Monceaux-sur-Dordogne
Monceaux-sur-Dordogne est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. Appelée Monceaux-en-Limousin jusqu'au XVIIIe siècle.
Monceaux-sur-Dordogne | |||||
Église Saint-Martin de Monceaux. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Tulle | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Xaintrie Val'Dordogne | ||||
Maire Mandat |
Vincent Arrestier 2020-2026 |
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Code postal | 19400 | ||||
Code commune | 19140 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Moncellois, Moncelloises | ||||
Population municipale |
633 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 58″ nord, 1° 54′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 147 m Max. 508 m |
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Superficie | 36,93 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Argentat-sur-Dordogne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Argentat-sur-Dordogne | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Au sud du département de la Corrèze, la commune de Monceaux-sur-Dordogne est, comme son nom l'indique, arrosée par la Dordogne. La majeure partie du territoire communal se situe sur sa rive droite. À l'est, la Dordogne y reçoit deux affluents : en rive gauche, la Maronne, et en rive droite, en limite d'Argentat, la Souvigne.
Le territoire communal est desservi en rive gauche par les routes départementales (RD) 12, 83E1 et 169, et en rive droite par les RD 12E2 et 116.
Communes limitrophes
Monceaux-sur-Dordogne est limitrophe de sept autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argentat », sur la commune d'Argentat-sur-Dordogne, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 165,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Monceaux-sur-Dordogne est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argentat-sur-Dordogne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), prairies (17,6 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits
Arestier, Bros, Cérez, Champeaux, Chansèves, Combejean, Durieux, Escourbaniers, Feneyrol, L'École du Viallard, La Bessade, La Boule, La Bouyge, La Bouyge Basse, La Bouyge Haute, La Brique, La Chassagne, La Jonchère, La Lathyère, La Martiniste, La Mette, La Ramière, La Salle, La Souvigne, Lafarge, Laygues, Le Bech, Le Bellet, Le Bourg, Le Chambon, Le Charlat, Le Chassang, Le Claux, Le Four, Le Gaud, Le Graulier, Le Louradour, Le Malpas, Le Mons, Le Pont de la Borie, Le Pradel, Le Saulou, Le Temple, Le Theil, Le Tournant de Frayssit, Le Viallard, Les Cabanes, Les Chanabals, Les Combes, Les Dames, Les Prés de Vergnolles, Moulin de la Borie, Moulin de Vaurette, Moustoulat, Port de Vaurs, Puy Jaubert, Rouby, Saulières, Vaurette, Vergnolles.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Monceaux-sur-Dordogne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne, la Maronne, la Souvigne et la Gane. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1992, 1993, 1999 et 2001[22] - [20]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Monceaux-sur-Dordogne - Bassin de la Dordogne », approuvé le [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 14,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 461 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 162 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, de Marcillac, d'Enchanet et de Hautefage, des ouvrages de classe A[Note 8] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Monceaux-sur-Dordogne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Histoire
Le bourg est cité pour la première fois sous le nom de Castrum Mulcedonum, vers 930, puis sous les formes Molseon, 1114 ; Monceaulx, Moulceo, vers 1315. Le second élément du nom est le gaulois dunum représenté par -donum à l'époque franque (voir Austedonum au VIe siècle pour Augustodunum, Autun). Il désignait ici un site fortifié de hauteur. L'étroite vallée où se trouve le bourg est en effet dominée par le Puy-du-Tour où ont été mis au jour d'importants vestiges d'une enceinte du second âge du fer, qui contrôlait le franchissement de la Dordogne par un très ancien itinéraire de long parcours entre Armorique et Méditerranée. Les fouilles entreprises sur le site du Puy-du-Tour ont révélé que ces structures protohistoriques appartenaient à un oppidum pourvu d'une fortification de type murus gallicus et dont l'occupation s'est échelonnée de la période du Néolithique jusqu'à la fin du Ier siècle av. J.-C. (époque laténienne finale)[29]. Le premier élément du toponyme est obscur. Au cours du Moyen Âge, le nom, dont le sens n'était plus compris, a subi l'attraction de l'occitan moncel, monceu (« petit mont, colline »).
En 1919, la commune de Monceaux prend le nom de Monceaux-sur-Dordogne[30].
Politique et administration
Démographie
Après avoir presque atteint les 2 000 habitants en 1851, la population communale est passée en dessous des 700 habitants depuis les années 1990. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 633 habitants[Note 9], en diminution de 2,91 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Monceaux-sur-Dordogne est une commune de tradition rurale où les vignes et le passage des gabares ont cédé la place à une économie axée vers l'élevage bovin de race limousine.
Forte importance du tourisme. Sous la marque commerciale « Marchés des producteurs de pays », un marché d'agriculteurs et de traiteurs se déroule l'été, le jeudi en soirée. Des campings, des restaurants à la ferme et des chambres d'hôtes existent également sur le territoire communal.
Culture locale et patrimoine
Sport traditionnel
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin-de-Tours de Monceaux-sur-Dordogne
- L'oppidum du Puy du Tour, datant de la Tène ancienne, voire de l'Halstatt a montré des vestiges datant des périodes gallo-romaine et médiévale. Sa fortification gauloise est classée au titre des monuments historiques depuis 1988[34].
Modillon de l'église. Croix de la Passion, dans le bourg. Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- René Teulade (1931-2014), né à Monceaux-sur-Dordogne, a été ministre des Affaires sociales de 1992 à 1993, et sénateur-maire d'Argentat.
Héraldique
Blason | D'azur à trois fasces d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Argentat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monceaux-sur-Dordogne et Argentat-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Argentat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monceaux-sur-Dordogne et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Monceaux-sur-Dordogne », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Monceaux-sur-Dordogne - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monceaux-sur-Dordogne », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- M. Aylwin Cotton et Sheppard Frere, « Enceintes de l'Âge du Fer au pays des Lémovices. », Gallia, CNRS éditions, t. 19, no fascicule 1,‎ , pages 43 (DOI 10.3406/galia.1961.2314, lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Fortification gauloise du Puy-du-Tour », notice no PA00099809, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 juillet 2015.