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Lac de Guerlédan

Le lac de Guerlédan est un lac artificiel français situé d'une part sur les communes de Saint-Aignan et Sainte-Brigitte dans le Morbihan et, d'autre part, celles de Mûr-de-Bretagne, Caurel et Saint-Gelven dans les Côtes-d'Armor. Il matérialise, en partie, la limite entre le Morbihan et les Côtes-d'Armor.

Lac de Guerlédan
Image illustrative de l’article Lac de Guerlédan
Vue aérienne du lac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partements CĂ´tes-d'Armor / Morbihan
Statut Bien recensé dans l'Inventaire général du patrimoine culturel (d)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 12′ 15″ N, 3° 03′ 00″ O
Type Lac artificiel
Origine Barrage hydroélectrique
Montagne Massif armoricain
Superficie 3,04 km2
Altitude 121 m
Profondeur
· Maximale

45 m
Hydrographie
Émissaire(s) Blavet
Divers
Site officiel www.lacdeguerledan.com
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
(Voir situation sur carte : Bretagne)
Lac de Guerlédan
GĂ©olocalisation sur la carte : CĂ´tes-d'Armor
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Lac de Guerlédan
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Lac de Guerlédan
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Lac de Guerlédan

D'une superficie de 304 ha, long de 12 km et profond de 45 m au pied du barrage, le lac de GuerlĂ©dan est le plus grand lac artificiel de Bretagne.

Sa formation est due à la construction du barrage de Guerlédan de 1923 à 1930 sur le cours d'eau du Blavet. Il alimente l'usine électrique du barrage, d'une puissance de 15 MW, exploitée depuis 1946 par EDF.

Étymologie

Son nom vient du hameau de Guerlédan (du breton vannetais Gouer ledan, le « ruisselet large ») baptisé en référence à la rivière le Blavet qui s'élargit à cet endroit[1].

GĂ©ographie

Situation

Tapi au creux des collines du centre Bretagne entaillées par la vallée du Blavet, le lac de Guerlédan se trouve au nord de la forêt de Quénécan, massif boisé situé sur la bordure nord-ouest du plateau de Rohan (appellation discutable car la topographie est marquée par des collines désordonnées où ne se discerne aucune direction nette, et non par une surface plane)[2].

Cadre géologique

Carte géologique du Massif armoricain.

Le lac est situĂ© au cĹ“ur du domaine centre armoricain, unitĂ© gĂ©ologique du Massif armoricain qui correspond Ă  une structure s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la baie de Douarnenez jusqu'au bassin de Laval. S'opposant aux bas plateaux littoraux mĂ©ridionaux et septentrionaux, ce bassin sĂ©dimentaire marquĂ© par une forte subsidence, est constituĂ© de sĂ©ries rythmiques de schistes briovĂ©riens (sĂ©diments non ou peu modifiĂ©s par mĂ©tamorphisme, caractĂ©risĂ©s par un dĂ©bit en feuillets serrĂ©s plus ou moins marquĂ©), de grès et de conglomĂ©rats (roches dĂ©tritiques qui proviennent sans doute du dĂ©mantèlement de la chaĂ®ne cadomienne au nord, mais aussi de reliefs situĂ©s au sud, donnant des dĂ©pĂ´ts sĂ©dimentaires accumulĂ©s sur plus de 15 000 m d'Ă©paisseur, plissĂ©s et affectĂ©s par un mĂ©tamorphisme rĂ©gional de faible intensitĂ© uniquement dĂ©celable au microscope), formant un socle pĂ©nĂ©planĂ© sur lequel repose en discordance des formations palĂ©ozoĂŻques sĂ©dimentaires (sĂ©ries rythmiques de grès et de siltites correspondant Ă  des dĂ©pĂ´ts de plate-forme marine). Ă€ la fin du DĂ©vonien, ces sĂ©diments sont impliquĂ©s dans l'Ă©laboration de la chaĂ®ne hercynienne et sont dĂ©formĂ©s de façon gĂ©nĂ©ralement modĂ©rĂ©e : Ă  l'Ă©chelle locale, dans la mesure oĂą la rĂ©gion se situe dans les zones peu profondes de cette chaĂ®ne montagneuse, leur dĂ©formation se traduit par des plissements droits et simples selon une direction N 110°-N 120°E (plissement de direction dite “armoricaine” formant en travers de la Bretagne centrale une bande constituĂ©e du synclinorium des montagnes Noires, des reliefs situĂ©s au nord de Pontivy, et du synclinorium de MartignĂ©-Ferchaud), par plusieurs familles de failles d'orientations diffĂ©rentes, et par le dĂ©veloppement d'une schistositĂ© qui affecte les roches mĂ©tamorphiques de faible degrĂ© correspondant Ă  la partie la moins profonde ou zone externe de la chaĂ®ne hercynienne (chaĂ®ne montagneuse pratiquement effacĂ©e par l'Ă©rosion)[3] - [4].

Le lac s'insère dans ce dispositif longitudinal de crêtes appalachiennes, d'orientation préférentielle N 110°, et entaille le flanc nord du l'anticlinal briovérien de la forêt de Quénécan (appelé aussi l'anticlinal des Forges des Salles) constitué de schistes ardoisiers et quartzites de l'ordovicien (connues sous le terme de Grès armoricain)[5].

« Les schistes ardoisiers sont formés de fines paillettes orientées (schistosité S1) de muscovite, de chlorite et fréquemment de paragonite. Le quartz, en grains très fins, est étiré dans la schistosité. Du chloritoïde, généralement orienté dans la schistosité S1 est fréquent à la base de la formation schisteuse. À ces minéraux essentiels, s'ajoutent de fines paillettes de graphite, du rutile soit en grains détritiques soit en aiguilles néoformées et des grains détritiques de zircon et de tourmaline. Ces roches peuvent perdre leur qualité ardoisière soit en raison du développement d'une deuxième schistosité S2 soit par enrichissement en quartz[6] ».

Histoire

Écluse de Trégnanton avant son engloutissement.

Ce lac a Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour alimenter le barrage de GuerlĂ©dan. Le chantier dura sept ans de 1923 Ă  1930 et dut faire face Ă  de nombreuses difficultĂ©s d'ordre gĂ©ologique (creusement des fondations pour Ă©liminer une poche d'argile en 1924), technique (barrage-poids de 208 mètres de long) et financier. Faute d'argent, le chantier fut mĂŞme arrĂŞtĂ© de l'automne 1925 au printemps 1927. L'usine Ă©lectrique associĂ©e au barrage est d'une puissance de 15 MW, et est exploitĂ©e depuis 1946 par EDF.

L'assec de 2015 révèle une borne kilométrique[Note 1] qui jalonnait le chemin de halage du canal de Nantes à Brest.

La crĂ©ation du barrage a eu pour effet de noyer la vallĂ©e du Blavet sur plus de 8 kilomètres, entraĂ®nant l'immersion de neuf carrières d’ardoises (Ă©conomie de la rĂ©gion depuis le XVIe siècle), de maisons d'ardoisiers et de fermes.

Elle a Ă©galement supprimĂ© la continuitĂ© du trafic fluvial sur le canal de Nantes Ă  Brest, en coupant ce dernier qui empruntait Ă  cet endroit le cours canalisĂ© du Blavet. Seize maisons Ă©clusières et 17 Ă©cluses du canal de Nantes Ă  Brest ont ainsi Ă©tĂ© englouties[7] :

ÉCLUSES ENGLOUTIES
Écluse Lieu Altitude Distance de Nantes
no 120Moulin neuf[8]84,04 mètres227,3 kilomètres
no 121Castel-Finans[9]85,64 mètres228,3 kilomètres
no 122Caurel[10]88,74 mètres229,5 kilomètres
no 123Kergoff[11]90,64 mètres230,9 kilomètres
no 124Pouldu[12]92,68 mètres232,0 kilomètres
no 125Baraval[13]95,18 mètres232,8 kilomètres
no 126Kermadec[14]96,75 mètres233,5 kilomètres
no 127TrĂ©gnanton[15]99,75 mètres234,0 kilomètres
no 128Cosquer[16]102,25 mètres234,2 kilomètres
no 129Cuilleret[17]104,75 mètres234,4 kilomètres
no 130ZĂ©lo[18]106,75 mètres234,7 kilomètres
no 131Saint-Gelven[19]109,25 mètres235,0 kilomètres
no 132Malvran[20]111,58 mètres235,2 kilomètres
no 133Toul-er-Lann[21]113,62 mètres235,4 kilomètres
no 134ToulhouĂ«t[22]115,94 mètres235,7 kilomètres
no 135Granges[23]118,44 mètres236,2 kilomètres
no 136Longeau[24]120,94 mètres236,7 kilomètres

En 1957 la navigation de la section Pontivy Châteaulin du canal de Nantes Ă  Brest est progressivement abandonnĂ©e. Au XXIe siècle elle se rĂ©tablit progressivement Ă  partir de Port Launay, du lac de GuerlĂ©dan et de Pontivy. Le lac de GuerlĂ©dan est devenu essentiellement un lieu touristique de loisirs et de promenades ainsi qu'une rĂ©serve d'eau potable pour presque toute la moitiĂ© ouest du Morbihan[25]. En 1968, neuf communes s'associent pour crĂ©er le syndicat intercommunal pour l’amĂ©nagement de la rive sud du lac de GuerlĂ©dan[26]. On peut y pratiquer diverses activitĂ©s nautiques, se promener sur les rives du lac dont les 40 km du pourtour sont entièrement balisĂ©s, et profiter des points de vue panoramiques, notamment au rond-point du lac et Ă  l'anse de Tregnanton, sur le cĂ´tĂ© sauvage du lac.

Patrimoine

Le lac de Guerlédan est doté d'un riche patrimoine lui étant lié. L'Abbaye de Bon-Repos, les Forges des Salles, le village de Gouarec sur le côté ouest. Le barrage, la chapelle Sainte Tréphine, l'allée couverte de Coat Mael, le bois de Caurel sur l'est.

Assecs du lac

« Tue-vent » dans l'ardoisière de Kériven[Note 2] surplombant le lac de Guerlédan : cet abri protégeait le fendeur des intempéries et favorisait le séchage des ardoises.

En 1927, l'État prescrit d’assécher les lacs tous les dix ans afin de vérifier l’état des barrages et effectuer des réparations. Celui de Guerlédan doit subir cette opération en 1941 mais il est alors contrôlé par les Allemands. La première vidange a lieu en 1951. Depuis, il fait régulièrement l'objet de vidanges partielles ou totales : l'assec de 1951 est répété en 1966[28], 1975, 1985 et 2015. Dévoilant un paysage lunaire étonnant, ces vidanges permettent de redécouvrir les vestiges de l'ancienne vallée, des activités humaines autour de celle-ci (maisons, jardinets, vergers) ainsi que les vestiges de l'exploitation du charbon de bois, des ardoisières, des écluses et déversoirs. Les assecs provoquent chaque fois un regain de curiosité pour le site.

À l'occasion de la vidange de 1985, la foule s’était déplacée durant toute la période de vidage avec des embouteillages et de grands problèmes de stationnement.

Plus récemment, la technologie a permis d'espacer le rythme des vidanges. En 1995 et 2005, des robots ont été utilisés pour inspecter les parties immergées[29]. En 2005, l'examen subaquatique par robot révèle que l’état du barrage nécessite des travaux de réfection du système d’étanchéité du parement amont et la rénovation des vannes de fond et des conduits.

Ă€ la suite du renouvellement de sa concession en 2008, EDF vide le lac au printemps 2015.

Assec de 2015

Le , Georges Tilly, maire de Mûr-de-Bretagne et président de la communauté de communes Guerlédan Mûr-de-Bretagne, annonce officiellement une nouvelle vidange totale du lac de Guerlédan[30] :

« Le 5 fĂ©vrier, une rĂ©union s’est tenue avec les sous-prĂ©fets de Guingamp et de Pontivy, ainsi qu['avec] les responsables d’EDF qui a la gestion du barrage de GuerlĂ©dan et [avec] les diffĂ©rents services de l’État. Cette rĂ©union faisait suite Ă  la rĂ©glementation française imposant aux exploitants de barrages de plus de 10 mètres de haut de rĂ©aliser un examen technique complet [(ETC)] tous les dix ans[31]. Cette rĂ©glementation s’applique au barrage de GuerlĂ©dan, un des principaux barrages hydroĂ©lectriques de Bretagne, Ă  cheval sur les CĂ´tes d’Armor et le Morbihan. »

— Article du Télégramme, « Lac de Guerlédan. La vidange programmée pour 2015 »[32].

Différentes commissions sont mises en place pour identifier toutes les problématiques tant en qualité de l’eau, en eau potable, en gestion de la ressource piscicole, en flux de touristes et en impacts positifs ou négatifs sur les activités liées au tourisme.

Les principaux travaux réalisés lors de cet assec sont la réfection de l'étanchéité de la paroi amont du barrage, la rénovation des deux conduits de fond et de leurs vannes, et la construction de batardeaux permettant en principe à l'avenir d'éviter les vidanges totales.

Les travaux durent huit mois, dont six avec le lac Ă  sec. Ă€ partir de , un turbinage abaisse progressivement le niveau de la retenue d’eau de 10 cm par heure en moyenne. Une fois le niveau des turbines atteint, la vidange est rĂ©alisĂ©e par vannes, avec l'ouverture des vannes de fond du barrage dont le dĂ©bit de 35 m3/s fait baisser le niveau de cm/h en moyenne. La pĂ©riode d’assec, au cours de laquelle l’inspection des parties habituellement immergĂ©es et les travaux sont rĂ©alisĂ©s, a lieu de mai Ă  [29].

La remise en eau est entamée à partir du . Après remplissage de la retenue d’eau par le débit naturel du Blavet, la centrale hydroélectrique est remise en service début 2016[33].

La pĂŞche de rĂ©cupĂ©ration permet de rĂ©colter des poissons (sandre, brochet, perche, brème, gardon) qui suivent trois destinations selon leur Ă©tat : 200 kg de poissons morts mais en bon Ă©tat sanitaire sont mis en vente sur les marchĂ©s de la rĂ©gion. Les plus abĂ®mĂ©s (la majoritĂ©) sont transformĂ©s en farine animale destinĂ©e Ă  l'alimentation des poissons. Les plus beaux spĂ©cimens sont rĂ©partis dans les sites de pĂŞche des sociĂ©tĂ©s morbihannaises et costarmoricaines. Les recettes gĂ©nĂ©rĂ©es par cette vente sont destinĂ©es Ă  financer le plan de rempoissonnement qui prĂ©voit, après le rĂ©-emplissage de la retenue, la rĂ©introduction de 13 tonnes de poissons (contre 18)[34].

CĂ´tĂ© tourisme, une trentaine de guides confĂ©renciers ont accueilli le public, avec deux Ă  trois millions de touristes attendus. Le bilan touristique officiel de cet assec montre qu'il a attirĂ© entre 1,5 et deux millions de personnes, dont 141 421 pour les visites guidĂ©es payantes[35].

  • Le lac de GuerlĂ©dan
  • 10 avril 2015, assec.
    , assec.
  • 14 avril 2015, en fin de vidange.
    , en fin de vidange.
  • Juin 2015, l'assec rĂ©vèle une ancienne maison Ă©clusière, une Ă©cluse et des arbres fossilisĂ©s.
    , l'assec révèle une ancienne maison éclusière, une écluse et des arbres fossilisés.
  • 6 septembre 2015, assec du lac.
    , assec du lac.
  • 20 septembre 2015, panoramique.
    , panoramique.

Notes et références

Notes

  1. Le kilométrage démarre de Nantes.
  2. « Ă€ la grande Ă©poque, une certaine Ă©mulation existait entre les diffĂ©rents puits, creusĂ©s de façon anarchique, car chacun pouvait forer son trou dans son coin : on recense environ 70 puits sur 15 km. Le jour de la paie, les gueules bleues (mineurs d’ardoises) et les fendeurs (qui taillaient la pierre en lamelles et avaient le teins halĂ© des travailleurs de plein air) allaient dĂ©penser leur argent au bar… dont le propriĂ©taire Ă©tait aussi celui des mines : ce qu’il donnait d’un main Ă  la fin du mois, il le rĂ©cupĂ©rait de l’autre dans sa taverne. C’était par exemple le cas du CafĂ© de Suzanne Thomas (maison Kermadec Ă  Tregnanton), qui faisait aussi Ă©picerie et avait une boulangerie attenante avec un four Ă  pain : son mari possĂ©dait plusieurs hectares de la vallĂ©e. C’est le mĂŞme système pervers qu’on peut voir dans les westerns qui se dĂ©roulent sur fond de ruĂ©e vers l'or[27] ».

Références

  1. Francis Gourvil, Noms de famille bretons d'origine toponymique, Société archéologique du Finistère, , p. 84.
  2. Daniel Faucher, La France, géographie-tourisme, Librairie Larousse, , p. 140.
  3. Yann Brekilien (dir.), La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 35-39.
  4. Éric Thomas, Géologie succincte du massif armoricain, BRGM Bretagne, , p. 2.
  5. Hubert Lardeux, Bretagne, Masson, , p. 111-115.
  6. Paul Dadet, Notice explicative de la feuille de Pontivy, Éditions du 8RGM, 1988, p. 20.
  7. Notice no IA22011414, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  8. Notice no IA22132914, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  9. Notice no IA22132917, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  10. Notice no IA22132915, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  11. Notice no IA22132916, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  12. Notice no IA22132918, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  13. Notice no IA22132919, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  14. Notice no IA22132920, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  15. Notice no IA22132921, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  16. Notice no IA22132922, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  17. Notice no IA22132923, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  18. Notice no IA22132924, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  19. Notice no IA22132925, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  20. Notice no IA22132926, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  21. Notice no IA22132927, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  22. Notice no IA22132928, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  23. Notice no IA22132930, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  24. Notice no IA22132929, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  25. Emmanuel Nen, « Une prouesse technique », sur letelegramme.fr, .
  26. « Le barrage de Guerlédan », sur morbihan.fr,
  27. « Dans les profondeurs du lac de Guerlédan », sur infodocbib.net, .
  28. « Assec du Lac de Guerlédan en 1966 » (consulté le )
  29. Pourquoi réaliser un examen technique complet sur le barrage de Guerlédan ?, article sur morbihan.gouv.fr, 11 septembre 2014 (consulté le 08 mai 2016).
  30. [PDF] Préfecture des Côtes d'Armor, « Arrêté autorisant les travaux d'entretien lourd, après vidange complète de la retenue en amont, sur le barrage de Guerlédan », sur energie.edf.com, (consulté le ).
  31. EDF, « Surveillance des ouvrages : Sûreté hydraulique : des ouvrages sous surveillance constante », sur www.edf.fr (consulté le ).
  32. « Lac de Guerlédan. La vidange programmée pour 2015 », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  33. « Guerlédan 2015. Le barrage va se refaire une beauté au mois de mai », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  34. Yves Oliviéro, « Lac de Guerlédan. Dernière pêche », sur letelegramme.fr, .
  35. Gilles Queffélec, « Bilan. L'assec de Guerlédan : 2 millions de visiteurs ! », sur pontivyjournal.fr, .

Voir aussi

Bibliographie

  • Auguste Leson, GuerlĂ©dan, MĂ©moires du constructeur du barrage et de l'usine (1921-1937), Éditions des Montagnes Noires, 2002, 144 pages (ISBN 978-2-913953-32-1)
  • Gilles de JanzĂ©, Le barrage de GuerlĂ©dan, Éditions Coop-Breizh, 2015, 128 pages (ISBN 9-782843-467295)
  • Ernest et Gilles Blat, GuerlĂ©dan 1927-1931, un barrage s'Ă©lève, Éditions La Truite de QuĂ©nĂ©can, 2015, 36 pages (ISBN 978-2-9530086-9-2)
  • Barrage de GuerlĂ©dan. Extraordinaire aventure. Saint-Aignan (Morbihan), Électrothèque de GuerlĂ©dan, s.d.
  • Gilles de JanzĂ©, GuerlĂ©dan Ă  sec, les Ă©cluses englouties, Éditions La Truite de QuĂ©nĂ©can, 2015, 36 pages (ISBN 979-10-94826-02-7)

Articles connexes

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