Ladaux
Ladaux est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ladaux | |||||
La mairie (avr. 2013). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers | ||||
Maire Mandat |
Christophe Serena 2020-2026 |
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Code postal | 33760 | ||||
Code commune | 33215 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ladauciens | ||||
Population municipale |
192 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 42′ 06″ nord, 0° 14′ 36″ ouest | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 87 m |
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Superficie | 4,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Entre-Deux-Mers | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Ladauciens[1].
Géographie
Cette commune rurale de l'Entre-deux-Mers se trouve à 38 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 20 km au nord de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 5 km au sud-sud-est de Targon, chef-lieu de canton[2].
Communes limitrophes
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Communications et transports
La principale voie de communication routière est la route départementale D119 qui traverse le village et mène vers l'ouest à la route départementale D11 (Targon au nord et Cadillac au sud-ouest) qui traverse l'ouest du territoire communal puis à Soulignac et vers l'ouest à Cantois.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2 de Podensac qui se situe à 17 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 34 km vers le sud.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 25 km vers le nord.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 14 km par la route vers le sud-ouest, de Cérons sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Aquitaine. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de Langon se situe à 20 km par la route vers le sud.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ladaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,4 %), prairies (17,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (2 %), zones urbanisées (0,3 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Ladaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[24] - [22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 90 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 90 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Histoire
Préhistoire
La grotte de Haurets est un site du Châtelperronien[27] - [28] - [29] - [30] - [31] - [32]. Le niveau châtelperronien est marqué par une association lithique faite de formes moustériennes, de pointes du type de Châtelperron, de « lames à gorges » et de grattoirs du « type de Tarté ». Cette association a également été rencontrée à Châtelperron, Germolles, la Roche-au-Loup, la Ferrassie. Gargas[33] - [34]. Selon Breuil (1911[35]), la zone du porche a livré des pointes à dos de type Châtelperron associées à des racloirs et à un fragment de lame étranglée[36].
Temps modernes
À la Révolution, la paroisse Saint-Martin de Ladaux forme la commune de Ladaux[37].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2020, la commune comptait 192 habitants[Note 6], en diminution de 3,03 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin, construite au XIIIe siècle et fortifiée et surélevée au XVIe siècle, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1925[42].
- Fontaine dédiée à saint Clair face à la mairie. Dans le village, une légende raconte que l'eau de la fontaine aurait le pouvoir de rendre la vue.
- Château d'Hories (ou Orries) du XVIIe siècle[43].. Ancienne propriété de la famille de Lucmau de Classun. Propriété depuis 2019 d'Hélène et Alain de Baritault du Carpia.
- Vue ouest de l'église Saint-Martin (déc. 2012)
- Vue latérale nord de l'église (avr. 2013)
- Le chevet (déc. 2012)
- La nef (avr. 2013)
- Fontaine Saint-Clair face à la mairie (avr. 2013)
- Le monument aux morts sur une place près de l'église (avr. 2013)
Personnalités liées à la commune
- Laurence Postigo, professeure de luth au département musique ancienne du conservatoire à rayonnement régional Jacques Thibaud de Bordeaux, et ses nombreux chats.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ladaux sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 2 avril 2013.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 30,6 km pour Bordeaux, 16,6 km pour Langon et 4,2 km pour Targon. Données fournies par lion1906.com, consulté le 19 mai 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ladaux et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ladaux et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Ladaux », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Ladaux », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- [Lenoir 2000] Michel Lenoir, « La Préhistoire ancienne en Gironde : apport des recherches récentes », Gallia Préhistoire, no 42,‎ , p. 57-84 (lire en ligne [sur persee]), p. 59.
- [Labrie 1905] Abbé J. Labrie, « La caverne préhistorique de Haurets à Ladaux (Gironde) », Procès-verbaux de la Société linnéenne de Bordeaux, t. 60, no impr. Y. Cadoret (Bordeaux, 1906),‎ . Cité dans Lenoir 2000, p. 45.
- [Labrie 1923] Abbé J. Labrie, « Les cavernes et abris préhistoriques de l'Entre-Deux-Mers (Gironde) », Association française pour l'avancement des sciences « 47e session, Bordeaux »,‎ , p. 657-663 (lire en ligne [PDF] sur u-bordeaux-montaigne.fr, consulté en ). Cité dans Lenoir 2000, p. 45.
- [Malvesin-Fabre 1946] G. Malvesin-Fabre, « Sur l'âge de la grotte de Haurets », Actes de la Société linnéenne de Bordeaux, t. 93,‎ , p. 188-192 (lire en ligne [PDF] sur wikimedia, consulté en ).
- [Lenoir 1983] Le Paléolithique des basses vallées de la Dordogne et de la Garonne (thèse de doctorat d'État en Sciences, 2 vol.), univ. de Bordeaux I, , 702 p.. Cité dans Lenoir 2000, p. 45.
- [Lenoir 1986] « La Préhistoire de Ladaux », dans À la découverte de l'Entre-Deux-Mers, Ladaux, , p. 15-20. Cité dans Lenoir 2000, p. 45.
- [Peyrony 1922] Denis Peyrony, « Nouvelles observations sur le Moustérien final et l'Aurignacien inférieur », Compte-rendu de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences,‎ . Cité dans Pesesse 2018, paragr. 15.
- [Pesesse 2018] Damien Pesesse, « Le Périgordien, quelle erreur ! », Paléo, no 29,‎ , p. 179-199 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ), paragr. 15.
- [Breuil 1911] Henri Breuil, « Études de morphologie paléolithique. L'industrie de la grotte de Châtelperron (Allier) et d'autres gisements similaires », Revue anthropologique, no 1,‎ , p. 29-40 (1re partie) et 67-76 (suite) (présentation en ligne, lire en ligne [sur gallica]). Introduction de l'article en deux parties : p. 29 ; Haurets : p. 70-72.
- [Lenoir 2000] Michel Lenoir, « La Préhistoire ancienne en Gironde : apport des recherches récentes », Gallia Préhistoire, no 42,‎ , p. 57-84 (lire en ligne [sur persee]), p. 63.
- « Historique des communes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur gael.gironde.fr, GAEL (Gironde Archives en ligne) (consulté le ), p. 27.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Inscription MH de l'église Saint-Martin », notice no PA00083577, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Lieu-dit Hories