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Industrie de la houille blanche en Maurienne

L’industrie de la houille blanche en Maurienne s'est distinguée par son rôle pionnier, son importance dans l'histoire locale et son rayonnement international. Dotée précocement d'une voie ferrée internationale et, avec le réseau hydrographique de l’Arc, d'un riche potentiel énergétique, la vallée de Maurienne a attiré dès 1890 les pionniers de la houille blanche comme Henry Gall et Paul Héroult. Ce foyer de l'électrochimie et de l'électrométallurgie s'est encore renforcé en participant à l'effort de guerre à partir de 1914. Mais il a perdu sa rente énergétique avec la nationalisation de l'électricité après 1945, puis a souffert de son enclavement montagnard dans le contexte de la mondialisation de l'économie après les Trente Glorieuses. Les quatre établissements industriels encore en fonctionnement, dont la prestigieuse aluminerie de Saint-Jean-de-Maurienne, font figure de survivances.

Les conditions favorables

La Maurienne a été profondément marquée par la deuxième révolution industrielle grâce à la conjonction de deux facteurs : son potentiel hydroélectrique et sa desserte ferroviaire. C’est dans le Grésivaudan voisin qu’Aristide Bergès avait maîtrisé celle qui lui doit le surnom de houille blanche, en équipant de conduites forcées les torrents de la chaîne de Belledonne. L’industrie papetière est alors passée du stade artisanal au stade industriel[1] - [2]. Celle-ci n’a connu qu’un faible développement en Maurienne. La râperie de bois des Ets Horteur à Saint-Rémy-de-Maurienne (1873) et les Papeteries de Modane - (Matussière & Forest) en réalité sur la commune de Fourneaux - (1885) devaient rester de modestes dimensions. Encore fallait-il transmuter cette énergie mécanique en électricité. Un des tout premiers exemples en France avait été donné dès 1886 en Maurienne sur la commune de Saint-Étienne-de-Cuines par la fabrique de pâtes alimentaires Bozon-Verduraz[3]. Mais il est apparu que le développement de certaines fabrications de base procédaient nécessairement et massivement de l’énergie électrique dans des fours d’électrothermie et des cuves d’électrolyse : d’où leurs appellations électrochimiques et électrométallurgiques. Le potentiel hydroélectrique de l’Arc et de ses affluents a attiré très vite l’attention des spécialistes. Par ailleurs, ces industries de base supposaient des approvisionnements massifs en matières premières et des livraisons non moins massives à la clientèle extérieure. La Maurienne disposait sur ce point d’un deuxième privilège : la voie ferrée internationale Paris-Rome dont elle avait été équipée avec le percement du tunnel ferroviaire du Fréjus dès 1871[4].

Avant la Première Guerre mondiale

Photographie des aciéries
L'usine du Temple dans le site du Pas du Roc, en 1972.

Soixante-et-un ans sĂ©parent les crĂ©ations du premier et du dernier des Ă©tablissements mauriennais, mais l’essentiel s’est mis en place avant la crise Ă©conomique de 1929. Une première vague prĂ©cède la guerre de 1914-18. En 1890 a Ă©tĂ© fondĂ©e par les frères Bernard, de Creil, sur la commune de Saint-Martin-la-Porte, une usine d'aluminium. Le nom de Calypso lui a Ă©tĂ© donné— facĂ©tieusement vu l'aspect sinistre du site — par Tristan Bernard, neveu des fondateurs promu un temps directeur. Cette fondation a valeur de symbole car cette fabrication a connu dans la vallĂ©e un tel dĂ©veloppement qu’on a pu dĂ©finir la Maurienne comme la vallĂ©e de l’aluminium. L’exemple devait ĂŞtre suivi dès 1893 Ă  La Praz sur la commune de Freney et en 1905 Ă  La Saussaz sur la commune de Saint-Michel-de-Maurienne par Paul HĂ©roult, l’inventeur du procĂ©dĂ© Ă©lectrolytique puis par le Modanais Adrien Badin, pour le compte de Pechiney[5] Ă  Saint-Jean-de-Maurienne en 1905. Ă€ la veille de la guerre de 1914-18, la vallĂ©e concentrait l’essentiel de la fabrication française du mĂ©tal blanc. Tout aussi prĂ©coce est l’apparition de l’électrochimie avec la crĂ©ation de l’usine de PrĂ©mont Ă  Orelle pour diverses fabrications dont celle des chlorates en 1893 par le procĂ©dĂ© d'Ă©lectrolyse aqueuse de Henry Gall[6].

De 1914 Ă  1939

photographie aérienne
Photographie de l'usine de Villarodin-Bourget en 1971.
Carrière de Saint-Martin-la-Porte.
L'usine de Montricher en rive gauche de l'Arc.

La  guerre de 1914-1918 a entraĂ®nĂ©, avec parfois un certain dĂ©calage chronologique, la crĂ©ation de nouveaux Ă©tablissements. Leur outil commun Ă©tait le four d'Ă©lectrothermie qui permettait de traiter indiffĂ©remment selon les besoins du marchĂ© et les profits Ă  en attendre des matières variĂ©es Ă  la source de la carbochimie ou de l’électromĂ©tallurgie. Le carbure de calcium Ă©tait Ă   la base de la carbochimie. Ă€ sa fabrication se sont appliquĂ©es les usines de Montricher fondĂ©e en 1914 par les frères Rochette, du Temple Ă  Saint-Michel-de-Maurienne fondĂ© par Louis Renault en 1917 et de Villarodin-Bourget dont la fondation, dĂ©cidĂ©e par Saint-Gobain en 1917, n’est devenue effective qu’à partir de 1923. Pour son approvisionnement sera ouverte Ă  Saint-Martin-la-Porte une vĂ©ritable mine de calcaire transformĂ© sur place dans un four Ă  chaux[7]. Devait s’ajouter Ă  cette liste en 1929 l’usine de La Chambre qui traiterait le carbure de calcium de l’usine proche (km) du Glandon : Ă  partir de l’acĂ©tylène dont sa sociĂ©tĂ© tirait son nom de S.I.D.A (SociĂ©tĂ© Industrielle des DĂ©rivĂ©s de l’AcĂ©tylène) elle dĂ©veloppa une industrie des solvants[8]. Mais dans les mĂŞmes fours pouvaient ĂŞtre Ă©laborĂ©s les ferroalliages qui sont le premier stade incontournable de l’industrie des aciers alliĂ©s[9].

ARKEMA : unique exemple en Maurienne de reconversion de la carbochimie à la pétrochimie.

Leurs destinĂ©es devaient les conduire Ă  des spĂ©cialisations qui se confirmeront au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Seule Villarodin-Bourget devait persĂ©vĂ©rer dans la voie exclusive du carbure de calcium jusqu’à sa fermeture en 1972[10]. Mais Montricher Ă  partir de 1955 se consacra exclusivement au ferrosilicium et Renault aux aciers spĂ©ciaux. L’usine de La Chambre, quant Ă  elle, est restĂ©e fidèle Ă  la production des solvants mais en abandonnant la filière carbochimique pour celle de la pĂ©trochimie en 1954[8] - [11]

Une mention spéciale doit être faite pour l’usine d’Épierre, en basse Maurienne dont les fours électriques ont été, dès l’origine et jusqu’à la fermeture, consacrés à la fabrication des dérivés du phosphore[12]. Mais il s’agit là d’une relocalisation par la firme Coignet, d’origine lyonnaise, au terme de diverses pérégrinations[12].

Au total, vers 1939, les industries de la houille blanche employaient en Maurienne environ 4 000 personnes Ă  comparer aux 2 800 de la vallĂ©e voisine de Tarentaise et aux 3 700 d’Ugine en Val d'Arly. L’avenir semblait d’autant plus prometteur qu’un sĂ©rieux effort avait Ă©tĂ© entrepris pour une meilleure exploitation du potentiel hydroĂ©lectrique. L’alimentation dĂ©ficiente pendant l’hiver de l’Arc et ses affluents avait contraint Ă  un rythme d’activitĂ© très ralenti pendant cette saison. Pour y remĂ©dier, la future Pechiney a entrepris de construire le barrage de Bissorte (1935) dont les eaux accumulĂ©es jusqu’à l’automne seraient turbinĂ©es pendant l’hiver afin de rĂ©gulariser la production d’électricitĂ©, avec une puissance installĂ©e de 75 MW : grâce aux progrès dans le transport sous haute tension, les usines n’étaient plus asservies Ă  la loi de la proximitĂ© avec leurs centrales[13].

Pendant les Trente glorieuses

Trois nouveaux Ă©tablissements seulement et de nature très diffĂ©rente mais dont l’implantation est encore en lien avec la houille blanche, ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s après la Seconde Guerre mondiale. La commune d’Avrieux, en haute Maurienne, a Ă©tĂ© choisie par l’ONERA dès la fin des hostilitĂ©s pour y installer une soufflerie dont les premiers Ă©quipements, provenant de la vallĂ©e autrichienne du Zillertal, avaient Ă©tĂ© saisis au titre des dommages de guerre. Ă€ la mĂŞme Ă©poque EDF avait entrepris de construire les deux barrages de Plan-d’Amont et Plan-d’Aval sur le torrent Saint-BenoĂ®t descendu de la Vanoise : il fournirait l’énergie Ă  cet Ă©tablissement. ProgrammĂ©e dès la fin du conflit, la soufflerie dite de Modane n’est entrĂ©e en service qu’en 1952[14]. En basse Maurienne, l’usine de la Pouille (commune d’Aiguebelle) a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1951 pour la fabrication de carborundum : cette implantation devait permettre Ă  son fondateur d’élargir la gamme de ses abrasifs, faute de pouvoir agrandir son usine d’Arbine, en Tarentaise, dont le site Ă©tait particulièrement contraint[15]. En moyenne Maurienne, l’usine  d’Hermillon (1958) a remplacĂ© pour la fabrication de poudres d’aluminium celle de ChambĂ©ry Ă  la suite d’une dramatique explosion en 1953 : le site a Ă©tĂ© choisi Ă  l’écart des habitations mais Ă  proximitĂ© de l’usine d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, son fournisseur[16].

Ainsi, vers 1970 d’Avrieux Ă  Aiguebelle, sur près d'une centaine de kilomètres, tout au long de la vallĂ©e une quinzaine d’établissements industriels assuraient la prospĂ©ritĂ© de la Maurienne. Si l’on excepte MĂ©tal-Temple Ă  Saint-Michel-de-Maurienne, filiale de la RĂ©gie Renault depuis 1945, on a assistĂ© Ă  un regroupement des entreprises en recherche de synergie. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, deux firmes avaient regroupĂ© les entreprises nĂ©es de la houille blanche. D'une part, en 1922, celle qui devait prendre en 1950 le nom de Pechiney, connue alors sous le nom d’Alès-Froges-et-Camargue, s’était acquis le monopole de l’aluminium avec les quatre usines mauriennaises. D'autre part, la constitution en un groupe unique des Ă©tablissements chimiques de Maurienne s’était faite plus progressivement autour du mĂ©tallurgiste savoyard Ugine[17] : PrĂ©mont acquise en 1921 par la fusion avec la sociĂ©tĂ© l’Électrochimie ; La Chambre puis La Pouille, de fondation, respectivement depuis 1929 et 1951 ; Ă‰pierre en 1967 par la fusion avec Kuhlmann lui-mĂŞme propriĂ©taire de cette usine rachetĂ©e Ă  Coignet en 1962. En 1972, de la fusion entre ces deux entitĂ©s naĂ®t P.U.K. (Pechiney-Ugine-Kuhlmann)[18]. Si ce conglomĂ©rat est ainsi omniprĂ©sent dans la vallĂ©e, il ne faut pas oublier que son envergure est non seulement nationale mais qu’elle peut exercer sa stratĂ©gie sur le champ mondial. Nul ne doute cependant, alors, de la soliditĂ© de son ancrage nord-alpin[19] - [20].

L’évolution jusqu’à nos jours

Dès la fin des annĂ©es 1970 s’amorce le dĂ©clin inexorable des industries de la houille blanche en Maurienne comme dans l’ensemble des vallĂ©es alpines. Les mĂŞmes facteurs qui avaient jouĂ© en faveur de cette vallĂ©e depuis la fin du XIXe siècle se sont retournĂ©s en inconvĂ©nients. Disparue la rente Ă©nergĂ©tique qui avait commandĂ© le couplage d'une usine avec sa centrale hydroĂ©lectrique[21] ! La nationalisation de la production d’électricitĂ©, avec la crĂ©ation d’EDF, n’a pas Ă©pargnĂ© les industriels auto-producteurs. Certes, par la convention de nationalisation dans son article 8, EDF s’engageait Ă  leur livrer l’énergie dans des conditions de quantitĂ©, de qualitĂ© et de prix Ă©quivalentes Ă  celles qu’ils obtenaient jusqu’alors par eux-mĂŞmes. Mais pour la consommation excĂ©dant cette quantitĂ©, ils devaient subir les consĂ©quences d’une politique de pĂ©rĂ©quation au niveau national, sauf Ă  bĂ©nĂ©ficier de tarifs adaptĂ©s au titre de grosse clientèle. Or avec le dĂ©veloppement des fabrications, cette part excĂ©dentaire a largement dĂ©passĂ© les quantitĂ©s des auto-producteurs. Quant Ă  l’avantage d’une desserte ferroviaire, très importante eu Ă©gard aux lourds approvisionnements en matières premières ainsi qu’au coĂ»t d’expĂ©dition de ces produits de base vers les industries de transformation fixĂ©es près de la clientèle consommatrice des produits finis, il est devenu dĂ©risoire dans le cadre d’une Ă©conomie mondialisĂ©e oĂą minĂ©raliers et pĂ©troliers gĂ©ants ont rĂ©duit les prix du transport maritime jusqu'Ă  un coĂ»t presque symbolique. Les grands complexes sidĂ©rurgiques ou chimiques ont ainsi migrĂ© vers littoraux ! La plupart des entreprises ont pâti de ces deux bouleversements du marchĂ© de l’énergie et des transports. Encore faudrait-il ajouter pour certaines fabrications une obsolescence qui interdisait toute forme d’adaptation, comme ce fut le cas pour le carbure de calcium au commandement de la filière carbochimique[22]. Il faut ajouter que la population, de plus en plus sensibilisĂ©e aux problèmes d’environnement, s’accommodait fort mal de la pollution, en particulier de celle des fumĂ©es fluorĂ©es des cuves d’électrolyse d’aluminium[23]. L’intervention de l’État, qui a nationalisĂ© P.U.K en 1982, a pu provisoirement sauver ce conglomĂ©rat de la faillite surtout pour l’usine d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne entièrement rĂ©novĂ©e. Mais cette solution n’a Ă©tĂ© que provisoire et le retour Ă  la privatisation est intervenu en 1995[24].

photographie de l'usine d'aluminium en 1987
Usine d'aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne en 1987.

La plupart des Ă©tablissements ont donc fermĂ© leurs portes comme en une sinistre nĂ©crologie, ouverte prĂ©cocement en 1972 avec l’usine de carbure de calcium de Villarodin-Bourget et terminĂ©e en 2016 avec la fermeture de MT Technology, dernier avatar de MĂ©tal-Temple Ă  Saint-Michel-de-Maurienne, pourtant reconvertie en fonderie de prĂ©cision[25] - [26]. Seuls survivent vĂ©ritablement en 2017 quatre Ă©tablissements. Car si Hermillon a conservĂ© son usine devenue propriĂ©tĂ© de Poudres aluminium, c'est avec un effectif très rĂ©duit (36 emplois). Il en est de mĂŞme pour Épierre qui, avec un effectif du mĂŞme ordre, a abandonnĂ© le phosphore pour des spĂ©cialitĂ©s dĂ©rivĂ©es. En revanche, il est permis d’être optimiste pour les sites de Montricher, La Chambre et Saint-Jean-de-Maurienne. Ă€ Montricher, la filiale Ferropem de la sociĂ©tĂ© espagnole FerroAtlántica maintient la spĂ©cialisation dans le seul crĂ©neau du silicium de haute puretĂ© dont le marchĂ© est devenu, dans les annĂ©es 2010, très porteur en particulier vers le photovoltaĂŻque ; y Ĺ“uvrent toujours 160 personnes. La Chambre, au sein du groupe pĂ©trochimique Arkema s’active toujours dans le secteur des solvants et emploie Ă©galement 160 personnes. Les craintes les plus graves auraient pesĂ© sur l’usine d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, le plus beau fleuron de l’industrie mauriennaise, si d’importants investissements n’avaient pas renouvelĂ© les sĂ©ries de cuves d’électrolyse. Le mĂ©rite en revient Ă  l’allemand Trimet (en association avec EDF pour 35 % du capital) venu en relais de Rio Tinto lui-mĂŞme repreneur d’Alcan en 2007[27]. L’évĂ©nement a Ă©tĂ© justement mĂ©diatisĂ© par la venue d’Emmanuel Macron alors ministre de l’économie en . Non seulement la production de mĂ©tal a Ă©tĂ© portĂ©e Ă  145 000 t/an, soit 40 % de la production nationale en 2014, le site portuaire de Dunkerque livrant les 60 autres %, mais, par une importante intĂ©gration aval, l’aluminium est valorisĂ© par la première transformation en tĂ©s, plaques, fil, voire alliages, et l’effectif se maintient autour de 600. Au total, un bon millier d’emplois a Ă©tĂ© conservĂ© en ajoutant les 150 de la soufflerie de l’ONERA Ă  Avrieux

Bibliographie

  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5).
  • Louis Chabert, Les grandes Alpes industrielles de Savoie : Ă©volution Ă©conomique et humaine (thèse de doctorat d'État), Saint-Alban-Leysse, Imprimerie Gaillard, , 559 p. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Louis Chabert, L'Ă©lectrochimie et l'Ă©lectromĂ©tallurgie en Savoie, SociĂ©tĂ© savoisienne d'histoire et d'archĂ©ologie, coll. « L'histoire en Savoie », , « SpĂ©cial ». Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Louis Chabert, Jean-Marie Albertini (sous la dir.), Jacques Champ et Pierre PrĂ©au, Un siècle d'Ă©conomie en Savoie, 1900-2000, La Fontaine de SiloĂ©, , 141 p. (ISBN 978-2-84206-157-9, lire en ligne), p. 12. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • AndrĂ© Palluel-Guillard (sous la dir.), Histoire de la Savoie : La Savoie de RĂ©volution française Ă  nos jours, XIXe-XXe siècle[s], Ouest France UniversitĂ©, , 626 p. (ISBN 2-85882-536-X).

Références

  1. Blanchard Raoul, « L'industrie de la papeterie dans le sud-est de la France », Revue de géographie alpine,‎ , p. 255 - 376
  2. Chêne, « Industries savoyardes. Évolution de la papeterie », Revue de Savoie,‎ , p. 253-295
  3. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 115-117
  4. Chabert Louis, Aimer la Maurienne, , 559 p., p. 103-108
  5. Périères, « Une grande compagnie industrielle française : Pechiney », Revue de géographie alpine,‎ , p. 151-212
  6. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 216-223
  7. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 207
  8. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 208-212.
  9. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 161-163
  10. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 204-207.
  11. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 208-212
  12. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 212-215
  13. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 51
  14. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 243-246.
  15. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 226.
  16. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 154-156.
  17. Henri Morsel, « Les industries électrotechniques dans les Alpes françaises de 1869 à 1921 », Colloque international du CNRS de Lyon,‎ 7-10 octobre 1970, p. 557-592
  18. R. de Villelongue, Pechiney-Ugine-Kuhlmann. P.U.K. Pourquoi ?, Stock, , 320 p.
  19. Beaud, Danjou et David, Une multinationale française : PUk, Le Seuil, , 288 p.
  20. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 39-43
  21. Électrochimie et l'électrométallurgie en Savoie 1987, p. 12-13.
  22. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 201-204
  23. Plagnat F, « Gui, fumées industrielles et forêt de Maurienne », Revue de géographie alpine,‎ , p. 325-342
  24. Un siècle d'économie en Savoie, 2001, p. 30 (?), d'une préface (?).
  25. Cécile Aubert, « Après la fermeture de MT Technology à Saint-Michel-de-Maurienne », France 3 Alpes,‎
  26. Grandes Alpes industrielles de Savoie 1978, p. 197-200
  27. Dorothée Thénot, « Trimet investit 38 millions d'euros à Saint-Jean-de-Maurienne », Quotidien des usines,‎

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