Luc (LozĂšre)
Luc est une commune française, située dans le nord-est du département de la LozÚre en région Occitanie.
Luc | |
Le village de Luc. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Allier |
Maire Mandat |
Patrice Clavel 2020-2026 |
Code postal | 48250 |
Code commune | 48086 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Lucois |
Population municipale |
206 hab. (2020 ) |
Densité | 4,5 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 39âČ 04âł nord, 3° 53âČ 30âł est |
Altitude | Min. 925 m Max. 1 386 m |
Superficie | 46,10 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Langogne |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par, le Langouyrou, le MasmĂ©jan, le Bertail, le Cartalaye, le Chaniaux, le Passemas et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Luc est une commune rurale qui compte 206 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 1 312 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Lucois ou Lucoises.
GĂ©ographie
Localisation
Située dans l'est du département de la LozÚre, la commune est limitrophe de l'ArdÚche.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Loubaresse », sur la commune de Loubaresse, mise en service en 1947[7] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 990,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă 42 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[14] : le « Haut-bassin de l'Allier » (2 648 ha), couvrant 12 communes dont neuf dans l'ArdĂšche et trois dans la LozĂšre[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [14] :
- la « forĂȘt de Mercoire » (11 190 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[16] ;
- les « hauts bassins de l'Allier et de l'ArdÚche » (17 943 ha), couvrant 15 communes dont 12 dans l'ArdÚche et trois dans la LozÚre[17].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Luc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [I 1] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (80,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (83,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (74,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,1 %), prairies (8,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (5,8 %), terres arables (0,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Luc est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Allier, le MasmĂ©jan et le Langouyrou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2008, 2019 et 2020[23] - [21].
Luc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[24]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [24] - [25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 286 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Luc est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[29].
Toponymie
Du latin lucus, « bois sacré ».
Histoire
En 1380, Ă l'Ă©poque oĂč Bertrand Du Guesclin meurt au pied de ChĂąteauneuf-de-Randon, non loin de lĂ , les troupes anglaises, fortes de 2 000 hommes, assiĂšgent le chĂąteau de Luc.
Ce boulevard du Vivarais est libéré grùce à trois héroïques seigneurs :
- le seigneur d'Agrain,
- le seigneur de Polignac,
- le seigneur de Choisinet.
AprÚs un combat opiniùtre dans la terre des Hubacs, ils remportÚrent une victoire complÚte, avec le secours soudain de dix des plus intrépides gentilshommes des environs.
Pour en perpétuer le souvenir, ces trois seigneurs placÚrent au sommet du volcan Prasoncoupe-les-Ubas, trois pierres de granit, taillées en disque, et sur lesquelles leurs armes sont sculptées.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Luc est membre de la communauté de communes du Haut Allier[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Langogne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[30].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mende, Ă la circonscription administrative de l'Ătat de la LozĂšre et Ă la rĂ©gion Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Langogne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[31].
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 206 habitants[Note 8], en diminution de 9,25 % par rapport Ă 2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 92 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 177 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 520 âŹ[I 5] (20 420 ⏠dans le dĂ©partement[I 6]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,1 % | 5,6 % | 8,7 % |
DĂ©partement[I 8] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entiĂšre[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 90 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (69,6 % ayant un emploi et 8,7 % de chÎmeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 10] - [I 7]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 10]. Elle compte 54 emplois en 2018, contre 69 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 63, soit un indicateur de concentration d'emploi de 86,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37,4 %[I 11].
Sur ces 63 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau de Luc, construction du XIIe siĂšcle.
- Ăglise Saint-Pierre, construction romane des XIIIe et XIVe siĂšcles. L'Abside a Ă©tĂ© inscrite au titre des monuments historiques en 1931[36].
Personnalités liées à la commune
- L'écrivain écossais Robert Louis Stevenson fit étape à Luc le lors de son périple à travers les Cévennes relaté dans son Voyage avec un ùne dans les Cévennes[37]
HĂ©raldique
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Le blasonnement est d'or à la bande d'azur chargée d'un brochet d'argent |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Luc » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Luc » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Luc » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Luc » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- R. L. Stevenson (trad. de l'anglais), Voyage avec un ùne dans les Cévennes, Paris, Flammarion, , poche (ISBN 978-2-08-070601-0), « Cheylard et Luc », p. 84-85.