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Pellevoisin

Pellevoisin est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Pellevoisin
Pellevoisin
L'église en 2007.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Ecueillé-Valençay
Maire
Mandat
Gérard Sauget
2020-2026
Code postal 36180
Code commune 36155
Démographie
Gentilé Pellevoisinois
Population
municipale
797 hab. (2020 en diminution de 0,75 % par rapport à 2014)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 02″ nord, 1° 24′ 54″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 192 m
Superficie 25,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valençay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Pellevoisin
Géolocalisation sur la carte : France
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Pellevoisin
Géolocalisation sur la carte : Indre
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Pellevoisin
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Pellevoisin

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Nord.

    Les communes limitrophes[1] sont : Heugnes (km), Villegouin (km), Selles-sur-Nahon (km), Frédille (km), Argy (km) et Sougé (km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Valençay (23 km), Châteauroux (29 km), Issoudun (44 km), Le Blanc (47 km) et La Châtre (62 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Charbonnière, la Maison Neuve et Roidoux[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal est arrosé par la rivière Nahon[2].

    Histoire

    Antiquité et Moyen Âge

    Le bourg existait sous l’Antiquité et au Moyen Âge. Le site est donc occupé sans discontinuité perceptible depuis plus de deux millénaires. Une motte castrale est édifiée près de ce vieux bourg[4].

    Apparition mariale

    En 1875, une jeune femme de 32 ans, Estelle Faguette, née à Saint-Memmie (Marne) en 1843[5], atteinte d’une maladie incurable, écrit, avec un cœur d’enfant et dans une grande confiance, une lettre à la Sainte Vierge : elle lui demande d’intercéder auprès de son divin Fils pour obtenir sa guérison, afin de soutenir ses parents âgés. Elle dépose cette lettre à la grotte de Montbel près du château des La Rochefoucauld pour qui elle travaillait. La Vierge Marie répond à cette lettre par quinze apparitions de février à , au cours desquelles elle éduque Estelle à la sainteté et lui délivre un message de miséricorde. Le , Estelle est entièrement guérie (elle mourra en 1929, âgée de 86 ans).

    Dès 1877, à la suite des demandes de la Comtesse Arthur de La Rochefoucauld (née Marie-Luce de Montbel), l’archevêque de Bourges autorise le culte public à Notre-Dame de Pellevoisin et la chambre d’Estelle est transformée en chapelle. Depuis plusieurs années, l’archevêque de Bourges a confié aux Frères de Saint Jean la conduite spirituelle du sanctuaire de Pellevoisin, et en particulier le message de Miséricorde transmis aux pèlerins d'aujourd'hui.

    Pellevoisin est le siège d'un important pèlerinage à Notre-Dame-de-la-Miséricorde, le Ier dimanche de septembre.

    Depuis la Seconde Guerre mondiale

    En 1940, le grand hôtel de Pellevoisin devient une prison d'État et accueille des prisonniers politiques célèbres : Vincent Auriol, Marx Dormoy, Abraham Schrameck, Salomon Grumbach[6], Georges Mandel, Marcel Bloch et Jules Moch. Paul Reynaud arrivé le de sa précédente prison, le château de Chazeron. Les procès de Riom suivirent pour juger ceux que Pétain jugeait responsables de la défaite de 1940. Dans la nuit du au 1er janvier, Paul Reynaud fut à nouveau transféré, cette fois vers Aubenas[7].

    La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Écueillé.

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 11, 15, 15D et 33[8].

    La ligne de Salbris au Blanc passe par le territoire communal, une gare[8] dessert la commune, par le train touristique du Bas-Berry. L'autre gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[8] (36 km), sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon.

    Pellevoisin est desservie par la ligne S du Réseau de mobilité interurbaine[9].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[8], à 35 km.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[2].

    • La gare de Pellevoisin en 2010.
      La gare de Pellevoisin en 2010.

    Urbanisme

    Typologie

    Pellevoisin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), forêts (23,3 %), prairies (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), zones urbanisées (1,6 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 508
    Résidences principales 72,6 %
    Résidences secondaires 20,4 %
    Logements vacants 7 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 70,7 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pellevoisin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Frédille et d'Argy, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pellevoisin.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 469 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 469 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [23].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Pellevoisinois[24].

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Valençay, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Écueillé - Valençay[25].

    Elle dispose d'un bureau de poste[26], d'un centre de première intervention et d'un syndicat d'initiative[27].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1953 1988 Amédée Renault SFIO-PS Député de l'Indre (1981-1986)
    Conseiller régional (1981-1992)
    Conseiller général de l'Indre (1973-1985)
    1988 mars 2001 Bernard Jollet PS Président Chambre Agriculture Indre (1976-1995)
    Agriculteur
    mars 2001[28] - [29] mars 2014 Claude Roux PS Instituteur retraité
    mars 2014[30] En cours Gérard Sauget Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 797 habitants[Note 2], en diminution de 0,75 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7907958388881 0671 0309439061 001
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0469671 0611 0061 0631 0531 0781 0071 052
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0701 1441 1671 0661 0419769341 0191 072
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9989409261 027916886879874833
    2015 2020 - - - - - - -
    776797-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

    Sports

    • Section gymnastique

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Buzançais[25].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Valençay[37] et Sainte-maure-de-touraine[38].

    Culture locale et patrimoine

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
    2. « Pellevoisin » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
    3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
    4. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 52.
    5. Jean-Paul Barbier, Des Châlonnais célèbres, illustres et mémorables, .
    6. Extrait du journal l'Alsace du dimanche 2 août 1992, consulté le 16 août 2012.
    7. Christophe Lastécouères, « La République « embastillée » et « déportée » au fort du Portalet. Errances d’une justice politique ordinaire en temps d’exception (1940-1942) », Criminocorpus, Justice et détention politique, Répressions politiques en situation de guerre, mis en ligne le 01 avril 2014, consulté le 02 septembre 2019.
    8. « Pellevoisin », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
    9. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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