Listrac-MĂ©doc
Listrac-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine, sur la rive gauche de la Gironde.
Listrac-MĂ©doc | |||||
L'Ă©glise Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Lesparre-MĂ©doc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Médullienne | ||||
Maire Mandat |
Aurélie Teixeira 2020-2026 |
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Code postal | 33480 | ||||
Code commune | 33248 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
2 790 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 04âČ 29âł nord, 0° 47âČ 24âł ouest | ||||
Altitude | Min. 9 m Max. 44 m |
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Superficie | 61,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Sud-MĂ©doc | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-listrac-medoc.com | ||||
En 2019, Listrac-Médoc devient commune du Parc naturel régional du Médoc[1].
GĂ©ographie
Commune située dans le Médoc sur la route départementale 1215 (ancienne RN 215, ex D1) entre Bordeaux et Le Verdon-sur-Mer.
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Le village est situé au point culminant du Médoc (44 mÚtres).
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[10] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă 27 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[14] Ă pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Listrac-Médoc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (72,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (71,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (30,9 %), cultures permanentes (15,8 %), prairies (4,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,2 %), zones urbanisĂ©es (2,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Listrac-MĂ©doc est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[24] - [22].
Listrac-MĂ©doc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[25]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 98 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 216 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 189 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 98 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 2 km se mettent Ă l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s dâiode stable[Note 8] - [31] - [32].
Histoire
Le nom de Listrac est issu du latin lista ou listra (lisiÚre, bordure, limite). L'appellation listra proviendrait sans doute de la situation géographique de Listrac, placée à cheval sur la ligne de partage des eaux, les unes s'écoulant vers l'est (vers l'estuaire de la Gironde) et les autres vers l'ouest (vers l'océan).
Le suffixe gaulois -acum, dĂ©rivĂ© en -ac, est celui de nombreux toponymes en France (Armagnac, Cognac, MĂ©rignac, etc.). Il dĂ©finit soit un lieu, un Ă©lĂ©ment gĂ©ographique ou alors lâemplacement ancien dâune villa gallo-romaine.
Les Romains ont amené le développement de la vigne dans la région et Listrac profite de sa position avantageuse sur la Lébade (ou levada), l'ancienne voie reliant Bordeaux à Soulac via Lesparre, pour faire connaßtre ses vins. Ainsi, il apparaßt que les vins de Listrac sont connus dÚs le XVIe siÚcle.
Toponymie
Les noms des hameaux (Donissan, Libardac, Le Tris, Médrac, Lafon et Couhenne, etc.) ont peu évolué depuis l'époque médiévale puisqu'on peut les retrouver dans les chartes en latin de l'époque.
Listrac-MĂ©doc Ă©tant en MĂ©doc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Taudinat, Saransot, Rieutort, le Haoure, Pey Cabirol, Pey Jaougut, le Bernada, le BrĂ©dĂ©ra, le Caillava, le PalĂ©na, Lauga, Gariga, le HĂ©na, Laygat, le Sivadat, lâArdiley, Larozey, le Vimeney, la Hourcade, CaguelĂšbre[33]...
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Listrac-Médoc appartient à l'arrondissement de Lesparre-Médoc et au canton du Sud-Médoc créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Castelnau-de-Médoc.
Pour lâĂ©lection des dĂ©putĂ©s, la commune fait partie de la cinquiĂšme circonscription de la Gironde, reprĂ©sentĂ©e depuis 2017 par BenoĂźt Simian (MRSL, ex-LREM).
Intercommunalité
Listrac-Médoc est membre de la communauté de communes Médullienne depuis sa création le .
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[34].
Liste des maires
Tendances politiques et résultats
- Ălection municipale de 2014
à la suite des élections municipales des 23 et et de la victoire de la liste Listrac Autrement, Christian Thomas, viticulteur retraité, est élu maire. Au décÚs de ce dernier le , son premier adjoint Alain Capdevielle devient premier édile le .
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 2 790 habitants[Note 9], en augmentation de 5,64 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
SituĂ©e au cĆur du MĂ©doc, l'Ă©conomie de Listrac-MĂ©doc est principalement tournĂ©e vers la viticulture. L'ensemble des productions des propriĂ©tĂ©s situĂ©es dans la commune bĂ©nĂ©ficie de l'appellation Listrac-Medoc depuis 1957.
Une cave coopérative regroupant plusieurs propriétés de petites tailles permet la production de différents vins (« La Caravelle », « Grand Listrac »). Parmi les propriétés les plus connues, on peut citer le chùteau Fonréaud, le chùteau Fourcas-Dupré, ou le chùteau Clarke.
En outre, la commune de Listrac-MĂ©doc Ă©tant situĂ©e Ă la limite des vignes et de la forĂȘt, une partie non nĂ©gligeable de son Ă©conomie tourne autour de la sylviculture. Une scierie est ainsi installĂ©e sur la commune depuis le dĂ©but du XXe siĂšcle et est classĂ©e Ă l'inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel.
Enfin, prĂšs du lieu-dit Touleron est installĂ©e depuis 1880 une briqueterie spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication artisanale des grĂšs mĂ©docains. Les grĂšs sont des objets fabriquĂ©s Ă base d'argile (briques, carreaux, objets de dĂ©corationâŠ) et cuits Ă 1 280°, ce qui leur confĂšre leur appellation de « grĂšs » et non plus de « terre cuite ».
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-Martin, dont le chĆur roman est datĂ© du XIIe siĂšcle, est inscrite au titre des monuments historiques en 1925 pour ses abside et chĆur et en 2004 en totalitĂ©[44]. Le clocher daterait du XVIe siĂšcle.
- Chùteau Fonreaud, construit entre la fin du XVIIIe siÚcle et le début du XIXe, domaine viticole.
- ChĂąteau Lestage, construit sous le Second Empire, domaine viticole.
- ChĂąteau Listrac, construit Ă la fin du XIXe siĂšcle, domaine viticole.
- Tuilerie Barraud devenue « GrĂšs mĂ©docains Ătablissements Barraud », construite entre la fin du XIXe siĂšcle et le dĂ©but du XXe.
- Le monument aux morts dans le cimetiĂšre rend hommage aux "morts pour la France" :
- Guerre de 1914 - 1918 : 66 morts.
- Guerre de 1939 - 1945 : 4 morts.
- Guerre d'Indochine : 1 mort.
- Guerre d'Algérie : 1 mort.
- Le Lavoir du Caput
- Le Moulin du Bourg
- Terrain multisports de Listrac-Médoc, à cÎté de la salle socio-culturelle
- Cache-cache en MĂ©doc Ă Listrac-MĂ©doc : jeu de piste gratuit Ă faire en autonomie et en famille.
- Aire de jeux et aire de pique-nique dans le Parc de la MairieĂglise de Listrac-MĂ©doc
Personnalités liées à la commune
Issu d'une famille aisĂ©e de Bordeaux, le peintre Odilon Redon est mis en nourrice trĂšs jeune au lieu-dit de Peyrelebade, dans la commune de Listrac-MĂ©doc ; les paysages alentour ont inspirĂ© le peintre et on peut notamment admirer au MusĂ©e d'Orsay Ă Paris plusieurs Ćuvres du peintre ayant trait Ă ces paysages[45].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le pĂ©rimĂštre de 2 km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă lâabri dĂšs lâalerte et suivre les consignes.
- Les comprimĂ©s dâiode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets dâiode radioactif qui pourraient survenir en cas dâaccident nuclĂ©aire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « PARC NATUREL RĂGIONAL MĂDOC ».
- Listrac-Médoc sur Géoportail, consulté le 15 novembre 2015.
- Listrac-Médoc sur Géoportail, consulté le 15 novembre 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Listrac-Médoc et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « LĂČcs / Lieux-dits gascons de Listrac-MĂ©doc - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consultĂ© le ).
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203761t/f501.image
- Maryan Charruau, « Listrac : Michel Priollaud Ă©lu maire », Sud Ouest,â , p. 9.
- Jean-Claude Rigault, « Un premier Conseil, deux dĂ©missions », Sud Ouest,â (lire en ligne).
- Jean-Claude Rigault, « Listrac-MĂ©doc : le village vient de perdre son maire Christian Thomas », Sud Ouest,â (lire en ligne).
- Jean-Claude Rigault, « Alain Capdevielle, nouveau maire », Sud Ouest,â (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Notice MH de l'église Saint-Martin », notice no PA00083602, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Le Chemin de Peyrelebade, Peyrelebade, domaine familial prĂšs de Listrac d'Odilon Redon.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie.
- Listrac-MĂ©doc sur le site de l'Institut GĂ©ographique National
- Site de l'appellation Listrac-MĂ©doc