Miramont-de-Guyenne
Miramont-de-Guyenne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Miramont-de-Guyenne | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lauzun | ||||
Maire Mandat |
Jean-Noël Vacqué 2020-2026 |
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Code postal | 47800 | ||||
Code commune | 47168 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Miramontais | ||||
Population municipale |
3 087 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 185 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
4 699 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 09″ nord, 0° 21′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 120 m |
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Superficie | 16,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Miramont-de-Guyenne (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Miramont-de-Guyenne (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Val du Dropt (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ville-miramontdeguyenne.fr | ||||
Géographie
Localisation
Bastide de Guyenne située sur la Dourdenne, affluent du Dropt, et les routes départementales 933, 667 et 668 entre Bergerac et Marmande dans le pays du Dropt.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Peyrière, Montignac-Toupinerie, Armillac, Lavergne, Puysserampion, Roumagne, Saint-Pardoux-Isaac et Seyches.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 52 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Miramont-de-Guyenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Miramont-de-Guyenne, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 4 699 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Miramont-de-Guyenne, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), zones urbanisées (17,7 %), forêts (10,3 %), prairies (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Miramont-de-Guyenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Trec de la Greffière et la Dourdenne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1994, 1999 et 2009[26] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1995, 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Histoire
Miramont de Lauzun, tel était l'ancien nom de la bastide fondée entre 1278 et 1286, sur les terres du duc de Lauzun auprès de l'emplacement d'un poste de refuge ou de surveillance des Templiers.
Comme beaucoup de bastides de la région, Miramont de Lauzun a un plan en damier. Elle forme un quadrilatère pratiquement parfait et ses quatre rues principales se coupent aux quatre coins de la place centrale à arcades qui abritaient les étalages des marchands du Moyen Âge.
Une place carrée et bordée d'arcades, les cornières, en occupait le centre. Là se trouvait la halle dont le premier étage servait de maison commune. Les rues se coupaient à angle droit et le mur d'enceinte, garni de tours carrées, était protégé par un fossé.
Déjà peuplée à l'époque préhistorique, la région fut ensuite occupée par les Ibères, puis par un petit peuple gaulois - les Nitiobroges - cinq siècles avant notre ère.
C'est sous l'administration d'Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, que Miramont connut une des périodes les plus fastes de son histoire. Redevenue anglaise en 1259, Miramont était, déjà à cette époque, une bourgade paisible et industrielle. Durant la guerre de Cent Ans, la ville fut plusieurs fois dévastée et ses habitants se dispersèrent dans la campagne voisine. En 1453, lorsque les Français eurent reconquis la Guyenne, Miramont se releva peu à peu de ses ruines et en 1494 Charles VIII rétablit son ancien statut de bastide et autorisa l'élection de deux consuls chargés de lever et répartir l'impôt.
Miramont traversa guerres de religion et Révolution et ce n'est qu'à l'époque de la Restauration qu'elle renoua avec son passé industriel notamment à travers la fabrication de chaussons de basane (fine peau de mouton).
L'aventure miramontaise de la chaussure commença au milieu du XIXe siècle. Au lendemain de la guerre, la mutation des techniques et la concurrence nécessitèrent une modernisation des matériels et une spécialisation des ouvriers. Dans les années 1950, les usines locales, qui couvraient à elles seules 75 % des besoins français en chaussons, se restructurèrent afin d'assurer également la fabrication de chaussures. Sur le plan national, "Les chaussures de Miramont" acquirent rapidement un renom d'élégance et de qualité qui fit de la cité une métropole reconnue de la chaussure.
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[30].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 3 087 habitants[Note 8], en diminution de 3,05 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Bastid'Art
L'événement phare de Miramont de Guyenne, c'est le[35] Festival International des Arts de la Rue Bastid'Art qui a lieu chaque premier week-end du mois d'août durant 4 jours et ce, depuis 20 ans en 2014.
Offrir du spectacle vivant de qualité sur ce territoire rural, créer du lien pour replacer l'humain au centre des préoccupations, c'est le projet de l'association Bastid'Art qui a la farouche volonté de perpétuer les valeurs circassiennes à Miramont de Guyenne (inculquées par les[36] frères Court et Albertini, grandes figures du cirque du début du XXe siècle) pour que continue le spectacle dans les rues de la Bastide et au-delà !
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Bouilhaguet.
- Vestiges du châtelet de Jeanne d'Albret.
- Église Sainte-Marie de Miramont-de-Guyenne construite en 1860. Elle a été restaurée pour éviter l'effondrement des voûtes et a été inaugurée en 1962. De nouveaux vitraux dus à un artiste de Karlsruhe Emil Wachter (de) sont commandés en 1967. Ils ont été mis en place par le père Louis Franchéo. Ces vitraux sont polychromes dont un bleu vif dit « bleu de Miramont »[37].
- Église Saint-Étienne de Beffery du XIIIe siècle[38].
Personnalités liées à la commune
- Famille de Pestels
- Jean Castenet
- Jacques-Philippe Delmas de Grammont (1796 La Sauvetat-du-Dropt-1862 Miramont-de-Guyenne) : général qui fit voter la première loi qui punissait les maltraitances envers les animaux domestiques. Cette loi datant du 2 juillet 1850 porte son nom.
- Jean-Baptiste Sylvere Gaye : vicomte de Martignac.
- Isidore Soussial : homme industriel, Ã l'origine du chausson de basane.
- Guy Casaril.
- Éliane Thiollier.
- Paulette Bernège (1896 – 25 novembre 1973) journaliste française, auteur spécialiste d'art ménager
Héraldique
Blason | Parti : au premier de gueules à l'épée haute d'or, au second d'azur au château d'argent, accompagné de deux gerbes de blé du même, une en chef et une en pointe.
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Douzains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Miramont-de-Guyenne et Douzains », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Douzains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Miramont-de-Guyenne et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Miramont-de-Guyenne », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Site de l'association Bastid'Art de Miramont de Guyenne ».
- « les frères Court et Albertini ».
- Ville de Miramont-de-Guyenne : église Sainte-Marie
- Ville de Miramont-de-Guyenne : église de Beffery
- Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47