Le Rozier
Le Rozier est une commune française, située dans le sud-ouest du département de la Lozère, en région Occitanie.
Le Rozier | |
Vue générale du Rozier. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
Département | Lozère |
Arrondissement | Florac |
Intercommunalité | Communauté de communes de Millau Grands Causses |
Maire Mandat |
Arnaud Curvelier 2020-2026 |
Code postal | 48150 |
Code commune | 48131 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Roziéens ou Roziérains |
Population municipale |
132 hab. (2020 ) |
Densité | 65 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 44° 11′ 30″ nord, 3° 12′ 39″ est |
Altitude | Min. 387 m Max. 849 m |
Superficie | 2,03 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Florac Trois Rivières |
Législatives | Circonscription de la Lozère |
Localisation | |
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Tarn, la Jonte et par un autre cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Rozier est une commune rurale qui compte 132 habitants en 2020. Ses habitants sont appelés les Roziérois ou Roziéroises.
GĂ©ographie
Généralités
Dans le quart sud-ouest du département de la Lozère et limitrophe du département de l'Aveyron, Le Rozier est une commune faisant partie du causse Méjean, dans sa limite sud-ouest. À la périphérie du parc national des Cévennes, le territoire communal forme un quadrilatère irrégulier qui s'étend sur 2,03 km2. Il est bordé au nord-ouest par le Tarn et ses gorges et au sud par son affluent la Jonte dans la partie aval de ses gorges. Les deux rivières confluent en limite de la commune.
L'altitude minimale, 387 mètres, se trouve localisée à l'extrême ouest, au confluent de la Jonte et du Tarn. À l'est, l'altitude maximale avec 849 mètres est en limite de la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers.
En bordure de la Jonte et traversé par la route départementale (RD) 996, le bourg du Rozier est situé, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres au nord-est de Millau.
Au sud du bourg, la RD 29 franchit la Jonte et mène au bourg de Peyreleau.
En provenance de la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers et y retournant, le GR 6 participant alors au parcours du chemin de Saint-Guilhem, fait une boucle à travers le territoire communal sur plus de cinq kilomètres, longeant les gorges du Tarn et passant dans le nord du bourg.
Communes limitrophes
Le Rozier est limitrophe de trois autres communes dont deux dans le département de l'Aveyron :
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2] - [3]. La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[4] - [5].
RĂ©seau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges du Tarn et de la Jonte »[7], d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[8].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[9] :
- les « gorges de la Jonte » (2 578 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aveyron et quatre dans la Lozère[10] ;
- la « vallée supérieure et gorges du Tarn » (1 938 ha), couvrant 8 communes dont sept dans l'Aveyron et une dans la Lozère[11] ;
- le « versant ouest du causse Méjean » (775 ha), couvrant 3 communes du département[12] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 3] - [9] :
- les « gorges de la Jonte » (4 568 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Aveyron et six dans la Lozère[13] ;
- les « gorges du Tarn » (14 434 ha), couvrant 19 communes du département[14] ;
- la « vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), couvrant 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, une dans la Lozère et 25 dans le Tarn[15].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Le Rozier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,3 %), zones urbanisées (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Rozier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn et la Jonte. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011 et 2020[21] - [19].
Le Rozier est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[22]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5] - [22] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[24]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Histoire
C'est au confluent du Tarn et de la Jonte, à « Inter-Aquas » que des potiers gallo-romains s'établirent pour la fabrication de poteries (jusqu'à l'an II ou III après Jésus-Christ). En 1075, des moines de l'abbaye d'Aniane bâtirent l'église Saint-Sauveur. Tout autour ils y cultivaient des roses. Ce lieu prit alors le nom de « Campum Dictum Rosarium », ou « Campus Rosarium ». Appelé en occitan « Lou Rousio », (avec un « s »), il s'appelle aujourd'hui « Le Rozier » (avec un « z »).
Le , Le Rozier quitte la communauté de communes de la Vallée de la Jonte[27] pour rejoindre la communauté de communes de Millau Grands Causses[28] le .
Politique et administration
DĂ©mographie
Les habitants de la commune sont appelés les Roziéens ou Roziérains. En occitan, on dit Lo Rosiar (prononciation : lou Rousio).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2020, la commune comptait 132 habitants[Note 6], en diminution de 10,81 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 6,5 % | 15 % | 13,5 % |
DĂ©partement[I 5] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 74 personnes, parmi lesquelles on compte 71,6 % d'actifs (58,1 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 28,4 % d'inactifs[Note 7] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 36 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 83,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47 %[I 8].
Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 58,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 23,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Du monastère Saint-Sauveur du Rozier fondé au XIe siècle par des moines bénédictins, il ne reste que l'église, inscrite en 1960 au titre des monuments historiques[33].
Le Rozier se situe au confluent du Tarn et de la Jonte et au point de rencontre de leurs gorges.
Formation rocheuse ressemblant à un château en ruines, le rocher de Capluc domine le bourg du Rozier ainsi que les gorges du Tarn et celles de la Jonte.
- L'Ă©glise Saint-Sauveur.
- Les gorges du Tarn vues depuis Églazines (commune de Mostuéjouls). À gauche de la rivière, la commune du Rozier.
- Les gorges de la Jonte entre Le Rozier (Ă gauche) et Peyreleau (Ă droite).
- Le rocher de Capluc.
Personnalités liées à la commune
- Louis Armand (1854-1921), spéléologue, mort au Rozier.
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'or, au pairle ondé d'azur, accompagné en chef d'un calice gallo-romain, sigillé, de gueules et de deux roses feuillées et tigées du même aux flancs. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[6].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Rozier » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Rozier » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune duRozier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110105 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune duRozier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée supérieure et gorges du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « versant ouest du causse Méjean » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Tarn, amont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune du Rozier », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Rozier », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Arrêté n° SOUS-PREF-2016323-0003 du 18 novembre 2016 », sur Préfecture de la Lozère, p 370-371, (consulté le ).
- « Arrêté n° 2016-10-05-002 du 5 octobre 2016 », sur Préfecture de l'Aveyron, p 4-7, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église Saint-Sauveur », notice no PA00103909, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 avril 2020.