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Clodion (sculpteur)

Clodion, pseudonyme de Claude Michel, né le à Nancy et mort le à Paris est un sculpteur lorrain, devenu français à partir de 1766[1].

Clodion
Naissance
DĂ©cĂšs
(Ă  75 ans)
Paris
Nom de naissance
Claude Michel
Nationalité
Activité
MaĂźtres
Lieu de travail
MĂšre
Anne Adam (d)
Fratrie
Conjoint
Catherine-Flore Pajou (d)
ParentĂšle
Distinction
Prix de Rome en sculpture

Biographie

Formation et années romaines

Claude Michel est le fils de Thomas Michel et Anne Adam, et s’inscrit donc dans la dynastie de sculpteurs Adam avec ses frĂšres Sigisbert François (1728-1811) et Pierre Joseph Michel (1737-1787). Il est trĂšs vite appelĂ© Claudion, Clodion ou le petit Claude pour le diffĂ©rencier d’un frĂšre plus ĂągĂ©. DĂšs 1756, il est Ă©lĂšve de l’école du modĂšle Ă  l’AcadĂ©mie royale de peinture et de sculpture, logeant chez son oncle Lambert Sigisbert Adam. À la mort de ce dernier en 1759, il s’inscrit comme Ă©lĂšve de Jean-Baptiste Pigalle. Le , Clodion est laurĂ©at du premier prix de sculpture avec un bas-relief reprĂ©sentant Absalon, qui fait tuer son frĂšre Amnon dans le festin aujourd’hui disparu, puis est pensionnaire Ă  l’École royale des Ă©lĂšves protĂ©gĂ©s dĂšs [2].

Ainsi, le , il reçoit son brevet pour l’AcadĂ©mie de France Ă  Rome. Brillant modeleur, il y rĂ©alise des petits sujets en terre cuite qui plaisent aux amateurs. Un de ses premiers chefs-d’Ɠuvre est la Minerve (1766, New York, Metropolitan Museum of Art), qui fait rĂ©fĂ©rence Ă  la Minerve antique de la collection Giustiniani[2].

Ce sĂ©jour constitue un environnement propice Ă  l’épanouissement d’une culture artistique et littĂ©raire Ă  laquelle l’avait sensibilisĂ© son oncle Lambert Sigisbert Adam. Clodion se distingue par son charme et son Ă©lĂ©gance, Ă  la fois en tant que modeleur, mais Ă©galement par la taille du marbre. En 1766, il reçoit la commande d’un groupe en marbre pour le duc de la Rochefoucauld, et en 1768 d’une Vestale destinĂ©e Ă  Catherine II de Russie. Il dĂ©cide de prolonger son sĂ©jour romain au-delĂ  des trois ans rĂ©glementaires et ne quitte Rome qu’en [2].

CarriĂšre en France et second voyage Ă  Rome

En 1773, il montre un choix d’Ɠuvres Ă  l’AcadĂ©mie royale de peinture et de sculpture, en obtenant ainsi l’agrĂ©gation. DĂšs , il expose au Salon les modĂšles en plĂątre reprĂ©sentant Jupiter, Hercule, Le Fleuve Scamandre dessĂ©chĂ© par les feux de Vulcain, une esquisse pour un monument funĂ©raire et des bas-reliefs d’inspiration antique[2].

Entre 1773 et 1774, il se rend pour la deuxiĂšme fois Ă  Rome, oĂč il rĂ©alise de dĂ©licats bas-reliefs en terre cuite. Il en profite pour rĂ©cupĂ©rer des blocs de marbre pour ses commandes pour le jubĂ© de la cathĂ©drale de Rouen, et pour la galerie de l’hĂŽtel de l’abbĂ© Terray[2].

Sa carriĂšre prend de l’ampleur aprĂšs l’avĂšnement de Louis XVI en 1774. En effet, Clodion s’implante dans le monde des amateurs fortunĂ©s construisant des hĂŽtels particuliers dans les nouveaux quartiers parisiens. Il exĂ©cute d’importants bas-reliefs pour l’architecte Alexandre ThĂ©odore Brongniart dont le Triomphe de GalatĂ©e pour Bouret de VĂ©zelay[2].

En 1782, il exĂ©cute deux frises en stuc pour la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, ainsi qu’un dĂ©cor pour la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval, dans un tout autre esprit. En effet, l’appareillage en pierre de tonnerre met en valeur un cortĂšge de dĂ©itĂ©s dĂ©shabillĂ©es. Au centre de la piĂšce, une Jeune femme dĂ©nudĂ©e fait Ă©cho Ă  la Jeune Grecque endormie de Joseph-Marie Vien, peinte pour Besenval. À cela s’ajoutent deux frises sur les amours des Dieux inspirĂ©es des MĂ©tamorphoses d’Ovide[2].

Adélaïde Labille-Guiard, Portrait de Madame Clodion (1783), Paris, musée du Louvre.

En 1778, Clodion reçoit sa premiĂšre commande royale pour un portrait de Montesquieu assis, s’inscrivant dans la sĂ©rie des « Grands hommes de la France » prĂ©vue pour orner la Grande Galerie du Louvre. Vingt-sept statues sont rĂ©alisĂ©es pour ce projet, mais ne furent jamais installĂ©es. Clodion rĂ©alise un modĂšle en plĂątre pour le Salon de 1779, mais celui-ci est largement critiquĂ©, Ă  tel point que le marbre qu’il prĂ©sente en 1783 est basĂ© sur un modĂšle ultĂ©rieur. En 1784, il participe au concours pour l’érection d’un monument public commĂ©morant l’ascension en ballon des frĂšres Robert destinĂ© Ă  ĂȘtre exposĂ© au jardin des Tuileries Ă  Paris, pour lequel il rĂ©alise deux modĂšles en terre cuite qui font forte impression[2].

Clodion multiplie les Ɠuvres lĂ©gĂšres et virtuoses jusqu’à la RĂ©volution. Sa clientĂšle est telle qu’il n’a plus besoin d’exposer au Salon avant 1801. Il se fait discret durant la RĂ©volution, mais — contrairement Ă  une lĂ©gende tenace — ne se retire pas Ă  Nancy. Sa carriĂšre redĂ©marre Ă  partir de 1795 et durant l'Empire. Il poursuit sa production de brillantes terres cuites, en parallĂšle de commandes prestigieuses, parfois monumentales[2].

En 1781, il Ă©pouse Catherine Flore Pajou (1764-1841), fille du sculpteur Augustin Pajou et d'AngĂ©lique Roumier, et sƓur de Jacques-Augustin-Catherine Pajou ; ils divorcent en 1794[3].

ƒuvres

Les années romaines

  • Le Fleuve Scamandre dessĂ©chĂ© par les feux de Vulcain, vers 1760, plĂątre, 69 Ă— 90 Ă— 56 cm, Semur-en-Auxois, musĂ©e Dumont[2] - [4].
  • Le Fleuve du Rhin sĂ©parant les eaux, 1765-1766, terre cuite, 35 Ă— 39 cm, Londres, Victoria and Albert Museum[5].
  • Le Fleuve du Rhin sĂ©parant les eaux, 1765, terre cuite, 29,7 Ă— 45,7 Ă— 30,5 cm, Fort Worth, musĂ©e d'Art Kimbell.
  • Minerve, 1766, terre cuite, H. 47,6 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[2]
  • Vase au dĂ©cor de dix femmes et un enfant tenant un oiseau, 1766, terre cuite, H. 39 cm, diam. 18,4 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[6].
  • Vase au dĂ©cor de cinq femmes faisant un sacrifice, 1766, terre cuite, H. 38,9 cm, diam. 18,4 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[7].
  • Vase au dĂ©cor de cinq femmes faisant un sacrifice, 1766, marbre, 36,4 Ă— 19,8 cm, diam. 18,3 cm, Chicago, Art Institute of Chicago[8].
  • Pleureuse, 1766, terre cuite, 28 Ă— 18,7 Ă— 15,8 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[2].
  • Pleureuse, 1766, terre cuite, 27,5 Ă— 15,5 Ă— 17,5 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[2].
  • Sainte Marie Madeleine pĂ©nitente, 1767, terre cuite, 19,5 Ă— 25 Ă— 19,5 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[9].
  • Sainte Marie Madeleine pĂ©nitente, 1768, terre cuite, 16,5 Ă— 35 Ă— 16 cm, Agen, musĂ©e des Beaux-Arts[2].
  • La Marchande d’Amours, vers 1765-1768, bas-relief en marbre, 243 Ă— 289 Ă— 3 cm, Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts.
  • L’Offrande Ă  l’Amour, entre 1765 et 1771 (?), terre cuite, 235 Ă— 280 cm, Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts[10].
  • Vestale, 1770, marbre, 95,5 Ă— 42,1 Ă— 35 cm, Washington, National Gallery of Art[2].
  • AntinoĂŒs Osiris (d’aprĂšs l’antique), annĂ©es 1770, terre cuite, 28 Ă— 9 Ă— 7,7 cm, Paris, collection particuliĂšre[5].
  • Monument pour un chien, vers 1770, terre cuite, 165 Ă— 18 Ă— 8 cm, Paris, musĂ©e Cognacq-Jay[11].
  • MausolĂ©e de Ninette, vers 1770, terre cuite, 38 Ă— 18 Ă— 16 cm, Nancy, MusĂ©e lorrain[12].
  • MausolĂ©e de Fifi, 1772, terre cuite, 32 Ă— 20 Ă— 19 cm, Besançon, musĂ©e des Beaux-Arts[2] - [13].

Salon de 1773, Ɠuvres d’amateurs et premiùres commandes monumentales

  • Hercule au repos, 1773, plĂątre, 47,5 Ă— 58,5 Ă— 29,5 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[14].
  • Satyre jouant de la flĂ»te devant une nymphe qui l’écoute et deux satyres enfants dansant, 1773, bas-relief en terre cuite, 33 Ă— 36,2 Ă— 2,2 cm, Los Angeles, musĂ©e d'Art du comtĂ© de Los Angeles[5]
  • Satyre enfant courant avec un hibou, 1773, terre cuite, 45,1 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[5].
  • Satyresse enfant courant avec un nid, 1773, terre cuite, 45,1 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[5].
  • Le Sacrifice Ă  l’Amour, vers 1773, bas-relief en marbre, 26 Ă— 30,7 Ă— 2 cm, Paris, musĂ©e des Arts dĂ©coratifs[15].
  • Le Sacrifice Ă  l’Amour, vers 1773, terre cuite, 23 Ă— 26 cm, collection particuliĂšre[2].
  • Une femme qui, en expirant, montre Ă  son Ă©poux le fils qu’elle lui donne, 1773, bas-relief en terre cuite, 24 Ă— 40 Ă— 2 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[16].
  • Ange tenant un cƓur, 2e moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle, marbre, 187 Ă— 90 Ă— 70 cm, Versailles, chĂąteau de Versailles[2].
  • La Bascule, vers 1775, terre cuite, 44,5 Ă— 41,3 cm, Toledo, musĂ©e d'Art de Toledo[17].
  • Fillette portant des fleurs dans sa tunique, annĂ©es 1770, terre cuite, Cleveland, Cleveland Museum of Art[18].
  • Jeune fille prĂ©sentant des guirlandes de roses sur un plateau, annĂ©es 1770, terre cuite, 45,1 Ă— 15,2 Ă— 17,3 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[19].
  • L’Offrande Ă  Priape, vers 1775, terre cuite, 45,1 Ă— 33,5 Ă— 21,9 cm, Malibu, J. Paul Getty Museum[20].
  • BrisĂ©is quittant Achille (?)ž 1775-1777, terre cuite, 45 Ă— 35,3 Ă— 21,5 cm, Paris, collection particuliĂšre[5].
  • Sainte CĂ©cile, vers 1775, terre cuite, 44,1 Ă— 18,2 Ă— 16,1 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[21].
  • Sainte CĂ©cile, 1777, marbre, 190 Ă— 107 Ă— 64 cm, Rouen, cathĂ©drale Notre-Dame[2].
  • La PoĂ©sie et la Musique, vers 1774-1778, marbre, 117,6 Ă— 89,1 Ă— 56 cm, pour la galerie de l’hĂŽtel de l’abbĂ© Terray, Washington, National Gallery of Art[22].
  • Triomphe de GalatĂ©e, 1779, terre cuite, 29,8 Ă— 161,2 Ă— 18 cm, Copenhague, Statens Museum for Kunst[2].
  • Le Triomphe d’Ariane, vers 1780, bas-relief en terre cuite, 32,2 Ă— 91,5 Ă— 4 cm, pendant prĂ©sumĂ© du Triomphe de Bacchus, Paris, Petit Palais[2].
  • Le Triomphe de Bacchus, vers 1790, bas-relief en terre cuite, 37 Ă— 109 cm, pendant prĂ©sumĂ© du Triomphe d’Ariane, Ottawa, MusĂ©e des beaux-arts du Canada[2].
  • Jeune fille portant une aiguiĂšre, annĂ©es 1780, terre cuite, 43,5 Ă— 16,5 Ă— 11,5 cm, Paris, collection particuliĂšre[5].
  • Bacchant proposant un plateau de fruits Ă  une bacchante portant un enfant, annĂ©es 1780, terre cuite, 44,5 Ă— 23 Ă— 23,5 cm, Suisse, collection particuliĂšre[5].
  • Bacchant portant un vase, accompagnĂ© d’une bacchante tenant un enfant par la main, annĂ©es 1780, terre cuite, H. 50,8 cm, Waddesdon, Waddesdon Manor[23].
  • Bacchante courant portant des fruits dans sa tunique, vers 1780-1785, terre cuite, collection particuliĂšre[5].
  • LĂ©da et le cygne, vers 1782, terre cuite, 39,5 Ă— 18,5 Ă— 18 cm, Laneuveville-devant-Nancy, chĂąteau de Montaigu[2].
  • Montesquieu, 1783, marbre, 164 Ă— 122 Ă— 122 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[24].
  • Égyptienne au naos, vers 1783, terre cuite, 48 Ă— 19,5 Ă— 13 cm, Paris, musĂ©e du Louvre[25].
  • ModĂšle pour un monument commĂ©morant l’ascension en ballon des physiciens Charles et Robert, 1784, terre cuite, H. 109,5 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[26].

Les grands décors architecturaux

  • Enfants et petits satyres volant ses enfants Ă  une panthĂšre, vers 1781, bas-relief en terre cuite, 24,5 Ă— 79,1 Ă— 4,5 cm, modĂšle pour le dĂ©cor de la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, New York, Metropolitan Museum of Art[5].
  • Enfants et petits satyres volant ses enfants Ă  une panthĂšre, vers 1781, bas-relief en stuc, 165 Ă— 642 Ă— 9 cm, Ă©lĂ©ment de dĂ©cor de la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, Paris, musĂ©e du Louvre[27].
  • Enfants et satyres conduisant une chĂšvre au sacrifice, vers 1781, bas-relief en terre cuite, 25,4 Ă— 77,5 Ă— 4,8 cm, modĂšle pour le dĂ©cor de la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, New York, Metropolitan Museum of Art[5].
  • Enfants et satyres conduisant une chĂšvre au sacrifice, vers 1781, bas-relief en stuc, 166,5 Ă— 660 Ă— 9 cm, Ă©lĂ©ment de dĂ©cor de la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, Paris, musĂ©e du Louvre[2].
Satyresses jouant avec des satyres enfants autour d’un Ɠil-de-bƓuf, vers 1781, Nancy, MusĂ©e lorrain.
  • Satyresses jouant avec des satyres enfants autour d’un Ɠil-de-bƓuf, vers 1781, bas-relief en stuc, 185 Ă— 412 Ă— 24 cm, Ă©lĂ©ment de dĂ©cor de la cour de l’hĂŽtel de Bourbon-CondĂ©, Nancy, MusĂ©e lorrain[2].
  • NaĂŻade, 1782, pierre de tonnerre, destinĂ©e Ă  la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval, collection particuliĂšre[2].
  • VĂ©nus et l’Amour avec LĂ©da et le cygne, 1782, pierre de tonnerre, 103 Ă— 323 Ă— 22 cm, dĂ©cor pour la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval, Paris, musĂ©e du Louvre[28].
  • Pan poursuivant Syrinx sous le regard de l’Amour, 1782, pierre de tonnerre, 104 Ă— 323 Ă— 23 cm, dĂ©cor pour la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval, Paris, musĂ©e du Louvre[29].
  • Paire de vases Ă  dĂ©cor identique d’une ronde de satyres et de satyresses avec les accessoires d’une thiase bachique, 1782, pierre de tonnerre, H. 107 cm, diam. 42 cm, destinĂ©s Ă  la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval, Paris, musĂ©e du Louvre[30].
  • Erigone, 1782, plĂątre, 205 Ă— 80 Ă— 47 cm, Ă©lĂ©ment de dĂ©cor de la salle Ă  manger, Maisons-Laffitte, chĂąteau de Maisons-Laffitte[5].
  • Erigone tenant la grappe de la main droite, fin XVIIIe siĂšcle, terre cuite, 56,1 Ă— 20,5 Ă— 16,8 cm, rĂ©duction d’aprĂšs le modĂšle du chĂąteau de Maisons, Paris, Petit Palais[5].
  • Erigone tenant la grappe de la main gauche, fin XVIIIe siĂšcle, terre cuite, 52,5 Ă— 18 Ă— 12,5 cm, rĂ©duction d’aprĂšs le modĂšle du chĂąteau de Maisons, Stockholm, Nationalmuseum[5].
  • EnlĂšvement de PsychĂ©, 1797-1800, terre cuite, 59 Ă— 32,5 Ă— 43 cm, Londres, Victoria and Albert Museum[31].
  • Deux jeunes femmes – ou nymphes – portant avec trois bras une coupe chargĂ©e de fruits, entre 1785 et 1793, plĂątre, 235 Ă— 110 Ă— 100 cm, destinĂ© Ă  la salle Ă  manger de l’hĂŽtel Botterel-Quintin, Paris, musĂ©e des Arts dĂ©coratifs[5].
  • Deux jeunes femmes – ou nymphes – portant avec quatre bras une coupe chargĂ©e de fruits, entre 1785 et 1793, plĂątre, 235 Ă— 110 Ă— 100 cm, destinĂ© Ă  la salle Ă  manger de l’hĂŽtel Botterel-Quintin, Paris, musĂ©e des Arts dĂ©coratifs[5].

Les derniÚres années

Iconographie

Notes et références

  1. Albert Jacquot, Les Adam et les Michel et Clodion, Paris, Rouam, (ISBN 2012730752)
  2. Pierre-Hippolyte Pénet et Guilhem Scherf, Les Adam. La sculpture en héritage, Gand, Snoeck, (ISBN 978-94-6161-623-4 et 94-6161-623-6, OCLC 1280397973, lire en ligne).
  3. Les actes de mariage et de divorce ainsi que son acte de dĂ©cĂšs sont reproduits par Henri Herluison, in: Actes d'Ă©tat-civil d'artistes français
, OrlĂ©ans, H. Herluison, 1873, pp. 80-82 (en ligne).
  4. « Galerie dŽimages de lŽarticle « La sculpture en Lorraine au XVIIIe siÚcle (les Adam et Lunéville) » », sur https://www.latribunedelart.com/, .
  5. Anna L. Poulet et Guilhem Scherf (dir.), Clodion (1738-1814), catalogue de l’exposition (Paris, musĂ©e du Louvre, 17 mars – 29 juin 1992), Paris, RMN, 1992
  6. « Vase avec décor de dix femmes et un enfant tenant un oiseau », sur https://collections.louvre.fr/, (consulté le ).
  7. Claude dit Clodion Michel et France, Vase avec décor de cinq femmes faisant un sacrifice, (lire en ligne).
  8. Clodion, Vase, (lire en ligne).
  9. « Madeleine repentante ou sainte Marie-Madeleine pénitente », sur https://collections.louvre.fr/, (consulté le ).
  10. Notice no 05120000071, base Joconde, ministÚre français de la Culture.
  11. « Monument pour un chien | Musée Cognacq-Jay », sur www.museecognacqjay.paris.fr (consulté le ).
  12. « Le mausolée de Ninette », sur https://collections.louvre.fr, (consulté le ).
  13. Notice no M0332001976, base Joconde, ministÚre français de la Culture.
  14. Claude dit Clodion Michel et France, Hercule au repos, (lire en ligne).
  15. « Le sacrifice à l'Amour ».
  16. Claude dit Clodion Michel et France, Une femme qui, en expirant, montre Ă  son Ă©poux le fils qu'elle lui laisse, (lire en ligne).
  17. (en) « The See-Saw », sur emuseum.toledomuseum.org (consulté le ).
  18. (en) Anonymous, « Child Carrying Fruit and Flowers », sur Cleveland Museum of Art, (consulté le ).
  19. (en) Anonymous, « Young Girl Carrying a Garland of Roses on a Platter », sur Cleveland Museum of Art, (consulté le ).
  20. (en) « Offering to Priapus (The J. Paul Getty Museum Collection) », sur The J. Paul Getty Museum Collection (consulté le ).
  21. Claude dit Clodion Michel et France, Sainte CĂ©cile, (lire en ligne).
  22. « Poetry and Music », sur www.nga.gov (consulté le ).
  23. (en-GB) « Votaries of Bacchus - Waddesdon Manor », sur waddesdon.org.uk (consulté le ).
  24. Claude dit Clodion Michel et France, Montesquieu (1689-1755) parlementaire et Ă©crivain, (lire en ligne).
  25. Claude dit Clodion Michel et France, Égyptienne au naos, (lire en ligne).
  26. « ModĂšle pour un monument commĂ©morant l’ascension en ballon des physiciens Charles et Robert », sur www.metmuseum.org (consultĂ© le ).
  27. Claude dit Clodion Michel et France, Bacchanale d'enfants. La PanthÚre de Bacchus défendant ses petits, (lire en ligne).
  28. Claude dit Clodion Michel et France, VĂ©nus et l'Amour avec LĂ©da et le cygne, (lire en ligne).
  29. Claude dit Clodion Michel et France, Pan poursuivant Syrinx sous le regard de l'Amour, (lire en ligne).
  30. Claude dit Clodion Michel et France, Vase à décor d'une ronde de satyres et de satyresses, (lire en ligne).
  31. (en) Victoria and Albert Museum, « Cupid and Psyche | Clodion | V&A Explore The Collections », sur Victoria and Albert Museum: Explore the Collections (consulté le ).
  32. « Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais - », sur www.photo.rmn.fr (consulté le ).
  33. « Zéphyr et Flore ».
  34. (en) « The Flood », sur collections.mfa.org (consulté le ).
  35. « Bacchante courant ».
  36. « Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais - », sur www.photo.rmn.fr (consulté le ).
  37. Claude dit Clodion Michel et France, HomĂšre mordu par les chiens, (lire en ligne).
  38. Notice no 10777, base Atlas, musée du Louvre.

Annexes

Bibliographie

  • Antoine DingĂ©, Notice nĂ©crologique sur C.M. Clodion, 1814, 8 p.
  • Albert Jacquot, Les Adam et les Michel et Clodion, Paris, Rouam, 1898.
  • Albert Jacquot, Essai de rĂ©pertoire des artistes lorrains. Sculpteurs, Paris, Librairie de l’art ancien et moderne, 1901.
  • Édouard Salin, « Sur quelques statuettes de Clodion », Le Pays lorrain, no 8, , p. 337-346.
  • Anonyme, « Clodion », Connaissance des Arts, no 40, , p. 72-77.
  • (en) James Parker, « Clodion’s Bas-reliefs from the HĂŽtel de CondĂ© », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. XXV, no 6, , p. 230-241.
  • MichĂšle Beaulieu, « Le mausolĂ©e de Ninette par Clodion », Le Pays lorrain, no 2, 1971, p. 81-84.
  • Guilhem Scherf, « Clodion [le dĂ©cor de la salle de bains de l’hĂŽtel de Besenval] », in: Gaborit (dir.), 1988, p. 86-87.
  • (en) Anne L. Poulet, « A Neoclassical Vase by Clodion », The Art Institute of Chicago. Museum studies, vol. 15, no 2, 1989, p. 138-153 et 177-180.
  • Guilhem Scherf, « Autour de Clodion, variations, imitations, rĂ©pĂ©titions », Revue de l’art, no 91, 1991, p. 47-59.
  • Anna L. Poulet et Guilhem Scherf (dir.), Clodion (1738-1814), Paris, RMN, 1992. — Catalogue de l’exposition, Paris, musĂ©e du Louvre, du au .
  • Guilhem Scherf (dir.), Clodion et la sculpture française de la fin du XVIIIe siĂšcle, Paris, La documentation française, 1993 (ISBN 2-11-003019-4) — Actes du colloque, Paris, musĂ©e du Louvre, 20-.
  • Guilhem Scherf, « HomĂšre mordu par les chiens de Clodion (1738-1814) : une Ɠuvre inĂ©dite retrouvĂ©e – Remarques sur l’exposition Clodion », Revue du Louvre. La Revue des MusĂ©e de France, no 3, 1993, p. 54-60.
  • Guilhem Scherf, « La LĂ©da de Clodion, une terre cuite de la collection Édouard Salin au chĂąteau de Montaigu », Le Pays lorrain, no 3, juillet-, p. 139-146.
  • Guilhem Scherf, « La galerie des ‘’Grands Hommes’’ au cƓur des salles consacrĂ©es Ă  la sculpture française du XVIIIe siĂšcle », Revue du Louvre. La Revue des MusĂ©e de France, no 5/6, 1993, p. 58-67.
  • Guilhem Scherf, « L’Offrande Ă  l’Amour de Clodion : une acquisition majeure du musĂ©e des Beaux-arts de Nancy », PĂ©ristyles, Cahier de l’Association Emmanuel HĂ©rĂ©, no 4, 1994, p. 19-24.
  • BĂ©atrice Salmon (dir.), Autour de Clodion, les terres cuites de la collection Paul Cailleux, musĂ©e Bonnat de Bayonne, Nancy, Ville de Nancy, 1996. — Catalogue de l’exposition, Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts, du au .
  • Guilhem Scherf, « Claude Michel, dit Clodion (1738-1814). “Cet artiste est remply de goĂ»t dans ses ouvrages”», in: Pierre-Hippolyte PĂ©net et Guilhem Scherf (dir.), Les Adam, La sculpture en hĂ©ritage, Gand, Éditions Snoeck, 2021, p. 267-275. — Catalogue de l’exposition, Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts, du au .

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