Plouédern
Plouédern [pluedɛʁn] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Plouédern | |
L'église Saint-Edern. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Brest |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas |
Maire Mandat |
Bernard Goalec 2020-2026 |
Code postal | 29800 |
Code commune | 29181 |
Démographie | |
Gentilé | Plouédernéens |
Population municipale |
3 009 hab. (2020 ) |
Densité | 153 hab./km2 |
Population agglomération |
44 395 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 29′ 03″ nord, 4° 14′ 45″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 116 m |
Superficie | 19,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Brest (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Landerneau |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune de Plouédern |
Géographie
Description
La commune de Plouédern est située dans le Léon, partie nord du département du Finistère, juste au nord de la ville de Landerneau. Son finage est délimité au sud-est par le fleuve côtier Élorn, à l'est et au sud-ouest par deux petits affluents de rive droite de ce dernier ; à l'ouest et au nord-ouest ce sont des ruisseaux affluents de rive gauche de l'Aber-Wrac'h qui lui servent de limite avec les communes de Ploudaniel, Saint-Thonan et Trémaouézan. La partie sud du territoire communal (le quartier de Kergoat) est désormais englobée dans l'agglomération de Landerneau dont elle forme un quartier périphérique.
L'essentiel du territoire communal est constitué d'un morceau du plateau du Léon, compris entre 60 mètres et une centaine de mètres d'altitude, atteignant même 110 mètres dans la zone industrielle de Saint-Éloi ; ce plateau est toutefois échancré, principalement dans la partie méridionale de la commune, par les vallées des affluents de l'Élorn et qui dessinent un relief en creux atteignant seulement 8 mètres d'altitude dans la vallée même de l'Élorn, où se trouve l'usine de traitement des eaux de Pont-ar-Bled, qui alimente en eau potable la ville de Brest et une bonne partie du Pays de Brest[1].
Le bourg de Plouédern est situé en position relativement centrale au sein du territoire communal, vers 90 mètres d'altitude. Il a beaucoup grossi ces dernières décennies en raison de la création de plusieurs lotissements.
Le paysage agraire traditionnel était le bocage avec un habitat dispersé en de nombreux hameaux. Mais ce paysage a été beaucoup transformé en raison de la périurbanisation.
Le territoire communal est traversé par la voie express RN 12 qui traverse la commune en son milieu, passant même dans le bord du bourg (les quartiers de Bégavel et Ty Névez sont au nord de cette voie express, alors que le reste du bourg est au sud). La commune est desservie par l'échangeur de Saint-ÉLoi (situé sur le territoire de la commune voisine de Ploudaniel) autour duquel une zone industrielle, dite de Saint-Éloi, s'est développée, comprenant notamment le siège social de la société Le Comptoir Irlandais, située sur le territoire communal de Plouédern. Par ailleurs, la commune est desservie par la route départementale no 29, allant de Landerneau à Plounéventer.
La tourbière de Lann Gazel (marais de Langazel)
La tourbière de Lann Gazel (marais de Langazel)[2], d'une superficie d'environ 500 ha, est situé à cheval sur les communes de Ploudaniel, Trémaouézan et Plouédern ; il est drainé par des ruisseaux tributaires de l'Aber-Wrac'h s'écoulant vers le nord-ouest en deux branches principales entre lesquelles se situe le bourg de Ploudaniel[3]. D'anciennes tourbières y ont été exploitées et c'est désormais un espace naturel protégé, faisant partie des sites Natura 2000[4], dont la gestion naturaliste a commencé en 1992[5].
« La tourbière de Langazel abrite des espèces et des habitats ou milieux naturels d’intérêt européen en proportion importante. Ces habitats et ces espèces sont répertoriés dans deux directives européennes pour la conservation des milieux naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages : la directive « Oiseaux » de 1979 et la directive « Habitats-faune-flore » de 1992[2]. »
Un circuit de randonnée d'une longueur de 8 km et un sentier d'interprétation d'une durée de 30 minutes ont été aménagés pour en permettre la visite.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pencran », sur la commune de Pencran, mise en service en 1992[12] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 465 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Ploudaniel-Inra », sur la commune de Ploudaniel, mise en service en 1982 et à 8 km[15], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[16] à pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Plouédern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), forêts (10,2 %), zones urbanisées (8,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), prairies (1,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploe Edern vers 1330, Plebs Ederni en 1337 et Guic Edern en 1467, Ploedern en 1481[25].
Plouédern vient du breton ploe (paroisse) et de Edern. Le nom de la commune signifie donc « La paroisse de Saint Edern »[26].
Histoire
Préhistoire, Antiquité et Haut Moyen-Âge
Un habitat daté du début de l'Âge du Bronze moyen (vers 1600 av. J.-C.) a été fouillé en 2008 à Leslouc'h par Stéphane Blanchet[27] ; on y a découvert, en rasant la motte féodale édifiée postérieurement sur le site, les vestiges d'une salle de 16 mètres sur 6 mètres, aux murs d'argile de 75 à 90 cm d'épaisseur, qui était la demeure d'un machtiern (un chef local de la société celtique)[28] ; formé de grandes parcelles délimitées par des fossés profonds de 0,50 mètre, le site contenait de nombreux débris de comblement, notamment des meules brisées et des molettes pour le broyage des céréales, ainsi que des céramiques, attestant la présence de maisons au sein de ces parcelles, mais il n'en subsiste presque aucune trace[29].
Moyen Âge
La paroisse de Plouédern faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon.
Du XVIe siècle au XVIIIe siècle
L'activité toilière du lin et du chanvre, comme dans les paroisses voisines, était répandue à Plouédern : 29 kanndi y ont été recensés et 63,8 % des inventaires après décès de la paroisse à l'époque font état de la présence de métiers à tisser, certains foyers en possédant même plusieurs comme le couple Thénénan Kerlann et Marguerite Le Daré, qui vivait au manoir du Quinquis Marrec, qui en possédait trois en 1738-1739 lors de leurs décès respectifs. Jean Derien, du manoir de Berregard (Beauregard), décédé en 1776, disposait de biens estimés à 35 097 livres dont de nombreux "tonneaux de fil blanc" lors d'un premier inventaire partiel (leur poids a été estimé, en mesures actuelles, à dix tonnes au moins)[30].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Plouédern en 1778 :
« Plouédern, à six lieues au sud-ouest de Saint-Pol-de-Léon, son évêché), à 44 lieues de Rennes et à une lieue de Landerneau, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Lesneven et compte 1200 communiants[31]. La cure est présentée par l'Évêque. Ce territoire est un pays couvert [de bocage], qui offre à la vue des terres en labeur, des prairies et des landes. Les maisons de l'endroit sont Chef-du-Bois, le Forestic, Penancoët, Ker-autret, Treffuyen et les Granges ; cette dernière fut unie et incorporée à la maison de Carman, vers l'an 1640[32]. »
Le XIXe siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Plouédern en 1853 :
« Plouédern (dédiée à saint Edern) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale (...). Superficie totale : 1 962 hectares dont (...) terres labourables 1 205 ha, prés et pâtures 119 ha, bois 254 ha, vergers et jardins 11 ha, landes et incultes 252 ha (...). Moulins : 11 (des Justices, de Pontarblot, du Forestou, du Petit-Moulin, de Kerhamon, de Tourous, à eau). Aux manoirs énumérés par notre auteur [Jean-Baptiste Ogée], il convient d'ajouter ceux de Cribinet, du Kergoat et de Trévian. (...) On parle le breton[33]. »
- L'église de Plouédern (dessin de Léon Gaucherel).
La Belle Époque
En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par François-Virgile Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Plouédern, l'abbé Jaffrès, écrit : « Toutes les instructions se font en breton, aucune autre langue ne serait comprise »[34].
Le , Jaffrès, curé de Plouédern, fait partie des 31 prêtres du diocèse de Quimper dont les traitements[35] sont retenus par décision du gouvernement Combes « tant qu'ils ne feront pas emploi de la langue française dans leurs instructions et l'enseignement du catéchisme » car ils utilisaient le breton[36].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouédern porte les noms d'au moins (car 7 noms indiqués sur le monument ne sont accompagnés d'aucune date de décès) de 23 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Un d'entre eux (Guillaume Guénolé) est mort en Bulgarie et un (Pierre Rognant) en Roumanie, tous les deux d'ailleurs après la fin officielle de la guerre ; la plupart des autres sont morts sur le sol français. Par ailleurs, un soldat (François Houpier) est mort pour la France en 1920 dans des circonstances non précisées[37].
Des tranchées qui servaient d'entraînement aux soldats du 128e régiment d'infanterie, basé à Landerneau, avant de monter au front, ont été réhabilitées en 2014 par l'Association Dourdon et sont visibles dans le bois de Kergoat situé dans la partie sud de la commune[38].
- Monument aux morts de 1914-1918.
- Statue sommitale du monument aux morts.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouédern porte les noms d'au moins (car 7 noms indiqués sur le monument ne sont accompagnés d'aucune date de décès) 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; deux d'entre eux au moins (Yves Ropars, Jean Le Roux) sont des marins disparus en mer ; Gabriel Le Pape, sous-lieutenant dans l'armée de l'air, est mort dans un accident d'avion le à Tanashouet (Algérie) et Yves Lavanant, second maître mécanicien à la base navale d'Aspretto, est mort accidentellement à bord d'un avion Latécoère 298 le à Ferryville (Tunisie)[37].
Politique et administration
Économie et industrie
Personnalités liées à la commune
- Jean-Luc Pailler, pilote automobile plusieurs fois champion de France de rallycross, né à Plouédern.
Monuments
- Église Saint-Edern. Création de vitraux par Hubert de Sainte-Marie.
- Intérieur de l'église.
- Monument aux morts de 1914-1918.
- Le manoir de Kergoat (bien que situé désormais à la périphérie nord de l'agglomération de Landerneau, ce manoir fait partie de la commune de Plouédern).
- Le manoir de Kergoat (façade nord).
- Le manoir de Kergoat : façade sud.
- Le manoir de Kergoat (façade sud) et son bassin.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 3 009 habitants[Note 7], en augmentation de 8,04 % par rapport à 2014 (Finistère : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Annexes
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Notes et références
- https://fr.codra.net/panorama/sites/all/files/Documents/FR-References/VEOLIA%20EAU%20Pont%20ar%20Bled_Sucess%20Story.pdf
- http://www.pays-landerneau-daoulas.fr/upload/La%20zone%20humide%20de%20Langazel.pdf
- Paul Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies. 4, L-M, 1890-1905, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73392f/f58.image.r=Ploudaniel.langFR
- Museum national d'Histoire naturelle, « FR5300067 - Tourbière de Lann Gazel », sur mnhn.fr (consulté le ).
- « La zone humide de Langazel », sur Asso.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pencran - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plouédern et Pencran », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Ploudaniel-Inra - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plouedern » (consulté le ).
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 94, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
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- Georges Minois, Nouvelle histoire de la Bretagne, Librairie Fayard, , 928 p. (ISBN 978-2-213-64851-4, lire en ligne).
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- Personnes en âge de communier
- Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 3, 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist03og
- A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1853, consultable https://books.google.fr/books?id=MZIPAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjDmr7G6vbWAhUEfhoKHZx8AqsQ6AEIVjAI#v=onepage&q=Plou%C3%A9dern&f=false
- Fanch Broudic, "L'interdiction du breton en 1902", Coop Breizh, 1997, (ISBN 2-909924-78-5).
- En vertu du Concordat, les prêtres étaient alors payés par l'État
- Journal La Croix no 6064 du 18 et 19 janvier 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2199243/f1.image.r=Pouldreuzic.langFR
- ACAM-MEMORIAL, « Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/guerre-14-18-tranchees-finistere-1258619.html et http://www.letelegramme.fr/cotesarmor/guerre-14-18-des-tranchees-en-bretagne-04-02-2014-10019188.php
- Adrien Joseph Marie Le Borgne, comte de Keruzoret, né le à Cribinet en Plouédern
- Yves Pouliquen, né le Plouédern, décédé le à La Martyre
- François-Louis Pouliquen, né le à l'Île Kerafranc en Plouédern
- Goulven Cornec, né le à Quinquis Meur en Plouédern, décédé le à Plouédern
- « Mme Anne-Marie Favé, agricultrice nouveau maire », Ouest-France, .
- « 11,5 millions d'euros pour la nouvelle usine des Laboratoires Gilbert à Plouédern - Quotidien des Usines », sur usinenouvelle.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.