Largentière
Largentière (prononcé [laʁ.ʒɑ̃.ˈt̪jɛʁ(ə)]) est une commune française, située dans le département de l'Ardèche et une des deux sous-préfectures du département. Elle se nomme L'Argentèira en occitan.
Largentière | |||||
La ville de Largentière. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche (sous-préfecture) |
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Arrondissement | Largentière (chef-lieu) |
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Intercommunalité | Communauté de communes Val de Ligne (siège) |
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Maire Mandat |
Jean-Roger Durand 2020-2026 |
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Code postal | 07110 | ||||
Code commune | 07132 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Largentiérois, Largentiéreines | ||||
Population municipale |
1 573 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 218 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 32′ 37″ nord, 4° 17′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 147 m Max. 420 m |
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Superficie | 7,22 km2 | ||||
Unité urbaine | Aubenas | ||||
Aire d'attraction | Aubenas (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vallon-Pont-d'Arc | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | largentiere.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Largentiérois. C'est la deuxième plus petite sous-préfecture de France après Castellane dans les Alpes-de-Haute-Provence. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aubenas, l'agglomération la plus peuplée du département.
Géographie
Situation et description
Largentière, sous-préfecture de l'Ardèche, est située dans la vallée de la Ligne, à 10 kilomètres environ au sud d'Aubenas et à 85 kilomètres environ au sud-ouest de Valence.
La ville héberge également le siège de la communauté de communes Val de Ligne.
Communes limitrophes
Largentière est limitrophe de six communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche, et réparties géographiquement de la manière suivante :
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversée par la Ligne, un affluent de l'Ardèche et donc un sous-affluent du Rhône.
Voies de communication
Bien que sous-préfecture de l'Ardèche, Largentière est située à l'écart des grands axes routières et ne possèdent pas de gare ferroviaire. La commune est cependant traversée par le RD5 qui la relie à la RD104 (ancienne route nationale 104 qui reliait Aubenas à Alès, par Privas).
Urbanisme
Typologie
Largentière est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aubenas, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[5] et 41 440 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubenas, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,1 %), forêts (34 %), zones urbanisées (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), prairies (4,9 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Risques sismiques
L'ensemble du territoire de la commune de Largentière est situé en zone de sismicité no 2 dite faible (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise, mais cependant en limite de la zone de sismicité no 3, dite modérée, située plus à l'est et correspondant la vallée du Rhône[12].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 2 | Sismicité faible | accélération = 1,1 m/s2 |
Toponymie
Il s'agit d'un toponyme, variante d'Argentière, avec le sens de mine d'argent (ou de minerai argentifère).
La commune s'appelle L'Argentèira en occitan.
Histoire
Initialement nommée Segualeriæ (Ségualières) jusqu'au XVIIIe siècle, la cité doit son nom actuel à des mines de plomb argentifère qui furent au centre de conflits incessants entre les comtes de Toulouse et les évêques de Viviers qui les exploitèrent du Xe au XVe siècle.
Le passage des troupes de Simon de Montfort est attesté à Largentière en .
Ancienne propriété des évêques de Viviers, barons de Largentière, elle garde de ce passé un patrimoine architectural remarquable : la cité médiévale, le château (XIIe-XVe siècle), l'église gothique Notre-Dame-des-Pommiers du XIIIe siècle ; sur la chaire en pierre est gravée une inscription en occitan datée de 1490 : « hieu Pierre Guarnier de Colens ay donat aquesta chadiera al convent ».
En 1562, les protestants de la famille de Montbrison à Versas saccagent le cloître des Récollets.
Joachim de Beauvoir du Roure, seigneur de Brison, qui descend de cette famille, est le chef des huguenots du Vivarais et participe à de nombreux conflits dans la région.
En 1852, les châtaigneraies occupent 40 % du territoire du canton de Largentière (et 27 % sur l'ensemble des Cévennes). Cet arbre est peut-être la raison pour laquelle les vallées hautes des Cévennes, où il pousse plus en abondance, se sont peuplées plus vite que les vallées basses aux XVIIe et XVIIIe siècles[14].
Au XXe siècle, Largentière est une petite ville industrielle avec l'exploitation de plomb argentifère par la société Peñarroya qui se prolonge, avec des difficultés, jusqu'en 1982. Aujourd'hui, elle est surtout, en dehors de la saison estivale, très touristique, un centre administratif grâce à sa fonction de sous-préfecture de l'Ardèche et éducatif (lycée hôtelier de Largentière[15], collège public de La Ségalière[16], collège privé Le Portalet Notre-Dame[17]). Son tribunal est aujourd'hui fermé mais le bâtiment accueille des services administratifs.
Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, en 1962, de nombreux harkis et leur famille, originaires de la région de Nemours, sont rapatriés par la demi-brigade de fusiliers marins, qui aide à leur installation sur le territoire de la commune. C'est ainsi qu'est créée la cité de « Neuilly-Nemours », ainsi qu'un hameau de forestage[18].
Jusqu'en 1982, la ville était desservie par la voie ferrée de la PLM puis de la SNCF venant de Saint-Sernin. L'ancienne gare a été démolie et son site est maintenant occupé par la gendarmerie et la caserne des pompiers.
Le , la commune de Tauriers est rattachée à Largentière, avant d'être à nouveau détachée le .
Héraldique
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Les armes de Largentière se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2020, la commune comptait 1 573 habitants[Note 3], en diminution de 9,28 % par rapport à 2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
L'augmentation de la population entre 1962 et 1968 est due, d'une part à l'arrivée de nombreux harkis pour qui un camp d'accueil avait été construit, d'autre part par l'arrivée d'ouvriers mineurs venus du nord de la France ou des pays du Maghreb employés dans la mine.
À la suite de la fermeture de la mine elle subit une perte de démographie importante.
En 1989 Tauriers se sépare de Largentière et redevient une commune indépendante.
Manifestations culturelles et festivités
- Fêtes médiévales : chaque été, en juillet et août, ont lieu à Largentière d'importantes « Fêtes médiévales », telles que Le Temps des Chevaliers, avec des animations en costume médiéval et spectacles, ou la fête Argentaria qui a lieu tous les deux ans.
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Médias
La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :
- Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
- Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Aubenas, Privas et la Vallée du Rhône.
Cultes
La communauté catholique et l'église (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse de Saint Joseph en Pays de Ligne, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[29].
Économie
La société Peñarroya exploite la mine jusqu'en 1982 dont sont extraits du plomb, du zinc, de l'argent[30]. Cette mine avait précédemment appartenu à la famille Rothschild[31]. La fermeture de la mine et la crise du textile conduisent à un déclin de l'activité industrielle.
Les laboratoires Omega Pharma, un important groupe pharmaceutique d'origine belge mais acquis par Perrigo en , y ont installé l'un de leurs quatre sites de production français dans un ancien moulinage de Palluat, entièrement restauré, situé le long de la rivière Ligne. C'est là qu'est produite la Jouvence de l'Abbé Soury[32].
Largentière est aussi le siège de l'entreprise familiale Gineste-Voyages[33] (autocars, organisation de voyages).
- Friche industrielle, l'entrée de la mine.
- Les laboratoires Omega Pharma, un exemple de reconversion d'un ancien moulinage.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Largentière de la fin du XIIe au XVIIIe siècle Inscrit MH (1927)[34].
- Le chateau des Tauriers construit au XIIe siècle Inscrit MH (1926)[35].
- Le château de Fanjau : construit au début du XIIIe siècle par le comte de Toulouse Raymond VI sur des terres appartenant à l'évêque de Viviers qui s'en plaint. En 1210, l'évêque donne le château en fief au comte qui jure fidélité et s'engage à protéger l'évêché de Viviers et ses biens[36].
- La cité médiévale, remparts (depuis le XIIe siècle) et porte des Récollets. Des cinq portes donnant accès à la ville, seule la porte des Récollets demeure en usage. Elle prit ce nom à partir du XVIIe siècle, anciennement dite du Mazeau (c'est-à-dire : de l'abattoir, masèl en occitan). Elle disposait jadis d'éléments défensifs : pont-levis et vantaux. La tourelle d'angle est de date récente.
- L'église Notre-Dame-des-Pommiers (XIIIe siècle), de style gothique[37].
- La Maison à l'étoile : au XIIIe siècle Largentière abritait une colonie juive. En 1284, à Villeneuve-de-Berg, le juif Jacobi de Lunel, habitant de Largentière, accueillait dans sa maison les acteurs d'un accord passé entre les abbés de Cruas et de Mazan. La façade a subi diverses modifications au cours des siècles. La clé de l'arcature supérieure présente deux triangles équilatéraux entrecroisés, formant l'étoile de David.
- Le Musée de la soie, route de Valgorge - Les Ateliers du Moulinet présente la filière de la soie en Ardèche au XIXe siècle, depuis l'élevage du ver à soie au moulinage du fil.
- Maison Bastide Classé MH (1928)[38].
- Palais de justice de Largentière.
- Église Notre-Dame-des-Pommiers.
- Panoramique : entrée de la ville par la porte des Récollets, rivière la Ligne, château, toits.
- Dessin de Largentière fait le .
Personnalités liées à la commune
- Jean-Louis Giraud-Soulavie (1752-1813), précurseur de la géologie et historien, auteur de l'Histoire naturelle de la France méridionale, en 8 volumes (ouvrage inachevé), et de Mémoires historiques et politiques du règne de Louis XVI.
- Joseph-Xavier de Jullien de Vinezac (1749-1814), vicomte puis comte de Vinezac, Chevalier de Saint Lazare, lieutenant d'infanterie, anti-révolutionnaire.
- Albin Mazon (1828-1908), alias « le docteur Francus », historien du Vivarais, auteur d'une œuvre considérable, largement rééditée. On lui doit notamment une Histoire de Largentière (1904).
- Antoine Marie Auguste Aymès, (1836-1910), officier de marine français, explorateur de l'Afrique occidentale.
- Charles Rouvier (1849-1915), diplomate, résident général de France en Tunisie, né à Largentière.
- Joseph-Gaston Pouquery de Boisserin (1852-1920), homme politique, député de Vaucluse, et maire d'Avignon, né à Largentière.
- Marius Moutet, (1876-1968), homme politique, député de Lyon de 1914 à 1928, député de la Drôme de 1929 à 1942, ministre des Colonies du au , et du au .
- Édouard Froment (1884-1973), homme politique, député, opposant au maréchal Pétain et président du Conseil général.
- Louis Gabriel Suchet, duc d'Albufera, (1770-1826), maréchal d'Empire, pair de France, militaire français de la Révolution et de l'Empire, dont le cœur repose dans l'église Notre-Dame-des-Pommiers.
- Alain Morvan (né en 1944), ancien recteur de l'académie de Lyon, y est né.
- Henri Rivier (1870-1950), co-inventeur du papier d'Arménie.
- Michel Teston, (né en 1944), écrivain et poète français, auteur de Lautréamont, névrose et christianisme dans l'œuvre du poète.
- Jérôme Tisserand né en 1948, artiste peintre, (dictionnaire Bénézit). Conseiller culturel à la mairie de Paris et directeur des affaires culturelles d'Évreux (Eure). Chevalier de la Légion d'honneur.
- Louis Vielfaure, député de la Troisième République, ancien maire.
- Michel Sima (1912-1987), sculpteur photographe, rescapé de la Shoah.
Voir aussi
Bibliographie
- Albin Mazon, Histoire de Largentière, , 592 p. (lire en ligne).
- J. G. Michaud, « Les gisements de plomb-zinc des Malines et de Largentière », Chronique Recherche Minière, BRGM, no 454, , p. 36-64. 17 illustrations.
- Robert Saint-Jean, « Les origines du consulat en Vivarais méridional au Moyen Âge », Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, vol. 77, no 74, , p. 353-373 (lire en ligne).
- Dominique Ruiz, « Le jardin du Moulinet à Largentière : dans cahier consacré aux Jardins en Ardèche... espaces paysagers témoins de leur temps », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 108, .
- Nicolas Minvielle Larousse, « Largentière, une forteresse minière : dans cahier consacré aux châteaux et maisons fortes au Moyen Âge », Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, Privas, no 123, .
- collectif, cahier n° 145 consacré à Largentière, une ville « Histoire », Privas, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, .
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Office de tourisme de Largentière
- Patrimoine d'Ardèche : Largentière
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Direction départementale de l'équipement (DDE), « Carte en relief de l'Ardèche avec limites communales », sur http://www.ardeche.equipement.gouv.fr, (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Aubenas », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Pierre Bozon, « La population de la Cévenne vivaroise », Revue de géographie alpine, t. 46, no 4, , p. 683-715 (DOI 10.3406/rga.1958.1848, lire en ligne).
- Site du lycée hôtelier de Largentière.
- Site du collège public de La Ségalière.
- Site du collège privé Le Portalet Notre-Dame.
- Abd-el-Aziz Méliani, Le drame des harkis, Éditions Perrin, (ISBN 9782262018474), p. 115.
- Assemblée nationale : Jean, Xavier, Victor, Charles de Fages de Latour de Rochemure
- Assemblée nationale : Louis, Clovis Vernet
- Assemblée nationale : Ernest, Henri, Bernard Blachère
- Assemblée nationale : Louis, Camille Vielfaure
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- page de présentation de la paroisse Saint Joseph en Pays de Ligne
- Images de l'exploitation de la mine
- JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, DÉBATS PARLEMENTAIRES, ASSEMBLÉE NATIONALE, 1re Séance du vendredi 11 juin 1982.
- « Nos sites », sur omega-pharma.fr (consulté le ).
- Site de Gineste-Voyages.
- « Château (ancien) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Tauriers », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 69.
- « Église Notre-Dame-des-Pommiers », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison Bastide (annexe de la mairie) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.