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Le Grand-Madieu

Le Grand-Madieu (Lo Grand Mas Diu en marchois, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Le Grand-Madieu
Le Grand-Madieu
Le Grand-Madieu vu de l'Orme.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Claude Mesnier
2020-2026
Code postal 16450
Code commune 16157
Démographie
Gentilé Madieusains
Population
municipale
156 hab. (2020 en diminution de 5,45 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 27″ nord, 0° 26′ 44″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 191 m
Superficie 8,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Grand-Madieu
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Le Grand-Madieu

    Ses habitants sont appelés depuis peu les Madieusains et les Madieusaines[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Le Grand-Madieu est une commune du nord-est de la Charente située à km au nord de Saint-Claud, le chef-lieu de son canton, et 39 km au nord-est d'Angoulême.

    Elle est aussi à km au sud de Champagne-Mouton, 12 km de Roumazières-Loubert, 13 km de Chasseneuil, 19 km de Confolens sa sous-préfecture, 22 km de Mansle et de Ruffec[2].

    Les routes principales desservant la commune et se croisant au bourg sont la D 28, route nord-sud de Saint-Claud à Champagne-Mouton, et la D 15, route de Valence aux Trois-Chênes (sur la D.951 en direction de Confolens), d'est en ouest. La D 951, route d'Angoulême à Confolens et Bellac et route Centre-Europe Atlantique, passe à km au sud-est de la commune[3].

    La gare la plus proche est celle de Roumazières-Loubert, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg du Grand-Madieu renferme la majorité de la population de la commune.

    Quelques hameaux : les Mandinaux, sur la route de Saint-Laurent-de-Céris ; la Vergne, Panissaud, dans le sud de la commune ; Chez Vallet et Chez Peyrat, dans l'ouest, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Plus particulièrement, le Bajocien (Dogger) occupe la partie sud de la commune. On trouve aussi le Jurassique inférieur (ou Lias), qui commence à l'extrémité sud-est. D'importants épandages d'altérites et dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central sous forme d'argile à silex et d'argile marbrée couvrent le plateau sur une grande partie du territoire communal[4] - [5] - [6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau assez élevé légèrement incliné vers le sud, d'une altitude moyenne de 160 m. Le point culminant est à une altitude de 191 m, situé au sud-est près de Panissaud. Le point le plus bas est à 124 m, situé en limite sud de la commune au bord de la Sonnette non loin du viaduc. Le bourg est à 173 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier du Grand-Madieu.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Sonnette et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    La commune est entièrement comprise dans le plateau qui sépare les bassins du Son-Sonnette et de l'Argentor, affluents de la Charente. La Sonnette lui sert de limite méridionale et la sépare de la commune de Saint-Claud[9].

    Un ruisseau intermittent, affluent de la Sonnette passant à Parzac, fait la limite nord-ouest et traverse un étang. On trouve aussi quelques fontaines : près du bourg à la Fontaine et au sud, la fontaine Moutard, qui crée un minuscule affluent de la Sonnette[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

    Urbanisme

    Typologie

    Le Grand-Madieu est une commune rurale[Note 1] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,6 %), forêts (27,2 %), terres arables (24,6 %), zones urbanisées (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Grand-Madieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Grand-Madieu.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 113 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 113 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Mansus Dei (sans date), le mas Dieu, signifiant « la maison de Dieu ». Mas vient du latin mansus, signifiant au Moyen Âge « exploitation rurale »[23], passée en occitan « habitation rurale »[24]. Le Grand-Madieu était le siège d'une importante commanderie templière[25].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois[26]. Elle se nomme Lo Grand Mas Diu en occitan[27].

    Histoire

    Au cours du Moyen Âge, Le Grand-Madieu se trouvait, avec Cellefrouin, sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[28].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la voie ferrée de Ruffec à Roumazières. La gare était située entre le bourg et Saint-Laurent-de-Céris[29].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Le Grand-Madieu constituait avec le Petit-Madieu, dans la commune de Roumazières-Loubert, et le Chambon, dans la commune de Saint-Maurice-des-Lions, une importante commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, d'origine templière, qui dès le XVIe siècle avait le titre de châtellenie. Au XVIe siècle, le commandeur du Grand-Madieu nommait un sénéchal et un procureur fiscal pour l'exercice de sa justice[30].

    De l'ancienne commanderie, il reste l'église Saint-Jean Baptiste. L'ancien logis, au nord-est de l'église, est en ruines. L'église paroissiale Saint-Jean Baptiste, bâtie à la fin du XIIe siècle, était l'ancienne église de la commanderie. Elle a été inscrite aux monuments historiques le [31].

    Politique et administration

    Le Grand Madieu en 1793, puis Masdieu-le-Grand en 1801 la commune est redevenue Le Grand-Madieu.

    La mairie, au bourg.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1987 2001 Raymond Duprat
    2001 2008 Michel Noble SE vice-président de la Communauté de Communes
    2008 2015 (décès[32]) Jean-Pierre Mathias SE
    nov. 2015 En cours Jean-Claude Mesnier
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [33]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 156 habitants[Note 2], en diminution de 5,45 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    420420427452432442462461450
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    421426383359390384373406403
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    406364286279254245208250250
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    205208188170149169174156172
    2020 - - - - - - - -
    156--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 15,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 92 hommes pour 76 femmes, soit un taux de 54,76 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    4,2
    14,1
    75-89 ans
    11,3
    28,2
    60-74 ans
    38,0
    18,8
    45-59 ans
    26,8
    16,5
    30-44 ans
    12,7
    8,2
    15-29 ans
    1,4
    14,1
    0-14 ans
    5,6
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Remarques

    La commune qui a perdu entre 1850 et 1950 plus de 65 % de sa population a maintenant réussi à se stabiliser vers 170 habitants.

    Économie

    C'est une commune agricole qui compte quelques artisans, un garagiste, un maçon et un coiffeur.

    Équipements, services et vie locale

    Tous les équipements et services se trouvent à Saint-Claud.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église et le monument aux morts.

    Patrimoine civil

    • Le viaduc ferroviaire, dit viaduc de la Sonnette n'a plus vu passer de trains depuis les années 1950. Ouvrage construit entre 1902 et 1905 sur l’ancienne ligne SNCF reliant Ruffec à Roumazières sur les communes du Grand-Madieu et de Saint-Claud où il enjambe la vallée de la Sonnette : sa portée est de 195,50 m et sa hauteur est de 26,30 m ; il possède 10 piles et 11 arcades. Il est inscrit monument historique depuis le [40].
    • Le Grand-Madieu a sous ses pieds un vaste réseau de souterrains qui datent de la guerre de Cent Ans.
    • Vue sur le village.
      Vue sur le village.
    • Le viaduc.
      Le viaduc.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique du Grand-Madieu » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale du Grand-Madieu », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Sonnette »
    10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques près de chez moi - commune du Grand-Madieu », sur Géorisques (consulté le )
    19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Grand-Madieu », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 439.
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne), p. 1523.
    25. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    28. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    29. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 193
    30. M. A. Rempnoulx-Duvignaud, « Notes sur la baronnie de Champagne-Mouton en Poitou (Charente) : Fiefs mouvants du château de Champagne », Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ , p. 72-73, lire en ligne sur Gallica
    31. « L'église paroissiale », notice no PA00104381, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. Le Grand-Madieu: décès du maire Jean-Pierre Mathias sur charentelibre.fr (consulté le 24 septembre).
    33. https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Grand-Madieu (16157) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    40. « Viaduc », notice no PA16000031, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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