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Notre-Dame-d'OĂ©

Notre-Dame-d'Oé est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

Notre-Dame-d'OĂ©
Notre-Dame-d'OĂ©
L'Ă©glise.
Blason de Notre-Dame-d'OĂ©
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Tours Métropole Val de Loire
Maire
Mandat
Patrick Lefrançois
2020-2026
Code postal 37390
Code commune 37172
DĂ©mographie
Gentilé Oésiens
Population
municipale
4 221 hab. (2020 en augmentation de 5,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 546 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 27′ 30″ nord, 0° 42′ 32″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 109 m
Superficie 7,73 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vouvray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Notre-Dame-d'OĂ©
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Notre-Dame-d'OĂ©
Liens
Site web ville-notre-dame-doe.fr

    GĂ©ographie

    Localisation et paysages

    La commune est située sur le plateau nord de l'agglomération tourangelle. Immédiatement au nord de Tours, elle jouxte aussi les communes de Mettray, Chanceaux-sur-Choisille et Parçay-Meslay. Son territoire d'openfield est traversé par le ruisseau de la Perrée, affluent de la Choisille[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Notre-Dame-d'OĂ©[1]
    Chanceaux-sur-Choisille
    Mettray Notre-Dame-d'Oé Parçay-Meslay
    Saint-Cyr-sur-Loire Tours

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Notre-Dame-d'OĂ©.

    Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 4,42 km, comprend deux petits cours d'eau pour certains temporaires[2] - [3].

    Trois zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la Fosse à la Boite », « Le Marais » et « la vallée du Ruisseau de la Perrée »[4] - [5].

    Urbanisme

    Typologie

    Notre-Dame-d'OĂ© est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Tours, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 38 communes[9] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,2 %), zones urbanisées (25 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), prairies (5,4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Notre-Dame-d'Oé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Notre-Dame-d'Oé.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 563 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1563 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18] - [19].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

    Histoire

    Préhistoire

    En 2005, lors de la construction d’un lotissement industriel, les fouilles ont permis de découvrir un établissement rural gaulois et antique. La fondation du site est datée La Tène D1 par la construction d’une ferme enclose. Les dernières transformations gallo-romaines interviennent entre les années 120 et 230[20].

    Moyen-Ă‚ge

    Par le passé, Notre-Dame-d'Oé s'est appelée successivement Odacus (IXe siècle), Odatus (charte de Charles le Chauve), Odoadus (938), Odiatum (1119), Oé (1209), Oetus (1211), Parochia d'Oé (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours)[21].

    Dès le IXe siècle la collégiale de Saint-Martin possédait le territoire d'Oé. La viguerie de l'église appartenait à l’archevêché de Tours. En 1119, l'archevêque Gilbert donna ce droit à la collégiale de Saint-Martin qui l'attacha à une dignité appelée prévôté. En 1177, le collégiale de Saint-Martin fut confirmée dans la possession de l'église d'Oé : ecclésia S.Marioe de Odoado. Il existait dans cette localité une maladrerie qui fut réunie par lettres patentes du à l'Hôtel Dieu de Tours[21].

    Avant la révolution de 1789, Notre Dame d'Oé était du ressort de l'élection de Tours et faisait partie de l'archidiaconé d'Outre-Loire et du doyenné de Vernou. En 1793 elle dépendait du district de Tours[21].

    Temps modernes

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Oë[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1929 1965 Martial Rousseau
    1965 1970 Jean Rousseau
    1970 mars 1971 Andrée Chatain
    mars 1971 mars 1983 Roger Rullier
    mars 1983 mars 1989 Jean Cresienzo
    mars 1989 mai 2020 Jean-Luc Galliot PS puis DVG Retraité
    Vice-président de Tours Métropole Val de Loire[24]
    mai 2020 En cours Patrick Lefrançois DVG
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Au , la commune est jumelée avec[25] :

    La commune a entretenu des relations amicales avec le village de Chaussenac (Cantal) et la ville de Bury (Royaume-Uni).

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 4 221 habitants[Note 4], en augmentation de 5,18 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    337353361404450465453501487
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    429477481504501481481491468
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    430452404404382417398516546
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5425681 1492 1552 5573 3593 4893 5323 929
    2018 2020 - - - - - - -
    4 1654 221-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Notre-Dame-d'Oé se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Tours Nord-Sud.

    La commune possède deux établissements scolaires, l'école maternelle Henri-Dés et l'école élémentaire Françoise-Dolto.

    Transport

    La ville est desservie par la ligne de bus 56 de Fil bleu. Une ligne de train dessert également la ville sur l'axe Tours-Vendôme-Chartres-Paris. Notre Dame d'Oé est proche de l’aérogare de l'aéroport de Tours-Val de Loire. Elle bénéficie du service de location de vélo Velociti.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Manoir de La Chassetière : Ă©lĂ©gant manoir avec Ă©tage mansardĂ© ; dans le parc subsiste un cadran solaire pĂ©diculĂ© de 1723. Construit au dĂ©but du XVIIe siècle par Victor Brodeau, descendant de Jean Brodeau, marchand pelletier Ă  Tours, qui possĂ©dait dĂ©jĂ  la propriĂ©tĂ© en 1521. Mais l'architecture de l'Ă©difice infirme cette opinion. La date de 1720, gravĂ©e au-dessus d'une porte de la façade ouest semble ĂŞtre celle de l'Ă©dification du bâtiment. Les Brodeau vendirent le domaine en 1656 Ă  François Besnard, bourgeois Ă  Tours. Au dĂ©but du XVIIIe siècle une partie du fief appartenait Ă  Joseph Aubry et une autre Ă  Le Gras, inspecteur des fermes gĂ©nĂ©rales, dont les descendants furent seigneurs de la Chassetière jusqu'en 1782. Ce fut peut ĂŞtre RenĂ© Le Gras qui construisit le château actuel. En 1782 celui-ci fut acquis par Philippe VallĂ©e (dit du Hautmesnil), ingĂ©nieur en chef de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Tours (qui participa Ă  la construction du Pont de Pierre sur la Loire Ă  Tours).
    • Parc et demeure directoire de Mazières : fief relevant de la prĂ©vĂ´tĂ© d'OĂ©. Une partie du mur d'enceinte date du XVIe siècle et a conservĂ© deux Ă©chauguettes. La façade est couronnĂ©e d'un fronton triangulaire timbrĂ© aux armes de Beaumont et d'un deuxième blason non dĂ©terminĂ©[29]. Le bâtiment date du XVIIIe siècle. 2 ailes construites au XIXe le prolongent au nord et au sud. La propriĂ©tĂ© a Ă©tĂ© occupĂ© par les troupes allemandes lors de la Seconde Guerre mondiale. De très belles granges (impasse de le Ferme de Mazières) appartenaient Ă  la propriĂ©tĂ© d'origine comme le square Anne-Frank devenu propriĂ©tĂ© de la ville et ouvert au public. Le parc et le château de Mazières ont Ă©tĂ© acquis par la ville en 2013. La Mairie y est installĂ©e depuis .
    • L'Hopiteau : construction importante du XVIIIe siècle. Façade couronnĂ©e d'un fronton triangulaire et une aile en retour d'Ă©querre. Escalier avec rampe en fer forgĂ©. Charpente remarquable. Puits mitoyen. Deux petits pavillons, contemporains du château, accostent la grille d'entrĂ©e au parc. RestaurĂ© vers 1905, le bâtiment accueille une dizaine de logements privatifs.
    • Église Notre-Dame : bâtiment communal et son presbytère situĂ© en centre bourg. Possède une nef du XIe siècle. RemaniĂ© Ă  diverses Ă©poques (1540-1720), restaurĂ©e intĂ©rieurement vers une galerie de vitraux des maĂ®tres verriers tourangeaux Lucien-LĂ©opold Lobin, Jean-Prosper Florence, Georges ClĂ©ment (XIXe siècle).
    • Lavoir
    • Ancienne gare SNCF
    • Manoir de La Noue : ancienne propriĂ©tĂ© de Jean Lefebvre (1883-1957), petit-fils de Jean-Baptiste Joseph Lefebvre (1819-1893), industriel, cofondateur du Peignage Prouvost-Lefebvre Ă  Roubaix en 1851.
    • Fontaine Bernard Sellier, place de l'Église
    • Complexe culturel OĂ©sia : construit en 2001. Architecte Pierre et Levenez. L'auditorium qui porte le nom de PIEM comporte 550 places assises - 1100 places en concert debout. Gradins mobiles de conception unique : plate-forme de 35 tonnes qui libère l'espace au sol en quelques minutes.
    • Zones d'activitĂ©s Ă©conomiques de l'Arche d'OĂ© et du Haut Chemin : 70 entreprises implantĂ©es dont les laboratoires Francereco-Chimex-Boiron-Laprovet-
    Équipements

    Gymnase Marcel-Kobzik - Gymnase communautaire Sébastien-Barc - Stade Georges-Romien - Tennis de la Perrée-Aire couverte de tennis Isabelle Demongeot- Centre équestre (Les Haras d'Oé) - Squash de niveau national (Central Club)- Bowling 24 pistes (Skybowl)-

    Centre de loisirs - Crèche -RAM « les Farfadets » - Centre de loisirs Les ptits'loups - Restaurant scolaire- Cap jeunes - Bibliothèque municipale - Atelier communal - Parc intercommunal de la Cousinerie - Grandes Brosses-Square Anne-Frank- Parc à daims de La Perrée

    Personnalités liées à la commune

    Le dessinateur Piem.

    HĂ©raldique

    Blason de Notre-Dame-d'OĂ©

    Les armes de Notre-Dame-d'OĂ© se blasonnent ainsi :

    D'or à Notre Dame de carnation vêtue d'azur, couronnée d'étoiles d'argent, posée sur un tertre de sinople, le touchant de son long sceptre fleurdelysé pour en faire jaillir une source aussi d'argent, au chef burelé d'argent et de gueules de huit pièces chargé d'un bâton pastoral de sable brochant[30].

    Ce blason est contesté par les historiens et héraldistes. La vierge ne devrait pas y figurer sous cette forme (symbole d'une rose) ; il n'est pas utilisé en l'état par la ville.

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Notre-Dame-d'Oé, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    3. « Carte hydrologique de Notre-Dame-d'Oé », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    5. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Notre-Dame-d'Oé », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    19. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    20. « Inrap rapport d'activité 2006 » [PDF], sur inrap.fr, INRAP (consulté en ), p. 63.
    21. « Site de la mairie de Notre-Dame-d'Oé »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). (cliquer sur "Archive.is" pour accéder à la page.)
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Les maires oésiens http://www.ville-notre-dame-doe.fr/content/view/68/233/
    24. « Tours Métropole Val de Loire », sur Tours Métropole Val de Loire (consulté le ).
    25. Jumelages de la commune sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, consulté le 13 décembre 2012.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Ce deuxième blason n'est pas celui des Destiennot, lire: "Les histoires du château de Vassy-sous-Pisy: De la Bourgogne à la Touraine..." (histoire condensée d'Adèle-Joséphine-Léonilde Destiennot de Vassy) par Philippe HENRION (biographe des Destiennot), dans BSSY (Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne), tome 144, année 2008-2009/4, pages 193-198
    30. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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