Ploeren
Ploeren [pleÊÉÌ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan, en Bretagne. La ville, ancienne paroisse primitive qui englobait autrefois les territoires actuels d'Arradon et de l'Ăle-aux-Moines, est une des villes de la premiĂšre couronne de Vannes.« Entre Terre et Mer aux portes du golfe du Morbihan », la commune de Ploeren sâĂ©tend sur 2 044 ha, en bordure de la voie express RN 165 NantesâBrest, Ă quelques minutes de Vannes, au milieu des pins, des ajoncs et des bruyĂšres.
Ploeren | |
Arche en pierre à l'entrée de la commune. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Vannes |
Intercommunalité | Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération |
Maire Mandat |
Gilbert Lorho 2020-2026 |
Code postal | 56880 |
Code commune | 56164 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Ploerinois |
Population municipale |
6 669 hab. (2020 ) |
Densité | 326 hab./km2 |
Population agglomération |
126 266 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 39âČ 20âł nord, 2° 52âČ 00âł ouest |
Altitude | Min. 3 m Max. 58 m |
Superficie | 20,44 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Ploeren (ville isolée) |
Aire d'attraction | Vannes (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Vannes-2 |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ploeren.fr/ |
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Ploerren en 1387, Ploeveren en 1402[1], Ploerren en 1427, en 1444 et en 1464, Ploeren en 1448 et en 1536, Ploueraien en 1477, Ploerran en 1481[2], Pleren en 1801[3].
Ploeren vient du breton Plou (paroisse en breton) et semble-t-il de saint Even, Meren, Erin[2]. Le nom breton de la commune est Ploeren, Ă©crit Ă©galement Ploveren.
Ploeren est parfois orthographiĂ©, notamment sur les panneaux routiers, PloĂ«ren ou PlĆren, Ploeren, sans ligature -oe- reste la forme usitĂ©e officiellement (commune, dĂ©partement, insee etc).
GĂ©ographie
Le bourg de Ploeren, qui est en voie de rurbanisation, est situé a vol d'oiseau a seulement 8 km à l'ouest du centre-ville de Vannes. Certains quartiers de la commune, situés à son extrémité est, sont des faubourgs de la ville de Vannes.
GĂ©ographie physique
La commune présente un relief relativement plat, l'altitude étant comprise entre 3 mÚtres et 58 mÚtres. La commune est coupée en deux suivant un axe est-ouest par la voie rapide de la Nationale 165.
|
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Larmor-Baden », sur la commune de Larmor-Baden, mise en service en 1995[10] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 868,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă 11 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[14] Ă 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ploeren est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ploeren, une unité urbaine monocommunale[19] de 6 575 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous prĂ©sente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type dâoccupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 13,8 % | 283 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 2,0 % | 40 |
Terres arables hors périmÚtres d'irrigation | 24,9 % | 509 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 22,1 % | 452 |
SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes | 24,8 % | 508 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 5,9 % | 120 |
ForĂȘts de feuillus | 1,4 % | 28 |
ForĂȘts mĂ©langĂ©es | 5,3 % | 108 |
Source : Corine Land Cover[24] |
Histoire
Il existe une monographie communale Ă©crite par Ch. Blanchard. qui retrace l'histoire de Ploeren de ses origines jusqu'Ă 1992.
PrĂ©histoire, AntiquitĂ© et Moyen-Ăge
Depuis la dĂ©couverte dâune hache en pierre polie datant du nĂ©olithique final en passant par les restes dâun cimetiĂšre mĂ©rovingien du cĂŽtĂ© de Toulprio, ainsi que le camp romain vers Kermurier et enfin, bien visible, la chapelle de BĂ©lĂ©an, construite par Jean du Garo qui fit les croisades au XIIIe siĂšcle : autant dâĂ©lĂ©ments qui prouvent que la commune est trĂšs ancienne. La porte septentrionale de cette chapelle est inscrite Ă l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques en 1925.
Dâabord occupĂ© par la forĂȘt, le sol fut dĂ©frichĂ© pour faire place Ă la terre labourable soit 600 ha, landes et incultes 1 000 ha, prĂ©s et pĂątures 300 ha et les bois pour le reste.
Sous l'Ancien RĂ©gime, on compte plusieurs seigneuries sur le territoire de Ploeren : celle de Le Garo, Le Maezo, Le Pargo, Brementec, CulĂ©ac, Loyon, KervĂ©rec, Plesterven, Propiando, PenhoĂ«t. La seigneurie du Garo dĂ©passe les 500 hectares, soit le quart de la commune, jusqu'au dĂ©but du XIIIe siĂšcle, oĂč les Kermeno du Garo, totalement ruinĂ©s, doivent vendre.
Toponymie
On rencontre les appellations suivantes : Ploerren (en 1427, 1444 et 1464), Ploeren (en 1448 et 1536), Ploueraien (en 1477), Ploerran (en 1481).
Temps modernes
Les familles nobles de Vannes aimaient Ă possĂ©der une ferme qui rapportait un revenu non nĂ©gligeable. MĂȘme Nicolas Fouquet, surintendant des finances de Louis XIV, ne fit pas exception Ă la rĂšgle. Cela se passait en 1656.
Le territoire paroissial englobait alors KĂ©ranguen, Le Bondon, Le Vincin et CulĂ©ac : par contre, il sâarrĂȘtait Ă 500 mĂštres environ en partant de lâĂ©glise vers lâouest.
De nombreux domaniers travaillaient pour les propriĂ©taires terriens. Lâouvrage ne manquait pas, procurĂ© par les fermes cossues et les moulins trĂšs actifs.
Révolution française
Dans la refonte dâaprĂšs 1789, Vannes a incorporĂ© une part de la paroisse de Ploeren, mais pour rĂ©Ă©quilibrer le territoire, TrĂ©oguer et Le Lain (autrefois sur la paroisse de Plougoumelen) sont intĂ©grĂ©s Ă la commune.
La RĂ©volution française divisa les habitants en chouans et rĂ©publicains. Bon nombre de Ploerinois sâengagent avec Georges Cadoudal. Ils risquent dâavoir leurs biens confisquĂ©s ou mĂȘme de perdre la vie. Mais quâimporte ! La liste est longue des cultivateurs faits prisonniers.
Le XIXe siĂšcle
Le Premier Empire voit lâĂ©tat de la commune se stabiliser ; bien sĂ»r, comme partout, chacun rechigne devant la conscription. Mais la paix sâinstalle et le bourg devient prospĂšre, mĂȘme sâil est plutĂŽt dâaspect minable avec ses chemins dĂ©foncĂ©s.
Il ne sâagit plus de rĂ©sidences secondaires comme Ă lâĂ©poque de lâAncien RĂ©gime, mais dâune population active avec des hameaux presque aussi peuplĂ©s que le bourg.
En 1841, Ploeren compte 1 053 habitants. La population agglomérée au bourg n'est que de 189 habitants, la population éparse étant de 864 personnes[25].
La Seconde Guerre mondiale
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, deux avions militaires, l'un allié, l'autre ennemi, se sont écrasés sur la commune :
- le , un Messerschmitt Bf 109 E-4 accidenté piloté par le caporal-chef (Obergefreiter) Horst CUNO se crasha tuant son pilote ;
- le , un B-17, le Concho Clipper serial 42-29838 de la 8th US Army Air force 351th Bombardement Group, 509th Bomb Squadron (RQ) s'Ă©crasa faisant 4 morts parmi les membres de l'Ă©quipage.
- Lt. C. F. Russell (KIA).
- Lt. Colonel J. Russell Jnr. (POW).
- Lt. Charles B. Woerhle (POW).
- Lt. Roy P. Stealey (POW) (Chicago Heights, IL).
- F/O Leo Grikstas (POW) (Brooklyn, NY).
- T/Sgt. James F. Welk (KIA).
- T/Sgt. Wayne I. Baldwin. Plot L Row 12 Grave 21. Brittany American Cemetery St. James.
- S/S. Charles T. Eaton (POW).
- S/Sgt. Nahannie Bader. Plot H Row 1 Grave 13. Brittany American Cemetery St. James.
- S/Sgt. Maurice A. McLaughlin (POW).
- S/Sgt. Frederick D. Williams Jnr (POW) (Bridgeport, CT).
POW : prisonnier de Guerre ; KIA : mort au Combat
Une cérémonie commune aux deux crashs eut lieu le en présence de Charles B. Woehrle[26], le dernier survivant de l'équipage, et du bourgmestre de Dorum, ville jumelée avec Ploeren, représentant le pilote allemand.
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[39].
En 2020, la commune comptait 6 669 habitants[Note 7], en augmentation de 3,43 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ploeren est une commune périurbaine à forte expansion démographique et spatiale : 48 % de la population sont des actifs dont moins de 15 % travaillent dans la commune.
64 % exercent leur activitĂ© professionnelle sur le bassin dâemploi de Vannes et 21 % hors du bassin de Vannes.
Deux tranches dâĂąges sont trĂšs prĂ©sentes : les jeunes mĂ©nages et les retraitĂ©s.
85 % des logements se prĂ©sentent sous la forme de maisons individuelles bĂąties sur des lotissements successifs. Le taux de logement HLM est dâenviron 10 %. Un projet de logements sociaux en mixitĂ© avec des logements pavillonnaires est en cours de rĂ©alisation dans le secteur des « 4 vents ».
Villes voisines
Plescop | Plescop | Vannes | ||
Plougoumelen Direction Auray - Lorient (Nantes, Brest par A82) |
N | Vannes (Nantes, Brest par A82) | ||
O Ploeren/Ploeveren E | ||||
S | ||||
Plougoumelen | Baden (Littoral du Golfe du Morbihan) |
Arradon (Littoral du Golfe du Morbihan) |
Culture et patrimoine
Langue bretonne
LâadhĂ©sion Ă la charte Ya dâar brezhoneg a Ă©tĂ© votĂ©e par le conseil municipal le .
Le label de niveau 1 de la charte Ya d'ar brezhoneg a été décerné à Ploeren le .
L'adhésion au niveau 2 de la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le .
à la rentrée 2016, 54 élÚves étaient scolarisés dans la filiÚre bilingue publique (soit 9,7 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[41].
Lieux et monuments
Lieux de culte
- L'Ă©glise Saint-Martin (XVe siĂšcle), agrandie en 1753 et 1776. LâĂ©glise est modifiĂ©e ensuite par des restaurations successives : par la construction du transept Nord en 1834, du transept Sud en 1838 et de la sacristie en 1869. Son clocher est restaurĂ© en 1855, 1927 et 1957-1959. Le lambris et les stalles du chĆur datent de 1831. L'Ă©glise abrite les statues de saint Martin, saint Joseph et une Vierge de la CongrĂ©gation (Ćuvre de Le Brun, 1871). Le Crucifix sculptĂ©, situĂ© au fond du chĆur, semble remonter au XVIIe siĂšcle.
- La chapelle Notre-Dame de Béléan (XVe siÚcle).
Tombe de personnage célÚbre
- La tombe de Louis Cadoudal, frÚre et partisan de Georges Cadoudal (1853), est située dans l'ancien cimetiÚre.
Divers
- Une réplique de la Statue de la Liberté est visible à Ploeren[42].
Spécificité
- En 2006, la ville fut précurseur d'un nouveau type de voie, la voie 2M, une voie moteurs et une voie mollets.
HĂ©raldique
|
Le blason situĂ© en en-tĂȘte fut adoptĂ© le , il s'agit de trois blasons rĂ©unis reprĂ©sentant les principales familles de l'Ancien RĂ©gime. |
---|
Personnalités liées à la commune
- Gildas Jaffrennou (1909-2000), luthier et harpiste breton.
- Mathieu Berson, joueur de football Ă©voluant au Toulouse Football Club depuis 2008.
Jumelages
La ville de Ploeren est jumelée avec la communauté des communes du Land Wursten
- Land Wursten (Allemagne) depuis 2005.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Voir aussi
- Ernest NÚgre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1045.
- « Ătymologie et Histoire de Ploeren », sur infobretagne.com (consultĂ© le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Larmor-Baden - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ploeren et Larmor-Baden », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Larmor-Baden - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ploeren et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Ploeren », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- C. Blanchard, "Une certaine histoire de Ploeren", Malestroit, 1991.
- « Local news St Paul Minnesota : Article sur Charles B.Woehrle ».
- « PloĂ«ren : M. CloĂ©rec Ă©lu maire », Ouest-France,â
- « M. Pierre Le Douarin Ă©lu maire de Ploeren », Ouest-France,â
- « RĂ©my Tual, ancien maire accĂšde Ă l'honorariat », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne)
- « AprĂšs une campagne difficile qui a laissĂ© des traces : Jo Allano est Ă©lu maire », Ouest-France,â
- « Ălu maire, Corentin Hily succĂšde Ă Joseph Allano », Ouest-France,â
- « Le maire de Ploeren est dĂ©cĂ©dĂ© », Ouest-France,â
- Notice HILY Corentin par François Prigent, version mise en ligne le 26 mai 2010, derniÚre modification le 28 mars 2017
- « Ploeren. Corentin Hily entame son second mandat », Ouest-France,â
- « Dernier conseil municipal pour Michel CloĂ©rec », Ouest-France,â (lire en ligne)
- « Conseil : installation des conseillers et Ă©lection de Gilbert Lorho », Ouest-France,â
- Benjamin Mathieu, « "Il faut rester sur ses gardes" : à Ploeren, dans le Morbihan, le conseil municipal s'installe dans des conditions particuliÚres aprÚs deux mois de confinement », sur France Info, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- EOLAS, « Enseignement - Ofis Publik ar Brezhoneg », sur www.opab-oplb.org.
- https://www.ouest-france.fr/bretagne/vannes-56000/pourquoi-une-statue-de-la-liberte-ploeren-3939895
Bibliographie
- C. Blanchard Une certaine histoire de Ploeren, Imprimerie Saint-Gilles, Malestroit, 1991, 238 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Ploeren
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Ploeren sur le site de l'Institut géographique national
- Ploeren sur le site de l'Insee
- Localisation de Ploeren sur une carte de France et communes limitrophes
- Plan de Ploeren sur Mapquest