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Les Blues Brothers (film)

Les Blues Brothers ou Les FrÚres Blues au Québec (The Blues Brothers) est un film américain réalisé par John Landis, sorti en 1980.

Les Blues Brothers
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Statues d'Elwood et Jake Blues (Dan Aykroyd et John Belushi)
Titre québécois Les FrÚres Blues
Titre original The Blues Brothers
RĂ©alisation John Landis
Scénario Dan Aykroyd
John Landis
Acteurs principaux
Sociétés de production Universal Pictures
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Comédie musicale
DurĂ©e 133 minutes
Sortie 1980

SĂ©rie

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Il met en scÚne John Belushi et Dan Aykroyd dans les rÎles-titres de « Joliet » Jake et Elwood Blues, personnages emblématiques du sketch musical The Blues Brothers de l'émission télévisée Saturday Night Live diffusée sur NBC.

De nombreux chanteurs vedettes tels que James Brown, Cab Calloway, Aretha Franklin, Ray Charles et John Lee Hooker interprĂštent dans le film des chansons de rhythm and blues, soul et blues.

Le film se dĂ©roule Ă  Chicago et ses environs, avec de nombreuses interventions d'autres acteurs, par exemple John Candy, Carrie Fisher, Charles Napier, Henry Gibson et de personnalitĂ©s du cinĂ©ma, comme Frank Oz, Steven Spielberg ou John Landis lui-mĂȘme.

En raison de son succÚs, le film est devenu un film culte des années 1980.

Synopsis

Les frĂšres « Joliet » Jake et Elwood Blues[N 1] sont deux dĂ©linquants stoĂŻques, imperturbables, flegmatiques et drĂŽles, reconnaissables Ă  leur look caractĂ©ristique composĂ© d'un chapeau, d'un costume, de lunettes noires et de chaussettes blanches. Ils se retrouvent lorsque Jake, incarcĂ©rĂ© pour vol Ă  main armĂ©e, est libĂ©rĂ© de la prison de Joliet dans l'Illinois sous la responsabilitĂ© d'Elwood. Ils apprennent alors que l'orphelinat catholique oĂč ils ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s est surendettĂ© et va ĂȘtre rasĂ©. La seule solution est de payer les arriĂ©rĂ©s de taxes fonciĂšres au bureau administratif des impĂŽts de Chicago dans un dĂ©lai de onze jours.

Les frĂšres Blues partent en « mission pour le Seigneur » et dĂ©cident de reconstituer leur ancien groupe de musique, The Blues Brothers, pour repartir en tournĂ©e et ainsi rĂ©colter honnĂȘtement la somme de 5 000 $ nĂ©cessaire Ă  la survie de l'orphelinat. Leur conduite insouciante dans leur vieille voiture de police, la Bluesmobile (Dodge Monaco 1974), attire rapidement l'attention de la police de l'Illinois.

Leur tournĂ©e musicale est pleine de titres fameux de la musique populaire amĂ©ricaine mais Ă©galement de pĂ©ripĂ©ties. Jake et Elwood se font de nombreux ennemis, dont le parti nazi amĂ©ricain, le propriĂ©taire d'un bar country, une Ă©quipe de chanteurs country, la police de Chicago, trĂšs vite secondĂ©e par celles de tout l'État de l'Illinois, auxquelles s'ajoutent les forces d'interventions spĂ©ciales, l'armĂ©e. RĂ©guliĂšrement, une mystĂ©rieuse femme, qui se trouve finalement ĂȘtre l'ancienne fiancĂ©e de Jake — furieuse d'avoir Ă©tĂ© abandonnĂ©e le jour de son mariage — tente de l'assassiner pour se venger par tous les moyens possibles, dont un bazooka, un lance flammes ou un fusil d'assaut M16.

Fiche technique

Production déléguée : Bernie Brillstein
Production associée : George Folsey Jr. et David Sosna

Distribution

Dan Aykroyd (Ă  droite) en 2011.

Personnages principaux

The Blues Brothers

Personnages secondaires

Non crédités

Production

GenÚse et développement

John Belushi et Dan Aykroyd crĂ©ent les personnages de « Joliet » Jake et Elwood Blues pour l'Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e humoristique Saturday Night Live diffusĂ©e sur NBC. Le nom « The Blues Brothers Â» est une idĂ©e de Howard Shore.

John Belushi devient une véritable star dÚs 1978 en raison du succÚs du groupe musical Blues Brothers et du film American College de John Landis. Il décide avec Dan Aykroyd de faire un film sur les Blues Brothers. Universal Pictures coiffe au poteau Paramount Pictures pour décrocher le projet. La réalisation est proposé à John Landis[10].

Alors qu'un budget est validé par Universal, aucun script n'est alors écrit. Le studio propose 12 millions alors que le réalisateur et les acteurs demandent 20 millions. Mais il est impossible de fixer le budget sans script. Mitch Glazer refuse la proposition de Dan Aykroyd, qui décide alors de l'écrire seul[10]. L'acteur n'a cependant aucune expérience pour cet exercice. Dans le documentaire Stories Behind the Making of The Blues Brothers (1998), il explique qu'il a écrit un énorme volume décrivant les personnages, leurs origines et comment les membres du groupe seraient recrutés. Cette ébauche fait 324 pages, soit environ trois fois plus qu'un scénario standard, ressemble davantage à des vers libres[10]. L'écrit est alors intitulé The Return of the Blues Brothers et crédité à 'Scriptatron GL-9000'[10]. John Landis est ensuite chargé d'éditer et organiser tout cela sous la forme d'un scénario utilisable[11]. Cela lui prend environ deux semaines[10].

Distribution des rĂŽles

À l'origine, le pianiste membre du Blues Brothers Band Ă©tait Paul Shaffer mais, Ă  la suite d'un souci de contrat, il est remplacĂ© par Murphy Dunne pour le film. En revanche, Shaffer aura l'occasion d'apparaĂźtre dans la suite, Blues Brothers 2000, en 1998. Les origines des deux frĂšres sont dĂ©veloppĂ©s par Dan Aykroyd en collaboration avec Ron Gwynne (crĂ©ditĂ© comme story consultant au gĂ©nĂ©rique du film). Comme inscrit dans le livret du premier album des Blues Brothers, Briefcase Full of Blues (1978), les frĂšres Blues ont grandi en orphelinat oĂč ils apprennent le blues auprĂšs d'un concierge nommĂ© Curtis[12].

C'est John Landis lui-mĂȘme qui interprĂšte l'agent conduisant la deuxiĂšme voiture de police poursuivant les Blues Brothers dans le centre commercial, celle qui finira par faire un tonneau et se retrouver le chĂąssis en l'air.

Steven Spielberg fait une apparition dans le rÎle de l'employé aux lunettes, qui affiche sur son bureau « retour dans 5 minutes ».

Tournage

Le tournage a lieu entre juillet et octobre 1979. Il se déroule principalement à Chicago (riviÚre Calumet, Downtown Chicago, Richard J. Daley Center, South Deering, Chicago Lawn, Hyde Park, South Side, hÎtel de ville, Loop) et dans plusieurs villes de l'Illinois (West Chicago, Joliet et sa prison, Danville, Cicero, Harvey, Park Ridge, Wauconda et Waukegan). Des scÚnes sont également tournées à Milwaukee dans le Wisconsin, Los Angeles (Hollywood Palladium, Griffith Park) dans les Universal Studios en Californie[13].

Pour simuler la chute de la voiture du leader nazi (aprÚs avoir franchi le bout de la voie d'autoroute inachevée), la production a utilisé un hélicoptÚre qui a largué une voiture en plein ciel. AprÚs l'accord de la Federal Aviation Administration, l'hélicoptÚre a ainsi pu larguer la Ford Pinto de 1977[14].

Bande originale

  1. She Caught the Katy (Taj Mahal, Rachell) – 4:10
    • The Blues Brothers avec Jake Blues au chant
  2. Peter Gunn Theme (Mancini) – 3:46
    • The Blues Brothers Band
  3. Gimme Some Lovin' (S. Winwood, M. Winwood, Davis) – 3:06
    • The Blues Brothers avec Jake Blues au chant
  4. Shake a Tail Feather (Hayes, Williams, Rice) – 2:48
    • Ray Charles et les Blues Brothers (Jake and Elwood, backing vocals)
  5. Everybody Needs Somebody to Love (Wexler, Berns, Burke) – 3:21
    • The Blues Brothers (Jake Blues, chant; Elwood Blues, harmonica et chant)
  6. The Old Landmark (Brunner) – 2:56
    • James Brown et le Rev. James Cleveland Choir (chƓurs additionnels par Chaka Khan crĂ©ditĂ© dans le film)
  7. Think (White, Franklin) – 3:13
    • Aretha Franklin et les Blues Brothers avec Brenda Corbett, Margaret Branch and Carolyn Franklin (vĂ©ritable sƓur d'Aretha) et Jake et Elwood dans les chƓurs
  8. Theme from Rawhide (Tiomkin) – 2:37
    • Elwood et Jake et le Blues Brothers Band
  9. Minnie the Moocher (Calloway, Mills) – 3:23
  10. Sweet Home Chicago (Robert Johnson) – 7:48
  11. Jailhouse Rock (Leiber, Stoller) – 3:19
    • Jake Blues et les Blues Brothers (durant le gĂ©nĂ©rique, des couplets sont interprĂ©tĂ©s par James Brown, Cab Calloway, Ray Charles, Aretha Franklin, etc.)
Autres chansons présentes dans le film

Accueil

Accueil critique

Le film reçoit des critiques globalement positives. Sur l'agrĂ©gateur amĂ©ricain Rotten Tomatoes, il rĂ©colte 73% d'opinions favorables pour 89 critiques et une note moyenne de 7,60⁄10[15]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 60⁄100 pour 12 critiques[16].

Box-office

Le film est un succÚs mondial. Produit pour environ 27 millions de dollars, il récolte plus de 115 millions au box-office mondial[17].

Pays ou rĂ©gion Box-office Date d'arrĂȘt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
57 229 890 $[18]
Drapeau de la France France 2 470 323 entrĂ©es[17] - -
Monde Total mondial 115 229 890 $[17] - -

Distinctions

Entre 1980 et 2020, Les Blues Brothers a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ© 4 fois dans diverses catĂ©gories et a remportĂ© 2 rĂ©compenses[19] - [20].

RĂ©compenses

Nominations

SĂ©lections

Commentaires

Bluesmobile (ici une réplique, basée sur une Dodge Coronet de 1977, alors que le véhicule original est une Dodge Monaco), 1974.

Postérité et record

La phrase « The svastika is calling you » (« La svastika vous appelle »), dans la version originale du film hurlée au mégaphone par le personnage du chef du parti nazi de l'Illinois (interprété par Henry Gibson) lors de la scÚne du pont, fut utilisée en 1989 par le groupe de thrash metal américain Nuclear Assault à la fin de leur chanson Torture Tactics (sur l'album Handle With Care), qui constitue une caricature du nazisme.

Le , le Vatican reconnaĂźt la dimension catholique de la mission de Jake et Elwood Blues[21].

Le film détient le record mondial des carambolages de voitures. Il est question de 13 Bluesmobiles et de 30 à 60 voitures de police détruites durant le tournage. Jusqu'à la sortie de G.I. Joe en 2009, le film détient le record du plus grand nombre de véhicules détruits (parodiant la course poursuite du film French Connection) et de destructions diverses (dont un centre commercial désaffecté, reprenant du service à l'occasion du tournage)[22] - [14].

Tenue vestimentaire des Blues Brothers

Les frĂšres Blues

L'allure d'Elwood et Jake Blues a fait l'objet d'un soin particulier par la costumiĂšre du film, Deborah Nadoolman Landis. Elle a Ă©tĂ© inspirĂ©e par les acteurs eux-mĂȘmes lorsqu’ils interprĂ©taient les personnages dans le Saturday Night Live. Ils avaient alors l’habitude de s’habiller avec n’importe quel vĂȘtement du moment que c’était un costume, une cravate, des vieilles lunettes et un chapeau noir avec une chemise et des chaussettes blanches. Pour le film, Deborah Nadoolman Landis devait les rendre plus soignĂ©s. Les comparant aux Laurel et Hardy du blues, elle a pris le parti de souligner leur physionomie, verticale pour Elwood-Dan Aykroyd, l’inverse pour Jake-John Belushi[23].

Dan Aykroyd et John Belushi se produisaient avec un chapeau de forme fĂ©dora, mais dans le film, les Blues Brothers Ă©tant catholiques, il ne fallait pas que le chapeau suggĂšre celui des juifs orthodoxes. La costumiĂšre a choisi des chapeaux de forme fĂ©dora Ă  bords Ă©troits – dits trilby, fabriquĂ©s en feutre noir sur mesure par le chapelier Dog’s Hatmaker dans l’Ohio[23].

La costumiĂšre souhaitait des lunettes Ray-Ban Wayfarer noires, un modĂšle des annĂ©es 1950 qui n’était plus fabriquĂ© Ă  l’époque du tournage. Mais contrairement Ă  ce qu’explique Deborah Nadoolman Landis dans ses interviews, seul Jake en porte, et elles ne sont pas noires. Dan Aykroyd porte une autre ancienne marque amĂ©ricaine de lunettes, identifiĂ©es comme Ă©tant des Styl-Rite Optical et Ă©quipĂ©es de verres correcteurs fumĂ©s (Dan Aykroyd est myope). Il est probable que ces lunettes aient Ă©tĂ© des modĂšles personnels de l'acteur, car Dan Aykroyd porte cette mĂȘme monture, mais avec des verres correcteurs clairs lors de photographies de groupe prises pendant le tournage du film SOS FantĂŽmes en 1984. L’équipe responsable des costumes avait ratissĂ© les boutiques de la rĂ©gion pour acheter deux douzaines de paires de lunettes, mais John Belushi ne cessait de les distribuer Ă  ses fans ou de les perdre. On lui avait mĂȘme donnĂ© le surnom de « Black hole » (trou noir) sur le tournage en raison de sa propension Ă  faire disparaĂźtre ses lunettes[24]. Finalement, ce sont des Ray-Ban Wayfarer[25] « tortoise » (en carapace de tortue, donc de couleur marron foncĂ©), que Jake porte[26].

Les montres sont rĂ©currentes dans le film. DĂšs le dĂ©but, le gardien de prison rend Ă  Jake une « Timex digitale cassĂ©e », et Ă  diverses reprises dans le film, les policiers se plaignent d'avoir cassĂ© leur montre. Elwood porte une montre de la marque Mitron ou Armitron, affichage numĂ©rique Ă  led rouge, boĂźtier dorĂ©, cadran rond et bracelet souple dorĂ© Ă  l’or blanc, Ă  mailles rectangulaires larges[27]. Jake porte une Timex, affichage numĂ©rique Ă  led rouge, boĂźtier dorĂ©, cadran rond et bracelet souple dorĂ© Ă  mailles rectangulaires larges[28].

Version alternative

Il existe une version longue alternative du film d'une durée de 142 minutes et disponible dans l'édition DVD 25e anniversaire, sortie en 2005. Elle comporte des séquences musicales rallongées, ce qui permet d'entendre certaines chansons dans leur intégralité, et quelques nouvelles scÚnes parmi lesquelles :

  • Devant l'Ă©glise Triple Rock, Elwood explique Ă  son frĂšre qu'effectivement, ils doivent trouver un moyen de gagner l'argent nĂ©cessaire au paiement des impĂŽts de l'orphelinat de maniĂšre honnĂȘte. Ils doivent alors se racheter et pour cela, aller Ă  l'Ă©glise. Jake se moque de lui.
  • Jake et Elwood rangent leur voiture dans un local sous un transformateur qui sert de garage Ă  leur Bluesmobile, et situĂ© dans une ruelle, juste avant d'arriver Ă  l'hĂŽtel oĂč rĂ©side Elwood.
  • Peu avant de partir Ă  la recherche des musiciens du groupe, Elwood se rend Ă  l'entreprise oĂč il a travaillĂ© durant la peine de Jake et prĂ©sente sa dĂ©mission Ă  son patron en prĂ©tendant vouloir devenir prĂȘtre (une vocation que, par ailleurs, Dan Aykroyd a souhaitĂ© suivre lorsqu'il Ă©tait enfant). Cette sociĂ©tĂ© fabrique des bombes de colle forte, ce qui explique l'origine de celle qu'Elwood utilise pour appliquer sur la pĂ©dale d'accĂ©lĂ©rateur du camion des Good Ole Boys.
  • À la fin du film, aprĂšs avoir collĂ© la pĂ©dale du camion, Elwood injecte du gaz dans les pneus des voitures de police (durant un couplet de « Mini the moocher »). AprĂšs le concert lorsque les Blues Brothers fuient, les voitures de police se foncent les unes dans les autres, leurs pneus Ă©clatant Ă  cause du gaz qui chauffe.

Jeux vidéo

La société Titus Software se base sur le scénario du film pour réaliser le jeu vidéo de plate-forme The Blues Brothers, sorti en 1991. Titus Software réalise un deuxiÚme jeu de plate-forme The Blues Brothers: Jukebox Adventure (1993).

Suite

En 1998, Blues Brothers 2000 sort sur les Ă©crans. Il n'atteint pas le succĂšs du premier opus. On y trouve John Goodman ou encore Blues Traveler, B. B. King, Erykah Badu, Junior Wells, Taj Mahal, Lonnie Brooks, James Brown, Eric Clapton, Steve Winwood, Paul Shaffer, Koko Taylor, Bo Diddley, Isaac Hayes, Dr. John, Lou Rawls, Jimmie Vaughan, Wilson Pickett ou encore Jonny Lang.

Notes et références

Notes

  1. Joliet et Elwood sont deux villes de l'Illinois, État oĂč se dĂ©roule l'intrigue du film.

Références

  1. « Les frÚres Blues », sur Cinoche.com,
  2. (en) « Les Blues Brothers - SociĂ©tĂ© de Production / SociĂ©tĂ©s de distribution » sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le ).
  3. « Budget du film The Blues Brothers », sur JP box-office.com (consulté le ).
  4. (en) « Les Blues Brothers - SpĂ©cifications techniques » sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le ).
  5. (en) « Les Blues Brothers - Dates de sortie » sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le ).
  6. « The Blues Brothers », sur cineman.ch (consulté le ).
  7. (en) « Les Blues Brothers - Guide Parental » sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le ).
  8. « Visa et Classification - Fiche Ɠuvre Les Blues Brothers », sur CNC (consultĂ© le ).
  9. « The Blues Brothers », sur cinebel.dhnet.be (consulté le )
  10. Ned Zeman, « Soul Men: The Making of The Blues Brothers », Vanity Fair,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  11. Stories Behind the Making of The Blues Brothers, documentaire présent sur le DVD de 1998 DVD et l'édition 25e anniversaire de 2005
  12. « Fortune City-Blues Brothers », sur Biography of the Blues Brothers-From their album, A Briefcase Full of Blues (consulté le )
  13. (en) Locations sur l’Internet Movie Database
  14. Secrets de tournage - Allociné
  15. (en) « The Blues Brothers (1980) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
  16. (en) « The Blues Brothers Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
  17. « Les Blues Brothers », sur JP's Box-office (consulté le )
  18. (en) « The Blues Brothers », sur Box Office Mojo (consulté le )
  19. (en) « Les Blues Brothers - Distinctions » sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le ).
  20. « Palmares du film Les Blues Brothers », sur Allociné (consulté le ).
  21. « Les Blues Brothers font swinguer le Vatican », Purepeople, (consulté le ).
  22. (en) « Movies with most cars destroyed 2013 - Statistic », sur Statista (consulté le )
  23. (en) « Interview de Deborah Nadoolman Landis »
  24. (en) « Liste de faits sur le film des Blues Brothers »
  25. Ray-Ban Wayfarer "classic" B&L5022 ou B&L5024
  26. (en) « Vente aux enchÚres des lunettes de Jake »
  27. (en) « Vente aux enchÚres de la montre d'Elwood », Il semble y avoir une erreur sur la marque de la montre, Mitron est une marque allemande qui n'existe que depuis 1982. La marque serait donc plutÎt Armitron.
  28. (en) « Vente aux enchÚres de la montre de Jake »

Liens externes

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