José Palmeiro
JosĂ© Palmeiro MartĂnez est un artiste peintre et lithographe espagnol de l'Ăcole de Paris nĂ© Ă Madrid (Espagne) le , mort Ă Bergerac (France) le .
Naissance | |
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DĂ©cĂšs | |
Nom de naissance |
JosĂ© Palmeiro MartĂnez |
Nationalité |
Espagnole |
Activité | |
Mouvement |
Biographie
De racines galiciennes, la naissance de JosĂ© Palmeiro reste imprĂ©cise : si l'Ă©noncĂ© ci-dessus est le plus largement admis, certaines sources le disent nĂ© en 1901, de mĂȘme qu'il est parfois dit natif de Betanzos (Galice). A 18 ans, il travaille dans les ateliers du journal El Sol oĂč ses dessins sont remarquĂ©s et, pour certains, publiĂ©s. On dit aussi qu'il est un temps marin[1]. AprĂšs une pĂ©riode de vie de bohĂȘme Ă Barcelone, JosĂ© Palmeiro arrive Ă Paris en 1925 oĂč, s'installant dans le quartier du Montparnasse, il se lie d'amitiĂ© avec Celso Lagar par qui il entrera dans le groupe des peintres espagnols de l'Ăcole de Paris et se rapprochera notamment de GinĂ©s Parra et d'Ăscar DomĂnguez[2].
AprĂšs qu'il a Ă©tĂ© artiste permanent de la Galerie de l'ĂlysĂ©e, les annĂ©es 1945-1946 - il est alors installĂ© au 45, rue Boissonnade dans le 14e arrondissement de Paris[3] - sont pour JosĂ© Palmeiro celles des importantes expositions des artistes espagnols de l'Ăcole de Paris (notamment au Cercle artistique MĂĄnes de Prague), 1947 celle oĂč il entame un sĂ©jour de dix annĂ©es en AmĂ©rique du Sud. Le dictionnaire BĂ©nĂ©zit et GĂ©rald Schurr s'accordent Ă voir en 1948 l'annĂ©e de la rupture oĂč il cesse d'ĂȘtre le peintre des « jeunes filles espagnoles en fleur » pour s'orienter, dans un hĂ©ritage post-impressionniste et post-cubiste, vers le paysage et la nature morte. La revue Connaissance des arts observe en juin 1958 qu'aprĂšs avoir Ă©voluĂ© vers un style abstrait au cours des annĂ©es passĂ©es au BrĂ©sil, c'est dĂšs son retour en France qu'« il Ă©prouve Ă nouveau le besoin de la figuration »[4]. Raymond Nacenta situe pour sa part son Ćuvre dans le « rĂ©alisme poĂ©tique »[5].
Avec son ami Ginés Parra, José Palmeiro fait partie de artistes d'Alba-la-Romaine, village de l'ArdÚche sorti de l'oubli par André Lhote.
Contributions bibliophiliques
- Jean Giono, Routes et chemins - Ădition des peintres tĂ©moins de leur temps Ă l'occasion de leur XIe exposition, cinquante six planches hors-texte de dessins en fac-similĂ© par Yvette Alde, Pierre Ambrogiani, Michel Ciry, Ădouard Goerg, Henri Hayden, Camille Hilaire, Isis Kischka, Roger Lersy, JosĂ© Palmeiro, Joseph Pressmane, Michel Rodde, Kostia Terechkovitch, Henry de Waroquier, Gabriel Zendel..., Ăditions du Palais Galliera, 1962.
Expositions
Expositions personnelles
- Galerie Georges Bernheim, Paris, 1932[6].
- Galerie de l'ĂlysĂ©e, Paris, .
- Musée d'art moderne de São Paulo, 1954.
- Musée de La Plata, Buenos Aires, 1956[7].
- Galerie René Drouet, Paris, juin 1958[1] - [4], 1959[8].
- Club Urbis, Madrid, février-.
- Galerie Guigné, Paris, [9].
- Galeries San Vicente, Valence (Espagne), 1978.
- Galerie José Lorenzo, Saint-Jacques-de-Compostelle, .
- Expositions non datées : Londres, New York, Chicago, Barcelone[10].
Expositions collectives
- Salon des Tuileries, Musée d'art moderne de la ville de Paris, juin-juillet 1944, deux toiles : Effet de neige et Portrait du sculpteur Condoy[3].
- Quelques peintres et sculpteurs espagnols de l'ÂĂcole de Paris - Antoni ClavĂ©, Ăscar DomĂnguez, Pedro Flores, Celso Lagar, JosĂ© Palmeiro, JoaquĂn Peinado, Pablo Picasso, Hernando Viñes, catalogue contenant des poĂšmes de Paul Ăluard enrichis de gravures originales des artistes, Galerie Roux-Henschel, Paris, [11].
- L'art de l'Espagne rĂ©publicaine - Artistes espagnols de l'Ăcole de Paris : Francisco Bores, Ăscar DomĂnguez, Julio et Roberta GonzĂĄlez, GinĂ©s Parra, JosĂ© Palmeiro, JoaquĂn Peinado, Pablo Picasso, Cercle artistique MĂĄnes, Prague, janvier-[2] - [11].
- Exposition d'arts plastiques - OrganisĂ©e par le ComitĂ© de coordination artistique franco-espagnol, prĂ©sidĂ© par Pablo Picasso et au bĂ©nĂ©fice de la rĂ©sistance en Espagne : Francisco Bores, Antoni ClavĂ©, Pere CrĂ©ixams, Emili Grau i Sala, JosĂ© Palmeiro, GinĂ©s Parra, JoaquĂn Peinado, Pablo Picasso, catalogue Ă©crit par Jean Cassou, Galerie Visconti, Paris, [11].
- Artistes ibĂ©riques de l'Ăcole de Paris - Antoni ClavĂ©, Ăscar DomĂnguez, Celso Lagar, JosĂ© Palmeiro, GinĂ©s Parra (peintres), Honorio GarcĂa Condoy, Baltasar Lobo (sculpteurs), Galerie Drouant-David, Paris, juin-[11].
- Salon d'automne, Paris, 1946[12].
- Art espagnol en exil, Chambre de commerce de Toulouse, février-, puis Galerie La Boétie, Paris, [13].
- BimillĂ©naire de Paris - ComitĂ© Montparnasse - Exposition de peintres et sculpteurs de l'Ăcole de Paris, La Coupole, Paris, juin-juillet 1951[14].
- Galerie Vidal, Paris, .
- Salon des peintres témoins de leur temps, Palais Galliera, Paris, 1962.
- PremiĂšre biennale d'art contemporain espagnol - Eleuterio Blasco Ferrer (es), Ismael de la Serna, Pedro Flores, Emili Grau i Sala, Antonio GuansĂ©, Alexis Hinsberger, JosĂ© Palmeiro, Eduardo Pisano, Manolo Ruiz-Pipo, Javier VilatĂłâŠ, Palais Galliera, Paris, mars 1968[15].
- Participations non datées : Salon des Surindépendants, Salon Comparaisons[10].
- Exposition itinĂ©rante de peintres espagnols dont l'Ćuvre s'est partiellement dĂ©veloppĂ©e Ă Paris : Maria Blanchard, Francisco Bores, Antoni ClavĂ©, Julio GonzĂĄlez, Juan Gris, Celso Lagar, Pablo Picasso, JosĂ© Palmeiro, Orlando Pelayo, Pedro Pruna, JoaquĂn Torres GarcĂa..., JaĂ©n, Grenade, 2002.
- soixante-quinze Ćuvres pour soixante-quinze annĂ©es - Exposition commĂ©morative de la fondation du musĂ©e, MusĂ©e de Pontevedra, 2003.
- Ćuvres (1950-2000) des rĂ©serves du MusĂ©e Quiñones de LeĂłn, Casa das Artes, Vigo, mars-.
Collections publiques
- Musée Saint-Germain, Auxerre.
- Musée Bonnat-Helleu, Bayonne[16].
- Musée des beaux-arts de Bordeaux.
- Musée d'art moderne Richard Anacréon, Granville.
- Palais des beaux-arts de Lille.
- Centre national des arts plastiques, Paris, L'Espagnole, huile sur toile 92x65cm, 1950.
- Musée national d'art moderne, Paris.
- Musée Estrada Saladich, Barcelone.
- Musée de Pontevedra (Espagne).
- Kelvingrove Art Gallery and Museum, Glasgow.
- Fondation Carnegie (en), Pittsburgh.
- Musée de La Plata (Argentine) (en).
- Galerie nationale de Prague.
- Musée d'art de São Paulo.
- Musée Quiñones de León (es), Vigo (Espagne)[17] - [18].
RĂ©ception critique
- « Il y a en ce peintre un poĂšte qui goĂ»te moins le plaisir de figurer exactement le contour des choses que de faire jouer les couleurs Ă travers le voile lĂ©ger des brumes. Il donne l'impression de raconter un rĂȘve quand il peint un paysage Ă peine dĂ©gagĂ© des vapeurs matinales, la fraĂźcheur verte des arbres, la rougeur des toits de tuiles avivĂ©e par la rosĂ©e, ou quand il Ă©voque un port dans les brouillards crĂ©pusculaires, Ă demi noyĂ© dans une atmosphĂšre bleuĂątre. » - Fabien Sollar[6]
- « Il faut la technique affirmée de José Palmeiro pour rendre attachant et doux tout ce qui tout d'abord saisit par sa violence. Les couleurs sont dures, souvent ingrates, les bleus crus dominant l'ensemble. Pourtant, ces couleurs ne se heurtent jamais et à leur dureté s'opposent la finesse et la légÚreté du dessin. à l'ardeur d'un peintre espagnol de naissance, au romantisme d'un ancien marin, José Palmeiro ajoute sa sensibilité. Toutes ces qualités mises au service de son art donnent à celui-ci une grande personnalité. » - Journal de l'amateur d'art[1]
- « La nouvelle exposition de JosĂ© Palmeiro est un vĂ©ritable rĂ©gal pour les yeux et les sens. Ses toiles, dont la plupart ont pour sujet la mer, les bateaux et les ports, sont comme un ruissellement de lumiĂšre qu'avec un art des plus solide et raffinĂ©, il rend principalement par des gammes de bleus, Ă©clairĂ©es de rares couleurs : jaunes surtout, mauves et rouges. Une Ćuvre forte, sans concession Ă la facilitĂ©, d'une profonde poĂ©sie humaine et charnelle. » - Henry Galy-Carles[8]
- « Des accords sonores et audacieux, une sensualitĂ© tendre, un maniĂ©risme baroque dans les arabesques. Des paysages bien charpentĂ©s baignĂ©s d'une lumiĂšre bleue, des nus rĂȘveurs et solidement architecturĂ©s, des natures mortes brossĂ©es avec une sĂšve gĂ©nĂ©reuse : une peinture heureuse, spontanĂ©e et rĂ©flĂ©chie qui montre l'aisance et le mĂ©tier rĂ©flĂ©chi de cet espagnol de l'Ăcole de Paris. » - GĂ©rald Schurr[9]
- « Un espagnol de Montparnasse qui eut le courage, au lendemain de la derniÚre guerre, de rompre avec une facilité de virtuose à succÚs s'exerçant jusque-là dans une gracieuse imagerie, toujours haute en couleur, de jeunes filles en fleur. Il renouvelle totalement sa vision dans une palette claire aux tons juxtaposés avec adresse, un lyrisme qui se déploie à partir de lignes de structure bien indiquées. » - Gérald Schurr[21]
- « Dans ses Ćuvres, JosĂ© Palmeiro rĂ©ussit Ă libĂ©rer toute la sensualitĂ© nostalgique des effets de contrastes entre les tons chauds et froids. Coloriste douĂ© et appliquĂ©, ouvert Ă la poĂ©tique des formes, en particulier les effets d'un post-cubisme librement interprĂ©tĂ©, JosĂ© Palmeiro, ainsi que l'Ă©crit Raymond Cogniat, rĂ©alise un Ă©quilibre entre "l'intelligence et la sensibilitĂ©. » - Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[10]
Références
- A.P., « José Palmeiro », Journal de l'amateur d'art, n°214, 25 juin 1958, pages 8-9.
- Violeta Izquierdo, Artistes exilés en France : Paris et Toulouse, 23 mars 2010.
- Musée d'art moderne de la ville de Paris, Salon des Tuileries - XXIe exposition, catalogue, « José Palmeiro » p. 33.
- « Les expositions Ă voir Ă Paris - Retour d'un espagnol de l'Ăcole de Paris : Palmeiro », Connaissance des arts, n°76, juin 1958, page 111.
- Raymond Nacenta, The School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, 1960, p. 339.
- Fabien Sollar, « Les échos d'art : Palmeiro à la Galerie Georges Bernheim », Art et décoration, juillet 1932.
- Rafael Dieste, No limiar da pintura - JosĂ© Palmeiro, Ăditions du MusĂ©e de La Plata, Buenos Aires, 1947.
- Henry Galy-Carles, « Palmeiro », Journal de l'amateur d'art, n°234, 25 juin 1959, page 8.
- Gérald Schurr, « José Palmeiro », La Gazette de l'HÎtel Drouot, n°40, 19 novembre 1976, page 32.
- Dictionnaire BĂ©nĂ©zit, GrĂŒnd, 1999, tome 10, pages 521-522.
- Miguel Cabañas Bravo, RodrĂguez Luna, el pintor del exilio republicano español, Consejo superior de investigaciones cientĂficas, Madrid, 2005.
- Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 Ă nos jours, Ăditions Arts et Images du Monde, 1992
- Revue de l'Association aragonnaise des critiques d'art, Art espagnol en exil, n°32, septembre 2015
- ComitĂ© Montparnasse, Exposition de peintres et sculpteurs de l'Ăcole de Paris, catalogue vendu au profit des Ćuvres des 14e et 6e arrondissement.
- Jean Cassou et Adolphe de Falgairolle, PremiĂšre biennale d'art contemporain espagnol, catalogue, Ă©ditions du Palais Galliera, 1968.
- Musée Bonnat-Helleu, José Palmeiro dans les collections
- Francisco Pablos et Maria Luisa Llari Junquera, Catalogue de la collection d'art gallicien du MusĂ©e Quiñones de LeĂłn, Ăditions Concello de Vigo, 1995.
- Ignacio LĂłpez-Chaves y Castro, JosĂ© Ballesta de Diego et Francisco Pablos, Castrelos inĂ©ditos - Obras de Museo municipal Quiñones de LeĂłn, Ăditions Concello de Vigo, 2004.
- JosĂ© Manuel B. LĂłpez VĂĄzquez, Francisco Pablos et Maria Luisa Llari Junquera, Collection Caixavido - Peintures, sculptures, dessins, Ăditions Caixanova, Vigo, 1995.
- JosĂ© Manuel GarcĂa Iglesias, La pintura gallega de la colecciĂłn Cortizo, Ăditions Aluminios Cortizo S.A., 2003.
- GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Ăditions de l'Amateur, 1996, page 709.
Annexes
Bibliographie
- Rafael Dieste (es), No limiar da pintura - JosĂ© Palmeiro, Ăditions du MusĂ©e de La Plata, Buenos Aires, 1947.
- Raymond Nacenta, The School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, 1960.
- Jean Giono et cinquante-six peintres témoins de leur temps, Routes et chemins, Presses artistiques de Paris, 1961. 56 planches dont José Palmeiro : Profils de maisons.
- Jean Bouret, Manuel Mujica LĂĄinez et GĂ©rald Schurr, JosĂ© Palmeiro, Ăditions Soleil, Paris, 1965.
- Ouvrage collectif, José Palmeiro, auto-édition de l'artiste, 1974.
- Carlos Antonio AreĂĄn, Jean Bouret, Antonio Manuel Campoy (es), Raymond Cogniat et Manuel Mujica LĂĄinez, JosĂ© Palmeiro - Cincuenta años de pintura, Ăditions Club Urbis, Madrid, 1979.
- Gabriel Plaza, Arte en Galicia - La dĂ©cada del "boom" (1970-1980), Ăditions Sada, 1981.
- Fernando Mon, Pintura contemporĂĄnea en Galicia, Ăditions Coruña, 1987.
- Cien años de pintura en España y Portugal (1830-1930), tome 7, Ăditions Antiquaria S.A., Madrid, 1991.
- Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 Ă nos jours, Ăditions Arts et Images du Monde, 1992.
- Lydia Harambourg, Index des peintres de l'Ăcole de Paris, dans L'Ăcole de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Ăditions Ides et Calendes, 1993.
- JosĂ© Manuel B. LĂłpez VĂĄzquez (gl), Francisco Pablos et Maria Luisa Llari Junquera, Collection Caixavigo - Peintures, sculptures, dessins, Ăditions Caixanova, Vigo, 1995.
- GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Ăditions de l'Amateur, 1996.
- Bénézit
- Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, GrĂŒnd, 1999.
- (en) « José Palmeiro », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
- XosĂ© Antonio Perozo (gl), Enciclopedia Gallega Universal (voir JosĂ© Palmeiro dans le tome 13), Ăditions Bieito Ledo Cabido, 1999.
- Fernando Castro FlĂłrez (es), Bibiana MartĂnez et Marisa Oropesa, Españoles en Paris : las Vanguardias, Ăditions Caja de Ahorros, Grenade, 2002.
- Ouvrage collectif, 75 obras por 75 años, Ăditions de la ville de Pontevedra, 2003.
- Francisco Pablos (gl), La pintura en Galicia, del siglo XVII a las ultimas tendencias, Ăditions Nigra Trea, 2003.
- Diccionario enciclopĂ©dico galellego en 60 tomos (voir JosĂ© Palmeiro dans le tome 47), Ăditions Bieito Ledo Cabido, 2003.
- JosĂ© Manuel GarcĂa Iglesias (gl), La pintura gallega de la colecciĂłn Cortizo, Ăditions Aluminios Cortizo S.A., 2003.
- Ignacio LĂłpez-Chaves y Castro, JosĂ© Ballesta de Diego et Francisco Flores, Castrelos ineditos - Obras de Museo municipal Quiñones de LeĂłn, Ăditions Concello de Vigo, 2004.
- Miguel Cabañas Bravo (es), RodrĂguez Luna, el pintor del exilio republicano español, Consejo superior de investigaciones cientĂficas, Madrid, 2005.
- Pierre Sanchez (prĂ©faces de Josiane Sartre et Chantal Beauvalot), Dictionnaire du Salon des Tuileries (1923-1962) - RĂ©pertoire des exposants et liste des Ćuvres prĂ©sentĂ©es, L'Ăchelle de Jacob, Dijon, 2007.
- Miguel Cabañas Bravo, Amelia LĂłpez-Yarto Elizalde et Wifredo RincĂłn GarcĂa, Arte en tiempos de guerra, Consejo superior de investigaciones cientĂficas, Madrid, 2009.
- DolorÚs Fernandez Martinez, « Les artistes plasticiens espagnols et l'exil artistique en France », dans la revue Exils et migrations ibériques au XXe siÚcle, n°6, 2014 (en ligne le texte en langue espagnole).
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Museo Nacional de Artes Visuales
- (en) Bénézit
- (nl + en) RKDartists
- (en) Union List of Artist Names
- Paris en images, José Palmeiro photographié en décembre 1939, photo Boris Lipnitzki/Roger Viollet.