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Saint-Amand-sur-Sèvre

Saint-Amand-sur-Sèvre est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département des Deux-Sèvres en région de Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Amand-
sur-Sèvre
Saint-Amand-sur-Sèvre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Sylvie Bazantay
2020-2026
Code postal 79700
Code commune 79235
Démographie
Population
municipale
1 408 hab. (2020 en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 10″ nord, 0° 47′ 38″ ouest
Altitude Min. 137 m
Max. 212 m
Superficie 32,36 km2
Type commune rurale
Aire d'attraction hors attraction des villes
Élections
Départementales Mauléon
Législatives 3e des Deux-Sèvres
Localisation
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Saint-Amand-
sur-Sèvre
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Saint-Amand-
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Saint-Amand-
sur-Sèvre

    Géographie

    Localisation

    La commune se trouve à la limite de la Vendée, au bord de la Sèvre nantaise, dans un triangle entre Les Herbiers (85), Cholet (49) et Bressuire (79).

    Communes limitrophes de Saint-Amand-sur-Sèvre
    Treize-Vents
    (Vendée)
    Mauléon
    Saint-Amand-sur-Sèvre La Petite-Boissière
    Sèvremont
    (Vendée)
    Montravers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 870 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nueil-les-Aubiers », sur la commune de Nueil-les-Aubiers, mise en service en 1938[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 831,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « La Roche-sur-Yon », sur la commune de La Roche-sur-Yon, dans le département de la Vendée, mise en service en 1984 et à 53 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Amand-sur-Sèvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction de villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), prairies (31 %), zones agricoles hétérogènes (21,9 %), zones urbanisées (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Amand-sur-Sèvre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sèvre Nantaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1984 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Amand-sur-Sèvre.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 65,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2010[20].

    Risques particuliers

    Un site de l'ancienne concession minière de Mallièvre est situé sur la commune. Ce gisement a produit 5 000 tonnes d'uranium de 1958 à 1990. La commune est dès lors concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation de ces mines[26].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Amand-sur-Sèvre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

    Histoire

    Située au cœur de la Vendée militaire, la commune participa à toutes les grandes batailles des guerres de Vendée.

    Le , Saint-Amand-sur-Sèvre fusionne avec la commune de Mauléon. Le , la commune redevient indépendante[28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Claude Papin
    mai 2020[29] En cours Sylvie Bazantay Assistante ressources humaines

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[30].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 1 408 habitants[Note 8], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014 (Deux-Sèvres : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2537671 0661 4091 4701 4421 4911 5481 625
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6831 7081 7701 7901 9021 9681 9922 0251 977
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9091 8781 7701 6481 6381 5201 5171 5031 429
    1962 1968 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    1 3801 2811 2291 2411 2551 2871 3861 408-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (31,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27,4 %) est inférieur au taux départemental (30,0 %).

    En 2018, la commune comptait 735 hommes pour 673 femmes, soit un taux de 52,2 % d'hommes, supérieur au taux départemental (48,95 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 1]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    1,0
    6,3
    75-89 ans
    8,2
    19,6
    60-74 ans
    19,6
    18,1
    45-59 ans
    18,4
    20,0
    30-44 ans
    18,4
    14,7
    15-29 ans
    12,9
    21,1
    0-14 ans
    21,4
    Pyramide des âges du département des Deux-Sèvres en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,4
    8,4
    75-89 ans
    11,2
    18,3
    60-74 ans
    18,5
    21
    45-59 ans
    20,5
    17,6
    30-44 ans
    17,2
    15,4
    15-29 ans
    13,4
    18,3
    0-14 ans
    16,7

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château et moulin de la Guierche sur la Sèvre nantaise, fief mouvant de la baronnie de Châteaumur (85), ruiné pendant les Guerres de Vendée, probablement lors du passage de la Colonne infernale Boucret en janvier 1794.
    • l'église de Saint-Amand-sur-Sèvre de style roman, XIIe siècle (clocher carré, transept, éléments de la première travée de la nef dont la "petite porte" au Nord pour l'entrée des fidèles dans la priorale) et de style gothique (chevet plat à grande verrière flamboyante de la seconde moitié du XVe siècle (des pierres de réemploi proviennent de l'ancien église romane) ; chÅ“ur, nef à voutes angevines (y compris agrandissement du XIX s. bien intégré); grand portail occidental. Le passage d'un chevet à abside à un chevet plat avec un agrandissement considérable du chÅ“ur semble correspondre à l'évolution de la fonction de l'église anciennement priorale servant une communauté de moniale qui devient paroissiale devant accueillir un plus grand nombre de fidèles. Le prieuré semble avoir disparu à cette époque. La rue dont le tracé, modifié lors de l'agrandissement de l'église au XIXe s., évoque le cardo maximus de la fondation de Saint-Amand, s'appelle "rue du prieuré".

    Située rue Grignon de Montfort, c'est une ancienne priorale de religieuses (on peut voir à l'extérieur dans la première travée de la nef les restes murés de la porte qui permettait aux moniales de passer du cloitre (situé dans l'actuelle place de la mairie et à l'emplacement de la mairie) au sanctuaire pour les offices.

    A l'intérieur, on peut voir un retable de la Vierge classé (XVIIIe siècle) de style classique d'inspiration montfortaine (probablement chapelle de la Confrérie du rosaire fondée au XVIIIe s. par les missionnaires montfortains et mentionnée dans les visites épiscopales). Face à ce retable se trouvait une statue en bois, une des premières représentations du Père de Montfort au XVIII s., classée en dépôt au musée du BRAHM à Mauléon ; selon la tradition locale, la scène revêtait un sens bien particulier<. En effet, la Vierge Marie serait apparue au Père de Montfort dans l'église de Saint-Amand lors de sa mission de 1715 (le vitrail du XIX s., côté Nord dans le chœur représente la scène) et la statue installée en face du retable de la Vierge serait ainsi une mise en scène de l'événement, le Père de Montfort contemplant la magnificence de la Vierge. -- suite manquante -->

    L'édifice a été inscrit au titre des Monuments historiques en 1926[36].

    • La coulée verte ;
    • La monumentale statue de Notre-Dame-des-Champs à l'entrée du pont sur la Sèvre nantaise est censée commémorer le "miracle de la voix" accompli par le Père de Montfort qui lui a permis de se faire entendre clairement depuis l'autre côté de la Sèvre (aujourd'hui dans le Département de la Vendée) des foules considérables qui s'amassaient jusqu'au bourg. Une pierre marque depuis le XVIIIe s. dans le "Baillarges" sur le côté du Département de la Vendée, l'emplacement où se tint le Père de Montfort. De grandes processions y conduisaient les fidèles spécialement au 15 août jusqu'à la fin des années 1960. Mais en 1938, une protestation, dit-on (aucun document d'archive retrouvé ne l'atteste), de Mgr Cazeaux, évêque de Luçon en Vendée, se serait irrité que la paroisse de Saint-Amand dont le siège est dans l'évêché de Poitiers sur la rive droite de la Sèvre, se permettait d'officier sur le territoire relevant de son autorité canonique en Vendée. Cela a conduit la paroisse de Saint-Amand à construire en Deux-Sèvres un monument alternatif en Deux-Sèvres. Cependant, le terrain des Baillarges appartient légalement au vieux habitants du bourgs suite à une donation que le seigneur de la Guierche leur avait faite au Moyen Age (ils continuent aujourd'hui à payer des taxes foncières en Vendée); un évêque, fût-il celui de Luçon, ne pouvait leur interdire d'aller prier, fût-ce en procession publique sur un terrain leur appartenant. L'affaire fut tranchée ainsi : les pêches ne seraient plus prononcés là où se tint le Père de Montfort dans les Baillarges, mais au nouveau monument sur la rive deux-sèvrienne de la Sèvre, libre à la procession ensuite, mais à titre privé, d'aller en pèlerinage honorer la "pierre du Père de Montfort" en Vendée. Aujourd'hui, la pierre du Père de Montfort semble oubliée dans la commune vendéenne de Sèvremont, recouverte par les ronces, en attendant qu'un tracteur agricole ne la détruise pour la commodité de son passage.
    • la base de canoë-kayak ;
    • le Puy-Jourdain.

    Personnalité(s) liée(s) à la commune

    Louis-Marie Grignion de Montfort.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Site de l'Insee

    Autres références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Nueil-les-Aubiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Amand-sur-Sèvre et Nueil-les-Aubiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Nueil-les-Aubiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Amand-sur-Sèvre et La Roche-sur-Yon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de La Roche-sur-Yon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Amand-sur-Sèvre », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque minier.
    27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    28. « Commune de Saint-Amand-sur-Sèvre (79235) - COG. », sur Insee (consulté le )
    29. « Saint-Amand-sur-Sèvre. Sylvie Bazantay, élue maire. », sur Ouest-France, (consulté le )
    30. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Deux-Sèvres (79) », (consulté le ).
    36. « Eglise de Saint-Amand-sur-Sèvre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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