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Rue de Monceau

La rue de Monceau est une voie de l’ouest de Paris, dans le 8e arrondissement.

8e arrt
Rue de Monceau
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Rue de Monceau vue depuis la rue du Rocher.
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Situation
Arrondissement 8e
Quartier Faubourg-du-Roule
Europe
DĂ©but 188, boulevard Haussmann
Fin 89, rue du Rocher
Morphologie
Longueur 1 000 m
Largeur Entre le boulevard Haussmann
et la place GĂ©rard-Oury : 10 m
Jusqu'Ă  la
place de Rio-de-Janeiro : 12 m
Jusqu'Ă  la
rue du GĂ©nĂ©ral-Foy : 15 m
Historique
Création 1776
Ancien nom Rue Cisalpine
Rue de Valois-du-Roule
GĂ©ocodification
Ville de Paris 6346
DGI 6419
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de Monceau
GĂ©olocalisation sur la carte : 8e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 8e arrondissement de Paris)
Rue de Monceau
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Situation et accès

Elle commence au 188, boulevard Haussmann et se termine au 89, rue du Rocher.

Le quartier est desservi par la ligne (M) (2) aux stations Villiers, Monceau et Courcelles, ainsi que par les lignes de bus RATP 30 84.

Origine du nom

Cette voie doit son nom Ă  l'ancien village de Monceau Ă  laquelle elle conduisait.

Historique

La voie est indiquĂ©e Ă  l'Ă©tat de chemin, conduisant au village de Monceau, sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672). BaptisĂ©e « chemin de Mousseau », ou « Mousseaux », ou encore « Monceau », elle a Ă©tĂ© transformĂ©e en rue vers 1776 et, pour la partie comprise entre la rue de Courcelles et la rue du Rocher, dĂ©nommĂ©e « rue de Valois-du-Roule » en l'honneur du duc de Valois, fils du duc de Chartres, nĂ© en 1773[1]. Le suffixe « du Roule Â» est rajoutĂ© pour Ă©viter la confusion avec la rue de Valois-Saint-HonorĂ© (voie disparue dans les annĂ©es 1850) et la rue de Valois-Palais-Royal (actuelle rue de Valois).

Un arrêté du 12 thermidor an VI () la rebaptisa « rue Cisalpine » en l'honneur de la République cisalpine, « république sœur » créée le en Italie par Napoléon Bonaparte. Elle reprit sa dénomination primitive par arrêté préfectoral du [1].

La rue de Monceau, de son côté, avait été ouverte en 1785 entre la rue du Faubourg-du-Roule (rue du Faubourg-Saint-Honoré) et la rue de Courcelles. Par arrêté du , la rue de Valois-du-Roule lui fut réunie et l'ensemble de la rue prit sa dénomination actuelle.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

La rue de Monceau est bordée de nombreux luxueux hôtels particuliers, bâtis pour la plupart sous le Second Empire. Certains d'entre eux furent habités par de grandes familles de financiers comme la famille Rothschild, la famille Ephrussi, la famille Camondo ou la famille Goüin.

  • No 2 : Gabriel Marie ThĂ©odore Joseph comte de HĂ©douville, pair de France y dĂ©cède[2].
  • No 7 : ambassade du Kosovo en France.
  • No 8 : l'architecte Jules Guillemin (1860-1944) y a habitĂ©[3].
  • Nos 11-13 : emplacement de l'ancienne Ă©cole libre de filles des SĹ“urs de Saint Vincent de Paul (no 11) et maison conventuelle (no 13) (en 1910)[4].
  • No 14 : « Joli petit hĂ´tel ancien au fond de la cour (propriĂ©tĂ© de M. Julliot) » (en 1910)[4].
  • No 15 : Ă©cole Ă©lĂ©mentaire. En 1910 : dispensaire de l'Assistance publique[4].
  • No 16 : emplacement du théâtre Monceau[5]
  • No 17 : emplacement de l'institution des religieuses de Saint-Joseph (en 1910)[4] puis du cours privĂ© Saint-Louis de Monceau. CrĂ©Ă© après la Première Guerre mondiale, ce dernier est un collège catholique destinĂ© aux garçons de la bourgeoisie. Durant la Première Guerre mondiale, l'Ă©tablissement scolaire est dĂ©placĂ© en province. Il ferme en 1976 lorsque l'institution religieuse vend les bâtiments. L'homme d'affaires Arnaud Lagardère et le prĂ©sident de la RĂ©publique Nicolas Sarkozy y ont notamment Ă©tudiĂ©[6] - [7].
  • No 24 : durant la Commune de Paris (1871), local affectĂ© Ă  La Commune sociale, « atelier de travail pour les femmes en mĂŞme temps qu'une Ă©cole-asile pour les orphelines et les jeunes personnes sans travail[8] ».
  • No 28 : emplacement de l'ancien hĂ´tel Murat. « Ma première halte dans cette rue, Ă©crit AndrĂ© Becq de Fouquières en 1954, je la ferai devant le haut portail du 28, celui de l'hĂ´tel Murat. […] Il n'y a guère d'annĂ©es encore, ce parc magnifique s'Ă©tendait jusqu'Ă  la rue de Courcelles. AmputĂ©, il reste magnifique […] pendant les noires annĂ©es de l'Occupation, j'allais parfois le samedi dĂ®ner avec la princesse Murat, dans le petit salon du premier Ă©tage, devant le beau portrait que mon grand-oncle Alfred de Dreux fit de NapolĂ©on III. Fille du duc d'Elchingen, la princesse Murat, nĂ©e CĂ©cile Ney[9], est la première dame du monde impĂ©rial de Paris. L'hĂ´tel de la rue de Monceau, tout empli de souvenirs prĂ©cieux de l'Ă©popĂ©e napolĂ©onienne, fut le cadre de fĂŞtes inoubliables […] La princesse Murat perdit Ă  la Première Guerre mondiale son fils Louis-NapolĂ©on et la rue qui sĂ©pare l'hĂ´tel du building conquis sur le parc, porte le nom de ce jeune prince hĂ©roĂŻque. Après l'armistice de 1918, cette demeure servit de rĂ©sidence au prĂ©sident Wilson pendant son sĂ©jour Ă  Paris[10]. Avant d'appartenir au prince Murat, elle avait Ă©tĂ© Ă  Mme Furtado-Heine[11], femme du financier[12]. »
  • No 29 :
  • No 29.
    No 29.
  • No 30 : emplacement de l'ancienne dĂ©pendance de l'Institution Sainte-Marie, propriĂ©tĂ© en 1910 de la SociĂ©tĂ© civile Monceau[4].
  • No 31 : pavillon de Madeleine Lemaire, peintre et aquarelliste surnommĂ©e en son temps l'« impĂ©ratrice des roses Â». Il est dĂ©crit par Marcel Proust dans un article intitulĂ© « La cour aux lilas et l'atelier aux roses » — pastiche de Balzac — publiĂ© sous le pseudonyme de « Dominique » dans Le Figaro du : « Les personnes qui, pour se rendre de l'avenue de Messine Ă  la rue de Courcelles ou au boulevard Haussmann, prennent la rue appelĂ©e Monceau, du nom d'un de ces grands seigneurs de l'ancien rĂ©gime dont les parcs privĂ©s sont devenus nos jardins publics, […] pour se diriger vers l'avenue de Friedland, ne manquent pas d'ĂŞtre frappĂ©es d'une de ces particularitĂ©s archaĂŻques, d'une de ces survivances […] qui font la joie des artistes et le dĂ©sespoir des ingĂ©nieurs. Vers le moment, en effet, oĂą la rue de Monceau s'approche de la rue de Courcelles, l'Ĺ“il est agrĂ©ablement chatouillĂ©, et la circulation rendue assez difficile par une sorte de petit hĂ´tel, de dimensions peu Ă©levĂ©es, qui, au mĂ©pris de toutes les règles de la voirie, s'avance d'un pied et demi sur le trottoir de la rue qu'il rend Ă  peine assez large pour se garer des voitures fort nombreuses Ă  cet endroit, et avec une sorte de coquette insolence, dĂ©passe l'alignement […] MalgrĂ© les petites dimensions de l'hĂ´tel qui comprend un bâtiment Ă  deux Ă©tages donnant immĂ©diatement sur la rue, et un grand hall vitrĂ©, sis au milieu de lilas arborescents qui embaument dès le mois d'avril Ă  faire arrĂŞter les passants, on sent tout de suite que son propriĂ©taire doit ĂŞtre une de ces personnes Ă©trangement puissantes devant le caprice ou les habitudes de qui tous les pouvoirs doivent flĂ©chir. […] Cet hĂ´tel sur la rue est la demeure, et ce hall situĂ© dans un jardin, l'atelier, d'une personne Ă©trangement puissante en effet […] dont le nom signĂ© au bas d'une aquarelle est plus recherchĂ© que celui d'aucun autre peintre, et l'invitation plus prĂ©cieuse que celle d'aucune autre maĂ®tresse de maison : j'ai nommĂ© Madeleine Lemaire. […] C'est dans son atelier que Mme Lemaire commença par rĂ©unir quelques-uns de ses confrères et de ses amis. […] Eux seuls eurent d'abord la permission de pĂ©nĂ©trer dans l'atelier, de venir voir une rose prendre sur une toile, peu Ă  peu — et si vite — les nuances pâles ou pourprĂ©es de la vie […]. Tout Paris voulut pĂ©nĂ©trer dans l'atelier et ne rĂ©ussit pas du premier coup Ă  en forcer l'entrĂ©e. Mais dès qu'une soirĂ©e Ă©tait sur le point d'avoir lieu, chaque ami de la maĂ®tresse de maison venant en ambassade afin d'obtenir une invitation pour un de ses amis, Mme Lemaire en est arrivĂ©e Ă  ce que tous les mardis de mai, la circulation des voitures est Ă  peu près impossible dans les rues Monceau, Rembrandt, Courcelles, et qu'un certain nombre de ses invitĂ©s restent inĂ©vitablement dans le jardin, sous les lilas fleurissants, dans l'impossibilitĂ© oĂą ils sont de tenir tous dans l'atelier si vaste pourtant, oĂą la soirĂ©e vient de commencer. J'ai peine Ă  retrouver, en face de l'hĂ´tel Murat[13], Ă©crit AndrĂ© Becq de Fouquières en 1954, le petit pavillon oĂą Madeleine Lemaire donna tant de fĂŞtes. Il est pourtant toujours lĂ , au 31, mais son affectation prĂ©sente — les services du port autonome du Havre — lui a imposĂ© de profonds remaniements. “La Cour aux Lilas” et “L'Atelier aux Roses”, que Proust a dĂ©crits, n'abritent plus de fleurs, et Madeleine Lemaire […] n'a plus guère d'admirateurs. […] Il se peut qu'elle n'ait pas Ă©tĂ© une grande artiste, du moins fut-elle une grande laborieuse, ce que pouvaient ignorer ceux qui la venaient visiter vers cinq heures. Madeleine Lemaire se levait Ă  l'aube pour s'enfermer dans son atelier qu'elle ne quittait que pour dĂ©jeuner, fort tard. Son repas pris, on pouvait la voir sortir de chez elle, emmenant ses chiens qui l'entouraient d'un cercle de jappements. Elle faisait “un tour” avec eux — par la rue de Courcelles, le boulevard Haussmann, l'avenue de Messine, la rue de Lisbonne, Ă  peu près immuablement — et elle rentrait, reprenant ses pinceaux jusqu'Ă  cinq heures. Alors commençait la vie mondaine de celle que Montesquiou […] avait pompeusement baptisĂ©e “l'impĂ©ratrice des roses”. Elle recevait ses intimes chaque jour Ă  l'heure du thĂ© ; elle invitait ses amis, dès le printemps venu, chaque mercredi. Et puis trois ou quatre fois l'an, c'Ă©tait “la grande liste” : alors tout Paris venait envahir le pavillon bas, l'atelier minuscule qu'une Ă©troite serre tentait de… desserrer, et le jardinet oĂą force Ă©tait aux derniers arrivĂ©s de rester. Une petite scène avait Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e oĂą se produisaient Mounet-Sully ou RĂ©jane, Bartet ou Coquelin. Une toile de Jeanniot, qui a Ă©chouĂ© au ministère des Affaires Ă©trangères — mais y est-elle encore ? — nous restitue une de ces brillantes soirĂ©es oĂą se pressaient Mme Conneau, veuve du mĂ©decin de NapolĂ©on III et dame d'honneur de la princesse Mathilde, la comtesse de Maupeou et Mme Max, Jean Rameau et Montesquiou. C'est d'ailleurs rue de Monceau que Marcel Proust fut prĂ©sentĂ© Ă  celui dont il allait faire son Ă©tonnant Charlus. Je ne suis pas tout Ă  fait certain que Madeleine Lemaire ait aimĂ© la peinture, mais je ne doute pas de son sincère amour de la musique. Aussi intransigeante que le duc de Massa — et d'ailleurs fort autoritaire en toute chose — elle n'eĂ»t pas tolĂ©rĂ© que la conversation se poursuivĂ®t lorsque Saint-SaĂ«ns, Reynaldo Hahn, Massenet ou LĂ©o Delibes Ă©taient au piano, accompagnant CalvĂ© ou BrĂ©val, Sibyl Sanderson ou Mme de Kinen. Elle donna une fĂŞte mĂ©morable pour cĂ©lĂ©brer la sortie en librairie des TrophĂ©es. […] Suzette Lemaire, la fille du peintre, et qui Ă©tait elle-mĂŞme une artiste dĂ©licate, prĂ©fĂ©ra, après la disparition de sa mère, abandonner la plaine Monceau et demeurer jusqu'Ă  sa mort dans son petit château d'ĂŽle-de-France. C'est M. Jean Kinen, fidèle ami de l'artiste et de sa fille, qui s'entremit pour la vente de cette vieille demeure — la seule de la rue qui ne soit toujours pas Ă  l'impeccable alignement cher aux gĂ©omètres de la Ville de Paris[14]. »
  • No 32 : emplacement de la maison oĂą est nĂ© en 1799 le roi Oscar Ier de Suède, fils du marĂ©chal Bernadotte (plaque commĂ©morative). La maison Ă©tait alors le 291, rue Cisalpine. Elle fut remplacĂ©e par un hĂ´tel oĂą habita M. St-George Armstrong et qui fut acquis en 1897 par l'Institution Sainte-Marie[4].
  • No 33 : hĂ´tel qui appartenait en 1910 Ă  Mme Jules Lebaudy nĂ©e Amicie Piou (voir « Famille Lebaudy ») et qui Ă©tait louĂ© Ă  M. L. Monnier[4].
  • No 33.
    No 33.
  • No 43.
    No 43.
  • No 52.
    No 52.
  • No 53.
    No 53.
  • No 53 : hĂ´tel de Mme P. BĂ©jot (en 1910)[19]. Peu après la Seconde Guerre mondiale, une riche AmĂ©ricaine, Eleanor Post Close (1909-2006), qui sera l'Ă©pouse du chef d'orchestre LĂ©on Barzin, fait l’acquisition des lieux[20]. Après sa mort, l’hĂ´tel reste inhabitĂ© pendant près de 10 ans[21].
  • No 54 : c'est ici que se trouvait le siège social de la revue d'art Le Bulletin de l'art ancien et moderne de 1899 Ă  1935. Aujourd'hui, l'hĂ´tel particulier accueille le Blue Shaker, siège social de la sociĂ©tĂ© Bengs.
  • No 55 : hĂ´tel de la famille Cattaui, banquiers Ă©gyptiens[22]. L'auteur dramatique Édouard Pailleron y est mort en 1899.
HĂ´tel de Camondo, au no 61.
HĂ´tel de la Famille Ephrussi au no 81 (1871).

Notes et références

  1. FĂ©lix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Ă©dition de 1844, p. 654 [lire en ligne].
  2. Inventaire après décès de Gabriel Marie Théodore Joseph comte de Hédouville, pair de France, demeurant à Paris rue de Valois, n° 2, Faubourg du Roule.
  3. « Transaction Clament », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, no 206,‎ , p. 1666 (gallica.bnf.fr, consulté le ).
  4. Rochegude, op. cit., p. 54.
  5. Théâtre Monceau.
  6. Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider, « De Jean-Luc à Arnaud Lagardère, dernier inventaire avant liquidation de l’héritage paternel », sur Le Monde, (consulté le ).
  7. Delphine Byrka, « J'ai appris à lire au président Sarkozy », sur Paris Match, (consulté le ).
  8. Jacques Rougerie, « 1871 : la Commune de Paris », in Christine Fauré (dir.), Encyclopédie politique et historique des femmes, PUF, 1997, p. 405-431.
  9. Marie Cécile Micaëla Ney d'Elchingen (1867-1960) avait épousé en 1884 Joachim Napoléon, 5e prince Murat (1856-1932).
  10. À la demande du gouvernement français, Joachim, 5e prince Murat et la princesse Cécile, qui résidait alors dans son château de Chambly, acceptèrent de mettre l'hôtel de la rue de Monceau à la disposition du président des États-Unis (« President to Occupy Murat Home in Paris », New York Times, ).
  11. Cécile Furtado-Heine (1821-1896), veuve en 1865 du riche banquier de Francfort Charles Heine (1810-1865), adopta une orpheline, Marguerite Laure Juliette dite Paule (1847-1903), en premières noces duchesse d'Elchingen et en secondes noces duchesse de Rivoli. Elle eut pour fille, de son premier mariage, Cécile Ney d'Elchingen, future princesse Murat, mentionnée ci-dessus.
  12. André Becq de Fouquières, op. cit., p. 203-205.
  13. Voir infra no 28.
  14. Becq de Fouquières, op. cit., p. 205-208.
  15. André Becq de Fouquières, op. cit., p. 208.
  16. Dominique Perrin, « Bienvenue dans l’univers ultra secret des Kraemer, dynastie d’antiquaires parisiens », Le Monde, 7 juin 2019.
  17. Vivre en Val d'Oise, no 64, p. 65.
  18. André Becq de Fouquières, op. cit., p. 209-210.
  19. Rochegude, op. cit., p. 55.
  20. (en) « Antal Post De Bekessy v. Floyd », casetext, 2015.
  21. Marion Bley, « L’hôtel particulier de G & B près du parc Monceau », AD, 25 décembre 2020.
  22. Becq de Fouquières, op. cit., p. 211.
  23. Edmund de Waal, Le Lièvre aux yeux d’ambre, Libres Champs, Flammarion, 2015 (ISBN 9782081347243).

Sources

  • AndrĂ© Becq de Fouquières, Mon Paris et ses Parisiens. Le quartier Monceau, Paris, Pierre Horay, 1954, vol. II.
  • FĂ©lix de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris. VIIIe arrondissement, Paris, Hachette, 1910.

Voir aussi

Lien externe

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