Le Verdier
Le Verdier (en occitan Lo VerdiÚr) est une commune française située dans le nord-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.
Le Verdier | |
Le dolmen Pierre Levée | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Tarn |
Arrondissement | Albi |
Intercommunalité | Gaillac Graulhet Agglomération |
Maire Mandat |
Sylvie Da Silva 2022-2026 |
Code postal | 81140 |
Code commune | 81313 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Verdiérois |
Population municipale |
227 hab. (2020 ) |
Densité | 24 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 59âČ 22âł nord, 1° 50âČ 33âł est |
Altitude | Min. 169 m Max. 290 m |
Superficie | 9,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Gaillac (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Vignobles et Bastides |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la VÚre, le ruisseau de VervÚre, le ruisseau d'escourou et par deux autres cours d'eau.
Le Verdier est une commune rurale qui compte 227 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 756 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac. Ses habitants sont appelés les Verdiérois ou Verdiéroises.
GĂ©ographie
Communes limitrophes
Le Verdier est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Cahuzac-sur-VĂšre, Castelnau-de-Montmiral, Saint-Beauzile, Sainte-CĂ©cile-du-Cayrou et Vieux.
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 954 hectares ; son altitude varie de 169 Ă 290 mĂštres[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la VÚre, le ruisseau de VervÚre, le ruisseau d'escourou, un bras du VervÚre et le ruisseau d'Escandérou, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
La VÚre, d'une longueur totale de 53,2 km, prend sa source dans la commune du Le Garric et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Bruniquel, aprÚs avoir traversé 15 communes[5].
Le ruisseau de VervÚre, d'une longueur totale de 13,4 km, prend sa source dans la commune de Tonnac et s'écoule vers le sud. Il traverse la commune et se jette dans la VÚre sur le territoire communal, aprÚs avoir traversé 5 communes[6].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[7].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Montels », sur la commune de Montels, mise en service en 1996[12] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[13] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 720,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et Ă 22 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] Ă 13,8 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18] - [19] - [20].
Urbanisme
Typologie
Le Verdier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [I 1] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (89,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (37,8 %), terres arables (31,6 %), cultures permanentes (20,2 %), forĂȘts (8,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Verdier est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la VĂšre et le ruisseau de VervĂšre. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982[27] - [24].
Le Verdier est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue lâune des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6] - [28].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 146 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 146 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[32].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune du Verdier est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[33].
Toponymie
Le toponyme vient de l'occitan vergiĂšr, verdiĂšr : verger[34].
Il existe de nombreux lieux-dits de mĂȘme nom dont un dans le Cantal.
Histoire
Le Verdier est une commune connue dans la rĂ©gion pour ses sites archĂ©ologiques trĂšs riches. Des fouilles ont mĂȘme Ă©tĂ© effectuĂ©es au Verdier.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de onze[35] - [36].
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Commune faisant partie de la Gaillac Graulhet Agglomération et du canton de Vignobles et Bastides (avant le redécoupage départemental de 2014, Le Verdier faisait partie de l'ex-canton de Castelnau-de-Montmiral) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de VÚre Grésigne.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
Enseignement
Le Verdier fait partie de l'académie de Toulouse.
Activités sportives
Ăcologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de Gaillac Graulhet Agglomération.
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 100 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 220 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 750 âŹ[I 4] (20 400 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 2,9 % | 8,4 % | 6,2 % |
DĂ©partement[I 7] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 127 personnes, parmi lesquelles on compte 71,3 % d'actifs (65,1 % ayant un emploi et 6,2 % de chÎmeurs) et 28,7 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gaillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 48 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 85, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 10].
Sur ces 85 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,8 % les transports en commun, 3,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
23 établissements[Note 9] sont implantés au Verdier au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,8 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 23 entreprises implantées au Le Verdier), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 26 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] Ă 19 en 2000 puis Ă 13 en 2010[43] et enfin Ă 12 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 58 % de ses exploitations[44] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 616 ha en 1988 Ă 473 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 24 Ă 39 ha[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le dolmen de Pierre Levée, dit aussi Peiro Lebado de Saint-Pierre, situé au nord de la commune, sur un petit plateau calcaire. Peiro Lebado est l'une des nombreuses variantes de « pÚira levada », mot occitan pour "pierre levée", qui désigne tantÎt un dolmen, tantÎt un menhir. La Pierre Levée de Saint-Pierre est associée dans une légende à la Pierre Levée de Saint-Paul (Monument historique), qui se trouve sur la commune voisine de Sainte-Cécile-du Cayrou.
- Le pigeonnier du Verdier sur pilier.
- ChĂąteau de la Coste
- Ăglise Saints-Pierre-et-Paul du Verdier. Fresques dans le baptistĂšre peintes par Nicolas Greschny.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le principe dâun dĂ©broussaillement efficace consiste Ă couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et dâautre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage dâarbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă proximitĂ© de lâhabitation
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
- Cartes
- « Réseau hydrographique du Verdier » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duGaillac » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Verdier » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
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- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Verdier » (consulté le ).
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Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale du Verdier », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la VÚre (affluent de l'Aveyron) »
- Sandre, « le ruisseau de VervÚre »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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