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Le FrĂȘche

Le FrĂȘche est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Le FrĂȘche
Le FrĂȘche
Le FrĂȘche, rue du bourg et Ă©glise Saint-Pierre
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Villeneuve en Armagnac Landais
Maire
Mandat
Nadine Bougue
2020-2026
Code postal 40190
Code commune 40100
DĂ©mographie
Population
municipale
409 hab. (2020 en augmentation de 6,79 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 17 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 56â€Č 01″ nord, 0° 14â€Č 22″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 124 m
Superficie 23,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Adour Armagnac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Le FrĂȘche
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Le FrĂȘche

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du dĂ©partement du Gers. Elle est situĂ©e au cƓur de la rĂ©gion d'Armagnac. Climat Atlantique avec de fortes gelĂ©es l'hiver, grosses chaleurs en Ă©tĂ© et une pluviomĂ©trie de 1000 mm par an.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Lannemaignan, Arthez-d'Armagnac, Labastide-d'Armagnac, Lacquy, Saint-Justin et Villeneuve-de-Marsan.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 968 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Roquefort », sur la commune de Roquefort, mise en service en 1988[8] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 921,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  21 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Le FrĂȘche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (61,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,1 %), forĂȘts (33,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), cultures permanentes (2,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du FrĂȘche est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Midouze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[23] - [21].

    Le FrĂȘche est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[26]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[27].

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux du FrĂȘche.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 35,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 231 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 67 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 29 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].

    Toponymie

    Le FrĂȘche est une francisation du gascon Lo HrĂšishe. « Lo » (article) + « F/HrĂšishe » (latin fraxinum) : le frĂȘne[30].

    Histoire

    InstallĂ© depuis 1256 Ă  Beyries (Ă  1 km Ă  l'ouest du bourg du FrĂȘche), le couvent de sainte Claire ou des clarisses est transfĂ©rĂ© Ă  Mont-de-Marsan en 1275, Ă  la suite d'un procĂšs-verbal signĂ© par Pierre de Betous, l'Ă©vĂȘque d'Aire[31] - [32].

    Le , le roi François Ier Ă©pouse au FrĂȘche en secondes noces ÉlĂ©onore de Habsbourg[33] (1498-1558) sƓur de Charles Quint, veuve du roi Emmanuel Ier de Portugal et fille de Philippe Ier de Habsbourg et de la reine Jeanne Ire de Castille.

    Description en 1640 ou 1641 par Pierre Duval : "[Le bourg] du Fraische est accompagnĂ© de son chasteau, situĂ© avantageusement comme ayant estĂ© une place de consideration du temps de la domination des Anglois en ces quartiers ; & il semble que le gros pavĂ© qui y reste, soit de leur ouvrage : non loin d’ici est l’ancienne Abbaye de Veries, appartenante aux Religieuses de sainte Claire du Mont de Marsan, & fondĂ©e avec de bons revenus par le Roy François premier, quand il y passa avec la Reine Eleonor sa seconde femme. L’Eglise y est aujourd’huy toute ruinĂ©e."[34]

    Entre 1790 et 1794, Le FrĂšche (devenu Le FrĂȘche uniquement en 1962) absorbe la commune Ă©phĂ©mĂšre de GoussiĂšs[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2014 Georges Dumon Retraité
    2014 2020 Maryvonne Florence PS Retraitée
    ConseillÚre générale du canton de Villeneuve-de-Marsan (2008-2015)
    2020 En cours Nadine Bougue
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 409 habitants[Note 7], en augmentation de 6,79 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6009928949239719449299441 004
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0641 0561 052947992990962909917
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    880863784693694699661610646
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    550529472438392386392394382
    2018 2020 - - - - - - -
    409409-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le FrĂȘche est situĂ©e en plein cƓur de la rĂ©gion d'Armagnac et produit Ă  ce titre un armagnac AOC.

    Lieux et monuments

    Six Ă©glises

    La commune du FrĂȘche a jadis comptĂ© six Ă©glises sur son territoire. Seule subsiste aujourd'hui, Ă  un quart de lieue au sud du village, l'Ă©glise Saint-Vidou du FrĂȘche (Saint-Victor), qui Ă©tait placĂ©e au XVIe siĂšcle sous la dĂ©pendance de Saint-BarthĂ©lemy de Goussies[40]. Les autres lieux de culte ont soit disparu soit conservent quelques vestiges :

    • Au centre du bourg, l'effondrement de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche n'a laissĂ© subsister que le mur de façade de la nef et le clocher. Le mur, fait de moellons avec des angles de briques et percĂ© d'une porte en arc brisĂ© sans dĂ©cor, peut ĂȘtre de la fin du Moyen Âge. En revanche, bien que le clocher soit couronnĂ© de petits arcs de tradition prĂ©romane, il n'est pas antĂ©rieur au XVIIIe siĂšcle, comme l'indique la date de 1741 gravĂ©e sur la clĂ© de son arcade occidentale[40]
    • À l'est du village, l'Ă©glise Saint-Laurent semble avoir Ă©tĂ© dĂ©truite au cours de la RĂ©volution française. Il n'en subsiste plus de trace[40]
    • A Beyris, distant de quelques centaines de mĂštres de la prĂ©cĂ©dente Ă©glise, un couvent de Clarisses (ordre de religieuses crĂ©Ă© en 1212 par Claire d'Assise Ă  la demande de François d'Assise) est fondĂ© avant 1256 sous le mĂȘme vocable de Saint-Laurent par Raymond, Ă©vĂȘque d'Aire. Sans doute abandonnĂ© pendant la Guerre de Cent Ans, ce couvent est rĂ©occupĂ© aprĂšs la fin des hostilitĂ©s. Le 8 juillet 1530, le mariage de François Ier et d'ÉlĂ©onore d'Autriche y est cĂ©lĂ©brĂ©[41]. L'Ă©glise et les bĂątiments conventuels sont pillĂ©s par les Huguenots au XVIe siĂšcle, et il n'en subsiste plus qu'une construction de briques Ă  un Ă©tage, dont les murs en grande partie ruinĂ©s sont percĂ©s de fenĂȘtres pouvant remonter Ă  la fin du XVe siĂšcle. On n'y voit plus aucun Ă©lĂ©ment Ă©voquant une destination proprement religieuse[40]
    • Au nord, une Ă©glise Saint-Etienne est bĂątie sur un site sur lequel des fouilles sommaires ont retrouvĂ©, en 1892, des mosaĂŻques d'une villa antique datĂ©es du IVe siĂšcle. L'Ă©glise comportait une nef et un collatĂ©ral respectivement de 6 m et de 3 m de largeur. Elle ne prĂ©sente plus aujourd'hui que quelques murs faits de petits moellons et de tegulĂŠ antiques, et percĂ©s de trois fenĂȘtres Ă©troites[40]
    • ÉlevĂ©e sur le rebord d'un plateau dominant le Midou, Saint-BarthĂ©lemy de Goussies, mentionnĂ©e dĂšs 1242, a disparu au dĂ©but du XIXe siĂšcle[40]
    • Vestiges de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche.
      Vestiges de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche.
    • Église Saint-Vidou du FrĂȘche.
      Église Saint-Vidou du FrĂȘche.

    Maisons nobles

    • ChĂąteau Saint-Vidou.
      ChĂąteau Saint-Vidou.
    • Maison forte de Tampouy.
      Maison forte de Tampouy.

    BĂątiments administratifs et divers

    • Mairie du FrĂȘche
      Mairie du FrĂȘche
    • Bureau de poste du FrĂȘche
      Bureau de poste du FrĂȘche
    • Lavoir construit en 1937.
      Lavoir construit en 1937.

    Jumelages

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roquefort - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Le FrĂȘche et Roquefort », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Roquefort - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Le FrĂȘche et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prĂšs de chez moi - commune du FrĂȘche », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Liste des cavitĂ©s souterraines localisĂ©es sur la commune du FrĂȘche », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consultĂ© le )
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    30. Julien Lesbats, Toponymie des Landes, impr. Castay, Aire-sur-l'Adour, 1978, p.61.
    31. Voir le couvent des Clarisses de Mont-de-Marsan
    32. Mont-de-Marsan : ville de religions Mairie de Mont-de-Marsan, Service Communication, Pascal Larrazet
    33. Ils sont venus Ă  Mont-de-Marsan, Office de Tourisme
    34. Description de l'Evesché d'Aire en Gascogne, par P.Duval ; 1651
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : GoussiĂ©s », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Le FrĂšche, Les six anciennes Ă©glises, panneau de prĂ©sentation rĂ©alisĂ© par Claire Desqueyroux, architecte pour les Amis des Ă©glises anciennes du dĂ©partement des Landes, consultĂ© sur le site de l'Ă©glise Saint-Pierre du FrĂȘche, le 21 dĂ©cembre 2021
    41. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Les Landes en 101 dates, La CrÚche, La Geste, , 188 p. (ISBN 979-10-353-0653-3), p. 66
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