Lanhélin
LanhĂ©lin [lÉÌ.elÉÌ] est une ancienne commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en RĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 993 habitants[Note 1].
Lanhélin | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bretagne Romantique | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Erick Masson 2020-2026 |
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Code postal | 35720 | ||||
Code commune | 35147 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lanhélinois | ||||
Population | 993 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 154 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 27âČ 31âł nord, 1° 49âČ 41âł ouest | ||||
Altitude | Min. 44 m Max. 88 m |
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Superficie | 6,43 km2 | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Combourg | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Mesnil-Roc'h | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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GĂ©ographie
Situation
Le territoire de LanhĂ©lin sâĂ©tend sur 643 hectares et se dĂ©veloppe en un paysage vallonnĂ©[1].
Climat
La commune est sous l'influence d'un climat de type océanique (tempéré maritime), avec en conséquence : des températures modérées dues au rÎle de régulateur thermique que joue l'océan (températures minimales moyennes supérieures à 5 °C, températures maximales moyennes annuelles supérieures à 19 °C avec des températures moyennes annuelles supérieures à 11,5 °C) ; des précipitations annuelles moyennes, supérieures à 1 000 mm, dues à la limite de l'influence marine[1].
Cadre géologique
Géomorphologiquement, Lanhélin est localisée dans le domaine nord armoricain (domaine qui se suit depuis la baie de Morlaix dans le Trégor jusqu'au Cotentin et se poursuit sous le bassin parisien), une des trois unités majeures du Massif armoricain, vieux socle granitique qui est le résultat de trois chaßnes de montagne successives dont il porte les traces. Le site géologique de Lanhélin se situe plus précisément sur un massif granitique cadomien, pluton limité au sud et au nord par un bassin sédimentaire essentiellement briovérien qui forme actuellement une bonne partie du socle de la Bretagne septentrionale dans les bas plateaux du Léon, du Trégor, du PenthiÚvre et de la Mancellia[3]. Ce massif de Lanhélin-Bonnemain fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[4] - [5], qui est le témoin le plus occidental des plutons mancelliens[6]. Le territoire lanhélois est ainsi constitué d'un plateau vallonné de 80 mÚtres d'altitude moyenne, correspondant au massif granitique occidental (allongé est-ouest[7], il est entrecoupé d'alluvions tourbeuses qui occupent les fonds de vallée) qui représente un des apex affleurants du batholite mancellien, et au Nord et au Sud, d'un plateau de 60 mÚtres d'altitude moyenne, correspondant à ce bassin sédimentaire caractérisé par de basses collines et des reliefs peu accentués[3] - [1].
L'histoire gĂ©ologique de la rĂ©gion est marquĂ©e par la chaĂźne dite « cadomienne » (du nom latin de Caen, Cadomus) mise en place entre 620 et 540 millions d'annĂ©es au Nord de la Bretagne qui appartenait alors Ă une marge continentale active. Cette chaĂźne montagneuse, qui devait culminer Ă environ 4 000 m, rĂ©sulte d'une collision continentale suivie d'une pĂ©riode de subduction ocĂ©anique[8]. La fin de l'histoire cadomienne est marquĂ©e par le dĂ©pĂŽt d'une Ă©paisse sĂ©rie sĂ©dimentaire consĂ©quence de l'Ă©rosion rapide de cette chaĂźne cadomienne. Au PrĂ©cambrien supĂ©rieur, les mĂ©tasĂ©diments briovĂ©riens environnants (grĂšs, schistes, micaschistes) sont fortement dĂ©formĂ©s, plissĂ©s et mĂ©tamorphisĂ©s par le cycle cadomien. Pour clĂŽturer le tout, se mettent en place des granites qui scellent Ă 540 millions d'annĂ©es la fin de la dĂ©formation du domaine nord-armoricain[9]. Ces massifs granitiques (batholite cĂŽtier nord-trĂ©gorrois, granite de Saint-Brieuc, immense batholite mancellien formĂ© de nombreux plutons granitiques) sont produits par le surĂ©paississement crustal[10]. Ces intrusions vers 540 millions d'annĂ©es, de magmas granitiques issus du vaste batholite mancellien, dĂ©veloppent un mĂ©tamorphisme de contact : le refroidissement des masses granitiques Ă des tempĂ©ratures de l'ordre de 700 °C et Ă des profondeurs de l'ordre de 4 km dans l'Ă©corce terrestre, font que les schistes briovĂ©riens, tendres et friables, sont transformĂ©s par « cuisson », variable selon la distance du massif granitique : intense et forte Ă proximitĂ©, cette cuisson donne les cornĂ©ennes, roches dures et compactes ; moindre et attĂ©nuĂ©e Ă quelques kilomĂštres du massif, elle donne des schistes tachetĂ©s (d'oĂč une double aurĂ©ole de cornĂ©ennes et de schistes tachetĂ©s dans le bassin sĂ©dimentaire)[11]. Ce thermomĂ©tamorphisme dĂ©veloppĂ© par l'intrusion du granite a ainsi provoquĂ© la cristallisation de minĂ©raux nouveaux (biotite, andalousite), soulignant l'ancien litage sĂ©dimentaire. Ces deux roches magmatique (granite) et mĂ©tamorphique (cornĂ©enne, schiste tachetĂ©) affleurent Ă la suite de longs processus d'Ă©rosion qui ont aplani les reliefs anciens[12] - [13]. Le vaste dĂ©veloppement des roches thermomĂ©tamorphiques montre que ce granite prĂ©sente un « toit » plus ou moins parallĂšle Ă la surface topographique actuelle. Il est d'ailleurs probable que le massif de BĂ©cherel et de DingĂ© se relient en profondeur Ă celui de LanhĂ©lin[14].
L'arĂ©nisation[15] de ce granite a vraisemblablement dĂ©butĂ© au PliocĂšne, sous l'action de climats tempĂ©rĂ©s chauds et humides, et se poursuit encore actuellement mais sous forme attĂ©nuĂ©e. L'altĂ©ration a Ă©galement transformĂ© les roches mĂ©tasĂ©dimentaires en formations argilo-sableuses. Enfin, au Plio-quaternaire, les roches du substratum sont localement recouvertes par des dĂ©pĂŽts rĂ©cents issus de lâaction du vent (lĆss, limons sur les coteaux pouvant atteindre une Ă©paisseurs de 8 m par endroits)[1], de mouvements et transports sur les versants (colluvions), et des cours d'eau (alluvions)[16].
PĂ©trographiquement, le granite de LanhĂ©lin reprĂ©sente une granodiorite quartzique Ă texture isogranulaire, au grain moyen (minĂ©raux de quartz, feldspaths et mica noir de 2 Ă 3 millimĂštres) ; le gĂ©ologue y observe quelques petites enclaves qui fournissent de bons arguments concernant la pĂ©trogenĂšse des magmas granitiques[17]. C'est le microcline perthitique qui donne la teinte bleue accusĂ©e de cette roche, dĂ©terminĂ©e par les impuretĂ©s dans ce feldspath liĂ©es Ă la prĂ©sence de plomb[18]. La rĂ©gion est traversĂ©e par un champ filonien de dolĂ©rites qui ont empruntĂ© quelques fractures et forment un vĂ©ritable rĂ©seau de drainage en conduisant les eaux souterraines vers le nord et en les restituant Ă travers un grand nombre de sources. L'altĂ©ration de ces filons puissants « donne un aspect de pain d'Ă©pice Ă la roche ; le cĆur de certaines « boules rĂ©siduelles » est peu altĂ©rĂ© et la dolĂ©rite apparaĂźt alors avec sa teinte vert-bleutĂ© »[13].
Ăconomiquement, l'exploitation de la principale roche locale a donnĂ© lieu Ă l'existence de nombreuses carriĂšres qui extraient ce granite Ă la renommĂ©e internationale, rĂ©putĂ© pour sa sombre tonalitĂ© bleutĂ©e, renforcĂ©e par l'excellence du poli. Les utilisations de ce granite, anciennes, prolongĂ©es et toujours intenses, sont principalement : l'art funĂ©raire (tombe, monument aux morts), pierre de taille pour Ă©difices religieux, l'habitat, les ouvrages dĂ©fensifs, les travaux publics (viaduc routier de Dinan[19], quais), les amĂ©nagements urbains (fontaines, dallages, bordures et entourages d'arbres, OpĂ©ra BastilleâŠ), les monuments commĂ©moratifs[20], etc.
Touristiquement, les principaux aspects de la gĂ©ologie du Nord de Rennes peuvent ĂȘtre abordĂ©s au cours de promenades gĂ©ologiques qui permettent d'observer sur un espace rĂ©duit du territoire bĂ©cherellais, des roches d'Ăąge et de nature diffĂ©rents, tĂ©moins de phĂ©nomĂšnes gĂ©ologiques d'ampleur (magmatisme, tectogenĂšse, mĂ©tamorphisme, Ă©rosionâŠ)[13].
Toponymie
Attestations anciennes[21].
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Le nom de la localité est mentionné sous les formes Lanhelon et Lanhelen au XIIe siÚcle, Lanhelen en 1513[22].
Lanhélin est un nom d'origine bretonne, lann, « ermitage », et de l'hagionyme Helen, en référence à Sainte HélÚne[23].
Le gentilé est Lanhélinois.
Histoire
La paroisse de LanhĂ©lin faisait partie du doyennĂ© de Dol relevant de l'Ă©vĂȘchĂ© de Dol et Ă©tait sous le vocable de saint AndrĂ©.
AntiquitĂ© et Moyen Ăge
Quelques vestiges de l'époque gallo-romaine ont été identifiés prÚs de Lanhélin.
Une statue de pierre dĂ©nommĂ©e la ChimĂšre a Ă©tĂ© retrouvĂ©e dans un champ Ă Cuguen. Elle reprĂ©sente le corps d'un animal fantastique qui devait ĂȘtre Ă l'entrĂ©e de la chevronniĂšre d'un Ă©tablissement religieux. Cette statue est encore visible au Jardin de Granit[24].
Ăpoque contemporaine
Le , elle fusionne avec Saint-Pierre-de-Plesguen et TressĂ© pour constituer la commune nouvelle de Mesnil-Roc'h dont la crĂ©ation est actĂ©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [25].
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires délégués
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[34].
En 2016, la commune comptait 993 habitants[Note 2], en augmentation de 3,76 % par rapport Ă 2010 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-AndrĂ©, des XVIIIe et XXe siĂšcles. Dans l'Ă©glise se trouve une statue de Vierge noire faite en bois. Cette statue porte l'Enfant JĂ©sus dans ses bras.
- Le manoir de la Vallée, situé dans le jardin de granit, autrefois nommée la Hallée.
- La maison du Poncet est sans doute la plus vieille maison du bourg de Lanhélin[37].
Activité et manifestations
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Population municipale 2016, légale en 2019.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Bonnemain. Elaboration du plan local d'urbanisme : rapport de présentation ».
- Gérard Bellion, Paul Dadet et al., Carte géologique de la France au 1/50000 FougÚres 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5
- Yann Brekilien, La Bretagne, Ăditions d'Organisation, , p. 24.
- De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Cette province magmatique est caractérisée par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépÎt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
- Jonin M., 1981 â Un batholite fini-prĂ©cambrien, le batholite mancellien (Massif armoricain, France), thĂšse de doctorat-Ăšs-Sciences naturelles, Brest : universitĂ© de Bretagne occidentale, 338 p.
- F. Paris, P. Jegouzo, J. Estéoule-Choux, Carte géologique de Caulnes n° 281 (IGN 11-17), éditions du BRGM, 1977, p. 2
- Cet allongement résulte en partie de la tectonique cassante varisque.
- (en) J. Chantraine, E. Egal, D. ThiĂ©blemont, E. Le Goff, C. Guerrot, M. BallĂšvre, P. Guennoc, « The Cadomian active margin (North Armorican Massif, France): a segment of the North Atlantic Panafrican belt », Tectonophysics, vol. 331, nos 1-2,â , p. 1-18 (DOI 10.1016/S0040-1951(00)00233-X).
- (en) P. Graviou, J.-J. Peucat, B. Auvray, P. Vidal, « The Cadomian orogeny in the northern Armorican Massif. Petrological and geochronological constraints on a geodynamic model, Hercynia », Bull. Soc. Geol. Min. Bretagne, vol. 4, no 1,â , p. 1-13.
- (en) Pasteels P., Doré F. (1982) - Age of the Vire-Carolles granite. In: G.S. Odin (ed,), Numerical dating in Stratigraphy, 2, 784-790.
- Ces deux roches métamorphiques sont exploitées dans la carriÚre du Gué-Morin à Vieux-Vy-sur-Couesnon. « En fonction de l'état de l'exploitation on peut parfois distinguer des plis isoclinaux resserrés, antérieurs au métamorphisme de contact et résultant de la tectogenÚse cadomienne ». Cf Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 96.
- (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p. 128.
- Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 30.
- F. Paris, op. cit., p. 5
- La fraction fine de l'arÚne est principalement constituée de kaolinite.
- F. Paris, op. cit., p. 24
- (en)DIDIER J. (1973) - Granites and their enclaves. The bearing of enclaves on the origin of granites. ln : « Development in Petrology, 3 ». Amsterdam: Elsevier, 393 p
- Jonin M., 1969 â Ătude pĂ©trographique du massif granitique de Bonnemain (thĂšse de 3e cycle), UniversitĂ© de Clermont-Ferrand, 88 p.
- Vers 1850, on doit faire appel à lui pour des pierres de grandes dimensions demandées pour la partie supérieure du viaduc de Dinan. On le reconnaßt par son apparence plus sombre (bleu foncé) contrastant avec les granites provenant des autres carriÚres sollicitées. La carriÚre de Bécanne a fourni au moins 108 m3 en 1850, un petit complément de 30 m3 étant apporté par les autres carriÚres de la commune. Cf Louis Chauris, Les carriÚres exploitées pour la construction du viaduc de Dinan (1846-1852), dans Le Pays de Dinan, 2002, p. 219-241.
- Louis Chauris, « Pour une gĂ©o-archĂ©ologie du patrimoine : pierres, carriĂšres et constructions en Bretagne », Revue archĂ©ologique de l'Ouest, vol. 31,â (DOI 10.4000/rao.2755).
- « Résultats concernant « Lanhélin » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
- Le Moing, Jean-Yves (1950-....). Auteur du texte, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézed, Coop Breizh, (OCLC 963221846), p. 365
- HervĂ© Abalain, Noms de lieux bretons, Ăditions Jean-Paul Gisserot, , p. 77.
- Le patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine, Ăditions Flohic, Paris, 2000.
- ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral n° 2018-24063 du 11 dĂ©cembre 2018 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de "Mesnil-Roc'h" Ă compter du 1er janvier 2019.
- « Les obsÚques de Paul Hignard, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Le maire Bernard Verdon tire sa révérence », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « La maire de Lanhélin est décédée », sur lepaysmalouin.fr, Le Pays malouin (consulté le )
- « Ătienne MĂ©nard est Ă©lu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le )
- « Mesnil Rocâh. Christelle Brosselier Ă la tĂȘte de la commune nouvelle », Ouest-France,â (lire en ligne)
- « Installation du conseil municipal », sur mesnilroch.bzh,
- Le conseil municipal, sur mesnilroch.bzh
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Le patrimoine des communes