Le FrĂȘche
Le FrĂȘche est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Le FrĂȘche | |||||
Le FrĂȘche, rue du bourg et Ă©glise Saint-Pierre | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Villeneuve en Armagnac Landais | ||||
Maire Mandat |
Nadine Bougue 2020-2026 |
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Code postal | 40190 | ||||
Code commune | 40100 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
409 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 56âČ 01âł nord, 0° 14âČ 22âł ouest | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 124 m |
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Superficie | 23,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mont-de-Marsan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Adour Armagnac | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du dĂ©partement du Gers. Elle est situĂ©e au cĆur de la rĂ©gion d'Armagnac. Climat Atlantique avec de fortes gelĂ©es l'hiver, grosses chaleurs en Ă©tĂ© et une pluviomĂ©trie de 1000 mm par an.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lannemaignan, Arthez-d'Armagnac, Labastide-d'Armagnac, Lacquy, Saint-Justin et Villeneuve-de-Marsan.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Roquefort », sur la commune de Roquefort, mise en service en 1988[8] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 921,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă 21 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Le FrĂȘche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (61,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,1 %), forĂȘts (33,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), cultures permanentes (2,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du FrĂȘche est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Midouze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[23] - [21].
Le FrĂȘche est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[26]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 35,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 231 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 67 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 29 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].
Toponymie
Le FrĂȘche est une francisation du gascon Lo HrĂšishe. « Lo » (article) + « F/HrĂšishe » (latin fraxinum) : le frĂȘne[30].
Histoire
InstallĂ© depuis 1256 Ă Beyries (Ă 1 km Ă l'ouest du bourg du FrĂȘche), le couvent de sainte Claire ou des clarisses est transfĂ©rĂ© Ă Mont-de-Marsan en 1275, Ă la suite d'un procĂšs-verbal signĂ© par Pierre de Betous, l'Ă©vĂȘque d'Aire[31] - [32].
Le , le roi François Ier Ă©pouse au FrĂȘche en secondes noces ĂlĂ©onore de Habsbourg[33] (1498-1558) sĆur de Charles Quint, veuve du roi Emmanuel Ier de Portugal et fille de Philippe Ier de Habsbourg et de la reine Jeanne Ire de Castille.
Description en 1640 ou 1641 par Pierre Duval : "[Le bourg] du Fraische est accompagnĂ© de son chasteau, situĂ© avantageusement comme ayant estĂ© une place de consideration du temps de la domination des Anglois en ces quartiers ; & il semble que le gros pavĂ© qui y reste, soit de leur ouvrage : non loin dâici est lâancienne Abbaye de Veries, appartenante aux Religieuses de sainte Claire du Mont de Marsan, & fondĂ©e avec de bons revenus par le Roy François premier, quand il y passa avec la Reine Eleonor sa seconde femme. LâEglise y est aujourdâhuy toute ruinĂ©e."[34]
Entre 1790 et 1794, Le FrĂšche (devenu Le FrĂȘche uniquement en 1962) absorbe la commune Ă©phĂ©mĂšre de GoussiĂšs[35].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 409 habitants[Note 7], en augmentation de 6,79 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Le FrĂȘche est situĂ©e en plein cĆur de la rĂ©gion d'Armagnac et produit Ă ce titre un armagnac AOC.
Lieux et monuments
Six Ă©glises
La commune du FrĂȘche a jadis comptĂ© six Ă©glises sur son territoire. Seule subsiste aujourd'hui, Ă un quart de lieue au sud du village, l'Ă©glise Saint-Vidou du FrĂȘche (Saint-Victor), qui Ă©tait placĂ©e au XVIe siĂšcle sous la dĂ©pendance de Saint-BarthĂ©lemy de Goussies[40]. Les autres lieux de culte ont soit disparu soit conservent quelques vestiges :
- Au centre du bourg, l'effondrement de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche n'a laissĂ© subsister que le mur de façade de la nef et le clocher. Le mur, fait de moellons avec des angles de briques et percĂ© d'une porte en arc brisĂ© sans dĂ©cor, peut ĂȘtre de la fin du Moyen Ăge. En revanche, bien que le clocher soit couronnĂ© de petits arcs de tradition prĂ©romane, il n'est pas antĂ©rieur au XVIIIe siĂšcle, comme l'indique la date de 1741 gravĂ©e sur la clĂ© de son arcade occidentale[40]
- à l'est du village, l'église Saint-Laurent semble avoir été détruite au cours de la Révolution française. Il n'en subsiste plus de trace[40]
- A Beyris, distant de quelques centaines de mĂštres de la prĂ©cĂ©dente Ă©glise, un couvent de Clarisses (ordre de religieuses crĂ©Ă© en 1212 par Claire d'Assise Ă la demande de François d'Assise) est fondĂ© avant 1256 sous le mĂȘme vocable de Saint-Laurent par Raymond, Ă©vĂȘque d'Aire. Sans doute abandonnĂ© pendant la Guerre de Cent Ans, ce couvent est rĂ©occupĂ© aprĂšs la fin des hostilitĂ©s. Le 8 juillet 1530, le mariage de François Ier et d'ĂlĂ©onore d'Autriche y est cĂ©lĂ©brĂ©[41]. L'Ă©glise et les bĂątiments conventuels sont pillĂ©s par les Huguenots au XVIe siĂšcle, et il n'en subsiste plus qu'une construction de briques Ă un Ă©tage, dont les murs en grande partie ruinĂ©s sont percĂ©s de fenĂȘtres pouvant remonter Ă la fin du XVe siĂšcle. On n'y voit plus aucun Ă©lĂ©ment Ă©voquant une destination proprement religieuse[40]
- Au nord, une Ă©glise Saint-Etienne est bĂątie sur un site sur lequel des fouilles sommaires ont retrouvĂ©, en 1892, des mosaĂŻques d'une villa antique datĂ©es du IVe siĂšcle. L'Ă©glise comportait une nef et un collatĂ©ral respectivement de 6 m et de 3 m de largeur. Elle ne prĂ©sente plus aujourd'hui que quelques murs faits de petits moellons et de tegulĂŠ antiques, et percĂ©s de trois fenĂȘtres Ă©troites[40]
- ĂlevĂ©e sur le rebord d'un plateau dominant le Midou, Saint-BarthĂ©lemy de Goussies, mentionnĂ©e dĂšs 1242, a disparu au dĂ©but du XIXe siĂšcle[40]
- Vestiges de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche.
- Ăglise Saint-Vidou du FrĂȘche.
Maisons nobles
- ChĂąteau Lafitte ;
- ChĂąteau de Saint-Vidou ;
- Maison forte de Tampouy. Le 8 juillet 1530, des gens de la suite de François Ier sĂ©journent dans cette maison forte Ă l'occasion du deuxiĂšme mariage du roi, cĂ©lĂ©brĂ© au couvent des Clarisses, en la paroisse du FrĂȘche, avec ElĂ©onore d'Autriche, sĆur de Charles Quint[41].
- ChĂąteau Saint-Vidou.
- Maison forte de Tampouy.
BĂątiments administratifs et divers
- Mairie du FrĂȘche
- Bureau de poste du FrĂȘche
- Lavoir construit en 1937.
Jumelages
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Domaine de BoingnĂšres - Folle Blanche, Colombard et Ugni Blanc
- Communauté de communes du Pays de Villeneuve-de-Marsan en Armagnac landais
- Le FrĂȘche tourisme et Armagnac
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Roquefort - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le FrĂȘche et Roquefort », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Roquefort - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavitĂ©s souterraines localisĂ©es sur la commune du FrĂȘche », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Julien Lesbats, Toponymie des Landes, impr. Castay, Aire-sur-l'Adour, 1978, p.61.
- Voir le couvent des Clarisses de Mont-de-Marsan
- Mont-de-Marsan : ville de religions Mairie de Mont-de-Marsan, Service Communication, Pascal Larrazet
- Ils sont venus Ă Mont-de-Marsan, Office de Tourisme
- Description de l'Evesché d'Aire en Gascogne, par P.Duval ; 1651
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : GoussiĂ©s », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Le FrĂšche, Les six anciennes Ă©glises, panneau de prĂ©sentation rĂ©alisĂ© par Claire Desqueyroux, architecte pour les Amis des Ă©glises anciennes du dĂ©partement des Landes, consultĂ© sur le site de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche, le 21 dĂ©cembre 2021
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Les Landes en 101 dates, La CrÚche, La Geste, , 188 p. (ISBN 979-10-353-0653-3), p. 66