Accueil🇫🇷Chercher

Arnaud Lagardère

Arnaud Lagardère, né le à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), est un chef d'entreprise français, dirigeant actuel du groupe Lagardère.

Arnaud Lagardère
Fonction
Directeur
Groupe Lagardère
depuis le
Autres informations
A travaillé pour
Distinction

Il est le fils unique de Jean-Luc Lagardère, ancien président de Matra et Hachette, et de Corinne Levasseur[1]. Il est d'abord gérant et associé commandité de Lagardère SCA, société holding du groupe Lagardère puis, en juin 2021, président directeur général du groupe Lagardère pour un mandat de 6 ans[2].

Sa fortune et celle de sa famille est estimée à 185 millions d'euros en 2020 (448e de France) par le magazine Challenges[3].

Parcours

Élève au cours privé Saint-Louis de Monceau[4] et au lycée Janson-de-Sailly, titulaire d’une maîtrise d’économie appliquée[5] et du DEA politique générale et stratégie des organisations de l'université Paris-Dauphine[6], le fils de Jean-Luc Lagardère effectue la majeure partie de sa carrière au sein du groupe familial Lagardère. Il est nommé administrateur (1986) puis directeur général (1989) de la société MMB, devenue Lagardère SCA en 1996. Il occupe alors différentes fonctions au sein du groupe, dont la présidence de Grolier Inc. aux États-Unis (1994-1998), et celle d’Europe 1 - Communication (1999-2007). En 1999, il est ainsi nommé PDG de Lagardère Media (né de la fusion de Matra et Hachette en 1992) et Directeur Général de Lagardère Active, groupe audiovisuel réunissant, entre autres, Europe 1, Virgin fm, RFM et MCM[5].

Depuis 2003, il dirige le groupe Lagardère en qualité de gérant[7] et associé commandité et recentre celui-ci dans les médias.

En 2006, il crée une nouvelle entreprise, Lagardère Sports[7], devenue Lagardère Unlimited[8] en , spécialisée dans le sport et le divertissement, avec les acquisitions successives de Sportfive, IEC in Sports, World Sport Group ou encore Best. En , Lagardère Unlimited devient Lagardère Sports and Entertainment.

Par la suite le groupe Lagardère, sous la volonté d’Arnaud Lagardère, travaille au déploiement de ses activités numériques, en particulier dans l’édition et la presse.

Au cours de sa carrière, Arnaud Lagardère est temporairement administrateur de France Télécom (2003-2008), de LVMH (2003-2009), de Fimalac (2003-2006) et membre du conseil de surveillance du journal Le Monde (2005-2008).

Le , Arnaud Lagardère décide de prendre la présidence d’Europe 1 afin de relancer la station[9].

Après une bataille d'actionnaires durant plusieurs mois, le groupe Lagardère, société en commandite par actions, se voit proposé d'être transformé en une société anonyme plus classique, en [10] et votée par les actionnaires le [11]. Lors des négociations avec les autres actionnaires, Arnaud Lagardère obtient alors d’être nommé président statutaire pendant six ans pour une rémunération de 5 à 6 millions d’euros par an, auxquels s’ajoutent les dividendes afférents à sa position d’actionnaire. Il bénéficiera également après son départ d'une retraite estimée à plusieurs millions d'euros par an[12].

Activités

Fonctions dans le groupe

Jusqu'en 2021, Arnaud Lagardère est associé-commandité et gérant de Lagardère SCA[13], le seul maitre à bord par l'intermédiaire de la holding Lagardère Capital & Management et des parts de Qatar Investment Authority, fonds d'investissement lui apportant son soutien ; cette holding possède alors 7,33 % des parts du groupe et plus de 10 % des droits de vote (pratiquement 20 % pour Qatar Investment), ainsi que les dettes contractées par Arnaud Lagardère lors de son achat d'actions[14]. Jusqu'en , par le statut de société en commandite par actions, Arnaud Lagardère contrôlait son groupe sans qu'il ne soit nommé par les actionnaires[14].

Il occupe aussi les fonctions suivantes : président-directeur général de Hachette SA dont le nom commercial est Lagardère Media, président exécutif de Lagardère Sports and Entertainment, président du Conseil de surveillance des sociétés Lagardère Active et Lagardère Travel Retail, administrateur de Hachette Livre (Lagardère Publishing). Arnaud Lagardère est aussi président de la Fondation Jean-Luc Lagardère.

Au titre de ses fonctions et de sa qualité d'actionnaire, ses revenus cumulés en dix ans d'activité, depuis 2009, dépassent le demi milliard d'euros[14] - [n 1].

Depuis le , la société est transformée en Société anonyme dont Arnaud Lagardère est le président pour six ans.

Anciennes Fonctions en dehors du groupe

En plus de ces mandats, Arnaud Lagardère a été administrateur et président de la Société de gestion de l’aéronautique, de la défense et de l’espace (Sogeade-Gérance) de 2007 à 2013, membre du Conseil d’administration de la société EADS N.V de 2003 à 2013, et membre du Conseil stratégique des technologies de l’information de 2004 à 2007, organisme placé auprès du Premier ministre.

Controverses

Les luttes internes dans la société EADS, à la suite du décès de son père, qui opposent notamment Jean-Louis Gergorin, Jean-Paul Gut, Philippe Camus, Fabrice Brégier, Noël Forgeard et lui-même, semblent avoir nui à son autorité de par son mutisme[15].

En , il apparaît aux côtés de sa compagne, le mannequin belge Jade Foret, dans une vidéo tournée à Rambouillet[16] pour l'hebdomadaire belge Le Soir Magazine. Rapidement relayé sur internet, ce document réveille également de nombreuses critiques quant aux compétences d'Arnaud Lagardère dans ses activités professionnelles[17] - [18]. À la suite de la publication dans La Tribune d'un article exposant les inquiétudes des salariés du groupe Lagardère sur leur dirigeant, considérant cette « déclaration d'amour télégénique » comme « une nouvelle illustration de la désinvolture avec laquelle Arnaud Lagardère, 50 ans, conduit son groupe »[19], Arnaud Lagardère a fait savoir par communiqué de presse[20] qu'il poursuivait La Tribune pour « diffamation publique »[21] - [22]. En 2015, son épouse est condamnée par le tribunal correctionnel de Pontoise pour corruption à la suite de son implication dans un réseau de trafic de permis de conduire[23].

Selon le quotidien La Tribune en 2010, Arnaud Lagardère serait depuis des annĂ©es en situation financière difficile[24]. Ces difficultĂ©s expliqueraient le fait qu'il a gagĂ© l'essentiel de ses actions dans son groupe auprès de banques pour emprunter afin de renforcer sa participation dans son groupe. Arnaud Lagardère aurait utilisĂ© les sommes prĂŞtĂ©es pour acheter des actions Lagardère, Ă  une pĂ©riode oĂą le cours Ă©tait Ă©levĂ©, soit de 57,9 â‚¬ Ă  61 â‚¬ par action. Le cours de l'action s'Ă©tant effondrĂ©, la valeur des titres dĂ©tenus par Arnaud Lagardère compenserait Ă  peine les sommes empruntĂ©es auprès des banques. Ses parts (servant de garantie face aux crĂ©anciers) comme ses dettes, sont dĂ©tenues par sa holding Lagardère Capital & Management (LC&M)[14]. Quelques annĂ©es après, l'opacitĂ© de cette holding est reprochĂ©e par le troisième actionnaire du groupe, le fonds britannique Amber Capital qui attaque frontalement Arnaud Lagardère sur de multiples points[14].

DĂ©but 2020, le Groupe Lagardère confirme que la holding LC&M d'Arnaud Lagardère est endettĂ© Ă  hauteur de 164 millions d'euros en 2019[25]. Une dette divisĂ©e par trois et compensĂ©e par la solvabilitĂ© d'Arnaud Lagardère, car infĂ©rieure au montant des actions qu'il possède[26] ; il s'estime victime d'une « campagne de dĂ©stabilisation Â» de la part d'Amber Capital[27]. Le dirigeant assure Ă©galement que son groupe n'est pas en danger[26].

La stratĂ©gie « mĂ©dias Â» du groupe Lagardère connaĂ®t certains Ă©checs significatifs. Jean-Luc Lagardère avait connu le cuisant Ă©chec de la chaĂ®ne La Cinq[28] survenu après l'attribution de TF1 lors de sa privatisation au groupe Bouygues ; son fils, Arnaud investit Ă©galement dans la stratĂ©gie « mĂ©dias Â» du groupe du mĂŞme nom.

  • LancĂ©e en par son futur partenaire Canal+, la chaĂ®ne « Forum Planète Â»[29] ferme aussi ses Ă©missions en , deux ans après l'entrĂ©e au capital de Largardère dans MultithĂ©matiques.
  • En , Lagardère investit dans la chaĂ®ne « MĂ©decine Plus Â» crĂ©Ă©e quelques mois plus tĂ´t[30] mais cesse sa diffusion en .
  • Deux ans après son rachat, le service interactif « Le Journal de Chez Vous Â», crĂ©Ă© par Canal+ en 1999[31], diffusĂ© par Canalsatellite et TPS, s'arrĂŞte en 2002.
  • MĂŞme situation pour la chaĂ®ne SantĂ© Vie[32] lancĂ©e en 2000 et cĂ©dĂ©e en [33], qui est amenĂ©e Ă  s'arrĂŞter, une annĂ©e plus tard.
  • Le , la chaĂ®ne Match TV prĂ©sentĂ©e comme le nouveau fleuron de Lagardère doit dĂ©finitivement fermer son antenne, après avoir Ă©tĂ© crĂ©Ă©e le [34].

Arnaud Lagardère, désormais seul capitaine à bord à la suite du décès de son père, ne parvient pas à redresser la barre et à retrouver les victoires obtenues par Jean-Luc Lagardère, notamment pour Europe 1.

  • Constat d'Ă©chec identique pour la chaĂ®ne Gourmet TV, lancĂ©e par JoĂ«l Robuchon et Guy Job codĂ©tenue avec les groupes France TĂ©lĂ©com et France TĂ©lĂ©vision, lancĂ©e en [35] qui cesse sa diffusion en [36].
  • Le groupe Lagardère cède La ChaĂ®ne MĂ©tĂ©o Ă  la sociĂ©tĂ© MĂ©tĂ©o Consult au mois de [37].
  • Les chaĂ®nes Planète Choc et Ma Planète cessent leur diffusion en quelques annĂ©es après que Lagardère fut amenĂ© Ă  rĂ©duire sa participation, initialement Ă  paritĂ©, avec Canal+, dans la sociĂ©tĂ© Ă©ditrice MultithĂ©matiques.
  • La chaĂ®ne Filles TV, lancĂ©e en voit une refonte complète de sa programmation le ainsi que le positionnement de son marketing ; celle-ci est, dès lors, rebaptisĂ©e June.
  • La chaĂ®ne musicale MCM Belgique est arrĂŞtĂ©e le , faute de succès[38].
  • LancĂ©e le , et initialement intitulĂ©e Europe 2 TV, la chaĂ®ne doit ĂŞtre reformatĂ©e et rebaptisĂ©e Virgin 17 ; deux ans plus tard en , la chaĂ®ne musicale devient gĂ©nĂ©raliste sous le titre Direct Star peu avant sa cession au groupe BollorĂ©.
  • MĂŞme pour son fleuron radiophonique, Europe 1, Lagardère subit une Ă©rosion d'audience[39]. Ces Ă©checs redondants amènent le groupe Ă  revoir sa stratĂ©gie et Ă  remplacer plusieurs de ses directeurs dont en 2006, Didier Quillot par Denis Olivennes[40], le .

Les analystes du secteur financier comme la presse économique tirent un bilan négatif de la stratégie du groupe dirigé par Arnaud Lagardère[41]. Au cours de la crise financière affectant le marché publicitaire, Arnaud Lagardère attend, lui-même, un bilan significativement négatif[42].

Le , Arnaud Lagardère annonce les résultats en hausse de son groupe[43].

En , Arnaud Lagardère se sépare de nombreux titres de presse. Il revend notamment Télé 7 jours ou ELLE au milliardaire tchèque Daniel Křetínský[44]. Il se sépare aussi progressivement de ses sites internet et vend, par exemple, boursier.com au Groupe Les Échos-Le Parisien (LVMH)[45]. Cette volonté de vendre ses titres de presse s'inscrit dans une stratégie de désengagement des médias par le groupe Lagardère Active. Entre juillet et , la branche média du groupe a représenté 196 millions d'euros, soit seulement 10 % de l'activité.

Les salariés d'Europe 1 votent une motion de défiance à son encontre en [46].

Prises de position et interventions directes dans les médias

Arnaud Lagardère est intervenu à plusieurs reprises dans les médias qu'il possède.

Concernant l'indépendance des médias, il déclare : « C’est quoi l’indépendance en matière de presse ? Du pipeau. Avant de savoir s’ils sont indépendants, les journalistes feraient mieux de savoir si leur journal est pérenne »[47].

Le 25 août 2005, le magazine Paris Match - qui appartient au groupe Lagardère - révèle l'idylle entre l'épouse du président Nicolas Sarkozy et le publicitaire Richard Attias[48]. Le président de la République jure alors publiquement d'obtenir les têtes des responsables[49]. Le directeur du journal, Alain Genestar[50] et le PDG du groupe puis Gérald de Roquelmaurel[49] sont alors licenciés par le groupe Lagardère. Cette situation ainsi que plusieurs autres associant Nicolas Sarkozy et Arnaud Lagardère, jettent le doute sur l'indépendance politique du groupe de presse[51].

Certains journalistes, sous couvert d'anonymat, le soupçonnent d'avoir bloqué en 2007, la publication d'un article du Journal du dimanche indiquant que l'épouse du président de la République nouvellement élu, Nicolas Sarkozy, n'était pas allée voter au second tour de l'élection présidentielle[52].

En , il se plaint de la « une » du Journal du dimanche consacrĂ©e Ă  Marine Le Pen la trouvant « trop empathique » et donne un « avertissement » au directeur du journal[53] - [54].

En février 2022, alors que Vincent Bolloré souhaite mener une OPA sur le groupe Lagardère et entraîner une fusion de Hachette et Editis à laquelle sont opposés les auteurs, il exprime sa confiance envers le dirigeant de Vivendi, déclarant également devant la commission d'enquête sénatoriale : « Cela ne sert à rien de crier avant d’avoir mal »[55].

Affaires

A380

Arnaud Lagardère cède une grande partie de ses actions EADS peu avant que l'action ne chute en bourse, à la suite de l'annonce des retards dans le programme A380. Cela lui vaut d'être auditionné par l'Autorité des marchés financiers (AMF) le , dans le cadre d'une enquête sur un possible délit d'initié[56].

Le Canard enchaĂ®nĂ© du cite que les enquĂŞteurs de l'AMF ont trouvĂ©, lors d’une perquisition au siège du Groupe Lagardère, un calepin instructif dans le coffre du bureau de Raymond LĂ©vy, prĂ©sident du Conseil de surveillance de Lagardère SCA. Ce calepin dĂ©montre que les dĂ©boires de l'A380 Ă©taient connus d'Arnaud Lagardère avant la revente des actions pour 890 000 000 â‚¬ de plus-values, comme le rĂ©vèle le mĂŞme article du Le Canard enchaĂ®nĂ©. Ce possible dĂ©lit d'initiĂ© Ă©claire d'un nouveau jour la phrase d'Arnaud Lagardère de : « J’ai le choix entre passer pour quelqu’un de malhonnĂŞte ou d'incompĂ©tent, qui ne sait pas ce qui s’est passĂ© dans ses usines, j’assume cette seconde version ». Le mercredi , Le Figaro fait sa une avec l'affaire ainsi dĂ©voilĂ©e par l'AutoritĂ© des marchĂ©s financiers.

Dans sa notification des griefs établie à la suite de ces faits, l'AMF ne formule aucun reproche : ni à l'encontre d'Arnaud Lagardère, ni à l'encontre de Lagardère SCA au sujet de l'A380 ; l'autorité clôt le dossier EADS sans aucune sanction[57] - [58].

RĂ©seau d'influence

Depuis les annĂ©es 2000, Nicolas Sarkozy le considère publiquement comme « un frère Â»[59]. Parmi le rĂ©seau de relations d'Arnaud Lagardère, on compte des personnalitĂ©s appartenant au monde des entreprises ou de l'univers politique comme Henri de Castries, Martin Bouygues, Bernard Arnault, François-Henri Pinault (fils de François Pinault), Vincent BollorĂ©, Nicolas Sarkozy, Thierry Breton, Tony Blair ou Dominique Strauss-Kahn.

Vie privée

Il se marie en premières noces, le , avec Manuela Erdödy[60], qui appartient à une vieille famille autrichienne d'origine hongroise, dont il divorce en 2010[61], après avoir eu deux fils, Alexandre et Emery[62].

Il Ă©pouse en secondes noces Ă  Paris le [63] le mannequin belge Jade Foret[64], avec qui il a eu deux filles et un fils.

Il possède une résidence villa Montmorency à Paris, un domaine à Poigny-la-Forêt dans la forêt de Rambouillet et une demeure dans les Hamptons aux États-Unis, acquise en 2008 après en avoir revendu une autre à Greenwich (Connecticut)[6].

Distinctions

Notes et références

Notes

  1. Revenus, cumulés sur dix ans, composés du salaire fixe de 26,3 millions d'euros, du prélèvement de 1 % sur les bénéfices, des dividendes et de cessions d'actions[14].

Références

  1. Grégoire Biseau et Alexandra Schwartzbrod, « L'ascension à contrecoeur d'un héritier », Libération, (consulté le )
  2. « Lagardère: les actionnaires mettent fin à la commandite », sur Challenges, (consulté le )
  3. « Les 500 plus grandes fortunes de France en 2020 - Challenges », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider, « De Jean-Luc à Arnaud Lagardère, dernier inventaire avant liquidation de l’héritage paternel », sur Le Monde, (consulté le ).
  5. « Arnaud Lagardère - La biographie de Arnaud Lagardère avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le )
  6. Francois Miguet, « Europe 1, Jade, sa garde rapprochée… les petits secrets d'Arnaud Lagardère », sur capital.fr, (consulté le ).
  7. « L'actualité sur Arnaud Lagardère (Page 4) par L'Obs », sur L'Obs (consulté le )
  8. Arnaud Lagardère repense la branche sport de Lagardère sur zonebourse.com, 4 juin 2010
  9. « Arnaud Lagardère : « J’ai décidé de prendre la présidence d’Europe 1 » », sur lemonde.fr, (consulté le )
  10. Adrien Franque, « Arnaud Lagardère n’est plus maître chez lui », sur Libération,
  11. « Lagardère: les actionnaires mettent fin à la commandite », sur Challenges, (consulté le )
  12. Emmanuel Schwartzenberg, « Démantèlement de Lagardère : "Junior" sauve son train de vie », sur marianne.net,
  13. « Arnaud Lagardère entérine le virage stratégique du groupe », sur lesechos.fr (consulté le )
  14. Clément Lacombe, « La« boîte noire » d'Arnaud lagadère », L'Obs, no 2875,‎ , p. 68-70 (ISSN 0029-4713)
  15. « Comment et pourquoi Arnaud Lagardère est devenu une cible (2) », sur marianne.net, (consulté le )
  16. Jade Foret : son shooting sexy pour soirmag.be ! (vidéo) Le Soir mardi 19 juillet 2011 - Gery Brusselmans
  17. So shoot me, The Times, 25 juillet 2011
  18. Pourquoi Arnaud inquiète Lagardère L'expansion.com, 25 juillet 2011.
  19. « Arnaud dirige-t-il encore Lagardère ? », La Tribune, (consulté le )
  20. « Lagardère porte plainte contre "La Tribune" », La Tribune, (consulté le )
  21. « Arnaud Lagardère poursuit La Tribune en diffamation », Le Monde, (consulté le )
  22. « "Diffamation" : Lagardère attaque La Tribune », sur arretsurimages.net (consulté le )
  23. « Jade Lagardère, condamnée pour avoir acheté son permis de conduire », sur journaldesfemmes.fr (consulté le )
  24. Article de La Tribune du 20 avril 2010 : Arnaud Lagardère en situation financière difficile
  25. « La holding personnelle d'Arnaud Lagardère endettée à hauteur de 164 mio EUR », sur zonebourse.com (consulté le )
  26. « Arnaud Lagardère lesté par une dette faramineuse, il cherche à rassurer », sur Capital.fr, (consulté le )
  27. « La holding personnelle d'Arnaud Lagardère endettée à hauteur de 164 millions d'euros en 2019 », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  28. Nathalie Silbert « Lagardère et la malédiction audiovisuelle », Les Échos,
  29. Nicolas Santolaria « Â«Dossiers de l'Ă©cran» version Canalsatellite. Le bouquet numĂ©rique lance Forum Planète, chaĂ®ne de dĂ©bats «jansĂ©niste» Â», LibĂ©ration,
  30. « Europe 1 rachète la chaĂ®ne MĂ©decine Plus Â», strategies.fr,
  31. RaphaĂ«l Garrigos « Lagardère rachète le Journal de chez vous Â», LibĂ©ration,
  32. « La chaĂ®ne SantĂ©-Vie renforce son exposition sur le câble Â», StratĂ©gies,
  33. « Lagardère cède la chaĂ®ne SantĂ© Vie », sur le site Fusacq.com,
  34. « Lagardère Active a arrĂŞtĂ© la diffusion de sa chaĂ®ne dĂ©ficitaire Match TV Â», TĂ©lĂ© Satellite,
  35. « Le lancement de la chaĂ®ne gastronomique Gourmet TV Â», TĂ©lĂ© Satellite,
  36. « La chaĂ®ne thĂ©matique Gourmet TV consacrĂ©e Ă  la gastronomie et Ă  l'art de vivre, crĂ©Ă©e il y a trois ans par Guy Job, a cessĂ© Â», TĂ©lĂ© Satellite,
  37. Delphine Decourty, « METEO CONSULT rachète LA CHAINE METEO », sur communique-de-presse.com (consulté le )
  38. Anne Sandront, « MCM Belgique mourra dans trois jours », Communes, régions, Belgique, monde, sports – Toute l'actu 24h/24 sur Lavenir.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  39. Emmanuel Torregano « Europe 1 : la radio de la mĂ©duse Â», sur le site electron.libre.info, rubrique « Old fashion media Â»,
  40. « Officiel: Denis Olivennes nouveau président du directoire de Lagardère Active », sur JeanMarcMorandini.com,
  41. Alexandre DeboutĂ© « Lagardère engluĂ© dans ses participations minoritaires Â», Le Figaro,
  42. Delphine Denuit « MĂ©dias & PublicitĂ© : Arnaud Lagardère ne prĂ©voit pas de reprise de la publicitĂ© Â», Le Figaro,
  43. Alexandre Debouté, « Lagardère a amélioré ses performances en 2016 », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  44. « Qui est vraiment Kretinsky, le Tchèque qui rachète la presse française ? », leparisien.fr,‎ 2018-10-28cet09:43:56+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  45. « Lagardère vend Boursier.com au groupe Les Échos », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. « A Europe 1, Arnaud Lagardère de nouveau interpellé par les salariés », sur 20minutes.fr,
  47. Cité par Thierry Gadault, Arnaud Lagardère, l’insolent, Maren Sell éditeurs, Paris, 2006, p. 204 - Repris par Pierre Rimbert Le Monde Diplomatique, « Des journalistes au bord de la rébellion »
  48. « Le directeur de «Paris-Match» acculé au départ », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  49. « Paris-Match-Cécilia: Roquemaurel charge Genestar », sur LExpress.fr, (consulté le )
  50. « Selon Alain Genestar, Nicolas Sarkozy est à l'origine de son licenciement », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. « Lagardère-Sarkozy : nous nous sommes tant aidés », sur L'Obs, (consulté le )
  52. Rue89, « Cécilia Sarkozy n'a pas voté… scoop censuré du JDD »
  53. « JDD » : le coup de gueule de Lagardère à propos de la « une » sur Marine Le Pen, lemonde.fr, 13 octobre 2015
  54. L'avertissement de Lagardère au "JDD" après la une sur Marine Le Pen, lepoint.fr, 13 octobre 2015
  55. « Arnaud Lagardère : « Cela ne sert à rien de crier avant d’avoir mal » », sur Livres Hebdo (consulté le )
  56. « EADS : Lagardère auditionné 9 heures par l'AMF », sur Challenges, (consulté le )
  57. L'AMF referme le dossier EADS sans aucune sanction, actualité Économie : Le Point
  58. Marc Cohen, « Arnaud Lagardère sauvé par son incompétence », (consulté le )
  59. Renaud Lecadre « Quand Sarkozy dictait sa conduite Ă  son «frère» Arnaud Lagardère Â», LibĂ©ration,
  60. « Une fusion canon », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  61. « Manuela Erdödy, l'ex femme d'Arnaud Lagardère, se confie - Actu - People - Plurielles.fr », Plurielles.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  62. « La sœur de Jade Lagardère vient d’avoir un enfant… avec le fils d’Arnaud Lagardère », sur Vanity Fair, (consulté le )
  63. Prisma Média, « Arnaud Lagardère a épousé Jade Foret - Gala », Gala.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  64. « Lagardère, le grand patron qui fait le buzz », sur L'Expansion,

Annexes

Bibliographie

  • Thierry Gadault, Arnaud Lagardère, l’insolent, Paris, Maren Sell Ă©diteurs, , 240 p. (ISBN 978-2-35004-054-7, BNF 40951676)
  • Jacqueline RĂ©my, Arnaud Lagardère. L'hĂ©ritier qui voulait vivre sa vie, Paris, Flammarion, , 303 p. (ISBN 978-2-08-128361-9, BNF 42803027)

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.