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Listrac-MĂ©doc

Listrac-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine, sur la rive gauche de la Gironde.

Listrac-MĂ©doc
Listrac-MĂ©doc
L'Ă©glise Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
Intercommunalité Communauté de communes Médullienne
Maire
Mandat
Aurélie Teixeira
2020-2026
Code postal 33480
Code commune 33248
DĂ©mographie
Population
municipale
2 790 hab. (2020 en augmentation de 5,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 04â€Č 29″ nord, 0° 47â€Č 24″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 44 m
Superficie 61,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Listrac-MĂ©doc
Liens
Site web www.mairie-listrac-medoc.com

    En 2019, Listrac-Médoc devient commune du Parc naturel régional du Médoc[1].

    GĂ©ographie

    Commune située dans le Médoc sur la route départementale 1215 (ancienne RN 215, ex D1) entre Bordeaux et Le Verdon-sur-Mer.

    Le village est situĂ© au point culminant du MĂ©doc (44 mĂštres).

    Communes limitrophes

    Climat

    Borne de nivellement sur l'Ă©glise - Altitude 42 m.

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 928 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[10] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  27 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[14] Ă  pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Listrac-Médoc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (72,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (71,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (30,9 %), cultures permanentes (15,8 %), prairies (4,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,2 %), zones urbanisĂ©es (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Listrac-MĂ©doc est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[24] - [22].

    Listrac-MĂ©doc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[25]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Listrac-Médoc.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 98 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 216 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 189 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 98 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risques technologiques

    La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 8] - [31] - [32].

    Histoire

    Chateau Fonréau

    Le nom de Listrac est issu du latin lista ou listra (lisiÚre, bordure, limite). L'appellation listra proviendrait sans doute de la situation géographique de Listrac, placée à cheval sur la ligne de partage des eaux, les unes s'écoulant vers l'est (vers l'estuaire de la Gironde) et les autres vers l'ouest (vers l'océan).

    Le suffixe gaulois -acum, dĂ©rivĂ© en -ac, est celui de nombreux toponymes en France (Armagnac, Cognac, MĂ©rignac, etc.). Il dĂ©finit soit un lieu, un Ă©lĂ©ment gĂ©ographique ou alors l’emplacement ancien d’une villa gallo-romaine.

    Les Romains ont amené le développement de la vigne dans la région et Listrac profite de sa position avantageuse sur la Lébade (ou levada), l'ancienne voie reliant Bordeaux à Soulac via Lesparre, pour faire connaßtre ses vins. Ainsi, il apparaßt que les vins de Listrac sont connus dÚs le XVIe siÚcle.

    Toponymie

    Les noms des hameaux (Donissan, Libardac, Le Tris, Médrac, Lafon et Couhenne, etc.) ont peu évolué depuis l'époque médiévale puisqu'on peut les retrouver dans les chartes en latin de l'époque.

    Listrac-MĂ©doc Ă©tant en MĂ©doc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Taudinat, Saransot, Rieutort, le Haoure, Pey Cabirol, Pey Jaougut, le Bernada, le BrĂ©dĂ©ra, le Caillava, le PalĂ©na, Lauga, Gariga, le HĂ©na, Laygat, le Sivadat, l’Ardiley, Larozey, le Vimeney, la Hourcade, CaguelĂšbre[33]...

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Listrac-Médoc appartient à l'arrondissement de Lesparre-Médoc et au canton du Sud-Médoc créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Castelnau-de-Médoc.

    Pour l’élection des dĂ©putĂ©s, la commune fait partie de la cinquiĂšme circonscription de la Gironde, reprĂ©sentĂ©e depuis 2017 par BenoĂźt Simian (MRSL, ex-LREM).

    Intercommunalité

    Listrac-Médoc est membre de la communauté de communes Médullienne depuis sa création le .

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Maire en 1834 ? Louis Bernard de Saint-Affrique
    (1771-1854)
    Intendant militaire de la garde du roi de Naples (1806), inspecteur des revues (1815)
    Conseiller d'arrondissement[35]
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? Henri Bibian Propriétaire du chùteau Bibian
    RĂ©Ă©lu en 1977

    (démission)
    Michel Lescoutra RPR Viticulteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Castelnau-de-MĂ©doc (1992 → 1998)
    RĂ©Ă©lu en 1989 et 1995
    [36] Michel Priollaud RPR puis UMP Pharmacien retraité
    RĂ©Ă©lu en 2001 et 2008
    [37] [38]
    (décÚs)
    Christian Thomas DVD Viticulteur retraité
    [39] 2020 Alain Capdevielle DVD Viticulteur coopérateur, ancien 1er adjoint
    2020 En cours Aurélie Teixeira PCF Fonctionnaire territoriale et syndicaliste
    Les données manquantes sont à compléter.

    Tendances politiques et résultats

    • Élection municipale de 2014

    À la suite des Ă©lections municipales des 23 et et de la victoire de la liste Listrac Autrement, Christian Thomas, viticulteur retraitĂ©, est Ă©lu maire. Au dĂ©cĂšs de ce dernier le , son premier adjoint Alain Capdevielle devient premier Ă©dile le .

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[41].

    En 2020, la commune comptait 2 790 habitants[Note 9], en augmentation de 5,64 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8161 6311 6541 7491 8031 7601 7271 8841 931
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9351 9601 9502 0352 1932 3312 2222 2352 235
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1112 0491 8881 6451 6811 6151 4511 3801 409
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2841 3281 3191 5211 8211 8542 1152 4862 737
    2020 - - - - - - - -
    2 790--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    SituĂ©e au cƓur du MĂ©doc, l'Ă©conomie de Listrac-MĂ©doc est principalement tournĂ©e vers la viticulture. L'ensemble des productions des propriĂ©tĂ©s situĂ©es dans la commune bĂ©nĂ©ficie de l'appellation Listrac-Medoc depuis 1957.

    Une cave coopĂ©rative regroupant plusieurs propriĂ©tĂ©s de petites tailles permet la production de diffĂ©rents vins (« La Caravelle Â», « Grand Listrac Â»). Parmi les propriĂ©tĂ©s les plus connues, on peut citer le chĂąteau FonrĂ©aud, le chĂąteau Fourcas-DuprĂ©, ou le chĂąteau Clarke.

    Église de Listrac-MĂ©doc

    En outre, la commune de Listrac-MĂ©doc Ă©tant situĂ©e Ă  la limite des vignes et de la forĂȘt, une partie non nĂ©gligeable de son Ă©conomie tourne autour de la sylviculture. Une scierie est ainsi installĂ©e sur la commune depuis le dĂ©but du XXe siĂšcle et est classĂ©e Ă  l'inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel.

    Enfin, prĂšs du lieu-dit Touleron est installĂ©e depuis 1880 une briqueterie spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication artisanale des grĂšs mĂ©docains. Les grĂšs sont des objets fabriquĂ©s Ă  base d'argile (briques, carreaux, objets de dĂ©coration
) et cuits Ă  1 280°, ce qui leur confĂšre leur appellation de « grĂšs Â» et non plus de « terre cuite Â».

    Lieux et monuments

    Chevet de l'Ă©glise Saint-Martin de Listrac-MĂ©doc.
    • L'Ă©glise Saint-Martin, dont le chƓur roman est datĂ© du XIIe siĂšcle, est inscrite au titre des monuments historiques en 1925 pour ses abside et chƓur et en 2004 en totalitĂ©[44]. Le clocher daterait du XVIe siĂšcle.
    • ChĂąteau Fonreaud, construit entre la fin du XVIIIe siĂšcle et le dĂ©but du XIXe, domaine viticole.
    • ChĂąteau Lestage, construit sous le Second Empire, domaine viticole.
    • ChĂąteau Listrac, construit Ă  la fin du XIXe siĂšcle, domaine viticole.
    • Tuilerie Barraud devenue « GrĂšs mĂ©docains Établissements Barraud Â», construite entre la fin du XIXe siĂšcle et le dĂ©but du XXe.
    • Le monument aux morts dans le cimetiĂšre rend hommage aux "morts pour la France" :
      • Guerre de 1914 - 1918 : 66 morts.
      • Guerre de 1939 - 1945 : 4 morts.
      • Guerre d'Indochine : 1 mort.
      • Guerre d'AlgĂ©rie : 1 mort.
    • Le Lavoir du Caput
    • Le Moulin du Bourg
    • Terrain multisports de Listrac-MĂ©doc, Ă  cĂŽtĂ© de la salle socio-culturelle
    • Cache-cache en MĂ©doc Ă  Listrac-MĂ©doc : jeu de piste gratuit Ă  faire en autonomie et en famille.
    • Église de Listrac-MĂ©doc
      Aire de jeux et aire de pique-nique dans le Parc de la Mairie
    Le monument aux morts de Listrac, dans le cimetiĂšre.

    Personnalités liées à la commune

    Issu d'une famille aisĂ©e de Bordeaux, le peintre Odilon Redon est mis en nourrice trĂšs jeune au lieu-dit de Peyrelebade, dans la commune de Listrac-MĂ©doc ; les paysages alentour ont inspirĂ© le peintre et on peut notamment admirer au MusĂ©e d'Orsay Ă  Paris plusieurs Ɠuvres du peintre ayant trait Ă  ces paysages[45].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « PARC NATUREL RÉGIONAL MÉDOC ».
    2. Listrac-Médoc sur Géoportail, consulté le 15 novembre 2015.
    3. Listrac-Médoc sur Géoportail, consulté le 15 novembre 2015.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pauillac-Sud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Listrac-Médoc et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pauillac-Sud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Listrac-Médoc et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Listrac-Médoc », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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