Issirac
Issirac est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.
Issirac | |
Vue générale avec vue sur le clocher de l'église | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | NĂźmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien |
Maire Mandat |
José Rieu 2020-2026 |
Code postal | 30760 |
Code commune | 30134 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Issiracois |
Population municipale |
310 hab. (2020 ) |
Densité | 15 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 16âČ 21âł nord, 4° 28âČ 54âł est |
Altitude | Min. 93 m Max. 367 m |
Superficie | 20,28 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bagnols-sur-CĂšze (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Pont-Saint-Esprit |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Valat d'AiguĂšze, le ruisseau de RodiĂšres, Valat de Boudouyre, Valat de Saint-Christol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « forĂȘt de Valbonne ») et une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Issirac est une commune rurale qui compte 310 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 660 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-CÚze. Ses habitants sont appelés les Issiracois ou Issiracoises.
GĂ©ographie
Lieux-dits, hameaux et Ă©carts
Le Sauvan, Saumanas, Les Quittardes, Pierrebrune, La SabonnadiĂšre, Les Alleyrac, Le Vieux Coulon...
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Montclus », sur la commune de Montclus, mise en service en 1978[6] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 917,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă 30 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[12].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « forĂȘt de Valbonne »[14], d'une superficie de 5 052 ha, un milieu boisĂ© avec des formations forestiĂšres remarquables. On y recense plus d'une dizaine d'espĂšces d'orchidĂ©es, de nombreux reptiles et amphibiens, oiseaux etc., ainsi qu'une vĂ©gĂ©tation trĂšs diversifiĂ©e[15].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[16] : le « massif du Bagnolais » (7 716 ha), couvrant 18 communes du département[17].
Urbanisme
Typologie
Issirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [I 1] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-CÚze, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (63,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (45,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (17,3 %), cultures permanentes (16,4 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Issirac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Valat d'AiguĂšze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1998, 2002 et 2018[23] - [21].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[24]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 62 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 219 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 202 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 92 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].
Risques technologiques
En cas dâaccident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont susceptibles de rejeter dans lâatmosphĂšre de lâiode radioactif. La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre de sĂ»retĂ© autour de la centrale nuclĂ©aire du Tricastin, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. Ă ce titre les habitants de la commune ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s dâiode stable dont lâingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde dâune exposition Ă de lâiode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂȘtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s d'iode[27].
Toponymie
Occitan Issirac, du roman Issirac, du bas latin Ysseracum[28].
Ses habitants sont appelés les Issiracois et les Issiracoises.
Histoire
Moyen Ăge
La commune est mentionnée en 1522, Parochia Beati-Stephani de Ysseraco dans un acte notarial[29].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32].
En 2020, la commune comptait 310 habitants[Note 8], en augmentation de 14,81 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 117 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 274 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 200 âŹ[I 4] (20 020 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,5 % | 12,4 % | 14,6 % |
DĂ©partement[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 176 personnes, parmi lesquelles on compte 73,6 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 14,6 % de chÎmeurs) et 26,4 % d'inactifs[Note 10] - [I 6]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-CÚze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 106, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,1 %[I 10].
Sur ces 106 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
33 établissements[Note 11] sont implantés à Issirac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 33 | ||
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 3 | 9,1 % | (7,9 %) |
Construction | 8 | 24,2 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 11 | 33,3 % | (30 %) |
Activités immobiliÚres | 2 | 6,1 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 5 | 15,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 1 | 3 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 3 | 9,1 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 33 entreprises implantées à Issirac), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] Ă 15 en 2000 puis Ă 14 en 2010[37] et enfin Ă 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 61 % de ses exploitations[38] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 369 ha en 1988 Ă 246 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 17 Ă 22 ha[37].
HĂ©raldique
Blason | D'azur, à un pal losangé d'or et de sable[29]. |
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---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Communauté d'agglomération du Gard rhodanien », sur www.gardrhodanien.com (consulté le )
- « Issirac sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ], sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Issirac », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Issirac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Issirac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Issirac » (consulté le ).
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Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Montclus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Orthodromie entre Issirac et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Issirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101398 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Issirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Bagnolais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Issirac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Issirac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., RaphÚle-lÚs-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 147, t. 2
- EugĂšne Germer-Durand, MinistĂšre de l'instruction publique (Ăditeur scientifique) et ComitĂ© des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du dĂ©partement du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impĂ©riale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 106
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département du Gard » (consulté le ).