindesteuil.com | ||||
GĂ©ographie
La commune de Saint-Germain-d'Esteuil est située dans le Médoc.
Elle comprend notamment les hameaux et Ă©carts de Artiguillon, Dartrat, Boyentran, Guibeau, l'HĂŽpital, Lagune, Liard, Miqueu, Pillet et Saint-Gaux[1].
Communes limitrophes
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lesparre-MĂ©doc », sur la commune de Lesparre-MĂ©doc, mise en service en 1985[8] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă 47 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Germain-d'Esteuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-Médoc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (68,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (35,5 %), forĂȘts (32,7 %), cultures permanentes (9,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,5 %), prairies (6,9 %), terres arables (4,2 %), zones humides intĂ©rieures (2,1 %), zones urbanisĂ©es (0,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Germain-d'Esteuil est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[22] - [20].
Saint-Germain-d'Esteuil est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[23]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 97,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 666 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 646 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 2 km se mettent Ă l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s dâiode stable[Note 8] - [27] - [28].
Toponymie
Vraisemblablement, le nom est issu de la forme « esteir », venant du latin « Aestuarium ». Le lieu est en effet un ancien bras mort de l'estuaire de la Gironde. Le gascon nommait ainsi les bras morts de riviÚres ou les petites riviÚres qui se jetaient directement dans l'océan. La francisation du nom serait donc logiquement Saint-Germain-l'Estuaire.
Le nom latin en Ă©tait Sancti Germani d'Aestuarium.
Histoire
Le territoire a été occupé dÚs le néolithique, comme en témoigne le monument mégalithique de BarbehÚre.
Politique et administration
DĂ©mographie
Les habitants en sont les Saint-Germinois[29]
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31]. En 2020, la commune comptait 1 286 habitants[Note 9], en augmentation de 6,28 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
- Monument mégalithique dit dolmen de BarbehÚre, inscrit monument historique depuis 1989[34]. Il a fait l'objet de fouilles systématiques entre 1987 et 1992 et a livré un matériel archéologique abondant[35].
Patrimoine religieux
- Croix de mission datée de 1860 avec statue de la Vierge. Elle est inscrite monument historique depuis 1992[36].
- L'église paroissiale Saint-Germain de style néo-roman avec son clocher-porche. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37].
Patrimoine civil
- Vestiges du théùtre gallo-romain de Brion du Ier siÚcle, situé à Castelet. Ils ont été réutilisés au XIVe siÚcle pour une maison fortifiée. Ils sont inscrits au titre des monuments historiques depuis 1984[38].
- La mairie.
- L'Ă©glise et la croix de mission.
- La croix de mission.
- La statue de la Vierge Ă l'Enfant.
- Dolmen de BarbehĂšre.
- Vestiges du théùtre gallo-romain de Brion.
- Le monument aux morts.
Patrimoine environnemental
En 2010, le jardin conservatoire « Flore et vie » a ouvert ses portes. Il est consacré à la découverte des plantes potagÚres extraordinaires, anciennes et mondiales et comporte également des collections de basse-cour d'antan. Le jardin se visite de juin à octobre.
Personnalités liées à la commune
- L'Ă©crivain Ătienne de la BoĂ©tie (1530-1563) fut le propriĂ©taire du ChĂąteau Castera[39] qui Ă©tait situĂ© sur les terres de son Ă©pouse Marguerite de Carle.
- Charles Galy-Aché (1903-1982), fondateur des Cahiers Médulliens, revue de la société historique et archéologique du Médoc. Les recherches de Charles Galy-Aché sont à l'origine de la découverte du site archéologique de Brion. C'est sous l'impulsion de ce dernier que les premiers sondages et fouilles ont été entrepris en 1966 avec le propriétaire du terrain M. Chevrier.
Les travaux et recherches de Charles Galy-AchĂ© ont largement contribuĂ© Ă la connaissance de l'histoire et de l'archĂ©ologie du MĂ©doc. - L'aquarelliste GĂ©rald Tron a installĂ© le siĂšge de son association MĂ©doc culturel dans les locaux de la maison La BoĂ©tie au cĆur de Saint-Germain-d'Esteuil.
HĂ©raldique
Blason | Taillé au 1er d'azur au poirier d'argent fruité d'or, au 2e de gueules au lion léopardé contourné en barre d'or; à la barre d'or chargée de l'inscription « SENT-GERMAN-D'ESTULH » en lettres capitales de sable, brochant sur la partition[40]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 2.XVIII, pages 278-281, article 2.XIX, pages 281-283, article 2.XX, pages 283-285 et Sagondignac article 1.XXXII, pages 210-212.
- Myriam Vialatte, « Saint-Germain d'Esteuil. ChĂąteau CastĂ©ra. XVIIe siĂšcle », Le festin hors-sĂ©rie. La Gironde en 101 monuments,â , p. 31 (ISSN 1143-676X)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Le patrimoine historique de Saint-Germain-d'Esteuil
- Biographie d'Ămile Liquard sur le site de l'AssemblĂ©e nationale
- Association MĂ©doc culturel
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le pĂ©rimĂštre de 2 km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă lâabri dĂšs lâalerte et suivre les consignes.
- Les comprimĂ©s dâiode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets dâiode radioactif qui pourraient survenir en cas dâaccident nuclĂ©aire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- www.viamichelin.fr Extrait de cartographie montrant les hameaux et Ă©carts de la commune de Saint-Germain-d'Esteuil.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lesparre-Médoc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Germain-d'Esteuil et Lesparre-Médoc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lesparre-Médoc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Germain-d'Esteuil et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Germain-d'Esteuil », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 21 juillet 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Inscription du dolmen de BarbehÚre », notice no PA00083892, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- André Coffyn, avec la collaboration d'Hubert Sion, L'Allée d'Aquitaine de BarbehÚre, Centre Pierre Paris, diff. De Boccard, 1996, 100 p., ill.
- « Inscription de la statue de la vierge », notice no PA00083910, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Théùtre gallo-romain de Brion », notice no PA00083745, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- http://www.caruso33.net/chateau-castera-medoc.php
- « Blason⊠», sur armorialdefrance.fr.