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Acacia pycnantha

Acacia pycnantha, le mimosa doré ou acacia doré, est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Fabaceae, sous-famille des Mimosoideae, originaire d'Australie.

Ce sont des arbres largement cultivés dans les régions à climat méditerranéen comme arbres d'ornement ou pour la fleur coupée (vendues sous le nom de mimosas). L'espèce est considérée comme envahissante dans certaines régions de monde.

Étymologie

L'épithète spécifique, « pycnantha », est un terme dérivé de deux racines grecques : πυκνός (pyknos), « dense, compact » et ᾰ̓́νθος (anthos) « fleur », en référence au groupe très dense de fleurs qui constitue l'inflorescence globuleuse de cette plante[1].

Description

Mimosa doré en pleine floraison.

Acacia pycnantha est un grand arbuste ou un petit arbre, à courte vie, , à port érigé et étalé, pouvant atteindre de 3 à 8 mètres de haut[2], bien que des arbres atteignant 12 mètres de haut ont été signalés au Maroc[3]. Il s’agit cependant d’une espèce assez variable et on peut rencontrer des formes petites, minces, qui fleurissent parfois alors qu'elles n'ont que 0,5 à 1 mètre de haut[4].

L'écorce, de couleur généralement brun foncé à gris, est lisse chez les jeunes plants même si elle peut être rugueuse et sillonnée chez les arbres plus vieux[5]. Les rameaux peuvent être nus et lisses ou couverts d'une pruine blanche[2].

Les arbres adultes n'ont pas de vraies feuilles mais des phyllodes - dérivant de pétioles aplatis et élargis, à nervures longitudinales, qui pendent aux branches. Falciformes à oblancéolés, brillants, vert foncé, ils mesurent de 9 à 15 cm de long sur 1 à 4 cm de large[2].

Les nouvelles pousses ont une couleur bronzée[6]. Des observations sur le terrain réalisées au Parc de conservation de Hale montrent que la majeure partie de la nouvelle croissance se produit au printemps et en été, d’octobre à janvier[7].

Inflorescences en gros plan.
Graines.

Les fleurs, très petites, jaunes brillant ou jaune d'or, ont un aspect duveteux en raison de la présence de nombreuses étamines. Elles comptent cinq pétales et sépales relativement peu visibles. Elles sont groupées, par 40 à 100 fleurs, en têtes denses de 6 à 10 mm de diamètre portées par un court pédoncule, de 2 à 6 mm de long, épais et glabre. Ces têtes globuleuses, ou glomérules, sont elles-mêmes disposées alternativement le long d’axes florifères de 2 à 15 cm de long insérés à l'aisselle des feuilles supérieures. Ces inflorescences allongées contiennent de 4 à 23 glomérules et peuvent être ramifiées ou non, formant ainsi des panicules ou des racèmes composés. La floraison intervient de la fin de l’hiver à la fin du printemps (c’est-à-dire de juillet à novembre en Australie)[5].

Le fruit est une gousse étroite et très allongée, de 5 à 14 cm de long sur 5 à 8 mm de large, glabre et quelque peu aplatie, droite ou légèrement incurvée, et parfois légèrement contractée entre chaque graine. Les gousses, vertes à l'état jeune, virent au brun ou au brun foncé à maturité. Elles sont déhiscentes, s’ouvrant d’un côté à maturité pour libérer les graines. Celles-ci sont noires, légèrement brillantes, de forme oblongue, mesurant de 5 à 6 mm de long. Elles sont attachées à une arille charnue en forme de massue[5].

Biologie

Cette espèce ne se reproduit que par ses graines, qui ont une longue durée de vie et germent facilement après un incendie. Les graines sont dispersées principalement par les fourmis et les oiseaux attirés par les arilles charnues. Elles sont probablement également transmises par le vent, l'eau et le transfert des déchets de jardin[4].

Tronc exsudant de la gomme.

Comme beaucoup d'autres espèces d'acacias, Acacia pycnantha exsude de la gomme quand il est stressé[8].

Acacia pycnantha peut être affecté par une vaste gamme d'insectes ravageurs et de maladies fongiques. parmi ces dernières on peut citer les rouilles dues à Uromyces phyllidorium, Uromyces simplex, Uromyces tepperianum[9].

Distribution et habitat

L'aire de répartition originelle d’Acacia pycnantha s'étend dans le sud-est de l'Australie depuis la péninsule d'Eyre et la chaîne de Flinders dans le sud de l'Australie-Méridionale jusque, vers le nord, aux régions intérieures de la Nouvelle-Galles du Sud et du territoire de la capitale australienne[10],[11].

Cette espèce s'est répandue dans plusieurs régions d'Australie où elle s'est naturalisée : dans le sud-ouest et le sud de l'Australie-Occidentale et dans l'est de la Tasmanie, ainsi que dans le centre de la Nouvelle-Galles du Sud. En Australie-Occidentale, Acacia pycnantha est particulièrement répandue dans la ceinture céréalière de l'Ouest et dans les Darling Ranges de Perth à Albany. On l'a également signalée plus à l'est près d'Espérance et dans l'intérieur des terres près de Kalgoorlie. En Nouvelle-Galles du Sud, on l'a déclarée naturalisée dans plusieurs régions de l'État, en particulier près de Sydney, dans les districts côtiers du centre[5].

Hors d'Australie, cette espèce a également été naturalisée dans diverses régions du monde, où elle a été largement cultivée. C'est le cas notamment en Afrique australe (Afrique du Sud et Tanzanie), en Nouvelle-Zélande, en Asie (Inde et Indonésie), en Europe (Italie, Portugal et Sardaigne) et dans l'ouest des États-Unis (Californie)[5]. En Afrique du Sud, l'acacia doré a été introduit entre 1858 et 1865 dans les régions du Cap et de Port-Elisabeth pour la stabilisation des dunes et la production de tanin. De là il s'est répandu le long des cours d'eau dans les fynbos jusqu'à la limite avec le karoo[12].


Ces plantes croissent dans des milieux secs, prairies, landes, bois et forêts sclérophylles, comme les forêts ouvertes d'eucalyptus, sur des sols secs et peu profonds, sablonneux ou pierreux, ainsi que sur des loams rouges. Dans les régions où il s'est naturalisé en Australie, hors de son aire d'origine, l'acacia doré se rencontre fréquemment au bord des routes et dans les bois proches. En Tasmanie, il pousse dans les sites côtiers sablonneux et dans les zones sèches du nord-est de l'État.[13],[4].

Caractère envahissant

Acacia pycnantha est considérée comme une plante envahissante dans certaines régions de l'Australie-Occidentale, en Afrique du Sud, au Portugal et potentiellement en Californie[14]. En Afrique du Sud, où elle s'est implantée dans les provinces du Cap-Occidental et Cap-Oriental, l'espèce a été classée comme plante envahissante, catégorie 1b selon la loi sur la biodiversité de 2004 (Biodiversity Act). Elle y concurrence les espèces indigènes et les remplace, envahissant les formations de fynbos côtiers et montagnards, ainsi que les rives des cours d'eau et les bords de routes[15]. Au Portugal, l'acacia doré forme des peuplements denses inhibant le développement de la végétation indigène dans le centre et le sud du pays (provinces de Beira Litoral, Beira Baixa, Estremadura, Ribatejo, Alto Alentejo, Algarve). Classée envahissante par le décret-loi n°565/99 du [16], cette espèce y est cependant beaucoup moins fréquente que d'autres acacias, notamment Acacia dealbata, Acacia melanoxylon ou Acacia longifolia[17].

Galles provoquées par les guêpes Trichilogaster signiventris sur un acacia doré en Afrique du Sud.

Les méthodes de lutte contre cette espèce comprennent des méthodes physiques (arrachage manuel ou mécanique, coupe des troncs au ras du sol), chimiques (désherbants foliaires ou injection de glyphosate dans les souches arasées), biologique à l'aide d'insectes parasites, thermiques par des incendies provoqués. Cette dernière méthode, combinée avec les précédentes, vise à réduire sensiblement la banque de semences du sol, tant en en détruisant une partie des semences qu'en stimulant la germination des graines subsistantes[17].

La guêpe cécidogène, Trichilogaster signiventris, a été introduite en Afrique du Sud à deux reprises en 1987 et en 1992 dans le cadre de la lutte biologique. Elle s'est établie dans toute l'aire de répartition à partir de 1999 et a réduit significativement la capacité des arbres de se reproduire[18]. Les guêpes adultes pondent leurs œufs dans les boutons floraux en été. Après l'éclosion des œufs en mai et juin, les larves provoquent la formation de galles ressemblant à des grains de raisin et empêchent le développement des fleurs. Le poids des galles et leur nombre sont parfois si importants qu'ils peuvent entraîner la cassure des branches[19]. En complément, une autre espèce d'insectes, Melanterius compactus, le charançon des graines d'acacia, a été introduite en 2001 pour réduire la production de graines et s'est également révélée efficace[20].

Taxinomie

L'espèce Acacia pycnantha a été décrite par le botaniste anglais George Bentham et publiée dans le London Journal of Botany en 1842[21]. Le spécimen-type a été collecté par l'explorateur Thomas Mitchell dans le nord de l'actuel État de Victoria entre la localité de Pyramid Hill et la rivière Loddon[2],[22]. Bentham pensait que cette espèce était apparentée à Acacia leiophylla, qu'il a décrite dans le même article[21].

Le botaniste australien du Queensland, Leslie Pedley, a reclassé Acacia pycnantha sous le nom de Racosperma pycnanthum en 2003, dans sa proposition de reclasser la plupart des espèces australienne du genre Acacia dans un nouveau genre, Racosperma[23]. Toutefois, ce nom est traité désormais comme un synonyme du nom originel[22].

En 1851, le naturaliste allemand, Johann Georg Christian Lehmann, décrivit une nouvelle espèce, Acacia petiolaris, à partir d'un spécimen du jardin botanique de Hambourg, issu de graines censées provenir de la colonie de la rivière Swan (Perth)[2]. En 1855, le botaniste suisse, Carl Meissner, décrivit une autre espèce, Acacia falcinella, à partir d'un spécimen provenant de Port Lincoln. Les deux ont été reclassées dans Acacia pycnantha par Bentham dans sa Flora Australiensis publiée en 1864, mais il définit une possible sous-espèce, angustifolia, basée sur du matériel provenant du golfe Spencer, aux phyllodes plus étroits et aux inflorescences moins nombvreuses[24]. Cependant, aucune sous-espèce n'est actuellement reconnue, même si une classification officieuse distingue des formes de zones humides et de zones sèches, les dernières ayant des phyllodes plus étroits[25].

En 1921 Joseph Maiden décrivit une espèce qu'il nomma Acacia westonii d'après des spécimens collectés sur les pentes nord et ouest du mont Jerrabomberra, près de Queanbeyan (Nouvelle-Galles du Sud). Il considéra que cette plante était très semblable à Acacia pycnantha, mais néanmoins distincte, et ne savait ,pas si elle méritait le rang d'espèce. Son collègue Richard Hind Cambage, après l'avoir cultivée à partir de semis, a rapporté que les tiges de cette plante présentaient beaucoup plus d'entrenoeuds que celle d’A. pycnantha, et que les phyllodes semblaient avoir trois nectaires extra-floraux contre un seul chez Acacia pycnantha[26]. Elle est désormais considérée comme un synonyme d'A. pycnantha[22].

Synonymes

Selon The Plant List (10 mars 2019)[27]

  • Acacia falcinella "Meissner, non Tausch"
  • Acacia falcinella Meisn.[28]
  • Acacia leiophylla "Benth., p.p."
  • Acacia petiolaris Lehm.
  • Acacia westoni Maiden
  • Acacia westonii Maiden[28]
  • Racosperma pycnanthum (Benth.) Pedley[28]

Liste des variétés

Selon Tropicos (10 mars 2019)[29] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :

  • Acacia pycnantha var. angustifolia Benth.
  • Acacia pycnantha var. petiolaris H. Vilm.

Hybrides

Des hybrides de cette espèce sont connus dans la nature et en culture. Dans le parc national du Grand Bendigo, près de Bendigo (Victoria), des hybrides présumés avec Acacia williamsonii ont été identifiés. Ils ressemblent à Acacia hakeoides[2]. Des hybrides horticoles, issus de croisements avec le mimosa argenté du Queensland (Acacia podalyriifolia) et cultivés en Europe, ont reçu les noms d’Acacia x siebertiana L.Winter ex A.Berger et Acacia x deneufvillei L.Winter ex A.Berger[22],[30].


Symbolique

Armes de l'Australie.

L'idée de considérer Acacia pycnantha, appelée Golden Wattle en Australie, comme la « fleur nationale » de l'Australie était généralement admise par la population depuis longtemps, mais la proclamation officielle de cet emblème floral national date du , année du bicentenaire de l'Australie. Une cérémonie s'est déroulée ce jour-là dans les jardins botaniques nationaux australiens, avec l'annonce officielle par le ministre de l'Intérieur, Robert Ray, et la plantation d'un mimosa doré (Golden Wattle) par Hazel Hawke, épouse du Premier ministre, Bob Hawke. Quatre ans plus tard, en 1992, Ros Kelly, ministre de l'Environnement, proclama officiellement le 1er septembre « Journée nationale de l'Acacia » (National Wattle Day)[1].

Les ornements extérieurs des Armoiries australiennes comprennent une couronne de mimosa fleurie, avec des grappes de glomérules sphériques de couleur jaune et bleu-gris et des phyllodes verts caractéristiques de nombreuses espèces du genre Acacia, sans que l'on puisse précisément identifier le mimosa doré. Dans certaines versions des armoiries, ces rameaux fleuris sont même stylisés. De même, les couleurs vert et or utilisées par les équipes sportives internationales australiennes ont été inspirées par les couleurs des acacias en général, et pas spécifiquement par le mimosa doré[1].

Utilisation

Tanin

Récolte d'écorces de mimosa doré en Australie-Méridionale, avant exportation pour les tanneries (années 1800).

L'acacia doré a été cultivé dans les régions tempérées du monde entier pour le tanin de son écorce, car il offre le rendement le plus élevé parmi tous les acacias[1]. Cette exploitation a contribué à la déforestation de certaines régions de l'Australie. Elle est désormais limitée à certaines communautés rurales. Les arbres peuvent être récoltés pour le tanin lorsqu'ils sont âgés de sept à dix ans[3].

Bois

L'utilisation commerciale de son bois comme bois d'oeuvre est limitée par la petite taille des arbres, mais sa valeur en tant que bois de chauffage est élevée[9]. Il est néanmoins utilisé en tournerie[3]

Fleurs

Les fleurs parfumées ont été utilisées pour la fabrication de parfums[1], et la production de miel dans les zones humides. Le pollen abondant est apprécié par les abeilles, il est cependant trop sec pour qu'elles puisent le collecter dans les climats secs[3].

Dans le sud de l'Europe, c'est l'une des nombreuses espèces cultivées pour le commerce des fleurs coupées, vendues sous le nom de « mimosas »[31].

Arbre

l'acacia doré est parfois planté comme arbre d'ornement le long des rues et comme arbre d'ombrage pour abriter le bétail. Il est parfois planté en combinaison avec Eucalyptus cladocalyx pour former des brise-vents à deux étages, les eucalyptus atteignant 20 à 30 mètres de haut[3].

Voir paussi

Notes et références

  1. (en) Boden, Anne, « Golden Wattle: Floral Emblem of Australia », Australian National Botanic Gardens, (consulté le ).
  2. (en) Kodela, Phillip G., Flora of Australia, vol. 11A, 11B, Part 1: Mimosaceae, Acacia, CSIRO Publishing / Australian Biological Resources Study, , 673 p. (ISBN 9780643067189, lire en ligne), p. 297-299 .
  3. (en) Michel Baumer, Notes on Trees and Shrubs in Arid and Semi-arid Regions, Food & Agriculture Org., , 38–39 p. (ISBN 978-92-5-101354-0, lire en ligne) .
  4. (en) « Acacia pycnantha », sur Weeds of Australia - Biosecurity Queensland Edition Fact Sheet, (consulté le ).
  5. (en) « Golden Wattle Acacia pycnantha », Queensland Government (consulté le ).
  6. (en) Birkenshaw, Marie et Henley, Claire, Plants of Melbourne's Western Plains: A Gardener's Guide to the Original Flora, Australian Plants Society, Keilor Plains Group, (ISBN 978-0-909830-65-6, lire en ligne), p. 72 .
  7. (en) Vivien A. Vanstone et Paton, David C., « Extrafloral Nectaries and Pollination of Acacia pycnantha Benth by Birds », Australian Journal of Botany, vol. 36, no 5,‎ , p. 519–31 (DOI ) .
  8. (en) Annison, Geoffrey, Trimble Rodney P. et Topping, David L., « Feeding Australian Acacia Gums and Gum Arabic Leads to Non-Starch Polysaccharide Accumulation in the Cecum of Rats », Journal of Nutrition, vol. 125, no 2,‎ , p. 283–92 (DOI , lire en ligne) .
  9. (en) B.R.Maslin, L.A.J.Thomson, M.W.McDonald, S.Hamilton-Brown, Edible Wattle Seeds of Southern Australia: A Review of Species for Use in Semi-Arid Regions, Csiro Publishing, , 108 p. (ISBN 9780643102538, lire en ligne) .
  10. (en) « Acacia pycnantha Benth. », Royal Botanic Gardens & Domain Trust, Sydney Australia (consulté le ).
  11. (en) « Acacia pycnantha Benth. », Royal Botanic Gardens Melbourne (consulté le ).
  12. (en) G. B. Dennill et A. J. Gordon, « Trichilogaster sp. (Hymenoptera: Pteromalidae), a potential biocontrol agent for the weed Acacia pycnantha (Fabaceae) », Entomophaga, vol. 36, no 2,‎ , p. 295–301 (DOI ) .
  13. (en) Costermans, Leon, Native Trees and Shrubs of South-eastern Australia, Kent Town, South Australia, Rigby, (ISBN 978-0-7270-1403-0), p. 317 .
  14. (en) Alan Cann, «  Australia's national flower is an invasive species », sur Botany One, (consulté le ).
  15. (en) « Golden wattle - Acacia pycnantha », sur www.invasives.org.za (consulté le ).
  16. (pt) « Decreto-Lei n.o565/99de 21 de Dezembro », sur Diário da República, (consulté le ).
  17. (en) « Acacia pycnantha (golden wattle) - Factsheet invasoras.pt », sur Invasive Plants in Portugal (consulté le ).
  18. (en) Muniappan, Rangaswamy, Reddy, Gadi V. P. et Raman, Anantanarayanan, Biological Control of Tropical Weeds Using Arthropods, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-87791-6, lire en ligne), p. 47 .
  19. (en) J. H. Hoffmann, F. A. C. Impson, V. C. Moran et D. Donnelly, « Biological Control of Invasive Golden Wattle Trees (Acacia pycnantha) by a gall wasp, Trichilogaster sp. (Hymenoptera: Pteromalidae), in South Africa », Biological Control, vol. 25, no 1,‎ , p. 64–73 (DOI ) .
  20. (en) Cullen, Jim, Julien, Mic et McFadyen, Rachel, Biological Control of Weeds in Australia, CSIRO Publishing, (ISBN 978-0-643-10421-1, lire en ligne), p. 7 .
  21. (en) George Bentham, « Notes on Mimoseae, with a Synopsis of Species », London Journal of Botany, vol. 1,‎ , p. 351 (lire en ligne) .
  22. (en) « Acacia pycnantha Benth. », sur Australian Plant Name Index (APNI) (consulté le ).
  23. (en) Les Pedley, « A synopsis of Racosperma C.Mart. (Leguminosae: Mimosoideae) », Austrobaileya, vol. 6, no 3,‎ , p. 445–96 .
  24. (en) Bentham, George, Acacia pycnantha, vol. Volume 2: Leguminosae to Combretaceae, London, United Kingdom, L. Reeve & Co., (lire en ligne), p. 365 .
  25. (en) J. Ndlovu, D. M. Richardson, J. R. U. Wilson, M. O'Leary et J. J. Le Roux, « Elucidating the native sources of an invasive tree species, Acacia pycnantha, reveals unexpected native range diversity and structure », Annals of Botany, vol. 111, no 5,‎ , p. 895–904 (ISSN , DOI ) .
  26. (en) Joseph Henry Maiden, « Notes on Two Acacias », Journal and Proceedings of the Royal Society of New South Wales, vol. 54,‎ , p. 227–30 (lire en ligne) .
  27. The Plant List (2013). Version 1.1. Published on the Internet; http://www.theplantlist.org/, consulté le 10 mars 2019
  28. BioLib, consulté le 10 mars 2019
  29. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 10 mars 2019
  30. (en) [Anonymus AC03296147], Flora of Australia. Volume 11A, Mimosaceae, Acacia, Partie 1, CSIRO, coll. « Flora of Australia Series », , 673 p. (ISBN 9780643067172), p. 329-331 .
  31. (en) « Wattle uses », World Wide Wattle (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Références taxinomiques

Autres liens externes