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Meyrignac-l'Église

Meyrignac-l'Église (Mairinhac la Gleisa en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Meyrignac-l'Église
Meyrignac-l'Église
La mairie de Meyrignac-l'Église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes de Ventadour - Égletons - Monédières
Maire
Mandat
Jean-François Menuet
2020-2026
Code postal 19800
Code commune 19137
Démographie
Population
municipale
63 hab. (2020 en stagnation par rapport à 2014)
Densité 6,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 06″ nord, 1° 51′ 09″ est
Altitude Min. 430 m
Max. 813 m
Superficie 10,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Naves
Législatives Première circonscription
Localisation
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Meyrignac-l'Église
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Meyrignac-l'Église

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Meyrignac-l'Église
    Saint-Augustin
    Orliac-de-Bar Meyrignac-l'Église Sarran
    Corrèze

    Commune arrosée par les Rivières, nom de la branche mère de la Menaude.

    Entrée du village.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 378 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Naves », sur la commune de Naves, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 236,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Meyrignac-l'Église est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57 %), prairies (21,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,7 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Meyrignac-l'Église est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Meyrignac-l'Église.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 39 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 sont en en aléa moyen ou fort, soit 8 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, d'Enchanet et de Hautefage, des ouvrages de classe A[Note 8] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[25].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Meyrignac-l'Église est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Toponymie

    Les formes anciennes de la localité sont: in Matriniaco mansum 885[27] - [28], ecclesiam de Meyrinac 1105[29], cappellanus de Meyrinhac V. 1315[30], Meyrignac l'Église v. 1757 (pour la distinguer du village appelé de son côté Meyrignac-de-Bar)[31] - [32], Meyrignac-la-Montagne [33].

    Selon E. Nègre l'étymologie de la localité correspondrait à un nom de personne romain Matrinus + suffixe -acum[32]. M. Prodel partage ce point de vue et ajoute "l'origine de ces patronymes est celle du thème des déesses Mères, en particulier celles des sources et des rivières, les mères nourricières"[28].

    Histoire

    Le Antoine Vialle, curé du bourg, malade dans son lit, fait son testament et demande à être enterré dans son église. Il charge son héritier, Léonard Vialle son neveu, de remettre la somme de 5 livres à son successeur (cf la quittance du curé Besse du ).

    L'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem ou de Malte en Limousin disposait des revenus du membre de Meyrignac-l'Église, qui étaient affermés au curé pour vingt-deux livres; il consistaient en dîmes des grains et des agneaux levées sur une partie du bourg de Meyrignac et du village de Vialle[34].

    Pendant la Révolution française, pour suivre un décret de la Convention, la commune prend le nom de Meyrignac-la-Montagne.

    Héraldique

    Blason de Meyrignac-l'Église Blason
    D'argent à un arbre de sinople sur une terrasse isolée de même, un lion de gueules passant devant le fût de l'arbre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1805 1813 Martial Breuil
    avant 1856 ? Jean-Elisabeth Clément de Salaignac Médecin, conseiller général du canton de Corrèze (1848-1858)
    décédé en fonctions
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1957 mars 1977 Henri Lafarge
    mars 1977 mars 2001 Jean-Claude Imbert
    mars 2001 En cours Jean-François Menuet[35]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Agriculteur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 63 habitants[Note 9], en stagnation par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    333273258312312318317344346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    31628630529727727280270278
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    278264246198196183183150130
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1159581594046545350
    2014 2019 2020 - - - - - -
    636363------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cinéma

    Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :

    Lieux et monuments

    L'église Sainte-Anne de Meyrignac-l'Église.
    • L'église paroissiale Sainte-Anne, époque romane et gothique.
    • L'étang de Meyrignac sur une superficie de 17 ha.
    • Les différents hameaux : Agnoux, le Coustal, l'Étang, la Vialleneuve, le Cey-Neuf, la Pépinière, la Vialle, la Roubeyrotte, Miers, Salagnac, les Bories.

    Personnalités liées à la commune

    Georges Lafarge, médecin, conseiller général, maire de Meyrignac-l'Église, « physiocrate du XXe siècle », auteur de livres sur les progrès à faire dans les domaines de la santé, de l'agriculture ou des énergies, créateur de la première (micro)centrale hydroélectrique de Corrèze en 1920 (récemment remise en service), et promoteur de l'électrification du département dans les années 1920. Il prévoyait l'utilisation généralisée de la force électrique, dans les logements, l'artisanat, l'industrie ou même l'agriculture (tracteurs reliés à des câbles en bord de pré). Situé au Centre-Droit et bien que très populaire dans son canton, il échoua à être député contre la Gauche du Front populaire. Zélateur du tourisme (on lui doit la table d'orientation des Monédières), il est demeuré une figure emblématique du "grand homme" local dans le souvenir des anciens Corréziens jusqu'à aujourd'hui.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Naves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Meyrignac-l'Église et Naves », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Naves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Meyrignac-l'Église et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Meyrignac-l'Église », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Meyrignac-l'Église », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. Article R214-112 du code de l’environnement
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. DELOCHE (Maximin) Cartulaire de l'abbaye de Beaulieu (1859), p. 100.
    28. PRODEL (Michel) Contribution à la toponymie de la Corrèze (2020), p. 385.
    29. CHAMPEVAL (J.-B.) Cartulaire de l'abbaye de Tulle. Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze (1887), t.9, p. 432.
    30. FONT-REAULX (Jacques de) Pouillés de la province de Bourges, Paris, (1961-1962),p.p. 494C.
    31. IGN, plan de Cassini, vers 1757.
    32. NEGRE (E) Toponymie générale de la France (1990), t.1, p. 473.
    33. PLANTADIS (Joannès) Les noms Révolutionnaires des communes du Limousin. Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze (1898), p. 329.
    34. VAYSSIERE (Augustin) L'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem ou de Malte en Limousin (1976), p. 86.
    35. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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